Épreuve donné par Ayael pour Laure

Raconte de façon relativement détaillé la période ou le vampire à commencé à se nourrir de toi jusqu'au moment ou il a accepté de te sauver et qu'il t'a transformer.

En séjour en Enfer

Ça y est tout est fini pour moi, je venais de passer les plus horribles journées de mon existence. Si j'avais sut se qui m'attendait si je n'épousais pas le vieillard je l'aurai épousé sans une seule hésitation. Mais personne ne me l'avait dit et je me retrouvai donc dans une situation catastrophique et mortelle. Le tribunal, c'est à dire le duc venait de me condamner à un décapitation, le jour où mon mariage devait avoir lieu. A la place du mariage, le peuple aurait le droit à une jolie décapitation. Il me restait trois mois à vivre mais pas à vivre en liberté trois mois dans un des cachots humides et sombres infestés de rats et autres bestioles tous aussi répugnantes. Comment moi une fille vivant correctement et étant de famille noble et parente éloignée du duc avait-elle put tomber si bas?

J'étais démangée par le remord et la peur quand on m' emmenait dans ma dernière demeure. On me poussait dans une cellule sans lumière, sans fenêtre ni autre chose à première vue. Je tombai sur de la paille sèche et me recroquevillai sur moi même en fondant en pleur. Les geôliers refermèrent la cellule et me laissait là toute seule... Enfin c'est ce que je croyais, j'entendis du bruit derrière moi je me retournai mais ne vit toujours rien il faisait trop sombre. Soudain un cri sortit de ma gorge s'éteignant presque aussitôt, je me débattis violemment contre les canines qui me transperçait la gorge mais rien ni faisait, il continuait de boire. C'est alors que je compris que le Duc n'avait pas prévu de me décapiter comme il l'avait dit mais de m'offrir en nourriture à un vampire affamé. Je voyais ma mort arrivée et je priais les dieux de me venir en aide, je pense qu'ils m'ont entendus car contre tout attente il s'est arrêté de boire. Moi, en courageuse fillette que j'étais, je me suis débattu et est accourut vers la porte où j'ai tambouriné et hurlé fort aux geôliers pour me sortir de là. Les geôliers sont arrivés et mon giflé en me disant de me taire, je me suis recroquevillé sur moi même. Chaque jours pendant cinq mois et demi le vampire venait me boire et jamais dans ses cinq mois et demi il ne m'a parlé.

Un jour, lorsqu'un geôlier trop téméraire et qui avait oublié qu'un vampire se trouvait dans ma cellule essaya de me violer. Le vampire le vida de son sang en me glaçant le mien par la même occasion. Le corps s’affala sur le sol sans bruit, le vampire ouvrit la porte du cachot et la je lui dit sans réfléchir au conséquence de mes actes :

« Tu n'as pas le droit de me laisser là alors que tu as abusé de moi et de mon sang pendant tellement longtemps, du n'a pas le droit de m’abandonner. »

Qu'avais-je pas dit là, le vampire se retourna et c'est alors que je les vis pour la première fois, ces yeux rouges éclairant d'une lumière vive dans la pénombre du cachot. Cela me fit peur me crut que j'allai mourir mon sang se glaça mais je ne pouvais bouger. Il me regarda un long moment puis dit son premier mot d'une voix calme et sur d'elle :

« Viens. »

Je le suivis dans les couloirs et nous passâmes sans problème les sentinelles et les deux gardes du château. On se retrouva bien vite dans la forêt, j'étais fatiguée mais mon compagnon et tortionnaire ne voulait pas s'arrêter, quand je m'effondrai soudain de fatigue il me prit dans ses bras et marcha avec moi endormit, je ne sais pas combien de temps il a marcher ainsi mais se que je suis sur c'est que je me suis réveillée sur un lit à baldaquin dans une chambre que je ne connaissais pas, les deux mains et pieds liés au cadre du lit. J'essayai de me libérer mais rien ni fit je restais entravé, je pensai alors qu'on allait me violer puis me tuer.

C'est alors que je le vis, un jeune homme aux cheveux bordeaux, très grand et costaux me regardait. Je hurlais de peur en découvrant ses yeux des yeux qui ne m'était pas inconnu. Les yeux du vampire... Je me débattis de plus belle, mais il commença à parler et comme hypnotiser je l'écoutai et me détendit.

« Tu seras mienne ma créature mon esclave »

Il se jeta sur moi et me vidant peut à peu de mon sang puis il me donna le sienne se que je trouvais super bon. Je bus avidement le sang offert mon corps était comme brûlant et tout d'un coup plus rien à par cette envi insatiable de sang. Du sang !