Mes mésaventures dans le marais de la désolation était enfin terminée et malgré les multiples péripéties c'est non sans une certaine tristesse que je quitte mes nouveaux amis. Nous nous étions promis de nous retrouver mais nous savions tous que cela ne serait possible avant longtemps.

Malgré les apparences je n'étais pas sortie indemne de tout ça, j'avais une vilaine blessure sur la jambe droite, blessure qui même avec les bons soin laisser une certaine douleur revancharde. De plus mon épée, Vinsame fier lame ayant traversée les ages pour combattre à mes côtés fut brisée... J'étais vraiment sans défense sans Vinsame, Blivion âme héroïque à mes côtés ne pouvait plus paraître pour me sauver, me laissant seule face au monde.  

J'avais appris de Aniel que des nains vivait dans les montagnes et que ses dernier avait la maîtrise de la forge comme personne, c'est donc vers cette montagne que je me suis dirigée. J'avais au préalable achetée un équipement chez le marchant d'une ville proche des marais. Me voici donc vêtue d'une tunique de voyage, de chaussure d'un bâton de marche et d'un sac de provision.

Le premier jour, jour de mon départ sous les hospices d'un grand soleil, se soleil radieux et qui pourtant n'offre pas une chaleur excessive, je n'aurais pue rêver si belle journée pour partir. Se temps si délicieux et ses paysages si vert offre à ma marche tout le plaisir auquel elle mérite.

Le soir arrive à grand pas et enfin je me pose pour manger, l'herbe sur laquelle je me pose est douce et sans risque. Je sors un de ses pains de viande spécialité de la ville précédente que je mange avec ravissement. JE me dis alors que le voyage vers les nains sera une partie de plaisir, des vacances tant méritée.

alors que la nuit fut douce le réveil l'es moins, le ciel qui hier si bleu n'est plus que d'affreux nuage grisonnant. C'est donc sous la pluie que j'entame ma seconde journée de marche, je remarque dès lors les montagnes approcher et j'espère des lors croiser les nains rapidement.

En avançant dans les Contreforts de Kargrad, Terah croisa parfois à l'horizon des caravanes allant depuis et vers les montagnes. En croisant un convoi impérial, duquel elle dût se cacher, elle pensa un instant s'être trompée de destination. Mais peu après, un autre convoi, dirigé par un officier des Glaces et revenant des monts chargés d'armes lui fit comprendre que les Nains n'avaient d'allégeance que pour eux-même.

Elle finit par tomber sur une petite ville fortifiée. Elle avait l'air de prospérer, à la vue des nombreuses caravanes en partance. Rebelles et Impériaux y cohabitaient dans une tension palpable, mais aucun n'osait dégainer le premier. Ils savaient bien qu'en plus d'être décimés par la milice de la ville, ils risquaient également de se voir interdire le commerce avec les Nains. Pour éviter autant que possible les débordements, les différentes factions avaient des horaires de départ différents, et leurs propres routes. De plus, des cavaliers armés patrouillaient le long des-dites routes.

Kargrad:

Aux portes, à sa grande surprise, elle ne vit pas de Nains mais cinq humains. Leur équipement hétérogène laissait penser qu'ils étaient des mercenaires, et non affiliés à une nation ou à un noble en particulier. En revanche, ils se montrèrent irréprochablement polis en voyant Terah s'approcher doucement, inclinant la tête avec déférence. L'un d'entre eux se détacha du groupe pour venir parler avec elle.

Milicien de Kargrad:

- Madame, bienvenue à Kargrad. Je suis le sergent Virnire. Vous trouverez ici repos et sécurité. Je me dois de vous informer que vous pouvez emporter vos armes, mais nullement les dégainer, sauf pour vous défendre, sans quoi vous finirez en cellule -ou pire-. Ceci étant dit, si vous êtes venus faire du commerce avec les Nains, vous êtes au bon endroit. D'ici partent régulièrement des caravanes vers le Mur d'Alaric. Si vous êtes venus chercher les ennuis, en revanche, je vous conseille de repartir sur le champs, sans quoi vous laisserai un bras ou plus à Kargrad.

L'homme souffla lourdement, comme s'il venait de se décharger d'une lourde responsabilité. Quelques applaudissements légers, et rires vinrent de ses quatre coéquipiers. Il sourit timidement à Terah, qui remarqua alors la jeunesse de l'homme. Il ne devait avoir plus de seize printemps.

- Pfiou, j'ai rempli le protocole à la lettre. Excusez-moi, Madame, j'ai été recruté il y a peu. Et j'ai quelques origines nobles, j'ai donc été formé au combat à l'épée, et ait acquis directement le grade de sergent à la Milice de Kargrad. Par contre.... Je ne connais pas encore toutes les règles et les protocoles par cœur. Je disais donc, y a-t-il une façon dont je puisse vous être utile, madame...

Le regard du jeune Virnire signifiait qu'il attendait que son interlocutrice se présente à son tour. Rien ne l'y obligeait, bien entendu, l'anonymat étant souvent requis dans ces villes-franches. Mais rien ne l'empêchait non plus de donner son nom et son identité, les Rebelles étant ici acceptés et protégés. A moins qu'elle ne craigne y croiser un ennemi mortel en cette cité...

Jamais je n'aurais connue un tel comité d'accueil auparavant la gentillesse du garde et des habitants à proprement parlé est exemplaire.

- Madame, bienvenue à Kargrad. Je suis le sergent Virnire. Vous trouverez ici repos et sécurité. Je me dois de vous informer que vous pouvez emporter vos armes, mais nullement les dégainer, sauf pour vous défendre, sans quoi vous finirez en cellule -ou pire-. Ceci étant dit, si vous êtes venus faire du commerce avec les Nains, vous êtes au bon endroit. D'ici partent régulièrement des caravanes vers le Mur d'Alaric. Si vous êtes venus chercher les ennuis, en revanche, je vous conseille de repartir sur le champs, sans quoi vous laisserai un bras ou plus à Kargrad.

Commença le jeune homme plutôt timidement, je le trouvais plutôt sympathique bien que jeune.

Bonjour, je m'appelle Terah Orifera j'arrive des marais. J'arrive en paix et sans arme enfin pas exactement j'ai une arme mais en piteuse état, d'ou ma présence ici même. J'espère sincèrement que vos forgerons seront réparer mon arme. Lui répondit je du tac au tac avant qu'il reprenne sa conversation.

- Pfiou, j'ai rempli le protocole à la lettre. Excusez-moi, Madame, j'ai été recruté il y a peu. Et j'ai quelques origines nobles, j'ai donc été formé au combat à l'épée, et ait acquis directement le grade de sergent à la Milice de Kargrad. Par contre.... Je ne connais pas encore toutes les règles et les protocoles par cœur. Je disais donc, y a-t-il une façon dont je puisse vous être utile, madame...

Comme je vous l'ai dis je me dois de trouver un forgeron, mais si vous pouvez m'indiquer le meilleurs cela m'éviterais de parcourir la ville de long en large, surtout que comme vous avez du le voir je suis blessée à une jambe. Concluais je en souriant au jeune.

Il ne tarde pas à m'indiquer la route vers le principal forgeron, et il se propose même à m'aider en portant mon sac, véritablement les habitants ici sont trop bon... je me demande si cela cache quelques chose.

Alors que j'avance péniblement dans la somptueuse ville naine je remarque que je ne sais absolument rien de ses lieux et cela est embêtant car je me tenterais bien à revenir.

Qui dirige cette ville ? Vous pouvez m'en dire plus sur cette endroit ? Endroit que je reconnais très beau. Disais je au jeune homme tout en continuant de marcher vers la forge.

Je suis réellement satisfaite que le garde accepte de m'accompagner vers le forgeron, en tous cas je lui jusqu'au moment ou il se mets a chanter quelque chose d’assez gênant pour moi. Je décide de prendre sur moi et d'en sourire car au fond je trouve ça drôle.

- Permettez, Madame, qu’avant de vous conduire à un forgeron, je vous emmène voir un alchimiste. Il saura certainement vous aider, pour un prix modique. Et si jamais vous n’avez pas de quoi vous le payer, je pourrai participer.

- Et bien... oui d'accord si il peu me proposer de l'antidouleur. La soigneuse que j'ai eu récemment ne m'a prescrit que du repos pour faciliter la guérison mais bon je ne suis pas chez moi donc le repos j'oublie vite.

La vérité et je le savais c'est que je ne voulais pas rentrer sans avoir réparé Vinsame, quel choque cela serait pour les habitants de l'îles de savoir qu'une icone de leurs passée et détruite.

J'avance dans cette ville toujours en écoutant le garde, ses précieuse indication me seront sans doute utile tôt ou tard, en tous cas je n'oublierais jamais cette ville.

- Enfin, détendez-vous, Madame Terah. Vous êtes en sécurité, désormais. Oh, j’aperçois l’herboristerie ! Nous y trouverons mon collègue alchimiste. Avez-vous quelques Ailes de Bronze pour payer, Madame ? Sinon, je vous offrirai vos soins avec plaisir. Finie le garde.


-Je vous remercie, je vais rentrer seule chez l'alchimiste si ça ne vous dérange pas, je reviens le plus rapidement possible. Je lui souris, lui fais un clin d'oeil et j'entre sans vraiment attendre de réponse. J'avais certaine chose de privée à lui demander.

J'entre dans la bâtisse tout à fait banal à première vue mais bientôt le mélange d'odeur et de plante me fait bien comprendre que je suis dans le bon endroit, comment va être cet alchimiste.

-Bonjour ?! Il y'a quelqu'un ? Je m'appelle Terah et j'aurais besoin de vos services ? ... Sans réponse je me répéte. Il y'a quelqu'un ?

L'apparition et les tours de passe-passe ont eu raison de mon  scepticisme, cependant je me demande si il accueil ses clients toujours de cette manières. Je viens à lui sourire et à applaudir sa performance sans prêter réel attention aux produits qu'il me propose, ce n'est pas contre lui mais je n'ai pas une cuillère d'argent dans la cuisse.

- "Et bien, si je me présente à vous maintenant c'est pour des produits moins étrange que cela, récemment je me suis faite attaquée par des chiens des marais.... "  Sur cela je lui montre l'arrière de ma jambe. Je me suis faite soignée et ai reçu un produits pour cicatriser plus vite or je ressens toujours une vive douleur quand je marche.


Je préfère dès lors commencer par cela pour ne pas attaquer d'ambler l'autre demande cependant je devrais le faire. je me mord la lèvres et prend mon courage à deux mains.

- Pour mon second problème il est beaucoup plus personnel je vous fais donc confiance pour ne rien ébruiter... voyez vous en ce moment j'ai mal au ventre... ça m'arrive souvent en fin de mois... vous auriez quelque chose contre cela ? Je souris pour ne pas montrer ma gêne mais bon ça ne devait pas être la première fois que des personnes venait pour ce genre de problème. J'attend maintenant qu'il me propose différent produits. Je pense que je vais devoir payer beaucoup pour cela... j 'espère réellement avoir assez pour payer la réparation de Vinsame.

Le petit tour de passe-passe de l’alchimiste n’avait pas fonctionné, cette fois. En général, ce sont des yeux émerveillés qui lui répondent, mais l’humaine n’avait pas l’air subjuguée par ses produits « exotiques ». Elle ne voulait s’occuper que de sa blessure, et Cadazar ne pouvait lui en vouloir. En plus, elle ne semblait pas avoir de moyens trop importants.

- Eh bien écoutez, pour une morsure, j’ai aussi ce qu’il vous faut, Dame Terah ! Vous m’avez l’air d’une honnête jeune femme, aussi vais-je vous proposer l’un de mes produits au meilleur rapport qualité-prix.

Il sortit d’une de ses étagères poussiéreuses un petit flacon contenant une matière gélatineuse ambrée. Après avoir nettoyé un peu l’ensemble d’un revers de manche pour tenter de lui redonner un peu de brillance, il présenta le tout à Terah. On pouvait lire « Bave de troll ».

- Ne vous laissez pas effrayer, chère Madame, car ceci est l’un des meilleurs onguents imaginable. Vous en mettez un peu sur vos plaies, et elles seront cicatrisées en un instant. Attention, cela fonctionne très bien pour les coupures et morsures, mais moins bien pour les blessures perçantes, comme les flèches. Une hémorragie interne sera ralentie, mais pas stoppée. Et aucun effet sur les dégâts contendants, comme des os brisés par un coup de marteau.

Les effets promis semblaient intéressants, restait à les voir en action. Mais l’alchimiste était un vendeur averti, aussi s’empressa-t-il d’ouvrir la boîte tout en conservant une face stoïque malgré l’odeur difficilement supportable.

- Madame Terah, pour vous et seulement pour vous, je vous offre cette boîte pour seulement dix Ailes de Bronze. Cela devrait vous permettre de soigner cinq blessures « normales ». Sinon, je peux vous appliquer moi-même de l’onguent pour cette unique fois, mais il vous en coûtera trois Ailes. Et dans les deux cas, si vous ne sentez pas d’effet de guérison dans la minute qui suit, je vous rembourse !

Argument convaincant, en effet. Mais Cadazar était confiant. La bave de troll n’était pas son produit le plus rentable, vu son faible prix, mais il était assurément efficace. Une simple morsure de créature des marais, même infectée, se verrait cicatrisée et purifiée par la haute acidité de l’onguent. En revanche, et cela, l’alchimiste avait oublié de préciser, la sensation de brûlure à l’application était non-négligeable.

- Quant à votre… Autre problème… Croyez bien que depuis le commencement du monde des générations de clientes viennent demander remède à leurs douleurs. Je ne peux vous offrir grand-chose, à part quelques plantes anesthésiantes à mâcher. Cela endormira vos muscles et vos organes, et vous ne sentirez plus d’inconfort. Mais notez bien que vos capacités de combat seront aussi dégradées que si vous vous étiez enfilé des pintes de bière. Je vous recommanderais donc de les prendre avant le coucher, et seulement si vous êtes à l’abri.

L’homme sortit quelques tiges herbeuses sèches d’un tiroir, et les enveloppa dans un petit mouchoir en papier. Il les présenta à Terah. Ce n’était pas des plantes rares ni exotiques, et on pouvait les trouver aussi bien dans les bois de la Terre qu’aux pieds des arbres des Montagnes.

- Une seule Aile pour ces dix tiges. Il faut en mâcher une à la fois. Si vous en voulez davantage, j’en ai d’autres en stock. Et en dehors de ça, je n’aurai rien pour votre mal bien naturel, Madame. Mais je n’ai que trop parlé, à vous, Dame Terah, de me donner votre avis sur toutes ces petites merveilles de la nature.

De la bave de Troll.... Voila qui est peu ragoûtant... une fiole avec une telle contenance pouvait t'elle réellement la soulager de la vive douleur qui gît dans sa jambe ? L'alchimiste en était certain mais tout à chacun sait que la médecine actuel n'est pas celle qui aide le mieux les personnes. Elle à surtout le mérite d’accélérer la mort du patient.

- Comment cette potion fonctionne ? Je veux dire... Dois-je l’inhaler ? l'avaler ? l'appliquer sur la plaie ? Y'a t'il des effets indésirable ? dois-je faire une incantation avec ? Tant d'inquiétude et de question que l’alchimiste laisse pour le moment mystérieuse.

Il vient alors à m'indiquer que quelque soit mon choix et en tout est pour tout si le produit ne fonctionne pas qu'il me rembourse... Soit je vais donc lui prendre la boîte pour 10 Adb on sait jamais ça peu servir dans le voyage avenir que je pourrais préparer.

- Quant à votre… Autre problème… Croyez bien que depuis le commencement du monde des générations de clientes viennent demander remède à leurs douleurs. Je ne peux vous offrir grand-chose, à part quelques plantes anesthésiantes à mâcher. Cela endormira vos muscles et vos organes, et vous ne sentirez plus d’inconfort. Mais notez bien que vos capacités de combat seront aussi dégradées que si vous vous étiez enfilé des pintes de bière. Je vous recommanderais donc de les prendre avant le coucher, et seulement si vous êtes à l’abri.

Malheureusement... en vue de ce que je prévoie... un voyage dans les terres... Une personne entre dans la bâtisse de l’alchimiste, je me tourne vers la jeune femme ayant les dents aussi noir que le charbon... ça doit être la cause de sa visite ici. Bonjour... Bon nous restons sur la boîte à 10 abs en espérant qu'elle fonctionne. Dis je pour conclure se sentant pressée par la cliente derrière.

Je finis par lui tendre l'argent et récupérer le produis le jaugent d'un simple regard n'ayant pas confiance en cela.

Bonne journée.... Dis je à l’alchimiste et saluant la femme d'un simple geste de tête, je sors alors du magasin écoutant une dernière fois pour écouter le problème de la femme.

Moussieur 'a'chimiste ! mes dents tombe ! j'ai reçu un sorti'ège je crois... aider moi je vous prisDit -elle, la malheureusement aurait sans doute du manger moins de sucre surtout. Qu'importe je retrouve enfin le garde qui attendait dehors.

L’alchimiste sourit amicalement à la jeune femme lorsqu’elle demanda comment appliquer l’onguent si peu ragoûtant. Pour l’aider à comprendre, il mima le geste, simulant le fait de se passer une pommade sur l’avant-bras.

- Comme je vous l’ai dit, il suffit de l’appliquer, comme ceci. Ainsi, la plaie sera à la fois désinfectée et rapidement cicatrisée. Redoutablement efficace, comme promis ! Et nul besoin d’incantation ou autre rituel mystique, tout ce que je vends ici est prêt-à-l’emploi, et utilisable même par l’enfant sans le moindre pouvoir magique !

Cela n’était pas tout à fait vrai. Il y avait également une poignée d’artefacts plus complexes, voire réservés aux mages et clercs, mais elle n’avait pas besoin de le savoir. Cette cliente-là semblait redoutait toute difficulté, aussi ne fallait-il pas l’effrayer outre-mesure. Et malheureusement, elle ne voulait pas de son autre produit anesthésiant. Tant pis, il était également très peu rentable, et déjà une autre cliente se pressait pour venir acheter un quelconque remède pour ses dents.

- Ma foi, madame, bon courage pour vos maux de ventre ! Et n’ayez crainte, vous serez entièrement satisfaite de mon onguent. Il pourra même vous sauver la vie, vous verrez !

Bon, ça, ce n’était pas sûr. Mais il pouvait assurément stopper une hémorragie externe légère, et ralentir une hémorragie interne. Ou remettre Terah en état de combat entre deux affrontements. Après, si jamais cela ne suffisait pas… Elle ne serait plus là pour témoigner contre lui de la mauvaise qualité de ses produits.

Après avoir encaissé les 10 Ailes de Bronze de Terah, et l’avoir chaleureusement remercié pour sa visite, il se tourna vers son autre cliente. Apparemment, celle-ci désirait améliorer sa libido pour satisfaire son mari, et un charlatan lui avait conseiller de manger du charbon pour « rallumer son feu intérieur ». Il allait falloir bien plus qu’un simple nettoyage de dents à la naïve.

Dehors, le sergent attendait patiemment Terah. Elle n’avait pas été très longue, ce qui était étonnant, compte-tenu de la réputation de Cadazar. On disait de lui que si on venait le voir car on avait soif, on repartait avec une piscine à débordement. Le garde se dit à lui-même que ce que voulait son invitée ne devait pas valoir grand-chose pour qu’elle reparte si rapidement. Un bon point.

- Eh bien, Madame, ce vieux filou n’a pas tenté de vous vendre un à un tous les articles de son magasin ? Tant mieux ! Plus tôt je retournerai à mon poste, plus tôt mes collèges cesseront de jacasser sur mon dos.

Les deux humains se remirent en marche à travers la ville. La journée s’écoulait doucement, et un grand convoi de ravitaillement venait d’arriver en ville, en provenance de la frontière impériale. L’agitation grandissait peu à peu sur la grand-place, tandis qu’une véritable vente aux enchères publique avait lieu pour revendre « sauvagement » les différents articles de la caravane. Elle ne s’arrêtait là que quelques dizaines de minutes, avant de continuer en direction du Mur d’Alaric.

- Vous m’avez dit être à la recherche d’un forgeron, c’est bien cela ? Il y en a quelques-uns, par ici, Madame. J’en connais un, un Nain, dont le rapport qualité-prix est imbattable. Il fait le travail d’un Nain au prix d’un humain, alors qu’en général il faut choisir entre préserver son porte-monnaie à court-terme, ou assurer son arme à moyen-terme.

Après avoir traversé tout un dédale de ruelles de plus en plus étroites, ils arrivèrent sur une petite place intérieure où se faisaient face deux échoppes. Une forge, « L’Eclat de Fer », et une brasserie, « Le refuge du chasseur d’elfes ». Si elle savait que le forgeron était Nain, à la vue du nom de la brasserie, Terah pût deviner qu’elle était également tenue par des petits-gens.

Là encore, le sergent Virnire l’attendit devant l’entrée. La porte était ouverte, et on pouvait voir un Nain battre le fer à l’arrière. Toute l’échoppe était organisée autour de la petite forge centrale, qui semblait usée par le temps, mais toujours solide. Clairement, les Nains ne manquaient jamais de travail. Le forgeron vit la jeune femme rentrer et entama directement la discussion.

Forgeron Skirgh:

- Bien l’bonjour, ma p’tite dame ! J’préfère vous prévenir tout d’suite, si c’pour forger une arme, j’ai l’carnet d’commande plein pendant dix jours ! Mais s’vous voulez, j’ai un cousin qui pourra vous forger une arme simple et solide dans les trois jours. Un bon gars, et sérieux. A moins que ce n’soit pour aut’chose ?

J'observe Le garde qui attend depuis un moment ma sortie de chez l'alchimiste et lui sourit, il fait bien son métier. D'un coup je me demande si tout les gardes font pareille avec les visiteurs où si je fais exception car je suis une femme et que je suis blessée.

- Eh bien, Madame, ce vieux filou n’a pas tenté de vous vendre un à un tous les articles de son magasin ? Tant mieux ! Plus tôt je retournerai à mon poste, plus tôt mes collèges cesseront de jacasser sur mon dos. Me dit le garde une fois je suis sortie.

Que pourrait bien dire vos amis ? Je trouve ça très gentil d'aider quelqu'un dans le besoin. Vous ne pensez pas ? Dis je alors que l'on continue à marcher dans la ville je n'observe plus l'architecture mais ses habitants, ses hommes ses femmes ses enfants.

- Vous m’avez dit être à la recherche d’un forgeron, c’est bien cela ? Il y en a quelques-uns, par ici, Madame. J’en connais un, un Nain, dont le rapport qualité-prix est imbattable. Il fait le travail d’un Nain au prix d’un humain, alors qu’en général il faut choisir entre préserver son porte-monnaie à court-terme, ou assurer son arme à moyen-terme.

Très bien ça me semble convenable je vais demander à réparer cette épée puis je vais descendre la rivière jusque chez moi pour enfin me reposer dans mon lit si douillet.Je souris en pensant à mon île qui me manque;

Alors qu'avec le garde nous traversons les ruelles de la ville nous arrivons enfin devant le fameux forgeron. l'échoppe indique " L'éclat de fer" Un bien jolie nom qui en dit long sur la profession qu'exerce le tenant des lieues. Je tourne la tête vers l'établissement voisin, une taverne du nom de " Le refuge du chasseur d'elfe" Et bien, voila un nom original. Je pensais que la haine nano-elfe était un mythe voila la preuve que non.

J'entre enfin dans l'établissement du forgeron et sourit., il ouvre la parole avant moi.

- Bien l’bonjour, ma p’tite dame ! J’préfère vous prévenir tout d’suite, si c’pour forger une arme, j’ai l’carnet d’commande plein pendant dix jours ! Mais s’vous voulez, j’ai un cousin qui pourra vous forger une arme simple et solide dans les trois jours. Un bon gars, et sérieux. A moins que ce n’soit pour aut’chose ? Me dit il

Bien le bonjour maître forgeron, je ne viens pas pour forger une arme mais bien pour la réparer. Sur cela je lui tend les morceau de Vinsame, fer rouillée au éclat nombreux, certain morceau sont absent. Je l'observe pour voir sa réaction et sourit timidement.

Je suis désolée si je vous propose l'impossible, mais Vinsame mon épée est une relique antique, une épée d'histoire je dois la réparer pour l'entreposer ensuite. Pouvez vous m'aider. J'a les moyens de payer. Répondis je en souriant.

Le forgeron observa un instant la jeune femme, avant de porter son regard sur l’arme. Effectivement, elle était ancienne, et devait valoir une coquette somme d’argent, lorsqu’elle avait été forgée. Peu importait au Nain de la valeur sentimentale de l’épée, en revanche, toute expérience était bonne à prendre. Et en l’occurrence, reforger une arme de maître qui s’apparenterait pour beaucoup à une antiquité ne pouvait qu’améliorer ses compétences.

- C’peut l’faire, m’dame. J’viens juste d’finir une dague, alors j’peux très bien m’occuper d’votre épée en vitesse. Ça n’s’ra pas long, j’peux vous l’assurer. Mais ça d’mande un p’tit coup d’main d’expert. J’vous en prendrai pas plus d’douze Ailes. Vous pouvez r’garder si ç’vous tente.

Effectivement, le travail fût relativement rapide. La forge était encore chaude de sa dernière production, et les coups de marteau à répétition du Nain reforgeaient le métal fondu en une nouvelle lame impeccable. Malheureusement, certains morceaux manquaient. Il aurait très bien pût les remplacer par le plus vulgaire acier, mais il proposa tout de même à sa cliente une alternative plus coûteuse mais aussi plus efficace.

- S’vous voulez, j’peux remplacer l’morceaux manquant par d’l’argent. Vot’ arme s’ra plus efficace cont’ les bestiaux d’la nuit. Vampires, Lycanthropes, Démons… Vu qu’ce s’ra qu’des p’tits bouts, ça s’ra pas formidable, mais ce s’ra pas hors d’prix non plus. J’vous fais ça pour d’x’huit Ailes. S’en dites quoi, m’dame ?

Après avoir entendu la réponse de Terah, il s’exécuta, et en trois quart d’heures l’épée était de nouveau unie et impressionnante. Il allait falloir la laisser reposer quelques minutes dans de l’eau glacée, temps que mettrait à profit le Nain pour discuter et encaisser sa cliente. Il avait d’autres projets « sur le feu », sans mauvais jeu de mot, mais se faisait un devoir de se montrer poli envers ses clients.

- Qu’est-c’qu’amène une p’tite dame comme dans not’ ville ? M’dites pas qu’c’est vous qu’avez brisé c’t’épée ? Vous avez fracassé l’crâne d’un ogre avec ? Ou v’s’avez récupéré ça sur la dépouille d’un nobliau et voulez l’revendre ? Pas qu’ce soit mes affaires, mais si vous m’la laissez, j’vous la r’prendrai que’ques Ailes, et n’vous factur’rai bien sûr pas l’travail. M’enfin, j’suppose qu’si vous avez fait tout c’chemin, c’pas pour deux-trois Ailes…

Ne restait plus à Terah qu’à payer en fonction de ce qu’elle avait voulu –morceaux d’argents inclus ou pas-. Ensuite, elle pourrait partir tranquillement, rejoindre Virnire, et voir avec lui où elle pourrait aller ensuite dans la ville. Si elle n’avait plus besoin de lui, elle pourrait le congédier sans honte. Autrement, elle pourrait poursuivre sa visite de la ville, repartir chez elle, s’en aller chez les Nains… A elle de choisir.

Terah observe la fameuse forge, elle était encore chaude et ça lui faisait plaisir car cela voudrait dire que le travail serait fait rapidement. Elle observe les divers instrument en souriant trouvant que c'est un beau métier que forgeron.

- C’peut l’faire, m’dame. J’viens juste d’finir une dague, alors j’peux très bien m’occuper d’votre épée en vitesse. Ça n’s’ra pas long, j’peux vous l’assurer. Mais ça d’mande un p’tit coup d’main d’expert. J’vous en prendrai pas plus d’douze Ailes. Vous pouvez r’garder si ç’vous tente. Dit-il, douze ailes de bronze, c'est peu mais avec l'accumulation de petite chose qu'on lui propose la facture au final commence à devenir lourde.
- S’vous voulez, j’peux remplacer l’morceaux manquant par d’l’argent. Vot’ arme s’ra plus efficace cont’ les bestiaux d’la nuit. Vampires, Lycanthropes, Démons… Vu qu’ce s’ra qu’des p’tits bouts, ça s’ra pas formidable, mais ce s’ra pas hors d’prix non plus. J’vous fais ça pour d’x’huit Ailes. S’en dites quoi, m’dame ? Et voila qu'on lui propose derechef une extension peu coûteuse mais qui alourdie la facture final.

Hum... Non merci, c'est gentil de me proposer mais ma bourse ne ce remplie pas aussi vite que je la dépense. De plus et je l'espère maintenant, cette arme ira dans un musée, elle mérite de trouver enfin le repos.

Au bout de quarante minutes de forge le nains reviens vers Terah, elle peu voir l'épée se reposer dans un bac d'eau, de la vapeur s'échappe de cette fameuse eau preuve que l'arme est encore chaude du travail du nain.

- Qu’est-c’qu’amène une p’tite dame comme dans not’ ville ? M’dites pas qu’c’est vous qu’avez brisé c’t’épée ? Vous avez fracassé l’crâne d’un ogre avec ? Ou v’s’avez récupéré ça sur la dépouille d’un nobliau et voulez l’revendre ? Pas qu’ce soit mes affaires, mais si vous m’la laissez, j’vous la r’prendrai que’ques Ailes, et n’vous factur’rai bien sûr pas l’travail. M’enfin, j’suppose qu’si vous avez fait tout c’chemin, c’pas pour deux-trois Ailes… conclut t'il.

Et bien... Terah fit une pause pour sourire puis reprend. Cette épée et l'unique trésors d'une bataille d'il y'à très longtemps. J'en suis la digne héritière, quant à ce qui est de sa destruction, même avec toute la patience et la bonté que vous avez vous ne me croirez pas. Terah récupère l'épée et donne alors les quelques ailes de bronze a l'artisan nain. Merci de votre excellent travail et de la rapidité de ceci, merci encore, je me dois d'y aller, je vous souhaite une bonne journée.

Sur cela Terah sort de la forge et retrouve le garde, elle lui montre l'épée avec un sourire des plus grand preuve de sa satisfaction et l'enjoint à commencer à marcher.

Ne la trouvez vous pas belle ? cette lame est de nouveau comme neuve... Cela veux aussi dire que mon voyage vers chez moi est de nouveau possible. Pouvez vous m'amener vers la rivière ? Je vais la descendre avec un bateau cela sera le mieux pour moi.

Finit t'elle sa phrase que les deux personnes se dirigent vers la zone navale des montagnes, plusieurs navire remonte et descende chaque jour la rivière afin d'apporter un échange de ressources constant entre l'amont et l'avale. C'est sur l'un de ses bateau que monte Terah après avoir remercier le garde et lui avoir offert généreusement quelques pièces pour le remercier de sa gratitude. De triste adieu et cela même si ça faisait très peu de temps qu'il se connaissait.