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 Camille Anisum, Présentation

 
Camille Anisum, Présentation Sand-g10Ven 6 Mar - 12:56
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Camille Anisum


Cynique-Charmeur-Théâtrale-Social-Dramaturge-Raffiné-Précieux-Subtil-Coquet-Distingué-Fin-Habile x Malin-Lache-Opportuniste-Couard-Sadique-Vicieux-Dépravé-Obscène.




Informations


Surnom : « La Fée Blanche », c’est le genre de pseudonyme que l’on obtient dans un de ces coin lugubre éloigné de la lumière et des yeux du monsieur-tout-le-monde. Il inspire à la fois une tendresse charnelle et une pureté divine, mais la connotation féminine donnée à un être doté du sexe masculin démontre un libertinage sexué. Un son éloigné qu’on semble fuir, celui de l’homme ayant trouvé satisfaction dans son désir.

Age : Vingt-cinq ans, déjà.

Nationalité : Originaire de Terre.

Profession : La fonction de Responsable des jeux, quelque chose d’assez amusant et de mondain, quelque chose qui permet de vivre sans dépendance. Une profession qui permet de jouir de la bassesse avec l’accord des puissants. Faire vivre un art, l’art du sang et de la salive, se dresser devant une foule qui n’attend plus que ça, et d’un hurlement de plaisir lancé la mort programmé et la prendre où l’admirer.

Camp : Dans le camp d’Aile Ténébreuse, l’unique dépendance, le dernier esclavage.

Croyance : Leineichte, ô liberté, je cris ton nom au ciel.

Titre de noblesse : Aucun

Race
*Humain*



Caractère



Camille, un prénom féminin, à la base c’était déjà comme une moquerie du destin. Et ce long fil du destin, il fut rugueux, la comparaison avec du papier de vers serait la meilleurs. Nulle place ici pour la douceur de la nature. Il est vrai que Camille est quelqu’un de dramatique, et il a souhaité faire de sa vie un drame, entre romantisme et divagation, donnant à son destin un sens théâtral. Il joue une pièce, dont il est se croit être l’acteur, celle de vie. Elle est unique, elle se doit d’être grandiose et de faire pleurer et rire. Les sentiments doivent proliférer, tout n’est que spectacle.

Le cynisme quotidien, le charme naturel, la finesse l’habilité et surtout, la délicatesse. Tout cela en dosage précis. Camille Ansium est de ces êtres qui se laisse contrôler par leurs sentiments, et qui, les poussant à l’extrême en font des requiem, si bien qu’on ne sait plus ce qui dirige le personnage, est-ce la folie, l’amour ? Tout n’est qu’un jeu.
Il y a donc ce raffinement exquis, et une absence totale de force mentale, qui se traduit par un manque de confiance en soi. Mais pas cette timidité commune, cette timidité d’artistes. Sur scène, l’être rayonne, mais en entracte il n’est qu’un vulgaire sac de peau et d’ossements.









Physique
Une Fée Blanche. Presque. Le problème reste qu’il s’agit là d’un mâle. Camille est un jeune homme de taille moyenne, très fin, presque maigre. Il a la peau blanche, pâle pour certains. Un visage mince et efféminé avec un air angélique. Une douceur presque féminine, doté de quelques muscles, naturellement acquis par les mouvements de l’homme. Quelques cicatrices çà et là sont témoins de son passé tragique. Deux taches de couleurs, ses yeux, deux points d’un bleu clair, des étoiles du nord.
Capacités


Arme : Une Jian finement décoré d’or blanc sur manche. On y voit tracé le chemin de deux fées s’enroulant et finissant sur le pommeau ou elle s’embrassent. C’est comme si leur chemin avait été givré.

Pouvoirs : Aucun

Familier : Aucun

Artefact magique : Une sorte de petite cicatrice est présente au poignet droit de Camille, elle a une forme de croissant de lune, comme si au lieu d’avoir un pinceau, le peintre avait manié le fer et laissé par hasard une petite marque d’amitié éternelle. Cette marque permet d’électrisé les mains de Camille, qui une fois en contact avec un autre être envois une décharge importante. ( Camille charge l'attaque pendant une minute minimum qui lui permet d'envoyer l'équivalent d'un défibrillateur. L'utilisations de ce pouvoir le fatigue selon le temps de chargement. Ex : 1 minutes de chargement, une minutes de sprint, mais pouvoir se décharge progressivement jusqu'à ce que Camille l'utilises.)

Autre : Aucun






Histoire



Actus Primi.

Vingt-cinq années de cela, en l’an 89, dans la campagne immortelle, parmi l’une de ses familles atypiques de la paysannerie, pauvre classe délaissée a son propre sort par les puissants et donc à l’abri de tous les regards de ce monde naquis un garçon. Un premier né. Mais dans ces conditions, habituellement, les hommes fêtent l’arrivée d’un descendant mâle, c’est un jour important qu’on n’oublie pas de célébrer, et les fêtes sont rares dans ce monde rural loin de toute richesse et proche de tous besoins. Mais pas cette fois.

Cette fois, le nouveau-né n’était pas le bienvenu, et c’est toujours le cas lorsque le père n’est pas connu, ou lorsqu’il ne désire pas accomplir son devoir et choisis la lâcheté. Mais, personne à par la mère ne sut qui était ce père qui ne vint jamais. L’enfant ne reçut aucun nom, sa mère mourut en couches. C’était déjà une entrée dramatique en ce monde. La famille refusa de le reconnaître abandonnant le bambin une semaine après son arrivée dans ce triste monde.

Il fut recueilli dans la bonté des prêtres de Von Luar. Des êtres durs qui avaient formé une congrégation rigide contrôlée par certains nobles de Terre et des Glaces. Nombreux adeptes s’étaient écarté de ses religieux qui à cause de leur rigidité de pensée auraient perdu le chemin de Von Luar. Mais l’enfant se trouvait entre leurs mains.
On le nomma Anisum. Ce nom ne signifiait pas grand-chose, mais il fallait nommer le futur novice autrement que par son âge, en effet « le jeune » serait malvenu s’il dépassait l’enfance.

On traitait donc cet enfant avec sévérité, il s’occupait des pires corvées, l’une d’entre elles, celle qu’il trouvait la plus horrible consistait à déplacer les nombreux ouvrages que les moines utilisaient, ils étaient lourd et s’abimaient vite, s’il en abimait un, ne serait-ce qu’une fine déchirure maladroite et il était puni. Sa tâche favorite consistait à laver le corps des vieux prêtres malade, c’était son unique moment de répit dans la journée. Il devait aussi dresser les molosses qui gardaient le monastère, certaines fois il devait combattre les chiens qui refusaient d’apprendre. Il s’en sortait toujours avec quelques petites morsures.
Anisum aimait tirer les cloches à la place du frère Drüss, un vieux monsieur sourd qui en échange du soulagement de son devoir laissait le jeune garçon s’amuser dans la nef tant qu’il ne faisait pas de bruit.

Alors, l’angelot allait regarder les décors sculptés et peints sur les murs froids de l’édifice. Il s’inventait des scènes, des farces ou les gargouilles dupaient les hommes aux visages statiques.
Mais, quand le « morveux » se faisait attraper à désobéir, alors, le terrible père Melëtie l’enfermait avec le père supérieur. Un vieux malade qui allongé toute la journée dans le noir qui poussait des râles de mourant et crachait comme un tuberculeux.

Mais, un jour, comme un sauveur vêtu de blanc dans un monde gris un homme de haute fonction vint prendre Anisum, alors âgée de treize ans. C’était la possibilité d’un autre avenir.



Secundo Actus.

Le responsable qui amenait l’adolescent se nommait Perrhpié. Il travaillait pour Hers d’Orbor, un petit baron qui s’occupait de la récolte des impôts pour le Duc. Hers était un personnage avide et méprisant, un être mesquin qui ne travaillait que pour lui-même et qui aimait le bon vin. Mais son péché principal qu’il gardait bien caché aux yeux du peuple était son amour des jeunes garçons. Non pas l’amour de l’âge, mais celui de la perversion.

Perrhpié n’était qu’un simple larbin, celle qui choisissait et habillait les garçons pour mon sieur s’appelait Camille. On la surnommait « la libellule », en raison de ses capacités physiques, Camille avait une souplesse et pratiquait le combat avec une épée peu courante, quand elle enchainait quelques mouvements pour Hers on croyait voir une libellule volant a son grès entre les roseaux d’une mare. Lorsque le Baron en avait assez d’un de ses garçonnets il demandait à la libellule de mettre fin à la misérable vie de cette chose humaine de manière à faire plaisir au seigneur.

La première fois que le noble et Anisum se rencontrèrent ce fut fatal pour l’adolescent. Il se promit de prendre sa vengeance. Que ce terrible monde ne le mangerait pas. Qu’il s’en sortirait, et comme les gargouilles de sa petite enfance il terrasserait de façon spectaculaire les hommes au regard vide, comme les héros anciens des livres de l’abbaye il finirait triomphant aimé de tous, ayant défié les rois et leur pouvoir immonde. Il rêvait de la lecture qu’il avait faite chez les religieux lorsque après l’avoir souillé on l’envoyait dormir avec d’autres garçons.
Il s’imaginait revêtant un manteau blanc comme ses cheveux et sa peau, cachant son corps frêle et soulevant les hourras d’une foule en liesse. Il se voyait déjà, aussi divin qu’un ange et aussi puissant qu’un ministre. Mais cela, il le gardait pour ses rêves, car la vérité était toute autre. Il avait fini par se faire une raison. Il ne désirait pas être l’esclave éternel des roitelets et des croyants. Ses fanatiques, il les haïssait comme on haït la maladie. Ce n’était que peste et immondice.

Le jeune homme à la peau pâle décida alors d’user de ses charmes. Un soir, où Hers désirait s’amuser un peu, Anisum lui fit la surprise d’une entrée de cabaret, enrouler d’une toile de jute le garçon de seize ans ne montra d’abord que le bout de ses jambes nue, la lueur des bougies sur les reflets pâles de ses membres scotcha l’assemblée. Et l’esclave se fit séducteur de son maître. Inventant toujours plus pour avoir les faveurs de cet obscène et nauséabond rôle qu’était celui du Baron.

Un jour, Camille vint le chercher. L’esprit du jeune homme s’activa, était-ce la fin ? Déjà ? Tous ses efforts pour rien ? Mais, la libellule ne venait pas attaquer, ses ordres étaient différents, elle devait, entrainer le pantin de chair, lui donner sa souplesse et son aisance. Elle avait même reçu l’ordre de lui enseigner à se servir de cette arme, la Jian.

Plus les cours passaient plus Anisum devenait habile, non seulement à l’épée mais aussi avec son corps. Il servait avec dégout cet horrible despote, mais il le servait bien. Alors, pour dix-sept ans, l’entrainement à l’arme lui servit, on lui procura une Jian qui était décorée au hasard de quelques fées d’or blanc. Il avait eu l’instruction de tuer un de ses jeunes camarades. Il n’hésita pas. Pas le moins du monde, il savait qu’il ne pouvait se battre face à son maître et la terrible Camille. Il exécuta sans broncher.

Les années passaient, il avait désormais dix-neuf ans. Un démon d’un autre monde venait de conquérir Feu et Eau après avoir ravagé Ciel. Ce serait bientôt le tour de Terre, du moins c’est que pensait Anisum, et s’il voulait se venger avant que le tyran ne massacre les nobles il fallait accélérer la cadence.

Trium Actus

Un de ces soirs si courant, Anisum venait d’avoir vingt ans. Et c’était trop de temps gâché pour rien. Et ce soir-là, on devait éliminer un gamin de quatorze ans. Cela n’était pas spécialement dérangeant, mais c’était dommage. L’élève de la libellule se trouvait debout, l’arme à la main. Il regardait ce jeune homme, si beau, et il pensait qu’il aurait pu partager ce même sort. L’opprimé jeune homme gardait malgré son air sévère sur le moment une beauté sans pareil, ses cheveux blond clair, presque blanc tombait sur son front en mèches épaisses. Ses yeux bleus encadrés de longs cils fins semblaient vous percer l’âme, son corps maigre et taillé dans la luxure et la souplesse se dressait droit avec une élégance qui mentait sur son origine modeste.

D’un mouvement de bras gracieux il pointait la lame vers l’enfant. Semblant ainsi désigner une proie comme un aigle s’élance vers un mulot. Et dans un tour sur lui-même il blessa l’adolescent au torse, sa rapidité soudaine et sa fluidité étonnèrent l’assemblée, il cachait son jeu depuis quelque temps. Il se retourna alors vers Camille. Un petit sourire, à faire rougir les morts, se peignait sur son visage comme celui d’un archange sur une peinture de maître. C’était un chef-d'oeuvre vivant. La domestique du seigneur ne comprenait pas l’utilité du changement de position et affichait un regard perplexe.

Anisum se lança. Il n’aurait qu’une seule chance. C’était la scène la plus importante de l’acte qui se jouait désormais. Et l’acteur principal connaissait son texte sur le bout des doigts. Il envoya un coup d’estoc vers l’estomac de son adversaire. Celle-ci fit un bon en arrière évitant de justesse de perdre ses tripes sur les tapis. N’attendant pas une seconde de plus, le jeune homme envoyait un coup tranchant, visant la tête. Cette fois l’ennemie avait sorti ses griffes. L’épée de son ancienne professeur bloquait l’envoyé, évitant une fâcheuse blessure. La contre-attaque arriva sous forme d’un chassé du pied vers notre virtuose. C’est en sautant au moment du coup qu’il esquiva une chute et profitant de son élan, abattit son arme sur l’épaule adverse.

La Jian s’enfonça entre le cou et l’articulation, sectionnant les nerfs, tendon et veine sur quelques centimètres. Un cri de douleur qui n’avait rien de féminin sorti de la bouche de la victime. Anisum se lécha les lèvres comme un chat, et d'une façon sensuelle écarta quelques cheveux qui pendaient sur ses yeux. L’estocade suivante frappa la femme à la gorge. La blessant mortellement.

La belle libellule crachait son sang. Anisum recula avec dégout. Il se retourna vers son maître qui n’était plus qu’un vieillard bavant de peur.

« La libellule est morte… Tué par la grâce. C’est dramatique. Seul une femme, comme elle, peu faire ce genre de chose. Mais je ne suis pas une femme, je suis … Une Fée. Je suis la Fée Blanche. Haha. Et la Fée Blanche cris Liberté. Liberté, par mon âme, par mon cœur, par mon corps, par ma vie. C’est très dramatique tout cela encore une fois. Si nous finissions l’acte en beauté . La mort de l’ennemie de l’enfance et l’avènement de l’aire du héros. Ne serait-ce pas là le scénario d’une pièce de Saline ? Peu importe. Je garde ma victoire et le souvenir de ma misère. Je suis Camille Anisum, la Fée Blanche. »

Rideau.
Cris d’agonie d’Hers d’Orbor.



Entracte

Le démon, Aile Ténébreuse s’accapara par la suite des évènements les trois quarts de ce monde. Le temps passait, Camille Anisum reçut la bénédiction de Leineichte et un riche mage lui fit don au prix d’un peu de sang d’un pouvoir spécial. Le temps passait et Camille eut la vie de plus en plus heureuse, partageant sa vie avec deux hommes tour à tour. Il finit par se rendre à l’arène de la capitale où il fit ses preuves par son style hors du commun. Mais sa distinction le mena vers d’autres sphères, son raffinement et son charme naturel, sa bonté enfouis étant plus forte que sa lâcheté, il fut nommé Organisateur des Jeux de l’arène par un conseiller noir qui avait remarqué son sens du spectacle, et qui en dépit de son gout pour les femmes fut séduit par la Fée Blanche avant de devoir quitter son poste au conseil après son décès causé par le roi démon qui avait exprimé son mécontentement. Laissant ainsi Camille Anisum libre et occupant un poste parfaitement à sa convenance.

Fin de l’entracte

Quartum Actus … Ac praesens.








Dans la vraie vie




Âge : Dix-neuf ans.

Comment avez-vous connu le forum ? J’ai fréquenté un partenaire à vous qui a fermé il y a quelques mois, Petite Machinerie.

Avez-vous déjà fréquenté d'autre forum, si oui lesquels ? Petite Machinerie

Vos passions : Rêve et Amour ! Rien de très chevaleresque.

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Phrase fétiche : « Tandis que moi, tous les soirs, je suis chanteuse légère à l’Alcazar ! » Brel


Camille Anisum

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Camille Anisum, Présentation Sand-g10Dim 19 Avr - 17:51
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« La vie est un passage, le monde est une salle de spectacle. On entre, on regarde, on sort. »
Démocrite.


---.:ø:.---

« Voici la liste des pièces jouées dans notre établissement. »

Life is just a kind of play.

> Complot et autres joies.
-RP secret-

> Mariage Royal. [Finis]
« Je fait partie de la très longue liste de personnes attendues au mariage de Victo le célèbre Général et d'Elwing la Reine des elfes. »

> L'utopie est notre Espoir. [Finis]
« Voilà que j'allais tranquillement a mes affaires, un peu trop tranquillement d'ailleurs... j'assiste à une scène assez ... Surprenante. Que vais-je donc faire ? »

> Etat nouveau, possibilités nouvelles.
« Je vais devoir rencontrer une certaine Tashinär, je souhaite devenir son "mac". Mais la jeune femme commence à m'attirer avec ses charmes sorcier, j'en suis destabilisé. »

> Une reprise en main qui nécisste un entrainement. [Finis]
« Je découvre la petite soeur de Victo, Chioné Féral. Elle demande a ce que je l'entraîne. Une jeune femme très sympathique mais tout aussi froide... »

> Un présent des plus banals.
« L'Amiral de la flotte d'Aile Ténébreuse décide de me rendre une petite visite, étonnant... »

> Vous prendriez bien un verre ?
« Je fait la rencontre du surprenant Théodore Svalt, mais une question me brûle les lèvres, jusqu'où ira ce simple entretiens ? »

> La Fée Blanche et le Barbare Vert. [Finis]
« Rencontre assez inédite avec un Orc très peu civilisé. Mais qui possède un potentiel énorme pour l'Arène.»

> Du sang pour la Gloire.
« Premier grand combat de l'Arène depuis longtemps, j'ai organisé une rencontre entre Rägmor le légendaire et Nakh, mon disciple. »


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