Le groupes de soldats et de prêtres arriva avant que Aashadon puisse s’amuser pour de bon avec ces hérétiques.
Mais désormais la partis administrative à venir qui allait venir était celle du démon. Il suivis donc Armant et ensemble firent parlé ses minables petits rebelles qui … n’étaient finalement qu’un simple réseau de perdus dans une idéologie simplette et terriblement condamnable. Ceci fut vite fait, le simple regard d’Aashadon sur eux évita que l’on euse de la torture, ils avaient trop peur que l’on disent. « On vas laisser à Aashadon ».
Le brûlé mourut quelques heures plus tard dans une merveilleuse soupe de hurlement de douleur et de pleures.
La messe du lendemain fut pas si joyeuse qu’on pus l’espérer… On enterras des soldats qui avaient été massacrer par un étrange démon qui couraient vers les quartiers ouest de la ville. Les regards d’Armant et du Grand Prêtre étaient simple, ils avaient compris qui était ce démon. Mais désormais tout était rentrer dans les rangs, les hérétiques brûlaient, les croyants … croyaient… Et le clergés était en paix. Et les murs de la cathédrale aussi !
Désormais tout allait pour le mieux dans la sombre vie de l’archevêque. Certes il du présenter ses excuses au milicien et au jeune clerc pour les avoirs ainsi accusé. Ce jeune prêtre était bon… Peut être Aashadon lui céderait il un bon poste ?
En attendant la maison rebelle avait été détruite et des pancartes inquisitrices avaient été placé dans le quartier. Les rebelles tremblaient de plus en plus, l’empire lui, riait.
Encore une histoire qui se finissait bien pour le camp d’Aile Ténébreuse, et tant mieux, maintenant les hérétiques, les gueux, savaient à quoi s’attendre. Les prisonniers furent quand même lynché au bout d’un mois, après pression de l’archevêché. Il ne fallait quand même pas perdre les bonnes habitudes… Et puis maintenant notre réputation comptait plus que tout. Nous sommes l’Empire. Nous sommes maîtres de vos vies.

Fin. (Pour Aashadon.)