Les glaces et les ombres, un cocktail explosif | |
| Dim 19 Jan - 0:06 | | | | Je suis Cybille, je viens de me réveiller dans une chambre assez étrange, où est-ce-que cette folle m'a emmenée encore ? Impossible de le savoir je n'ai pas surveillée, j'avais besoin de me reposer et pour un fois je me suis permise. La chambre ? Parlons-on, un taudis, crasseux et en mauvais état. Un tas de foin en guise de lit et l'odeur je ne vous en parle même pas. Je soupire et me donne une gifle pour punir Sophora... elle ne va pas le ressentir, je m'en rend compte après... pas grave je vais détruire un arbre en son nom.
J'approche de la porte de sortit, je n'ai pas besoin de tourner la poignet pour quitter la pièce tant la porte est en mauvaise état. Je mets ma capuche pour cacher mon visage le plus possible et me faufile dans le couloir de la taverne, je pousse denouveau une porte et me trouve nez à nez avec la salle de repas d'une taverne. Les personnes me regarde un instant mais retourne bien vite à leurs occupation. Aucun visage ne mets familier, je me dirige vers une des sorties mais je me fais héler par le tavernier.
Hé gamine ! La chambre il faut la payer et le repas d'hier également ça fait 75 Abs ! ronchonne t-il, je feins de ne pas l'écouter et continue d'avancer vers la porte. Il sort une arbalète se fou est prêt à tout pour une poignet d'Abs, il tire heureusement j'ai eu le temps de m'enfoncer dans les ombres pour disparaître, peut être un peu tard car le carreau me blesse au bras. je me mouvais dans les ombres jusqu'au tavernier pour ressortir derrière lui.J'ai pris une dague cachée dans un tiroir près du comptoir et j'observé les cries de rage du tavernier. S'en était agaçant et stressant sans mon rendre compte je le planté dans l'aine, une fois puis deux. Je lâche enfin l'arme ensanglanté sur le sol de bois de la taverne, je laisse l'homme tomber inerte sur le sol, le tout en regardant les autres personne de la taverne.
Je sors rapidement et m'évanouis dans la nuit, une chasse au sorcière s'organise, je vais attendre que ça se calme et patienter hors de la ville, en bordure de route. Le trajet se fait rapidement et je peux me poser contre une dalle qui indique le nom de la ville, " Ojins'Tia" un jolie nom pour un jolie pays. Dommage que les cons en sont les habitants.... qu'es que Sophora est venue faire ici.
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| | Dim 19 Jan - 0:33 | | | | Charon n'en pouvait plus, il était tranquillement assis entrain de faire de la paperasserie depuis plusieurs heures, lorsqu'un soldat effaré vient à sa rencontre, le duc inquiet du comportement du soldat, l'écouta avec attention
- Monsieur le duc, il s'est passé quelque chose de grave, Iakomec a été tué la ville est en émoi.
Cela avait fini par arriver, Iakomec était un ancien soldat extrêmement violent qui passait son temps à escroquer les gens à se comporter d'une manière violente. Normalent il ne devait pas s'occuper de ce genre d'affaire mais il ne supportait plus le travail administratif et il devait aussi s'occuper de sa ville, qu'il avait un peu mise de côté à cause de son travail.
- Bon écoute moi bien, je veux une description complète, je veux un rapport dans quelques minutes avec toutes les infos que vous avez sur elle, allez réveiller quelque gardes pour m'aider dans cette mission
Quelque minute plus tard, le soldat revint avec quelques gardes qui s'étaient réveillés et habillés en vitesse.
- Bon, je vous ai réuni pour qu'on s'occupe de pourchasser une fugitive, elle a tué le vieux Iakomec, elle a le pouvoir de se fondre dans les ombres et c'est une femme mesurant près mètre soixante-dix pour une corpulence moyenne. Elle a les cheveux bruns et mi-longs et les yeux verts. dit-il à la dizaine d'hommes qui lui faisait face.
- Lep, je veux que tu fasses passer le message aux gardes et aux citoyens, et dite leurs qu'on est dans un état d'alerte jaune et que les gens doivent nous donner toutes les infos qu'ils ont sur elle. Déclara-t-il au soldat qui l'avait prévenu de l'agitation qui régnait dans la ville, celui-ci partit aussitôt s'acquitter de sa mission qu'il avait reçu.
- Bon on va dans son auberge, pour interroger les témoins, annonça-t-il avant de se lever. La chasse allait commencer.
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| | Dim 19 Jan - 17:18 | | | | Il fait froid.... je ne pensais pas être aussi fragile avec la température... il est vrai que pour la saison je suis peu couverte. Mais bon je porte un vêtement pratique et que j'apprécie fortement. Je frisonne, ma peau se couvre de petit picot horrible, je pense que je vais rentrer me cacher dans un des greniers de la ville. Je me relève doucement, époussette mon vêtement et me mets en marche.
Je me cache dès que possible dans les ombres pour rendre mon trajet le plus discret possible. J'espère que cela va suffire, car je n'ai pas envie de faire d'autre massacre... enfin pas envie. Si on soit ça ne me dérangerais pas, plus de témoin, plus de problème et plus d'amusement aussi. Je m'enfonce dans une rigole sombre, je me cache derrière un tonneau et observe l'autre rue attenant à la grande place. Je remarque bien plus tard un silhouette en hauteur, elle est armée mais au lieue de me combattre elle fuit. Je décide de l'ignorer.
J'escalade un pan de mur, prenant appuie sur les différentes poutre apparente, je brise une fenêtre pour entrer dans un des appartements, je pousse une porte pour entrer dans une sorte de chambre, personne ne va me trouver ici. Je me pose devant la cheminer dans l'âtre encore luisant réchauffe la pièce, ça fait du bien une telle chaleur.
Je me rend compte plusieurs minute plus tard que je perd du sang, la blessure à mon bras n'est pas anodine, de plus les quelques gouttes au sol peuvent permettre à qui conque de me suivre à la trace. Je rage d'une telle erreur de débutant et je me dis que je dois fuir à nouveau, mais il est trop tard j'entend des bruits de pas s'approcher... Je prend donc en main mon cerceau de fer et je me prépare à combattre, mourir ou tuer telle va être le sort de cette bataille, du moins c'est ce que je pense.
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| | Dim 19 Jan - 17:45 | | | | Charon avait beaucoup de chance l'ennemi saignait et perdait son sang, ainsi il était très aisé de la poursuivre et chevauchant à vie allure il finit par arriver devant une vielle battisse abandonnée avec un carreau cassé.
-Odvanz, va chercher des renforts, dépêche toi, je veux une trentaine d'hommes pour encercler cet endroit le plus vite possible, déclara-t-il, le concerné sans répondre partit rapidement exécuter les ordres de son chef.
- Vous trois, entrez par la porte de derrière, le reste vous m'accompagnez, l'ennemi est blessé en plus c'est une étrangère elle doit sûrement se retrouver près de l'âtre pour se réchauffer, il faut l'encercler pour l'empêcher de fuir, annonça-t-il avec une voix ferme et autoritaire à l'intention de ses soldats, avant de rentrer.
Rapidement les soldats entrèrent et entourèrent la fugitive qui était terrifiée et semblait prête à se battre avec dans sa main un cerceau de fer.
- Baisser votre arme et rendez-vous, vous êtes cerné et blessé ça ne sert à rien de vous battre. déclara-t-il calmement espérant l’apaiser, tout en restant sur ses gardes prêt à se battre au moindre signe agressif de l'adversaire.
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| | Dim 26 Jan - 19:45 | | | | Je suis décidée à en découdre avec les pseudo guerriers de Charon. Je sers plus fortement mon cerceau et je souris, j'écoute les membres armée monter les escalier et pénétrer dans la chambre comme des vaches ferait pour une étable. Ils semblent également prêt à en découdre et ça tombe bien, ça promet d'être un combat intéressant.
*Sophora envois tes abeilles, s'il te plait.* Pensais-je dès la première seconde suivant leurs entrer et avant même d'entendre les menaces de l'homme en armure. Ce n'est qu'après, une seconde après la fin de sa phrase que l'essaim sort de la ruche accrochée au bâton et à la fin de la suivante elle tourne et attaque les soldats et Charon. Elle pique les mains entre le gant et la manche, le cou entre le vêtement et l'écharpe. Elle trouve à chaque fois une petite ouverture et en profite pour entrer et sévir ; à chaque fois qu'une abeille pique cela provoque une vive douleur et le poison bien que non mortel à petit dose reste une cause majeur d'allergie.
Je les observes subir l'assaut des abeilles pendant bien trois secondes et profite ensuite de l'effet lattant de cette attaques pour me retourner et passant par la fenêtre derrière moi, il me faut à peine deux secondes pour arriver sur le balcon attenant à la chambre. Je le traverse pour accéder à une plante grimpante à a peine deux mètres de la fenêtre et avec cette plante je parviens à me glisser le long du mur pour atterrir dans la rue.
Ce n'est pas terminée, pas mal de soldat s'approche du bâtiment.... je me demande qu'es qu'ils me veulent tous... sauf la mort d'une personne inutile je n'ai rien fais. Je souris et observe le soleil se coucher, la nuit va être à mon avantage... après tout je suis une ombrageuse, je ris sadiquement à l'idée de faire un massacre. J'attend en me fondant dans l'ombre de la bâtisse, invisible à la vue de tous. Dans quelques minutes, seulement quelques minutes la nuit va tomber et là.. ça va juste être à mon avantage pour me mouvoir et pour agir contre eux ou pour ma fuite, que choisir ?
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| | Jeu 30 Jan - 19:37 | | | | Il fallait absolument que Charon fasse créer une unité de mage spécialiste dans la lutte contre les bandits magiques qui lui polluaient la vie de son duché, aucun simple humain n'était de taille pour lutter contre ces phénomènes et cela les criminelles le savaient très bien et en profitaient, comme le prouve l'action qui se déroulait en ce moment, le duc qui avait vu les gestes de son adversaire avaient immédiatement reculé et sonné l'ordre de retraite, malheureusement au cours de leur fuite euh non de leur retraite apprirent une chose importante, les humains courent moins vite que les abeilles fortes de ce constat, les abeilles décidèrent de piquer allègrement les soldats.
Une fois sortis, les gardes dehors vinrent prêter assistant à la piteuse troupe, mais il n'avait rien à faire, en effet rare étaient les gens sachant traiter les piqûres d'abeille dans le coin
Mais alors que la plupart des militaires s'étaient assis attendant les renforts la posture fière et digne, on pouvait quelque larme et le visage crispé par la douleur de ces derniers, mais chut c'est un secret, il ne faut pas le dire, au risque de choquer leur fierté, Charon parti seul à la rencontre de l'ombrageuse pour aller discuter avec elle. Il finit par la trouver dans la rue hésitante sur le chemin à suivre.
Il arriva devant elle, les mains en l'air montrant ainsi qu'il était dépourvu d'intention hostile, faut dire qu'il n'était pas en état de paraître menaçant, il avait du mal à marcher droit et que son visage souffrait le martyre, suite à de multiple piqûre qu'il avait reçu, *ça l'apprendra à ne pas vouloir porter de casque, tiens*. pensa-t-il
- Vous êtes très doué, je dois bien l'admettre, déclara-t-il avant de s'asseoir péniblement.
- Comme vous pouvez le voir, nous ne sommes pas en état de continuer la bataille, alors que diriez-vous de discuter ? Demanda-t-il curieux, tout en regardant attentivement le visage de son ennemie qui semblait aussi féroce que les meilleurs de ses guerrières.
- Ne craignez rien, je ne veux pas poursuivre le combat, vous semblez être une puissante magicienne et je n'ai pas envie de sacrifier une dizaine voir une vingtaine ou encore plus de mes hommes pour attraper une personne, ça n'en vaut pas le coup, déclara-t-il pour la rassurer
- Je m'appelle Charon et vous ? Voulut-il savoir curieux.
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| | Mar 4 Fév - 18:27 | | | | j'attend encore, j'attend toujours dans l'ombre de la maison qui à jadis connue ma fureur. J'attend que le jour fuir, que la nuit se lève enfin, que la lumière des étoiles et de la lune remplace celle du soleil. J'attend de retrouver la pénombre total et la puissance qu'il m'est dû lors de cette période. L'attente.... ça permet plein de chose, de penser, de réfléchir, de remettre ses idées en place. En vérité, il est très bon de s'ennuyer, il y'à juste un problème par rapport à cela.... JE DÉTESTE ATTENDRE ! Je finis par sortir des ombres, à marcher en rond en pensant à la situation du jour... Et quel situation me direz-vous.... en un jour se mettre à dos toute une ville et tout cela pour quoi ? un ivrogne qui vend des chambres pas plus digne qu'un enclos à vache.
Je tourne en rond, toujours et encore, encore et toujours... J'attend bien comme cela une trentaine de minutes, j'avais sur-estimée le temps que pouvait mettre le soleil pour descendre par delà l'horizon. Je m'assoie sur un tonneau, je laisse mes jambes pendant dans le vide et faisant des battements régulier, le son que fait mes pieds en touchant le bois du tonneau rappel les grands tambour de guerre orc... ça en est effrayant.
- Vous êtes très doué, je dois bien l'admettre, déclara-t-il avant de s'asseoir péniblement. ; Comme vous pouvez le voir, nous ne sommes pas en état de continuer la bataille, alors que diriez-vous de discuter ?
Disait le "capitaine " des soldats en s'asseyant sur le sol froid et lugubre de la rue. Je le regarde et je laisse un moment de silence, il prend peut être cela pour de peur, c'est juste que je réfléchis à quel plan il pourrait avoir. Veux-t'il me piéger ou me tuer... s'apprête t'il à lancer un combat à un contre un ?
- Ne craignez rien, je ne veux pas poursuivre le combat, vous semblez être une puissante magicienne et je n'ai pas envie de sacrifier une dizaine voir une vingtaine ou encore plus de mes hommes pour attraper une personne, ça n'en vaut pas le coup, ; Je m'appelle Charon et vous ?
Merci et oui... nous pouvons discuter. En vérité je ne veux que quitter votre ville et ne plus jamais revenir. Vous êtes une bande de sauvage inhospitalier. Vous n'êtes que des hommes. Laissez moi partir de la ville en empruntant la route du nord sinon je continuerais la bataille. Dis-je en le regardant puis en regardant le soleil pas loin de ce coucher mais il y'a quand même de la marge.
Mon nom ? hum c'est Cybille. Concluais-je en gardant le silence.
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| | Sam 8 Fév - 17:14 | | | | - Ce n'est point la peine des être aussi méprisant envers les humains, vous pouvez partir si vous le voulez personne ne se mettras au travers de votre chemin, Déclara tranquillement Charon tout en surveillant attentivement la personne qui lui faisait face, celle-ci attendait le coucher du soleil, et vu ce qu'il connaissait sur les ombrageurs , il savait qu'elle deviendrait beaucoup plus forte dans ce cas, il fallait donc désamorcer le conflit tant que le soleil pointait le bout de son nez.
- Néanmoins, rajouta-t-il avant de laisser planer un court silence.
- je ne crois pas que ce soit la meilleure solution, vous savez Cybille dans votre état vous ne survivrez pas longtemps dans ce monde qui vous entoure, vous avez beau être extrêmement puissante et vous êtes incontestablement plus fort que la plupart des gens vivant ici, il n'empêche que vous soyez blessé et de nombreuses créatures d'une puissance très dangereuses, rodent dans le coin, car nous sommes à la frontière entre les limbes et la toundra, après tout, constata-t-il, froidement tout en restant respectueux envers on interlocutrice.
- Nous sommes partis du mauvais pied je le reconnais, mais vous semblez être une personne intéressante, alors que diriez-vous d'être soigné et guéris par les guérisseurs du coin en, je vous demande juste de ne plus tuer de personne tant que vous êtes ici, proposa-t-il après réflexion, cette idée semblait la meilleur solution, il ne voulait pas que l'inconnue parle, il se sentait attiré par elle et voulait en apprendre plus sur elle.
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| | Lun 17 Mar - 21:22 | | | | Je suis encore assis sur le tonneau, mes pieds battent encore en rythme contre le bois humide. Les paroles de l'homme ne me donne absolument pas confiance, c'est vrai pourquoi irais-je vers lui ? pourquoi me ferais-je soigner par une personne que je ne connais pas et qui possède pas mal d'homme qui me déteste. Je croise les bras et me mord les lèvres puis je me tourne vers Charon.
Je ne pense pas que je vais vous.... Je n'arrive pas à continuer de parler, je n'arrive plus à respirer, je commence même à voir trouble. Je ne pensais pas que mes blessures soit aussi importante... Je m'appuie contre le mur attenant au tonneau.....
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Je suis Sophora, il est temps que moi Ents je désamorce le conflit inutile... Je saute du tonneau pour atterrir à terre. Je m'avance vers Charon et positionne ma main au niveau du coeur.
Je suis Sophora, L'ent dans le corps de Cybille, j'accepte ton aide, j'accepte tes soins et je te pris de m'excuser pour les crimes de ce jour. Clamais-je en lui tendant la main et en lui affichant le plus beau sourire que je peu.
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