Célébrations particulières : Les solstice d'été et d'hiver sont célébrés par des fêtes qui varient selon l'endroit. L'on célèbre également l'avènement du printemps. Ces deux dernières fêtes se déroulent relativement de la même façon. Introduites par un banquet gargantuesque, suivi par des danses, des contes et des chants et achevées par un rituel louant les vertus de la nature ou priant le retour du soleil. La seule différence notable réside dans le lieu choisi. Au printemps, ces fêtes se déroulent en plein air, alors qu'elles se tiennent dans les halls en hiver.

La fête de l'été revêt, elle, une importance capitale aux yeux des habitants de Blancval. Introduite par la maison de la Valériane lors de sa prise de pouvoir, cette fête loue la fin du grand hiver et, par la même occasion, les couleurs de la maison qui rétablit le duché.
La fête débute par des parades costumées dans chaque ville où les représentants de chaque village paradent sur des chars sur lesquels sont installées des idoles personnalisées du soleil; symbole de la maison de la Valériane. Durant trois jours, l'on compare les différentes sculptures, multiplie les parades le jour, les beuveries et autres célébrations la nuit, et, au terme de ces trois jours de fête, l'on procède à une cérémonie de renouveau.

Au cours de cette cérémonie, la sculpture la plus réussie et admirée du public est hissée sur une estrade et, après avoir enduré un silence de cinq minutes, la Dame de l'hiver, choisie parmi les représentantes de la gente féminine de la noblesse du duché pour sa beauté et sa candeur est portée jusqu'à un autel où elle est rejoint par le porteur du soleil, choisi de la même manière parmi les Hommes.
Une brève scénette théâtrale dans laquelle le soleil chasse l'hiver, son amante favorite, après qu'elle l'ait défié en tentant d'étendre son emprise s'ensuit, et l'on clôture la cérémonie en embrasant la sculpture, reprenant les danses autour de l'estrade en proie aux flammes.
Certains affirment que cette représentation symboliserait autant la prise de pouvoir de la maison de la Valeriane que le bannissement de Nayris par Yéhadiel, quoi que les régents nient cette dernière théorie.


Coutumes de succession : Primogéniture cognatique
Coutumes culinaires : Aucune en particulière
Coutumes vestimentaires : Aucune en particulière
Autre : /

Les forces militaires du duché reposent essentiellement sur ses capacités maritimes et l'essentiel de ses armées est composé de soldats de marine. Du fait de l'absence quasi totale de chevaux dans les terres, la cavalerie en est pratiquement absente hormis en Griselande qui possède une cavalerie légère relativement réduite, ainsi qu'en Lan'houi, où la cavalerie est très présente quoi que son seigneur garde sur ses chevaux une emprise exclusive. Favorisant l'arbalète à répétition l'arc puisque cela convient davantage à ses tactiques d'assaut, le duché entretient une armée d'une taille honorable quoi qu'elle soit composée uniquement de volontaires et dont les aptitudes terrestres sont plus que contestables.

En effet, la très grande majorité de ces Hommes d'armes sont formés de la même manière; soit pour conduire des assauts rapides, meurtriers et expéditifs.
Au cours de leur formation, généralement conduite dans un des 6 camps répartis entre la baie des ronces et Rivesonge, ces braves s'exercent au port d'armures légères adaptées au combat en mer, au maniement du sabre et de l'arbalète à répétition. En plus de ces enseignements des armes, ils reçoivent bien entendu toute les notions nécessaires à leur fonction de marins.

Ces soldats de métier, généralement pris à l'adolescence, sont entraînés pendant une période de 5ans, et choisissent entre deux voies une fois à la dernière année de leur apprentissage.
Dans la première, ils se focaliseront sur le maniement des armes de proximité et compléteront le port du sabre avec celui de la dague incurvée (ou d'un autre sabre) qu'ils devront maitriser en synergie.
Dans la seconde, ils seront formés au tir de précision et se focaliseront sur l'emploi de l'arbalète à répétition.

Malgré la focalisation du duché sur les troupes de marine, les adultes de chaque ville et village sont soumis à un exercice des armes réguliers (une séance de 3h par semaine) et, s'il n'existe aucune milice fixe, chaque citoyen de Blancval se doit d'être en mesure de défendre son foyer.
Ces miliciens occasionnels ne représentent toutefois en aucun cas une force d'assaut, et sont encadrés par un sergent d'armes posté dans chaque ville & village.

S'il n'existe pas réellement d'élite dans la marine de Blancval, les soldats de métier peuvent choisir d'étendre leur formation jusqu'à huit années supplémentaires. Seuls les apprentis avec les meilleurs résultats peuvent prétendre à cette progression, et c'est généralement parmi ceux qui empruntent ce cursus que sont choisis les capitaines de navires.

Réservée aux enfants les plus fortunés, l'académie de la Valériane, à Castelronce, forme les guerriers qui assureront la sécurité des personnalités les plus influentes du duché.
Au contraire des marins, ces combattants sont spécialisés dans la protection et s'ils sont vaguement initiés à la navigation, ils n'en demeurent pas moins des protecteurs terrestres.
En fonction de leurs compétences et de leur capacité d'apprentissage, leur cursus peut s'avérer plus ou moins long puisque l'académie ne souffre d'aucun échec. Autrement dit, un académicien qualifié doit être en mesure de manier la lance à la perfection, arme de prédilection de ces talentueux combattants.
Malgré leur affinité avec la lance, ces chevaliers qui renoncent à leur nom au profit d'un titre en lien avec leur carrière sont entraînés au maniement de toute les armes connues, même s'ils se spécialisent généralement relativement tôt.

Pris à la veille de leurs quatorzième anniversaire, les apprentis débutent leur apprentissage et le terminent rarement avant au moins six ans d'exercice. Une fois cet apprentissage basique accompli, ils sont associés à la protection de plusieurs commerçants et n'entrent au service de leur maître définitif qu'une fois leur valeur au combat prouvée.

Les chantiers navals du duché se distinguent des autres par la production de deux types de navire particuliers :
- Les Maraudeurs, des navires légers à fond bas et un seul mât incapables de naviguer en haute mer, réputés pour leur vitesse exceptionnelle malgré une contenance limitée à une trentaine d'hommes. Prévus pour conduire des assauts rapides et discrets, ces navires fonctionnent généralement par cinq et leur équipage est composé d'une trentaine de combattants dont la composition varie en fonction de la formation adoptée. (Le plus souvent, le nombre d'arbalétriers et de combattants est égal puisque les uns comme les autres sont en mesure d'employer les deux types d'armement.)
- Les Rangers, des navires plus lourds quoi que toujours portés sur la vitesse. Longs et fins, ils sont armés d'une baliste à répétition mobile et d'un imposant éperon. S'il n'a qu'un seul pont, le navire est muni de deux mâts et peut abriter jusqu'à 60 voire 80 hommes pour les barges de commandement. Ces navires ci sont généralement employés pour les abordages et le plus souvent secondés par une paire de maraudeurs.

Avec ces spécificités s'ajoutent naturellement les navires connus et habituels.

Concernant l'armement spécifique des arbalétriers du duché, l'on peut compter sur deux types particuliers d'armes :

- L'arbalète à répétition rapide; un modèle d'arme muni d'un chargeur contenant dix carreaux dont la puissance se limite à 5 lbs, essentiellement employée pour les combats de proximité et les tirs de barrage, c'est une arme dont la puissance limitée est compensée par une vitesse de tir exceptionnelle. En effet, si l'arme n'a d'efficacité que jusqu'à 10 ou 15m et ne peut percer une cotte de mailles qu'à un peu plus de 5m, elle peut décocher, entre de bonnes mains, jusqu'à 10 carreaux en 15 secondes.

- L'arbalète intermédiaire; un modèle plus puissant dont les carreaux peuvent tuer à une distance de 100 à 150m. Plus massives et plus lentes au rechargement, ces armes ne peuvent décocher qu'un maximum de deux tirs par minute pour les tireurs les plus expérimentés. Contrairement à leurs petites soeurs à répétition, ces armes sont tout à fait en mesure de percer une armure à moins de 100m, et sont précises jusqu'à 60m.

A noter que chaque arbalétrier possède les deux armes et alterne dans leur emploi en fonction des situations.

Constitué autour des guerres et des jeux de pouvoir qui rongeaient l'humanité avant que la paix ne soit instaurée en l'an 0, le duché a subi de nombreux changements de mains.
D'abord gouverné par la lignée Sureval; soit une famille de conquérants expansionnistes qui conquirent l'essentiel des terres possédées aujourd'hui par la maison de la Valériane, le duché se spécialise très tôt dans les arts de la guerre et gagne rapidement des proportions impressionnantes. Une fois installés, les Sureval subissent de nombreuses crises économiques dues aux mauvaises conditions de vie auxquelles ils soumettent leurs citoyens et à l'incompétence de la majorité des suzerains qu'ils ont choisis pour leurs capacités martiales.
Forcés de repousser leurs frontières jusqu'au grand hiver, les Sureval finissent par s'éteindre à force de guerre et le duché est partagé entre les seigneurs inféodés.

Sur la fin du grand hiver, alors que l'activité économique du duché frôlait le néant, le baron Artheus de la Valériane, une maison mineure et sans trop d'importance, parvint à fédérer les terres de ses voisins et à recréer le titre ducal. Par sa clairvoyance et ses nombreuses relations commerciales, il sortit ses terres de la crise qu'elles traversaient et instaura l'essentiel des codes, lois et traditions désormais populaires du duché.

Parmi ces "codes", il fut le premier à favoriser la construction de bateaux. Son successeur instaura, en l'an 33, le système de milice actuellement en place dans les villes et village. Après vingt ans d'un règne sans échec, Artheus instaura la loi de primogéniture cognatique et ne subit aucune contestation au vu de ses aptitudes. Il mourut peu après, et son fils ajouta la baronnie d'Ardeserre au reste du duché.

Complétant ainsi la carte actuelle du territoire, Morvayn de la Valériane détermina les différents corps d'armée du duché et amorça la construction de l'académie de Castelronce. Morvayn périt sans héritier en l'an 91 et son frère cadet, Aurel, prédécesseur de la duchesse Caliel, lui succéda avec quelques difficultés.

Peinant à affirmer sa légitimité, le duc nouvellement en place fut contraint de céder davantage de pouvoir à ses vassaux et perdit en influence malgré l'amour que l'on portait à sa famille. Il fit participer activement ses soldats dans la guerre contre Zelphos, et finit par se soumettre à l'instar des autres suzerains de Terre.

[information non connue en RP] La fille du duc décède en l'an 104 et ce dernier, profitant de la ressemblance d'une jeune femme découverte sur son domaine l'année d'avant et placée sous sa responsabilité depuis avec son héritière, il dissimula son décès et la remplaça par celle qui prendrait ses fonctions à sa mort, fin 114.

(Sait-on jamais que quelqu'un souhaiterait avoir une terre dans ce coin, je ne nomme aucun des régents des terres associées au duché.)

Divisé en trois comtés, deux marquisats et deux baronnies, le duché de Blancval est une terre relativement vallonnée et verdoyante. A l'instar du reste des plaines mystiques, le nord du duché est conditionné par un climat agréable alors que les côtes du sud sont influencées par les vents de Glaces et souffrent d'une température plus basse.


Comté le plus riche du duché, il est administré par la duchesse Caliel de la Valériane et concentre l'essentiel de son activité sur la coupe du bois, la production navale et la formation des hommes d'armes.
Bordé par un pan de forêt à l'est, le comté se situe à l'extrême sud du duché. Au nord, a baronnie de Balafre le sépare de Griselande et du duché de Nyrianëa via sa frontière nord. A l'ouest, le marquisat de Rivesonge achève de délimiter la séparation avec le duché voisin.
Il tient son nom du fait de la quantité impressionnante de ronces qui poussent de manière anarchique et forment de gigantesques amas d'épines impénétrables.

Le centre administratif et militaire du comté (et du duché) se situe au sud ouest, relativement centré et abrite un immense port fardé de trois chantiers navals. Véritable forteresse, Castelronce est une ville imposante qui mange dans la mer tant ses quais sont allongés et s'ancre profondément dans les terres. Cernée par d'imposantes murailles épineuses, la ville forme un demi cercle et est divisée en "niveaux" délimités par des murailles intérieures de plus en plus hautes.

Au pied de la première muraille, à l'extérieur de la ville, pataugeant en bordure de larges douves qui rejoignent directement la mer et permettent le passage d'un petit navire s'entassent des légions de citoyens défavorisés vivant dans des tentes et des cabanes en bois.
Passé l'un des trois ponts situés aux trois points cardinaux concernés du demi cercle de la ville, la première enceinte qui occupe les deux tiers de la cité est consacrée à une activité presque industrielle aux trois quarts, le quart restant se composant des habitations des travailleurs concernés. Concentrée au nord de la ville, les zones d'habitation sont relativement tranquilles, alors que les flancs, plus proches des zones portuaires, regorgent d'ateliers et d'entrepôts massifs.

Loin du bruit des artisans, le palier supérieur abrite les habitations des citoyens favorisés; bourgeois, érudits éveillés et militaires hauts gradés, c'est dans cette enceinte que se situe l'académie de Castelronce, les tribunaux et les autres bâtiments administratifs.
Au coeur de la ville, un imposant château où résident l'essentiel des dignitaires du duché, la cour de la duchesse, son entourage, sa famille et une quantité astronomique de serviteurs qui répondent au moindre besoin de ces derniers. Un quartier particulier est réservé aux chevaliers de Castelronce qui assurent aux grands Hommes du donjon une protection infaillible.
La particularité dudit donjon se situe dans l'immense pointe qui s'étend dans la mer et depuis laquelle partent les plus gros quais de la cité, et qui donnent à peu de chose près la forme du blason de la maison de la Valériane avec le reste de la ville.


Situé au sud ouest du duché, le marquisat de Rivesonge partagé sa frontière nord avec la baronnie de Balafre, sa frontière est avec le comté de la baie des ronces, et délimite le sud de la frontière avec le duché de Nyrianës.

Délimité par les restes d'un mur qui le séparait autrefois dudit duché, l'ouest du marquisat est hérissé de nombreuses tours de guet dont une grande partie est aujourd'hui en ruines. Au centre de cette ligne de tours, Aiglepic s'enfonce dans les terres de Nyrianës comme une épine. Edifiée derrière d'impressionnantes murailles de ronces qui délimitent naturelle la frontière, Aiglepic domine la plaine du haut de son impressionnant donjon.
Et d'impressionnant, il n'y a que cela. Malgré les nombreux bâtiments enroulés tout autour du donjon, le bastion ressemble davantage à une tour de guet gigantesque qu'à un véritable château. A défaut d'une protection efficace, la tour offre toutefois un splendide point de vue, aussi bien sur les terres adjacentes que sur l'intérieur du marquisat.

Au sud, au bord des côtes, l'on retrouve des chantiers navals moins imposants que ceux de la baie, et ceux là servent essentiellement à la construction de Maraudeurs, trop petits pour abriter des navires plus massifs. Les ports omniprésents au bord des côtes servent la plupart du temps de point de départ pour les manoeuvres d'exercice des soldats en entraînement dans les deux camps d'exercices du marquisat.


Plus petit territoire du duché, la baronnie occupe toutefois une place importante de par sa position. Véritable coupure qui traverse Blancval, la balafre se situe entre le comté de la Baie des ronces, au sud, et le comté de Griselande, au nord. A l'est, la pointe de la baronnie touche la forêt, tandis qu'à l'ouest, sa frontière fait frontière commune avec le duché de Nyrianës.

L'activité de la baronnie est relativement centralisée et concentrée autour du commerce exercé entre les terres du nord du duché et celles au sud. Halte inévitable dans les trajets entre ces deux parties du territoire, Kushet, épicentre des échanges de la baronnie, se situe au coeur de la baronnie et fait office de carrefours pour la majorité des transferts commerciaux.

Initialement, la "ville" n'était qu'un amas de roulottes de commerçants, et à force de s'assembler et de se sédentariser, quelque chose de solide s'est construit. Malgré son importance, la ville s'est peu développée, et hormis le manoir édifié sur la bute qui domine le carrefour où logent le baron et ses proches, l'on y trouve peu de demeures évoluées.


Le comté le plus vaste de Blancval, Griselande est une terre riche et fertile que de très nombreux agriculteurs exploitent à foison. En plus de ces exploitations, l'on comptera sur la présence de nombreuses scieries au sud est du territiore.
Ses frontières touchent la majorité des autres terres du duché, au nord ouest, Silveronce, au nord, Ardeserres, au nord est, le marquisat de Lan'houi, et au sud, la baronnie de la Balafre.

Située au sud est du comté, l'Orée du bois est le centre administratif de la zone et borde la forêt, principale source de revenus du suzerain local. A proximité de la majorité des scieries qui alimentent ce commerce, l'Orée du bois est une ville paisible et étalée qui, sans avoir de proportions impressionnantes, n'en reste pas moins massive.

Entourée par de hauts murs de bois, la ville est veillée en permanence par des rondes organisées par le comte et ses sergents d'armes. Si elle constitue un bastion efficace contre les bandits et les créatures de la forêt, l'on est toutefios bien lion d'une forteresse militaire. En son centre, un bastion de pierre a été construit pour faire office de centre d'administration et abrite le comte et ses dignitaires.


Situé au nord ouest du duché, Silveronce partage ses limites avec le comté de Griselande au sud et avec la baronnie d'Ardeserre à l'est. Au nord, le fleuve sépare le comté des autours de Sen'tsura. Essentiellement composée de vastes exploitations agricoles, plat tout du long, le comté emploie également la rivière pour la pêche et le commerce quoi que ces activités soient bien moins représentées.

Irépine, le centre administratif de la zone, se situe au sud est, proche des frontières, et malgré ses murs de pierre, la ville n'en reste pas moins relativement faible. Une faible population due à la dispersion des habitants du comté, des défenses mal construites et des défauts dans la construction même de la ville font la honte du comte.
Malgré tout, la ville est dotée d'un impressionnant bastion dont la cime tombe partiellement en ruines et est restée déserte pendant de longues années. Aujourd'hui, les étages supérieurs sont condamnés, et le bâtiment n'est plus employé que pour se réfugier en cas d'attaque.
Le comte, lui, vit dans nue demeure plus modeste au pied du bastion, et administre ses terres avec justesse avec ses dignitaires dont les quartiers se situent à proximité.


Située sous le fleuve qui la sépare au nord des frontières des autours de Sen'tsura, partageant ses autres limites à l'est avec le marquisat de Lan'houi , à l'ouest avec le comté de Silveronce et au sud avec Griselande, la baronnie d'Ardeserres vit essentiellement d'agriculture mais abrite le plus puissant avant poste terrestre du duché.

Chevauchant partiellement le fleuve, la forteresse d'Igni est un monstrueux bloc de pierre fardé d'un guet permanent à contrario du reste des bastions du duché. Gardien inévitable du fleuve, le baron d'Ardeserre contrôle le passage et abrite la seule puissance d'intervention terrestre capable au nord de la Balafre.


[Par soucis de cohérence avec le précédent locataire du duché, la zone est désormais associée aux créations de Sinan Ouhi et tout ce qui est déterminé par ses soins dans la fiche qui suit est à prendre en compte comme étant caractéristique de la zone.]

http://www.terramysticarpg.com/t4620-duche-duche-lan-ouhi-duche-de-la-lan

Située au nord est du duché, le marquisat de Lan'houi est une terre fertile et bien peuplée où cohabitent éleveurs de chevaux et agriculteurs. Le marquisat partage ses frontières avec le duché de Noir Grigorescu à l'est, est bordé au nord par la rivière qui le sépare du duché de Lyonesse, et couvre une partie du grand lac; au sud, longeant également le comté de Griselande. La baronnie d'Ardeserres veille sur ses frontières ouest.