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 Elwing

 
Elwing Sand-g10Jeu 13 Fév - 15:55
Elwing

Un rien raciste, arrogante, romantique, sèche, diplomate.


Informations

Age : 637 ans.
Nationalité : Terre.
Profession : Reine.
Camp : Ailes Ténébreuses.
Croyance : Nature.
Titre de noblesse : Reine des Elfes.
Race
Elfe.

Caractère


Puisqu’il faut débuter quelque part, autant commencer par dire qu’Elwing est une Elfe habituellement calme et réfléchie, mais très loin d’être à l’abri de phases de colère incontrôlables, de durée et d’intensité variables et souvent sans aucune raison. Durant ces moments, ses choix sont plus axés sur ses sentiments que la raison, sa voix forcément plus forte et agressive, et elle n’aura guère de patience pour quoique ce soit. Entraînant donc des choix parfois radicaux, d’autant plus qu’elle prendra du plaisir à voir ou faire souffrir ceux qui ne répondront pas à ses attentes. Il ne s’agit pourtant pas d’un dédoublement de personnalité, juste d’une personne qui a des difficultés à maîtriser certaines émotions.

Connaissant bien ses capacités en combat, mais aussi son manque de pratique en situation réelle, elle préfèrera souvent la voie diplomatique. Contrairement à certains membres de sa race, elle a décidé de ne pas user de ses charmes naturels pour se concentrer intégralement sur l’art de la parole et de la négociation. Bien sûr, elle usera de mensonges et de trahisons pour tirer son épingle du jeu quand il le faudra, cependant elle préfère rester honnête au maximum. Quitte à manquer de tact. Majoritairement, elle respecte ses engagements, et préfère des menaces et conflits ouverts à des alliances fragiles nécessitant de toujours protéger ses arrières.

Aussi, elle est une éternelle romantique. Elle n’imagine pas passer sa vie à batifoler à gauche et à droite, passant d’une relation, souvent sans aucun sens, à une autre. Certes, pour une race immortelle, cela fait sens d’agir ainsi. Mais, malgré tout, la Reine se sent incapable de vivre de la sorte. En réalité, dans son esprit, elle est persuadée que quand elle rencontrera la personne que son esprit élira comme celle qu’elle aime sera la bonne pour le reste de ses jours. Il lui arrive d’avoir quelques moments de lucidité lui permettant de se convaincre que ce ne sera pas le cas, du moins pas forcément, mais cela ne dure guère longtemps. Le reliquat de contes d’autres races qu’elle entendit et adorait étant toute jeune, couplé à son dégoût pour sa mère et sa façon de vivre.

En tant que reine, Elwing est beaucoup plus ferme que sa mère. Sa tendance naturelle à ne pas supporter la faiblesse et l’immobilisme la pousse à agir à la manière d’un tyran, ce qui n’est pas au goût de tout le monde parmi ses Elfes, bien entendu. Mais de manière générale, ils se rendent compte qu’elle n’a en tête que le bien-être et la protection des membres de sa race, et que ses décisions sont, dans la grande majorité des cas, rationnelles à défaut d’être populaires. Seuls ses désirs d’expansion de son pouvoir dans le monde laissent les Elfes perplexes, peu habitués à cet état d’esprit.








Physique
Elwing, contrairement à sa mère, n’a pas encore subi les dégâts de l’âge sur son physique, bien au contraire. Bien qu’étant l’aînée des enfants royaux, elle paraît très certainement aussi la plus jeune. Ce fait est probablement dû à ses traits très fins et sa très petite carrure. Pas spécialement par la taille, la reine étant plutôt grande, mais sa minceur – A vrai dire, la seule différence ici avec de la maigreur est que l’on ne voit pas ses os – la rend assez peu imposante. Malgré tout, cela ne signifie pas qu’elle est incapable de se défendre ou de simplement tenir debout, non. Certes, elle ne pourra rivaliser de force avec un tas de muscle, mais il existe d’autres moyens de combattre que l’assaut frontal. Au niveau de son visage, si ce n’est les oreilles caractéristiques de sa race, il est intéressant de parler de ses yeux grisâtes, ainsi que de sa chevelure dorée.

Lorsqu’elle sort en extérieur, que ce soit seule ou accompagnée de ses gardes du corps, sans la moindre raison officielle, la demoiselle apprécie s’habiller léger. Très léger. Une vieille habitude qui n’a pas vraiment pour origine d’attirer l’œil désireux de l’étranger, mais plutôt de se promener à son aise chez elle, tout en en profitant pour donner une image assez négative de sa génitrice. Sans être ni réellement vulgaire, ni tout à fait classe.

Pour les plus grandes occasions, la demoiselle possède aussi diverses robes. Sa préférée reste une robe blanche d’apparence toute simple, ornée de fleurs par quelques Elfes dans l’heure où elle l’enfile. On lui coiffe aussi, dès lors, ses cheveux blonds afin de leur donner un aspect bien plus travaillé. Mais ce qui fait qu’Elwing affectionne particulièrement cette robe est le fait qu’elle fasse ressortir étrangement fortement ses yeux, radoucissant extrêmement son visage.

Bien entendu, aucune de ces deux tenues n’est réellement adéquate au combat, surtout lorsque des armes à longues portées entrent en jeu. De fait, elle possède une armure légère qu’elle revêt assez rarement. Armure qui, sans posséder de vertus défensives hors du commun, remplit son office tout en lui permettant de garder une certaine mobilité et une fluidité dans ses mouvements, ce qui reste sa plus grande chance de survie après tout.

Capacités

Arme : Un arc elfique dont elle ne s’encombre que rarement. Elle possède aussi une rapière ainsi qu’une main gauche pour quand elle le juge nécessaire.
Pouvoirs : De très petites notions dans la magie de guérison, se limitant à la possibilité de soigner de petites blessures (allant de la petite griffe à un muscle froissé), mais sans plus.
Familier : Quelques gardes du corps qui lui obéissent au doigt et à l’œil.
Artefact magique : Aucun.
Autre : Non plus.


Histoire



Elwing.

    Quand on voit la suite de la descendance de la reine, il paraît assez difficile de comprendre l’évolution d’Elwing, commençant très petite à s’éloigner fortement du comportement de sa mère. Ils étaient tous différents, bien entendu, mais aucun d’entre eux ne vouaient une haine aussi profonde envers celle qui leur a donné la vie. La différence majeure – Bien que n’expliquant pas tout, loin de là, la Reine était très loin d’être la seule responsable – peu importe le parcours des autres membres de la famille, était que ce sentiment de dégoût et de rejet que l’Elfe avait pour sa génitrice était parfaitement réciproque. Elle n’avait jamais été voulue, et ne dût son existence qu’à l’insistance du peuple, bien trop heureux de voir une petite princesse voir le jour. Si ce n’était pour cela, Elinfrai n’aurait jamais hésité à la noyer dans son bain dès que possible.

Au départ, cela ne devait être pour la reine qu’une façon de se montrer reconnaissante envers un jeune Elfe qu’elle avait rencontré plus tôt dans la journée et qui lui avait souhaité une bonne journée. Une petite aventure sans conséquence, tellement qu’elle ne jugea pas utile de demander le nom du poli personnage, ni même de s’encombrer du souvenir des formes d’un visage s’étant retrouvé fort proche du sien de plus. Et, visiblement, elle en était tant persuadée qu’elle ne fit pas le minimum d’effort nécessaire afin d’éviter qu’un petit parasite ne vienne encombrer sa vie quotidienne.

Petit parasite qu’elle finit par nommer Elwing, deux semaines après sa naissance. Petit parasite qui n’a survécu que grâce à trois intendants du palais, ayant pris soin de cette petite chose que la Reine délaissait dans un coin de sa chambre, comme une robe qu’elle ne souhaitait plus enfiler. Il ne s’agissait pas encore de haine, d’amertume ou d’un quelconque conflit, cependant, cela viendrait plus tard. Pour l’instant, Elinfrai ne voyait tout simplement pas l’intérêt de s’occuper de sa fille, ou plutôt ne voyait pas l’intérêt de sa fille.

Si elle ne la jeta pas hors du palais, elle ne la vit pas plus grandir. Les intendants faisaient de l’assez bon boulot à son goût, et elle ne jugea pas son implication utile. Tout au plus donna-t-elle son aval pour que la jeune Elfe puisse profiter des leçons des meilleurs professeurs de Drayame. On lui apprit à être cultivée, à être diplomate, à être stratège, à se défendre ainsi que d’autres choses de moyenne importance à ses yeux. On lui montra comment se comporter comme une bonne princesse, comment ne pas donner une image négative à sa mère. Ce qui, par la même occasion, lui enseigna comment mentir. Et au bout de quelques siècles, l’étudiante commençait à exceller dans ses domaines de prédilection tout en ayant un niveau plus qu’acceptable pour les autres. En théorie, tout du moins, n’ayant jamais pu mettre tout cela en pratique autre part que dans un milieu fermé et sécurisé.

D’aucun pourrait penser qu’Elwing travaillait dur pour impressionner sa mère, lui montrer qu’elle existe. Ceux-là auraient tort. Elle n’avait que faire de l’amour de sa mère, voire de sa simple reconnaissance. Si elle voulait profiter de l’esprit de famille, elle se tournait vers ses frères et sœurs, certains ayant été souhaités, d’autres faisant aussi partie des erreurs de parcours. Et bien que leurs relations avec leur mère à tous soient plus ou moins plus saines, elle n’éprouvait pas la moindre jalousie. Il faut dire que très tôt, durant sa première cinquantaine d’années en fait, elle comprit qu’elle n’aurait aucune chance d’attirer l’attention de cette figure maternelle. Et en voyant son comportement, elle n’en avait d’ailleurs aucune envie.


Ouverture.

Il fallût attendre plus de trois cents ans pour qu’Elwing voie enfin ce qui se trouvait en dehors de son lieu de naissance. Trois cents ans et la rencontre de plusieurs dignitaires d’autres races, à vrai dire, pour lui donner envie de passer la frontière de Drayame, non sans être accompagnée de gardes du corps. Elle n’allait pas bien loin, jamais ne s’éloignait-elle assez loin que pour qu’elle ne puisse rentrer chez elle le jour même, mais cela lui était suffisant pour l’instant. Les alentours regorgeaient de gens aux personnalités différentes, aux idéologies et aux désirs différents. Et, surtout, aux races différentes. La jeune Elfe se rendait compte, petit à petit, de ce qu’elle n’avait appris que par les livres : le monde ne se limitait pas aux frontières de Drayame.

Ses découvertes l’intriguaient. Pourquoi, alors que le monde était si passionnant et diversifié, sa mère était-elle autant fermée à l’extérieur ? Seuls quelques rares élus étaient acceptés et pouvaient profiter d’une audience avec la Reine, qui les choisissait plus pour en apprendre sur la situation extérieure sans avoir à sortir de chez elle que pour accéder à leurs requêtes initiales. L’héritière trouvait cela parfaitement absurde. Sa mère prétendait tout faire pour protéger les Elfes, mais sans réelle politique extérieure et en organisant fête sur fête, limitant les capacités défensives du peuple à leurs capacités raciales intrinsèques, n’étaient-ils pas à la merci de toute force un tant soit peu organisée ?

L’Hiver ouvrit quelques peu les portes des Elfes, bien entendu. Ce faisant, apaisant les craintes d’Elwing. Tout le monde avait à s’entraider dans le simple but de voir son espèce, son peuple, son clan survivre. Beaucoup de profiteurs, aussi, qui prenaient sans rien offrir en retour, même pas le minimum de respect. Certains furent même bannis car découverts en train de s’en prendre aux arbres, pour faire du feu. Mais de manière générale, la relation entre les Elfes et les autres races étaient plutôt agréables. Jusqu’à ce qu’ils furent tous éjectés sans sommation lorsque la période se termina. L’entraide n’était plus nécessaire, et le peuple elfique pouvait retourner à sa vie d’autarcie, sans devoir continuellement s’occuper des cadavres des autres races venues mourir dans leur forêt durant cette cinquantaine d’années.

C’est probablement grâce à cette légère ouverture que les informations sur l’arrivée d’Ailes Ténébreuses et de ses actes vinrent rapidement aux oreilles des Elfes. Elwing fût très rapidement conquise par les récits qu’elle entendait, au contraire de sa mère. Elle n’y voyait pas une idéologie particulière, elle ne vénérait pas spécialement le démon, elle ne souhaitait même pas rejoindre ses rangs. Il s’agissait simplement d’une figure forte, celle d’un père qu’elle n’avait pas eu l’occasion de connaître. Un père que, encore une fois, sa mère semblait l’empêcher de connaître, préférant ne pas prendre part au combat, si ce n’est pour venir en aide, somme toute assez discrètement, au camp qui bientôt perdrait.


La nouvelle reine.

Et vint enfin le jour, assez récent d’ailleurs, durant lequel on lui annonça la mort de sa mère. Tout démarrait comme un jour normal, pourtant. Au réveil, on l’emmena se vêtir. D’habits cérémoniaux plus raffinés qu’à l’accoutumée, certes, mais l’Elfe n’en tint pas rigueur. Elle s’imaginait devoir passer les prochaines heures à supporter l’un des innombrables banquets que tenait sa génitrice sur un coup de tête, tout simplement pour aider la recherche de sa prochaine conquête. Elle ne s’inquiéta même pas du fait que l’on la guida vers l’une des salles de repas d’un pas pressé.

Le menu disposé sur les tables était relativement restreint, toutes proportions gardées. Rien qui correspondait aux habitudes un rien exubérantes de sa mère. Non pas au niveau des quantités et de la diversité des types de nourriture, mais au niveau des couleurs et de la mise en scène des divers plats proposés. Et quant aux invités, il n’y avait qu’une quinzaine de personnes, seulement des Elfes vivants dans le palais. Et aucune trace de sa mère, ni d’aucun de ses frères et sœurs. On installa Elwing en bout de table, voyant qu’elle ne se déplaçait plus, et on l’intima à débuter le repas. Elle commençait à sentir une vague de joie monter en elle, commençant à comprendre la situation. Cependant, elle souhaita s’en assurer, et posa donc sa question :


    Où se trouve Elinfrai ?

Personne ne laissa transparaître la moindre émotion lorsque l’Elfe se tenant à sa droite lui expliqua le sort de sa mère. Ce qui surprit Elwing malgré tout. Si ce n’est-elle, qui se réjouissait de la nouvelle, rares étaient les membres de sa race qui devaient ne pas ressentir la moindre tristesse suite à cet assassinat. Peut-être ses convives avaient-ils la décence de ne rien montrer de leurs réelles pensées, de manière à ne pas tout de suite montrer qu’ils n’avaient pas une confiance sans faille envers celle qui deviendrait la nouvelle reine. A vrai dire, tous savaient que la seule chose qui ne changerait pas serait le caractère capricieux et, de fait, parfois un peu imprévisible de leur souveraine. Pour le reste, ils s’attendaient à devoir changer leurs habitudes, et pas forcément en bien.

Mais il n’était pas encore temps de s’appliquer à cela. Le repas se termina, en silence. Comme tous les alentours, d’ailleurs. Non pas que les Elfes soient particulièrement bavards, loin de là, mais l’on sentait le poids du deuil général, assez perturbant. On emmena ensuite Elwing jusque dans les quartiers de sa mère, en lui proposant un peu de temps seule. Sur le chemin, elle sentait les regards de son peuple éviter le sien. Par respect, par manque de courage, par peur et, parfois, par colère. La haine de l’Elfe pour sa mère n’avait rien d’un secret, et une partie de la population l’imaginait déjà avoir commandité ce meurtre.  Et il est vrai que si quelqu’un ne l’avait pas devancé, cela aurait probablement fini par être le cas.

Bref. Laissée dans la chambre de l’ancienne reine, celle qui deviendrait la nouvelle souffla, enfin à l’écart de toute cette tension ambiante. Elle pouvait enfin se lâcher, perdre la figure sérieuse qu’elle avait gardé tout du long de la journée. Elle se laissa donc aller, renversant les meubles, déchirant les vêtements, frappant ce qu’elle pouvait. Elwing laissait sortir sa colère, sa joie, sa crainte pour la suite. Si au moins la vieille peau lui avait laissé le temps de se préparer plutôt que de mourir comme ça. Ou, plutôt, lui avait appris ce qu’elle avait à savoir. Elle devait se douter qu’elle était la cible de plusieurs contrats d’assassinats, non ? Elle regarda les stupides masques exposés, l’une des fiertés de sa mère. Cachant la honte de son visage, certes, mais une fierté tout de même. L’Elfe prit un malin plaisir à les jeter au sol et à les écraser, à grands coups de talon.  Une fois plus ou moins calmée, elle se laissa s’effondrer dans le lit, pensive quant à ce qui allait se passer désormais.


Décisions.

En à peine quelques semaines de temps, Elwing avait fortement changé le visage politique des Elfes de Drayame. Sa première décision fût parfaitement logique, défaire tout contact avec ceux que sa mère avait décidé d’aider, et retourner sa veste pour porter allégeance aux vainqueurs. Elle fit donc comprendre leur soutien, bien que modéré, envers Ailes Ténébreuses. Ce n’était pas la peine d’en déclarer plus pour l’instant. Les Elfes comprenaient bien que porter allégeance au démon était nécessaire pour leur survie. Mais si la Reine leur avait demandé de sacrifier leurs vies et ressources au nom de cet être, elle ne serait pas restée sur le trône bien longtemps.

Elle avait aussi décidé de prendre les choses en main quant à la puissance militaire des Elfes. Cela passa par un enrôlement de force, un entraînement par les élites de l’ancienne armée, des sentences allant de l’humiliation publique pour ceux qui ne venaient pas au bannissement définitif de Drayame, avec exécution à la clé s’ils étaient retrouvés, pour les déserteurs. Une décision qui n’aurait pas été fort populaire parmi bien des peuples, mais celui-ci était discipliné, prêt à tout pour la Reine, et compréhensif. Leur ancienne force était certes suffisante pour défendre leur forêt face aux assauts non préparés de tribus ou de races basiques, mais certainement pas pour plus. Et elle ne l’était pas plus pour les désirs d’expansion du pouvoir d’Elwing.

Au niveau des lois, les choses se firent bien plus strictes aussi. Les règles restaient majoritairement les mêmes qu’avant, bien que ne se basant plus sur les mêmes caprices royaux, mais étaient appliquées avec plus de fermeté. Et pour ce faire, Elwing demanda à son frère cadet de créer une milice, composée d’une cinquantaine d’Elfes qui seraient chargés de faire respecter les lois mises en place. Elle savait très bien qu’il y aurait des dérives, les milices, secrètes ou pas, finissant toujours pas se croire au pouvoir et à appliquer leurs propres règles. Et peu importe la race, l’histoire finit par se répéter. De fait, elle ne fit pas l’erreur de leur octroyer tous les droits, et gardait un œil sur la situation personnellement, pour éviter les dérives et la violence inutile.

L’un dans l’autre, et malgré le fait qu’un certain nombre d’Elfes protestèrent malgré tout, la grande majorité accepta. Il ne s’agissait certainement pas d’une vie aussi simple et agréable que ce qu’ils avaient pu connaître, cependant ils comprenaient qu’au vu du contexte, ces choix étaient nécessaires. Le monde changeait, et leur ancien mode d’existence ne leur permettrait pas de survivre bien longtemps. Si les Elfes avaient un jour été l’une des plus grandes races sur ce monde, ce n’était plus le cas, et il fallait qu’enfin ils s’adaptent au monde et à son contexte, à y prendre une place prépondérante tant au niveau des alliances que des conflits, plutôt que d’attendre que le monde s’adapte à eux.





Dans la vraie vie  


Âge : 21 ans.
Comment avez-vous connu le forum ? Par hasard.
Avez-vous déjà fréquenté d'autre forum, si oui lesquels ? Oui, la plupart sont morts. Paix à leurs âmes D:
Vos passions : Mes jeux D:
Que pensez-vous de Terra Mystica ? Avez-vous des suggestions pour l'améliorer ? Franchement sympa, même si tout n'est pas simple d'accès pour la compréhension, ni toujours très clair, et que le design est un peu lourd par moments, on s'y retrouve Smile
Avez-vous rencontré des problèmes pour remplir votre fiche? Nope.
Phrase fétiche : ECRIRE ICI ! (J'ai rien qui ne me passe par la tête là, ce qui était présent ne me semblait donc pas trop mal '-')

Voilà voilà, j'espère que cela sera convenable, j'avoue m'être parfois un peu embrouillée à certains moments, à force d'écrire et réécrire certains passages, au fur et à mesure d'apprendre certaines choses ^^" Enfin bref, voilà o/

Invité

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