Terra Mystica

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 BlackHost

 
BlackHost  Sand-g10Dim 22 Mai - 18:09
Vendredi, je pense pouvoir terminer, sinon, samedi c'est sûr. Et je vous promet une description des conditions d'acquisition de Zeeta dans mon histoire. J'y expliquerais aussi ma notion d'einherjar qui est assez différente de celle présente dans la mythologie Nordique, en éspérant qu'elle conviendras au monde de Terra Mystica.

BlackHost  Fiche_10


BlackHost  Hgener10

Nom : Baromen
Prénoms : Delonias
Surnoms : BlackHost ( c'est le nom que je donne lorsqu'on demande )
Âge et date de naissance : 19 ans/ 8 Faldèn 93
Nationalité : Originaire de Silena
Titre de noblesse désiré : AUCUN
Poste vacant désiré : AUCUN
Profession : Chasseur de monstres

BlackHost  Hdescr10

Descriptions psychologique : Je suis du genre solitaire ( sans compter Zeeta bien sûr ), je n'aime pas travailler avec d'autres humains, je les trouve niais et simplistes. Ma couleur préféré est le noir ( pitié ne me sortez pas le refrain habituel comme quoi le noir n'est pas une couleur ! ), mais j'affectionne aussi particulièrement le vert feuille. Ma timidité me pousse à limité les contacts avec les villes, les gens ne m'aiment pas beaucoup d'habitude de toute façon...ou peut être es-ce à cause de mon côté froid, qui sait ? Rares sont les gens qui réussisse à me connaître, je ne suis vraiment pas du genre bavard, et je déteste les personnes indiscrètes. J'ai un profond sens de la justice et de l'honneur, même si ma fièrté démeusuré aveugle quelques peu mon jugement dans les situations où on me contredit et que j'ai réelement tord. Eh oui ! Je suis trés têtu ! C'est peut être aussi pour ça que les gens ne m'aiment pas beaucoup. Avec mes proches, je suis quelqu'un d'assez drôle en général, mais seulement avec ma famille proche. Ma vie m'a rendu vieux avant l'heure d'aprés ma petite soeur ! Je ne pense pas que ça soit vrai, je suis juste incroyablement matûre pour mon âge c'est tout ! Et peut être incroyablement vaniteux aussi ? Comme dit ,plus haut, je suis quelqu'un de trés froid avec les gens que je ne connais pas, j'ai tendance à ne pas vouloir m'attacher aux autres, je préfère que les gens me pensent froid, plutôt qu'ils sachent ce que j'ai vécu, ce que je vis. Ma froideur me sert de masque, un masque déstiner à protéger les autres plus que moi car je ressent en moi un besoin de m'attacher, d'avoir des amis, mais ça les mettrais en danger automatiquement, tout ce que j'aime meurent un jour, cette réalité m'est apparue récemment, avec l'arrivée de Zeeta...

Description physique : Je suis trés pâle de peau, presque aussi blanc que la neige. Avant j'étais plutôt bronzé, mais depuis que j'ai "acceuilli" Zeeta, ma peau pâlit de jour en jour, c'est un effet secondaire pas trop gênant en fin de compte, ça donne un genre ! J'ai les cheveux blonds foncé, chose qui n'a pas changé même aprés l'arrivée de Zeeta, tout comme la couleur de mes yeux, bleus. Je mesure environ 1m81, pour 60 kg ( je vous interdit de faire mon IMC, c'est trés gênant pour un garçon d'être sous la moyenne ! ), la faute à un métabolisme qui ne veut pas me faire prendre du poids, mais ne rechigne pas à me faire grandir toujours plus ! Me laissant un corps fin et peu musclé, donnant tout de même un avantage de rapidité et d'esquive en combat. Je porte un ensemble moulant noirs, une cape avec capuche (le plus souvent la nuit), des bottes longues ( qui remonte jusqu'au genoux ), entrouvertes à l'avant, mais ressérés avec 3 ceintures fines chacune : une au niveau du pied, une autre au niveau du péroné, et une dernière au millieu du tibia. Etant fan du look ceinture, j'en porte une large aussi au niveau du biceps du bras gauche, par dessus ma manche, et une dernière ( plus conventionelle ) de taille moyenne au niveau des hanches. Cette tenue me permet de me fondr dans le noir.

Signe(s) distinctif(s) : Depuis que Zeeta "vit" en moi, mon sang c'est foncé et vire au noir, ce qui a tendance à faire ressortir mes veines à travers ma peau pâle.
BlackHost  Hhisto10

Histoire : Etant un peu longue ( 20 pages word ) , je vous file une sélection de musique pour accompagner mon histoire ^^ :
Sweet dreams (SP) Emily Browning https://www.youtube.com/watch?v=OcxRtLpkAkQ,
Army of Me (SP) Björk feat Shunk Anasie https://www.youtube.com/watch?v=56s50H0UWas&feature=related,
Where is my mind Placebo https://www.youtube.com/watch?v=YVFLgx8o7XM,
Where is my mind (SP) Yoav feat Emily Browning https://www.youtube.com/watch?v=K8-uhmgGBF0
Eon Celldweller https://www.youtube.com/watch?v=JkCUJdmUarw&feature=related



Tout commença le jour de mes dix ans. Ma mère mourrut quelques mois avant, en mettant au monde ma petite soeur. Mon père reprennait peu à peu le goût de vivre, il recommençait à s'alimenter correctement sans que j'ai à le forçer, il se préoccupait un peu de Nissy ( ma petite soeur ), qu'il tenait jusqu'alors responsable de la mort de maman, il avait même repris le travail dans sa forge la même semaine. Bref, aprés avoir tenu la famille ( ou ce qu'il en restait ) à bout de bras pendant 3 mois, 3 longs mois où mon père brouillait du noir seul dans la chambre parentale, j'espérais enfin pouvoir reprendre ma vie normale ! C'était sans compter sur la cruauté des dieux, et leur besoins de divertissement dramatiques, auquel ils nous avaient apparement offert une exclusivité !! Ainsi, le jour de mon anniversaire, mon père était plein d'énergie, et avait décidé de m'emmener voir nos cousins, de fiers citadins d'Him'Nea, qui ne nous avaient d'ailleurs pas donner signe de vies depuis ma naissance d'aprés mon père. Aprés avoir insisté pendant une vingtaine de minute en pleurant, mon père accepta que nous amenions Nissy qu'il avait apparement prévu de laisser mourrir pendant notre petite escapade urbaine. Nous partîmes tout les trois vers midi.
"- On fait une pause, je te sens fatiqué Delonias, et nous ne sommmes pas vraiment présentable !"
Alors que la ville n'était plus qu'à une heure de marche selon mon père, il décida que nous passerions la nuit dans l'auberge du petit village tout prés, afin de nous décrasser et de nous donner fière allure devant nos cousins. Mon père se rendit donc à la rivière la plus proche pour nous ramener quelques seaux d'eaux à cet effet. En attendant je partai avec Nissy visiter le charmant village qui nous hébergerait cette nuit. Alors que le soleil se couchait lentement, je fit demi tour pour retourner à l'auberge avant la nuit. Malheuresement, je ne fut pas assez rapide, et j'arrivai dix minutes aprés que le soleil ait quitté le ciel. La nuit sombre cache ceux qui désire être cacher. Alors que j'arrivai devant l'auberge, je vis pareterre, étendue, une jeune fille brune à la peau trés pâle et couverte d'un liquide rougeâtre que je ne tardais pas à identifier comme du sang. D'aprés sa taille, elle devait avoir mon âge ou un peu moins. Je m'assis prés d'elle, l'aidant à se redresser, la fillette était entre deux états, presque inconsciente. C'est là que ça me frappa. Elle était incroyablement belle. Des traits fins, des yeux d'un violet/rose profond, faisant penser à la couleur du ciel au moment où le soleil commence sa journée. Son visage était un peu recouvert de sang aussi, mais plus au niveau de sa bouche et de son menton. Je la fixai, qui pouvait à peine ouvrir les yeux. Sa beauté était grande, mais plutôt effrayante dans cet état. Elle était vêtue d'un blazer rouge, avec un col bleu/noir, légerement tâché de sang aussi. Ne pouvant porté NIssy et la pauvre fille en même temps, je décidai d'aller poser Nissy dans notre chambre, et de revenir m'occuper de la fillette aprés. Dés que j'eus posé Nissy sur le lit de mon père, elle se mit à hurler. Je remarquai d'ailleurs que papa n'était pas rentré, la chambre était dans le même état qu'avant ma promenade. N'accordant aucune d'importance, ni aux pleures de ma soeur, ni à l'absence de mon père, je descendai retrouver la petite devant l'auberge. La fillette était debout, affichant une mine confuse, mais au moins elle avait l'air d'être consciente, et elle tenait debout.
"- Tu veux que je t'aide à rentrer chez toi ? lui dis-je timidement.
- ... chez... moi ? Mais comment sais-tu où j'habite ? répondit-t-elle avec un air apeuré.
- Je ne le sais pas, en fait je pensais que tu me le dirais, et je t'y aurais conduit.
- Oh. Eh bien... je ne le sait pas moi-même vois-tu, je n'ai nulle part où aller, et pourtant j'ai besoin de nettoyer... un peu tout ça... Tu pourrais m'hébergé le temps que je trouve un endroit où dormir ?Elle s'avança doucement, avec une grâce princière, qui la rendait encore plus belle, malgrés l'état où je la voyais.
- Oui, enfin... il faut que je demande à papa... mais il devrait être d'accord vu ton état. D'ailleurs que t'ait-il arriver ?
Elle me regarde fixement, d'un air intrigué, concentré, comme si elle lisait quelque chose dans mes yeux.
- Je..., J'ai survécue à une attaque. Elle esquisse alors un léger sourrire
- Une attaque ? Mais qui t'as attaqué ?
- Un homme je crois...il...il portait des seaux pleins d'eaux et quand il m'a vu il...a essayé de m'assomer avec l'un d'eux...je crois, je ne suis pas trés sûre...j'ai vu un seaux qui allait me percuter au niveau de la tête... mais j'ai pu l'esquiver à temps.
Elle se rassit une seconde
- Mais pourquoi es-tu pleine de sang alors, si tu l'as esquivé ?
- Oh voyons...ce n'est pas mon sang. Perdre autant de sang, c'est à en mourrir. Aprés avoir esquivé le coup, je l'ai attaqué à mon tour et...je l'ai eu si on peut dire !
Je commençai alors à réaliser que cette petite n'était pas forcément une victime.
- Tu as quoi ?
- Je l'ai tuée, Delonias, et j'ai bu son sang aprés. Me voyant décontenacée, elle continua. Aller c'est bon, c'était de la légitime défense.
- Mon père... est aller chercher de l'eau...aujourd'hui... ma voix sautillait et se mélangeait à un debut de sanglots.
- Non ? Oups ! Au moins, comme ça tu n'auras pas à lui demandé la permission pour m'inviter elle entama alors un petit rire naïf. Je me mis à courrir vers l'auberge mais la monstrueuse fillete se tenait sur le pas de la porte en un battement de cil. Ne sois pas bête, tu ne rivaliseras jamais avec moi, dans aucun domaine. BlackHost  2937081407
- Mais...mais qui es-tu ? dis-je entre deux hocquets et une larme de peur.
- On m'appelle Christabella, la petite sangsue. Je suis morte, je suis une vampire, et je connais tout tes secrets Delonias. Tu ne peux pas m'échapper, personne ne le peut, toi et ta soeur, ce soir vous allez me tenir compagnie. Demain vous serez mon repas. Ca vous va j'espère ?" encore ce rire.
Ma respiration commençait à se saccader, je trouvais la vampire de moins en moins belle au fur et à mesure qu'elle me parlait. Soudain, une flêchette dorée se loge dans son cou, la fillette se crispe, puis fuit à une telle vitesse, que je n'ai même pas le temps de voir dans quelle direction. Je cherche autour de moi le tireur, et découvre un jeune homme d'une trentaine d'année tout au plus, avec des signes noirs étranges sur sa peau légerement bronzé. Ses cheveux longs, d'une couleur bleu nuit, ramené en une queue de cheval sur le côté, ses yeux étaient aussi noirs que ses tatouages, et une grosses cicatrices lui déformait le cou.
"-Eh petit ! ça va ?"
Avant que je ne puisse me remettre de mes émotions, mes jambes me lâchent, et je m'évanouis.
Je me réveille dans une chambre propre, assez luxueuese, ce n'est pas l'auberge. L'homme aux tatouages, il s'appellait Arias, rentra au même moment, et commencait à me raconter ce qui s'était passé pendant mon "sommeil".Apparement, il surveillait cette vampire depuis pas mal de temps, et cherchait une preuve qu'elle en soit vraiment une. Ma petite discussion avec elle l'a convaincu. Aprés que je me sois écroulé, il m'a ramené dans ma chambre à l'auberge, et est parti à la recherche de la vampire qui avait tué mon père, mais ne l'a pas retrouvé. Par contre, il a retrouvé le cadavre de papa, prés de la rivière, et l'a reconnu. D'aprés lui, mon père était aussi son oncle, et par définition je me retrouvais être moi même son cousin. Ainsi, il nous a porté jusqu'à chez lui, moi et Nissy qu'il avait justement identifié comme ma soeur.
"-Nous étions partit pour venir vous voir je crois, mon père vous décrivait comme un fier citadin, il n'avait pas tord.
- Ah non, ça c'est l'appartement de mon père, je ne suis pas un citadin, je suis plutôt du genre voyageur, je suis chasseur de monstre vois-tu. Ton père en était un aussi avant, il s'était d'ailleurs spécialisé dans les vampires et les rejetons de l'aile ténébreuse si mes souvenirs sont bons.
- Non, mon père était forgeron, tu dois confondre.
- Il est devenu forgeron aprés avoir connu ta mère, car il est tombé amoureux d'elle, et qu'il voulait un métier stable, avant, je t'assure qu'il chassait le vampire."
Je demandai à me reposer, cela faisait vraiment une journée difficile. Il me laissa seul, et je me mis à sangloter tout seul dans mon lit, mais la fatigue vint vite me rattrapper. Ce fut ma première nuit où je rêvai d'elle, de cette vampire. Elle reflètait l'innocence sous ses traits si enfantins, mais était pourtant un redoutable prédateur sanguinaire, contre lequel mon père c'était battu et était tombé. Mon rêve se passait prés d'une rivière, je la vois, propre, éclatante, dansant dans l'eau gaiement, en me voyant, elle sourit, et reprend sa danse avec encore plus d'entrain. Je m'approche d'elle lentement, met les pieds dans l'eau. Puis elle se retourne, son visage est plein de sang, le sang de mon père, elle me fixe, et répéte doucement :
"- Je connais tout tes secrets Delonias."
Sur ce, je me réveille, dégoulinant de sueur, mes sens encore engourdient me permettent toutefois d'identifier la pièce dans laquelle je me trouve, la chambre du père du cousin, de mon oncle normalement. Ce cauchemar, fut le premier d'une longue série qui n'a toujours pas prit fin d'ailleurs. Chaque fois que je me laissais berçer par la douce mélodie du sommeil, je plongeais dans un nouveau monde, avec elle. C'était souvent la rivière, mais quelque fois c'était un lieu que je ne connaissais pas vraiment, dont je n'avait aucun souvenir, une sorte de grotte, pleine de brume, où des voix résonnaient inlassablement, répétant : "Christabella doit mourrir, Delonias, en seras-tu ?", jusqu'à ce que je la trouve, la vampire, au fond de la grotte, s'approchant silencieusement de la gorge de Nissy....
Cinq mois aprés mon arrivée, je vis pour la première fois mon oncle, qui rentrais de ses interminables voyages, il était aller dans les pays des glaces chercher de vieilles babioles dites "magiques", et autres artefacts de grande valeur selon lui. C'était une homme trés grand, avec la soixantaine, chasseur de monstres retraité, il était trés bien conservé. Il n'avait plus un seul cheveux sur la tête, ce qui lui allait plutôt bien finalement. Quelques cicatrices sur le visage, dont une assez vilaine, verticale au niveau de la bouche. Sa barbe blanchâtre, quoiqu'un peu jaunies par endroits, formé une cône parfait partant du bas de ses joues, et se terminant sur son torse. Il me dit qu'il s'appelait Roberus. Il m'apprit qu'il avait envoyé Arias en mission et que je ne le reverrai pas avant pas mal de temps. Je lui parlais alors de mes rêves, supposant que cet homme que son fils décrivait comme trés cultiver, puisse m'aider à y mettre fin.
"- Delonias, il est difficile, de faire cesser un cycle de cauchemars, habituellement, dérrière l'horreur des images que tu vois, ce cache un message que ton inconscient t'envoie.
- Mon quoi ?
- Ton inconscient, c'est la partie de toi qui prend le contrôle quand tu dors, qui régit le monde des rêves. Ton inconscient veux de te faire comprendre quelque chose, il faut que tu saisisse le message que ces rêves dissimulent, selon la nature de ce message, les cauchemars se stopperont alors, ou pas.
- Quel message peut se caché dérrière ce genre d'horreur ?
- Un conseil, une requête, une vision, tu es le seul qui peut savoir. Je te conseille de dormir, ouvre ton esprit, soit attentif au moindre détails qui pourrait te sembler important, ou pas d'ailleurs, soit trés observateur, et tu découvriras ce qui ce cache dérrière ces cauchemars réguliers.
- D'accord, mais, je voulais savoir... Arias m'a dit que nous pourrions rester ici Nissy et moi autant que nous le souhaitions, ça ne vous gêne pas ?
- Non, non, penses-tu au contraire ! Depuis que Arias a quitté le pays, je me retrouve seul, dans cette immense appartement, un peu de compagnie ne me fait vraiment pas de mal ! De plus, tu as dû remarquer que je ne vis pas dans la misère, je peux largement couvrir tout les frais que toi et ta soeur engendrez, sans aucun souci.
- Merci, vraiment, nous n'avons nulle part où aller, la forge de mon père ne peux pas tourner sans lui, je n'ai aucun talent pour le métier, je n'aurais jamais pu reprendre son travail...
- Ne t'inquiètes pas, je sais exactement ce que je vais faire de toi." conclut-il en rigolant.
Puis il me reconduisit à ma chambre, et m'y laissa seul. Alors que je sentais, comme chaque soir, les larmes qui me montaient, je décidai de les ravalés, je ne pleurerais plus désormais. Si mon inconscient tenait à me dire quelque chose c'était sûrement de sortir de l'état pitoyable dasn lequel je me réfugiais depuis déjà cinq mois. Je décidai de m'endurçir, il était temps pour moi de prendre mon courage à deux mains ! Je m'allongeais alors dans mon lit, bien décidé à décodé ces cauchemars qui me hantait depuis tout aussi longtemps.
La grotte, ce soir là, je me retrouvais devant la grotte. Je me concentrais pour bien analyser tout ce qui m'entourais, et découvrit ce qui semblait être le premier indice : la grotte se trouvait dans une forêt avec des arbres trés particuliers, leurs feuilles étaient toutes bleues ! Comment cela avait-il pu m'échapper ? Je rentrais dans la grotte. Les voix commençèrent leur refrain : " Christabella doit mourrir, Delonias, en seras-tu ?", alors que je m'enfonçais toujours plus profondément, je fit bien attention à chaque détails, mais rien ne me parut d'une importance capitale. Quand soudain, j'entendit une légère respiration au loin, trés faible, et au fur et à mesure que je m'approchais de la fin du rêve, de la vampire, cette respiration ce faisait de plus en plus faible. J'essayais de faire demi-tour, mais mon rêve me retenait, j'étais comme dans un wagon, les rails m'éloignant de la respiration, me rapprochant de Christabella. Finalement, j'arrivais à destination, et me réveillai dans un sursaut. En ouvrant les yeux, je découvris mon oncle, une fiole fumante à la main, à mon chevet. Devant mon incompréhension, il me dit :
"- Ceci est une fiole de Visitae druemae. La fumée permet au dormeur qui la respire d'approfondir son rêve et de disposer de sens amélioré dans celui-ci. Tu dormais déjà quand je l'ai retrouvée et que j'ai voulu t'en parler, alors je me suis dit que tu ne serais pas contre un petit coup de pouce ! Alors, raconte moi, qu'as tu découvert ?!
- J'ai rêvé de la grotte, elle se trouve au beau milieu d'une forêt d'arbres aux feuilles bleus. Et je sais aussi qu'il y avait quelqu'un d'autre dans la grotte, grâce à votre potion je suppose, j'ai entendue la respiration d'une autre personne.
- Bien, bien, trés bien même ! Il va falloir approfondir tout ça dans les jours à venir, mais c'est un trés bon début, que dis-je, un excellent début ! lança-t-il avec un enthousiasme débordant
- Hum... merci. dis-je plutôt gêné."
Le lendemain, le même rêve, je réussi à évaluer la distance qui me séparait de l'autre personne, en comparant la force du son à celui que produisait Nissy dans le fond de la grotte. Cet "intrus" se situait environ 100m à l'est de ma position finale. Roberus me félicita pour cette trouvaille, qu'il jugeait fort utile. Plus que moi en tout cas. Pour me félicité, il m'appris qu'il avait une surprise pour moi, que je découvrirais la semaine aprés. Cette surprise m'intriguant, et ne voulant pas déçevoir Roberus, je consentai à réçidivai les intrusions dans mes rêves. Les nuits passait, et je découvrais quelques indices insigniffiant telle que dans le rêve de la rivière, les poissons était minuscules, et de couleur vert/marron, il y avait aussi un symbole sur le blazer de Christabella, dans le coin de son col bleu/noir, une sorte d'étoile à 8 branches cousu avec du fil noir, c'est sûrement pour ça que je ne l'eus pas remarqué lors notre confrontation, elle était trés discrète. A chaque nouvelle découverte, Roberus m'étouffait avec une éloge, toujours plus èxagéré que la précédente. J'en vins même à en rire, la veille de ma fameuse surprise, pour la première fois depuis la mort de ma mère.
Le jour tant attendu arriva, le vieil oncle me conduisit jusqu'à une forêt, et me fit découvrir une sorte d'espace d'entraînement. Roberus commença alors :
"- Tu te souviens quand je t'ai dit que je savais exactement ce que j'allais faire de toi ? Eh bien sur le moment je t'ai menti, et j'en suis désolé ! Mais dés le premier soir où tu as décidé d'affronter tes rêves, j'ai compris, tu m'as montré une force mentale indéniable, à toute épreuve. La force mentale requise pour devenir chasseur de monstre ! J'ai toujours su que tu pourrais en être un dés que je t'ai vu, et que j'ai appris que c'était toi qui t'était occupé de mon frère aprés la mort de ta mère. Je tient d'ailleurs à me faire pardonner pour t'avoir laisser vivre ça tout seul, ton père et moi étions en trés mauvais termes depuis qu'il avait décidé de devenir forgerons, brisant ainsi la longue lignée de chasseur de monstres que constituait alors la famille Baromen. Ce n'est pas une excuse, j'en suis conscient, mais il faut que tu saches, que je n'ai appris le décés de ta mère qu'un mois aprés les faits, j'ai ainsi craint qu'il ne prenne mal mon arrivée tardive. Tout ça pour dire que ta bataille contre ces rêves, m'a fait réalisée que tu étais né pour ça, chasser les monstres, comme ton père l'était, et comme tout les mâles de la famille Baromen l'ont été."
Je me repassais ma rencontre avec Christabella en boucle, me demandant si j'aurais pu l'abbatre, à cet instant, je su que c'était ce que je voulais le plus au monde, ce que mes rêves me demandaient, tuer Christabella, venger mon père, être en paix une bonne fois pour toutes. Je répondis alors avec une assurance toute neuve :
" - J'accepte de devenir chasseur de monstre, mais je veux me spécialiser dés maintenant.
- Trés bien, ça ne devrais poser aucun soucis. Mais en quoi veux-tu de spécialiser précisément ? J'esquissais alors un sourrire satisfait.
- Je veux me spécialiser en vampire..."
- Je vois, je n'avais pas compris, répondit-il d'un air sceptique, je ne crois pas que...
- Ce n'est pas négociable. dis-je en lui coupant la parole, d'un ton bien trop arroguant, même à mon goût.
- Trés bien, trés bien. Une autre chose qui n'est pas négociable, tu ne dois jamais râter l'entrainement, tu ne pars pas avant que l'on t'en ait donné l'ordre, tu fais ce qu'on te dit de faire, peu importe ce qu'on te demande, tu le fait, sans réfléchir.
Le ton sévère qu'il tentait d'employer ne lui allait pas du tout, mais je fis mine d'aquiescer d'un mouvement de la tête. Je m'en voulais d'avoir été désagréable avec la seule personne qui pouvait nous garantir une certaine stabilité à moi et Nissy, mais je n'avais plus le choix désormais, j'avais un nouveau but, et je devais tout faire pour l'atteindre. Christabella mourrait de ma main, quel qu'en soit le prix.
L'entrainement débuta l'aprés-midi même. Un écuyer d'une trentaine d'année me demandai de courrir autour d'un périmètre définit par des rondins de bois, que j'avais moi-même du placer sous ses indications, volontairement vagues pour m'obliger à les replacer deux ou trois fois chacuns, avant qu'il ne prononce le fameux "C'est bon !". Aprés deux heures à courrir et à redéplacer ces maudits rondins, me voyant à bout de souffle, et trempe de sueur, il me dit que je ne pourrais partir qu'aprés avoir ranger tout les bouts de bois. Une bonne dixaine de minutes, dans mon état d'épuisement total, furent largement nécessaires à la tâche. Aprés ça, je rentrais à pied jusqu'à l'appartement. Je mangeais trés peu ce soir là, préssé de retrouver mon lit.
"-Je ne veux pas de Visitae druemae ce soir, je suis trop fatigué mon oncle, pour me concentrer dans mes rêves.
- Je m'en doutais, la première séance est toujours une épreuve ! Personellement, je n'ai tenu qu'une heure. Ne t'inquiète pas, de toute façon je n'ai plus de fioles, il faudra que j'en commande à l'alchimiste demain.
- Oh, ce n'est pas nécessaire, je crois que j'ai compris le message que mes rêves me dictaient.
- Ah oui, et qu'es-ce donc ?
- Christabella, je pense qu'elle se terre dans la grotte que je vois, ça doit se trouver prés d'une rivière aussi. Je pense que mon inconscient me demande de tuer Christabella.
- Tu es sûr ? Je veux dire, les arbres du rêve de la rivière avaient des feuilles normales d'aprés ce que tu disais...
Il avait raison, c'était sûrement plus complexe, mais je ne voulais pas lui faire dépenser de sous pour mon problème, il avait lui même dit un soir qu'il avait dû payer ces fioles 10 phénix d'or l'unité ! Alors je lui mentis pour la première fois.
- Oui, mais hier soir, j'ai remarqué une sorte de reflet bleuté sur une feuille, comme si elle reflétait la couleur des feuilles d'un arbre voisin.
- Impréssionnant ! Je vais travailler sur ça, et je te laisse aller dormir, à demain, et n'oublis pas ton entraînement à 10h au même endroit, ton premier exercice sera d'ailleurs de retrouver tout seul l'espace d'entraînement."
Facile.
Du moins, c'est ce que je pensais ! Je partis une trentaine de minutes en avance, mais impossible de retrouver mon chemin dans les bois. J'eus alors une idée ! Mon entraîneur devait aussi s'y rendre, je n'aurais qu'à le suivre. Je tentais alors de monter à un arbre, guettant sa venue. Je me découvrais un nouveau talent sur le coup, cet arbre ne me résista pas plus de dix secondes ! Je le vis au loin, marchant entre les chemins. Je rejoint alors aussi vite que possible sa postion, avant de monter à un autre arbre, pour le retrouver. Il était tout prés de l'espace que mon oncle m'avait aménagé. S'il arrivé avant moi, j'étais fichu ! Je me mit à courrir comme jamais, j'arrivai alors pile à l'heure, en même temps que lui...
"- Quelle ponctualité Delonias, me lança-t-il avec un ton ironique.
- Merci monsieur, dis-je en crachant mes poumons.
- Appel moi Borehus, ça sera plus convivial ! Mais, soyons clair, je t'ai vu dans ton arbre, tu tentais de me suivre c'est ça ?
-Euh...
- C'est bon, je ne t'en veux pas, c'est une technique comme une autre, mais je pense que c'est surtout un talent qu'il serait bon d'exercer."
Sur ce, il réorganisa la séance, et me fit monter aux arbres les plus hauts qu'il pu trouver. Au bout d'un moment, comme agacé par mon succés systématique, il me demanda de sauter de branches en branches. Je m'exécutait encore une fois avec succés. Mon poids plume me permettait même de réaliser des sauts silencieux.
"-Visiblement, la force n'est pas ton fort, tu es un rapide, un discret. Malheureusement, ta spécialité requiert aussi une force minimum, que tu n'as pour l'instant pas acquis. Imagine que tu doives affronter un ennemi, même pas un vampire, un simple humain au corps à corps, comment ferais-tu ?"
Sur ces mots, il me demanda de descendre de mon arbre, pour venir l'affronter. A peine me fus-je mis en garde, qu'il me plaqua au sol, bloquant au passage toute tentative de mouvement par le placement de son corps sur le mien.
- En effet, il faut que j'y travaille...un peu, voir beaucoup.
- Et c'est peu de le dire, un vampire aurais déjà eu le temps de te vidé de ton sang trois fois avant que tu ne puisses réaliser que tu viens de tomber."
Il m'aida alors à me relever, et je terminai la séance en faisant rouler des rondins sur des distances toujours plus longue.
Les jours passaient, et les séances d'entraînement, s'enchaînaient. J'avais de moins en moins de mal à pousser les masses que Borehus m'imposait, du simple rondin de bois, au sacs de sables pendant à mon cou, avec lesquels je devais monter aux arbres, en passant par Borehus lui même, que je devais ramener chez lui à chaque fin de séance en moins de six minutes, en le portant sur l'épaule. Dieu sait qu'il n'était vraiment pas léger en plus ! Mon anniversaire approchait, et je demandai à mon oncle de l'ignorer, ce serais trop douloureux et plutôt déplacer de célébrer le jour de la mort de mon père. Il accepta sans protester, il ne tenait pas à me forcer à faire des choses que je ne désirais pas faire.
Le temps passait, Nissy se mit à marcher, parler, et considérait Roberus comme un père adoptif. L'idée me gênait un peu au début, mais voyant leur complicité à l'oeuvre, je me mit moi-même à le considérer ainsi pour nous deux. Nissy fêtait ses 5 ans, elle était trés jolie, avec ses boucles blondes, ses yeux d'un vert clair trés lumineux, et son sourrire omniprésent, révélant l'insouciance de son jeune âge et le bonheur constant que lui apportait sa vie avec Roberus. Mes rêves quant à eux, redoublaient d'intensité, il me torturaient chaque nuit toujours plus, jusqu'à ce que j'appréhende carrément le moment de retrouver mon lit à la fin de la journée. Roberus voyait là une sorte de manifestation de mon inconscient déstiné à me faire comprendre autre chose, un message qui m'aurait échappé. Je savais trés bien de quoi il s'agissait, l'incohérence entre les feuilles de la forêt de la rivière, et celles de la forêt de la grotte. Mais je ne voulais pas en parler à mon oncle, il voudrait me faire utiliser encore du Visitae druemae, alors que ces fioles valaient plus d'un an du travail qu'effectuait mon père à l'époque. Un jour, Roberus me raconta ce qui l'avait d'ailleurs rendu riche. Une chasse. Il avait été engagé par un pauvre paysan pour éliminer le loup gris qui s'attaquait à ses bestiaux. Le travail ne demandait guère plus d'un dragon d'argent, mais il se trouva que la tanière du fameux loup gris fut aussi autrefois la cachette d'un vaisseau pirate. Ainsi, Roberus tua le loup, et découvrit plusieurs coffre remplis d'or. C'est alors à 51 ans que Roberus prit sa retraite pour profiter de sa trouvaille, et vivre dans le confort pour le restant de ses jours, et aussi de celui d'au moins trois génération de Baromen aprés ! Il avait beau m'avoir convaincu qu'il était largement à l'abri du besoin, je ne pouvais toujours pas me résoudre à lui dire la vérité à propos de mes cauchemars, rien que de peur de le décevoir, ou de le vexer, pour lui avoir menti. Je me résolvais donc à affronter seul, et dans ma simple condition, mes démons nocturnes.
Un jour, peu aprés la date de ce qui devait être mon quinzième anniversaire, Roberus reçut une lettre. Elle lui annonçait la mort de son fils. Ce jour-là, je m'attardais à l'entraînement, mais d'aprés Nissy, il passa la journée sur son fauteuil, la lettre dans la main, ne se mouvant que pour manger et faire ses besions. Lorsque je rentrais, il me suivit des yeux. J'allais lui dire que j'étais désolé pour lui, quand il laissa échapper une larme. Je me senti tout de suite mal à l'aise. Voir quelqu'un pleurer avait toujours eu pour habitude de me désarmer profondément. Je restai prés de lui un moment, quand il me confessa ce qui allait avoir l'effet d'une bombe dans mon esprit : "- Il est mort... des mains de Christabella, je le sais. La lettre décrit deux trous fins ...au niveau du cou, et une absence de sang quasi-complète dans ses veines. Tu me diras sûrement que ça prouve seulement... l'implication d'un vampire, seulement..., il y a une chose que tu ne sais pas, à la base, la mission que j'avais donné à Arias était ...de tuer Christabella. Nous nous envoyions une lettre chaque mois, lui... me précisant où il souhaitait que j'envoi la prochaine, et s'il avançait dans ses recherches, moi ...le tenant au courant de tes progrés à propos de tes rêves, et plus tard... de tes capacités à devenir chasseur de monstre. Il est aller se renseigner un peu partout à propos d'une forêt aux feuilles bleus, et dans l'une des dernières lettres qu'il m'a écrit, il me parlai d'un homme lui ayant indiqué la région de Flore. Cependant,(toux) je lui avait interdit de s'y rendre,(toux) cette région étant infesté par les troupes démoniaques de L'aile Ténébreuse. Il s'est ensuite renseigné sur Christabella, et avait retrouvé sa piste prés de la capitale Sen'tsura. Il n'a pas que retrouvé sa piste, il a aussi trouvé ça, il sort un morceau de papier de l'enveloppe , c'est un article datant d'il y a plus de 400 ans, ils parlent de Christabella..."
Je me sentais trahit, Christabella était à moi ! C'était à moi de la tuer, il... n'avait pas le droit de faire ça dans mon dos, il m'avait menti. Je lui avait menti aussi une fois, cela définissait-il notre relation, était-elle basé sur le mensonge ? J'essayais de contenir ma rage, en me répétant que cet homme était trop fragile pour l'instant pour entendre ce que j'avais à lui dire, il venait juste de perdre son fils unique. Je saisi le bout de papier qu'il me tendait, et sans un mot, sans lui adresser un seul regard, je m'éloignait doucement de lui.
"Attends", dit-il avec un ton de supplication, m'attrapant le bras en même temps.
Je fis volte-face, m'arrachant à sa main, façon symbolique, presque, de lui faire savoir que je ne lui faisait plus confiance, et courut m'enfermer dans ma chambre. Une fois seul, je serrai les dents de rage. Me calmer me prit une bonne heure, adossé à la porte. Enfin, je me posai doucement sur mon lit, dépliant l'article d'Arias, une autre feuille tomba du pli, celle là moins sale, moins jaunie, sûrement un article plus récent. Je décidai de lire en premier le plus vieux :
"Un Ange investit la troupe du salon de danse d'Amen'dur"

"Christabella est la nouvelle recrue du salon de danse de Amen'dur. Elle remplace la jeune Lisabette, qui a disparue, on le sait, depuis déjà une semaine, sans laisser de trace. La grâce de Christabella est telle, que le salon a certainement gagner au change. Elle interprêtera le rôle principal du ballet qui se finalise en ce moment, " La Rose de cendre ". Tout le monde s'accorde pour dire qu'au final, Christa est bien meilleure que LIsabette pour le rôle de Rose, un personnage impuissant face à son destin, se laissant guidé par ses partenaires dans la danse. La légerté de cette nouvelle danseuse paraît surnaturelle tellement croirait-on la voir voler. La rapidité avec laquelle elle réussit à apprendre chaque pas, le talent qui sue de chacune de ces préstations, la beauté même de son visage d'une pâleur angélique font définitivement d'elle, l'une des meilleurs jeune danseuse que notre beau pays n'ait jamais connu ! Je vous encourage tous donc à assister à la première représentation publique de Christabella, qui aura lieu dans exactement six jours, gratuitement sur la place publique !
Romulus Serpenti."

Je me demandai en quoi cet article pouvait bien m'aider, quand j'entamais le second :
" Commémoration des 408 ans du massacre de Amen'dur"

" Cela fait 408 ans exactement aujourd'hui que l'on a découvert les restes de la ville d'Amen'dur. Pour ceux qui ne connaîtriez pas déjà cette horrible histoire, la voici : il y a 408 ans donc, à Amen'dur, un ballet fut organisé sur la place publique par le salon de danse locale. Toute la ville y était convié, et personne ne manqua à l'appel, tant on ne faisait que dire du bien de la remplaçante pour le rôle principal. Ainsi, le soir, le ballet commença, et détournant l'attention de tout les habitants, gardes y compris, grâce au ballets, un groupe de vampire entreprit de vérouiller toutes les issus de la ville fortifié, piégant ainsi quiconque se trouvait en ville à ce moment. Le massacre commença en plein milieu du spectacle, personne n'y survécut. Les vampires tuèrent tout sur leurs passage, dans une furie meurtrière sans précédent. On raconte que la jeune remplaçante fut tellement choquée, qu'elle continua à danser seule sur la scéne..."
Le reste de la page est déchiré.
Que tirer comme conclusion de tout ceci ? Christabella est-elle si vieille que ça ? A-t-elle était transformé il y a 400 ans, ou était-elle déjà une vampire et faisait partie du complot ?
Je n'en avais strictement aucune idée. Je m'allongeais alors sur le lit, attendant que le sommeil ne m"emporte, je n'avais pas faim.
Cette nuit là fut particulièrement viloente. Et le message que mon inconscient tentait de me faire passer fut clair comme de l'eau de roche, il avait enfin compris que sa subtilité ne faisait que m'embrouiller plus qu'autre chose. Ainsi, je fit un tout nouveau rêve. Je me trouvais assis à même le sol, au milieu d'une foule de gens qui avait l'air totalement hypnotisé par ceux qu'ils voyaient. Je ne pouvais me mettre debout, comme retenu par une gravité décuplé. J'entendais une musique trés douce, légère et volatile, venant d'un endroit à environ 50m en face de moi. Je ne mit pas longtemps à comprendre où j'étais, et ce que je faisait là, mon inconscient allait me faire revivre le massacre d'Amen'dur. Tout ceci était tout de même bien étrange, comment pouvais-je revivre en rêve un événement ayant eu lieu il y a plus de 400 ans ? Les questions se bousculaient dans ma tête, quand j'entendit un verrou se refermer, puis un autre, puis un dernier. Les issues devaient être toutes fermer maintenant. Les vampires ne tarderaient pas à passer à l'attaque. A peine cette pensé m'éffleura-t-elle, que j'entendit un hurlement provenant du même endroit que la musique. Celle-ci en fut d'ailleurs stoppé nette. La foule commença à se disperser, courant dans tout les sens, ils me passaient à travers, j'étais comme un fantôme voyeur, assistant à la scène sans que personne ne puisse me voir. Comme dit dans l'article, Christabella elle, ne fuyait pas, continuant calmement sa danse qui semblait en effet surnaturelle et aèrienne. Je pouvais même voir se dessiner sur son visage un léger sourrire de satisfaction, comme si elle était fière de quelque chose. La panique grandissait, et les vampires eux en jouïssaient. Pendant un long moment, j'assistait à des meutres atroces, des égorgements, des démembrements... Quand enfin le calme revint, seuls les vampires faisaient encore du bruit en marchant. Ils se dirigèrent vers la scène, vers Christabella. Bizarrement, j'entendie malgrés la distance, leur conversation :
" - Alors petite tu n'as pas peur de nous ? dit le plus laid des cinq vampire encerclant Christabella.
- Oh, si, intérieurement, leur répondit-elle d'une voix fluette, masquant trés peu son ironie.
Un gros vampire lui saisit le bras violement.
- Tu m'accordes cette danse, lança-t-il avec sa voix aussi grasse que le reste.
- Avec plaisir !
"Attention, contenu violent"
Spoiler:
Je fermais les yeux, et entendit alors un craquement, en les réouvrant, je me trouvais dans ma chambre. Roberus était là aussi, rebouchant sa fiole.
"- Je sais que tu m'en veux, mais, toi et ta soeur êtes la seule chose qu'il me reste à présent. Et je tiens à vous aider autant l'un que l'autre, quoiqu'il m'en coûte, même si tu dois me détester pour ça., dit-il en posant la fiole sur une table.
- Je... je ne vous déteste pas, c'est... c'est juste que... j'ai du mal avec les gens qui font des choses dans mon dos.
- Je sais, j'aurais du te parler de la mission d'Arias...
- Plutôt oui ! dis-je avec un ton épuisé.
- Delonias, Borehus m'a raconté les pogrés que tu as effectué, et je tenais pour ça à t'aidé à y voir plus clair, Arias se doutait que les articles réveilllerai un nouveau rêve chez toi, il m'a conseillé peu avant sa mort de te les montrer, et d'utiliser le Visitae druemae à ton inssue, puisque tu y était opposé pour je ne sais quelle raison. Je me devais de réaliser son souhait...
- Et bien, ça a marché. Arias avit raison. J'ai revècu le massacre d'Amen'dur cette nuit. Et apparement, Christabella était déjà vampire depuis un paquet de temps. Au moins plus de 500 ans.
- Ce qui ferait qu'elle aurait... 1000 ans environ !?
- Minimum oui.
Nous restâmes silencieux un moment, quand il reprit avec un ton grâve :
- Elle doit être l'une des plus vieilles vampires au monde, alors...
- Pas seulement la plus vieille, aussi la plus puissante !"
Noyer dans ses pensées, Roberus quitta la chambre et rejoignit la sienne. Je passai le reste de la nuit à cogiter sur ce que je venais d'apprendre. Comment tuer l'un des plus vieux vampire que Terra Mystica n'est jamais porté ? Une question à laquelle je ne trouvais pour l'instant aucune réponse.
Le temps passa, et je ne trouvais toujours pas de réponse. Le jour de mes 17 ans approchait à grands pas, quand Roberus me prévint, au beau milieu du déjeuner, que l'entraînement était annulé jusqu'à nouvel ordre, Borehus couvant une maladie grâve, du moins assez pour le cloîtrer au lit. Il me proposa alors une alternative intéressante en attendant, pour ne pas perdre la main :
"- Te sens-tu prêt pour ton premier contrat en tant que chasseur de monstres ? dit-il avec un ton enjoué.
- Sérieusement ? Vous pensez que je suis prêt ?
- Cela fait au moins une bonne année que tu es fin prêt, mais Borehus ne voulait pas prendre de risque ! Moi par contre, je ne pense pas que ça en soit vraiment un. En plus, le contrat que je te propose ne concerne pas vraiment un monstre en soit, mais une "sorcière".
- Trés bien, j'accepte !
- Merveileux ! Tu dois donc te rendre dans un petit village, à quelques heures d'ici à cheval. Les détails te seront donné par une certaine Dahlia.
- Je pars sur le champs ! dis-je en gobant le reste de mes fraises.
- J'aime cet entrain, la "première fois", une véritable expèrience dont tu te souviendras toute ta vie pour sûr !
Sur ce point, il avait raison !
Le cheval que j'avais emprunté pour cette mission devait veritablement me haïr à l'arrivée. Tellement excité par mon premier contrat, je le fis aller au galop d'un bout à l'autre du trajet. J'arrivais au village en moins de deux heures. Je demandai aux passants de m'indiquer où je pourrais trouver Dahlia, et me conseillèrent de demander à la femme du tavernier, qui servait... à la taverne ! Je m'y rendais donc, et vis une inscription sur la porte : " Chez Al, tournée générale " avec une pointe d'excitation, j'entrai, avec un grand sourrire, tout les hommes du bar me regardait, me prenant pour un dingue. Je m'accoudé au bar, m'adressant à la femme dérrière le comptoir :
"- Où puis-je trouver Dahlia s'il vous plait ? dis-je en chuchotant.
- Tout dépend de qui la demande ! fit la femme avec un rire railleur
- Je suis chasseur de monstres, Roberus m'envoie ! répondis-je encore plus bas. La femme se rapprocha, et me souffla discrètement à l'oreille.
- Retrouvez moi dérrière l'église dans une heure dans ce cas."
Je restai là, une seconde sans comprendre, puis je sorti de la taverne, me rendit derrière l'église, et fit l'inventaire des armes que j'avais emprunté avant de partir de chez mon oncle. Une masse à pointe, une arbalète légère, une dixaine de carreaux, et un bouclier léger. A peine avais-je finis de tout ranger, que la femme m'accosta. Elle était plutôt jolie, quoiqu'un peu épaisse. Ses cheuveux raides et coupés au niveau des épaules étaient d'un châtain bannal. Elle portait une robe de tissus gris peu sophistiquée, tâché de jaunâtre par endroits. Son visage un peu bourrue la rendait trés abordable, pas du tout distante. Elle commença alors : " - Notre village est menacé par une sorcière ! Je suis la seule à m'en être rendue compte, cette espèce de monstre a ensorcellée mon mari, et elle l'a violé, puis tué ! Je les ai surpris, et je l'ai vu, le poignardant ! Personne ne sait que Al est... mort ! Ils pensent qu'il est parti en voyage, je ne veux pas avoir à jouer les veuves tant que cette prédatrice sera toujours en vie ! Elle se pavane dans une sorte de grange en ruine, à l'autre bout du village, et n'en sort presque jamais. Votre mission sera de débarrasser le village de ce fléau. Je vous paies la moitié maintenant, et le reste quand vous m'aurez apporté sa tête ! " Elle me fourre alors un phénix d'or dans la main, et pars discrètement, sans attendre ma réponse. J'imagine qu'elle savait que ça serait un "oui" !
En faisant le résumé de tout ça, je me persuadais qu'il valait mieux attendre la nuit, qui ne tarderait pas à pointait le bout de son nez, puisque le soleil commençait déjà à entamer la dernière partie de sa descente. Il devait alors être environ 17h, je me posais dans un coin, essayant d'élaborer une tactique, en prévision de ce soir. Difficile tout de même de trouver un plan sans connaître les forces/faiblesses de sa proie ! De plus, je n'avais même pas procéder à un petit repèrage autour de la grange. Je m'y rendais donc, avec la ferme intention de réussir à espionner mon ennemie, afin de savoir au moins à quoi elle ressemblait ! J'atteignaie assez vite la grange en question, le village n'étant pas trés grand, elle était assez imposante, faite toute en bois, s'étendant sur environ 100m². Je repérais une sorte de fenêtre en facade, trop haute pour que quelqu'un puisse l'utiliser, c'était sûrement juste pour laisser entrer le soleil. J'escaladais la grange jusqu'à cette fenêtre, sans un bruit, je commençait à espionner. Il n'y avait qu'une personne, une femme, la sorcière. Elle était allongée sur une poutre de bois horizontale, à environ trois mètres de hauteur du sol, les yeux fermés, comme endormie, sauf qu'elle faisait balançer son bras gauche qui pendait dans le vide doucement. Elle était vraiment trés belle, et trés jeune, à peine plus vieille que moi. Sa peau était d'une couleur pâle, sans l'être trop, sa bouche parfaite, ni trop fine, ni trop épaisse, était rouge foncé, son nez droit, trés féminin, tout aussi parfait, ses joues trés légèrement rosée, et ses traits fins, ne la rendait aucunement démoniaque, quoique pas angélique non plus. Ses cheveux noirs, aux reflets qui paraissaient violet sombre, était totalement libres sur la poutre. Ils formaient quelques ondulations épaisses, comme une cascade, rendant le tout trés volumineux. La sorcière portait une robe commençant au niveau de ses épaules, et finnissant à ses pieds. Le tissus d'un vert foncé trés noble, avait vraiment l'air d'être de qualité, avec un ruban blanc éclatant au niveau de la ceinture, faisant ressortir sa splendide cheveulure. Je m'écartais de la fenêtre, pensant qu'il aurait peut être était préférable de ne pas savoir qui j'aurais à tué en fin de compte. Cette magnifique jeune fille restait quand même une tueuse, une sorcière, et j'avais été embocher pour la tuer. Reprenant un peu mes esprits, je jettais à nouveau un coup d'oeil, procédant alors à un repérage des lieux trés sommaire. C'est alors qu'un détails gênant me sauta aux yeux, il n'y avait aucun accés à cette poutre, il aurait fallut escalder les deux autres poutres qui maintenaient celle-ci pour pouvoir s'y allonger. Cette sorcière avait donc soit un talent certain pour l'escalade, soit un don de lévitation. Dans les deux cas, si elle ne bougeait pas de sa poutre, je ne pourrais l'atteindre qu'avec l'arbalète. Je regagnai le sol, me rendant à la taverne, pour attendre la nuit, et préparer l'attaque. Au bout d'une bonne heure, je commençai à voir naître quelques bonnes idées, mais ne retint que la meilleure. Quoi de plus déconcertant pour un ennemi qu'une entrée fracassante du chasseur par la grande porte ! Je prévoyais alors toutes les possibilités, et me persuaidai de jeter un oeil une dernière fois par la fenêtre, pour connaître la position de ma cible, avant de me jeter dans l'arène. Je prendrais l'arbalète, chargé, et tirerais directement sur elle, afin de faire sa vite, et d'éviter tout danger. J'était fin prés, mais la nuit n'était pas encore à son potentiel d'obscurité maximale. J'attendais alors encore un peu, que la lune soit caché par les nuages, et que le noir ne gagne totalement le ciel.
Mon coeur battait plus que jamais, j'était trés tendue, mais trés impatient aussi ! Non pas que le deuxième phénix d'or que m'avait promis la tavernière soit si engageant que ça, mais le seul fait d'être prêt à exécuter mon premier contrat me donner la sensation de passer un cap décisif de ma vie. Une fois arriver à la grange, je prit encore plus de précautions, à être silencieux en escaladant la facade, et en me positionnant bien pour observer l'intérieur par la fenêtre. Malheureusement, première surprise ! Il y avait des rideaux qui me cachait complètement la vue ! Mon plan tombait à l'eau, mais je ne voulaie pas me démonter si vite. Je prit mon courage à deux mains, descendit de mon perchoir, me plaçai pile en face de l'entrée principale, qui était en fait une double porte, sorti mon arbalète déjà chargé, et frappai d'un grand coup de pied la fente des entre les deux immenses portes de bois épais. Elles s'ouvrirent avec un grincement abominable, déplaçant au passage des tonnes de sables, formant alors une dense fumée marron, dans laquelle je pénétrai sans peur, l'arbalète devant. Je n'y voyais rien, mais entendit un bruit sourd, comme si quelqu'un avait laissé tombé un objet imposant. J'entendai aussi un autre bruit, un peu plus loin, une sorte de feu. La fumée se dissipa, me laissant alors tout le temps de me décrire la scène visuellement. Il y avait au centre de la grange, un grand feu, alimenté de paille et de quelques bouts de bois imposants, autour de ce feu, je pouvais voir six personnes. Quatres bardes, dont un avait son instrument aux pieds, me regardant avec des yeux apeurés, une jeune femme, qui prenait une pose, les bras en l'air, et la jambe droite légerement relevé, un peu étrange, semblait totalement confuse, et finalement, assise sur un banc prés du feu, me fixant avec un air étonné, la sorcière. Je n'avais pas prévu qu'il y aurait d'autres personnes dans la grange, décidement, cette mission faisait tout pour ce complexifiait !
La sorcière se leva doucement, je suivais son geste avec mon arbalète, et lança aux autres : " On fera ça une prochaine fois, je commence à fatiguer ! " Elle acheva sa phrase avec un sourrire désolé, et les autres passèrent tour à tour pour s'incliner devant la sorcière, et quittèrent la grange sans paniquer, hormis un barde, qui courut dés qu'il fut sorti. La jeune femme fut la dernière à sortir, et ferma les portes derrière elle. Je me retrouvais alors seul avec ma cible, qui s'était ramené une partie de ses cheveux en un chignon imposant, laissant tout de même une grosse partie pendre jusqu'à ses omoplates. Elle commença alors d'une voix exaspéré :
"- Qui es tu ?
- Je suis chasseur de monstres, et on m'a engagé pour te tuer. dis-je en prenant soin de garder un ton prudent, mais pas inquiet.
- Ah, je ne savais pas que j'étais un monstre maintenant ! dit-elle avec amusement, et qui t'as engagé si je puis me permettre ?
- Je ne suis pas censé le révéler répondis-je avec hésitation
- Oh voyons ! Si tu me tues, je n'irais dire à personne que tu me l'as révélé ! elle n'avait pas tord, si elle allait mourrir, autant qu'elle maudisse mon commenditaire plutôt que moi !
- C'est vrai, c'est la femme du tavernier qui m'a engagé
- Quoi ?! Cette vieille truie ? Mais que diable me repproche-t-elle ? dit la sorcière avec un étonnement qui n'avait pas du tout l'air feinté.
- Eh bien, vous avez tuer son mari, en voilà une première raison qui me semble tout à fait valable, mais, s'il vous en faut une autre, elle dit que vous l'avez abusez juste avant ! dis-je avec une mauvaise ironie.
- Abuser un tavernier, désolé mais je ne mange pas de ce pain là !dit-elle avec un ton sincèrement désolé.
- Tes mensonges ne te sauveront pas sorcière ! lui lançai-je alors avec un excés de violence, elle t'as vu !
- Tu crois vraiment qu'une femme qui voit son mari ce faire "violer", va attendre sagement que je le tue ?

- Honnêtement, non ! Mais tu es une sorcière, et ce seul fait, me permet de te donner la mort sans regret. dis-je avec une foi inébranlable !
- Là encore, comment sais-tu que je suis une sorcière ? Es-ce la même femme qui a vu son mari se faire violer et tuer qui t'a racontée ça ?
- Oui, mais sur ce point là elle avait raison ! Je t'ai espionné dans l'aprés midi, tu étais allongé sur cette poutre, dis-je en désignant l'intéréssée , il n'y a aucun accés, sauf la lévitation, un grand classique chez les sorcières.
- Oh arrêtes ton cinéma, tu me fatigues ! dit-elle avec un petit rire, je ne suis pas une sorcière et tu le sais aussi bien que moi ! Dahlia éssais de trouver un bouquémissaire pour cacher le meurtre de son mari, qu'elle a elle même commis. La semaine dernière, Al est venue me trouver, et m'a proposé de l'argent pour coucher avec lui, dit-elle d'un ton détaché, je lui ai fait comprendre que je n'étais pas ce type de fille, je suis une hédoniste, certes, pas une prostituée ! De plus, les hommes marié n'ont rien pour eux ! C'est alors qu'il a tenté de me "contraindre", un gloussement lui échappa, il n'a pas été déçu du voyage, ses parties génitales ont reçu un coup dont je suis particulièrement fière : fort et précis ! Dahlia était dehors et l'a vu sortir avec les mains sur les "trucs", elle s'est montée la tête, et l'a tué ! Je l'ai vu dans la forêt pendant une de mes promenades nocturnes, elle tentait d'enterrer le corps, je l'ai aidé, mais elle m'a faite juré de ne rien dire. Maintenant que tu m'apprends qu'elle me dit reponsable de la mort de Al, il n'est pas dur de comprendre pourquoi elle veut ma mort !
LA SUITE EN PAGE 2, FAUTE DE PLACE !!!

Invité

Anonymous




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BlackHost  Sand-g10Sam 28 Mai - 13:12
Je viens d'avoir un problème avec la limite de lignes imposé OO donc je met la suite de ma fiche ici ^^ ! DSL du double POST !

Suite HISTOIRE : BlackHost  Vanessa-hudgens-cineplex-march

- Tout ça semble cohérent, mais tu n'as toujours pas justifié t'être trouver sur une poutre à trois mètres du sol.
- Détends toi chasseur, tu sembles si tendu...
" Attention, contenu un peu osé "
Spoiler:

" - Quelque chose ne va pas ?
- Non, non, c'est juste que j'ai fait un rêve étrange.
- Racontes," dit-elle l'air vraiment intéressé.
Je m'exécutais donc, lui racontant aussi le rêve d'avant, où je voyais Christabella à la fin. Elle me posait plein de questions, et à la fin de la discussion, elle en savait autant que moi sur Christabella. Ou peut être plus :
"- Tu veux tuer une vampire sadique vieille de plus de mille ans, en gros c'est ça ?- Oui, en gros, dis-je en riant !
- Oh, rien de plus simple ! Il te suffit d'acquérir un einherjar, et c'est réglé ! Quoique, à ce que j'en sais, c'est la partie la plus dur du programme...
- Tu es sérieuse, tu connais un moyen ?
- Les einherjars je te dit ! On raconte que lorsqu'ils sont liés à quelqu'un par le pacte de l'hôte brumeuse, on peut les invoquer, et ils nous obéissent au doigt et à l'oeil. dit-elle avec une voix mystérieuse.
- Oui d'accord, mais en quoi cela va-t-il m'aider à éliminer Christabella ?
- Les einherjar ne sont pas des êtres de chairs, ce sont des fantômes. Ils attaquent l'ennemi en cherchant au plus profond de lui les souvenirs de chacune des personnes qu'il a tué, et fait résonner leur cris en même temps dans la tête de la victime. Si Christabella est si sadique et vieille que tu le dit, elle a du en commettre des meurtres, tu ne crois pas ?
- Et l'einherjar pourrait la torturer à souhait..., mais dis moi, où as-tu appris tout ça ?
- Tu croyais quoi ? Que j'étais le genre de femme qui s'est toujours vu marié, à la maison avec huit enfants ?
- Huit peut être pas... lui lançai-je sur un ton moqueur.
- Quel goujat dis donc ! J'ai été étudiante pendant longtemps, à la grande université arcanes de la capitale, moi, monsieur le chasseur !
- Pendant longtemps tu dis ? Mais tu n'as pas plus de 17 ans...
- J'aimerais bien savoir d'où tu sors ça toi ! D'ailleurs, toi ! C'est quoi ton nom ?
- Delonias Baromen. lui dis-je fièrement.
- Mon Dieu que c'est laid ! Je vais te trouver un surnom...que dirais-tu de...BlackHost !? C'est classe, ténébreux, sexy... tout comme toi ! me proposa-t-elle très sérieusement.
- Euh... d'accord, si tu m'expliques d'où tu sors ce nom !
- C'est de l'anglais, une langue morte depuis prés de 2012 ans je crois, ça veut dire "l'hôte noire" !
- Pourquoi suis-je d'après toi "l'hôte noire" ?
- Tu t'habilles en noir et d'après ce que je lis dans ton regard, tu as l'intention d'accueillir un einherjar, et les gens qui en portent un, on les appelle les hôtes.
- Et toi tu t'appelles...
- Blondie ! dit-elle en souriant.
- Mais, tu n'es pas blonde...
- Je t'en pose des questions moi !!!
- Bien, ça me va ! Mais j'ai intérêt à vite me trouver un einherjar, ou ce surnom ne ressemblera à rien !
- En effet, mais je pense que tu sais déjà où en trouver un, la légende parle de messages que l'hôte brumeuse envoie aux futurs hôtes, afin qu'ils trouvent son antre. Je pense que la grotte dont tu rêves, est une de ces antres.
- Allons-y alors, je sais où ça se situe, c'est dans la région de Flore ! dis-je avec excitation.
- Tu vis vraiment dans un autre monde toi ! Et Aile ténébreuse, t'y as pensé ? Son armée presqu'entière loge dans ses bois, si tu veux te faire tuer, c'est clair qu'y a pas plus rapide comme solution.
- Je dois m'y rendre, je n'ai pas le choix !
- Eh bien dans ce cas, tu auras besoin d'un petit coup de main !
- Tu n'es pas obliger...
- Oh si, sans moi, tu mourrais en moins d'une minute.
- C'est pas faux, mais je ne vois pas vraiment qu'elle genre d'aide tu pourrais m'apporter, je veux dire, tu n'es pas spécialement doué au combat, si ?
- Certes, ma pensée hédoniste ne m'a pour l'instant jamais demandé de tuer quelqu'un, mais ces bêtes ne mérite rien de plus ! De plus, je suis plus rapide, plus agile, et totalement plus rusée que toi BlackHost !
- Pourquoi donc Lady Blondie ?
- Tout d'abord, parce que je suis une fille, et puis surtout parce que...je suis une vampire.
L'instant se figea. Blondie était une vampire, et ça m'avait échappé. Pourtant, tout l'indiquait, la couleur de sa peau, de ses yeux, sa capacité à monter sur des poutres de trois mètres de haut, ses longues études à la capitale... Ma chasse prenait une nouvelle tournure, j'avais alors à faire à une vampire, plus une sorcière. J'essayais de garder mon sang-froid, de ne pas laisser transparaître le choc, et de faire semblant de n'y voir aucun inconvénient.
- Ah oui ? dis-je calmement.
- Depuis peu, j'ai été changé à seize ans, j'aurais du fêter mes 31 ans le mois dernier. Tu le prend mieux que je le pensait, je m'attendais à ce que tu te jettes sur ton arbalète ! dit-elle en rigolant.
Je cherchais celle-ci discrètement des yeux d'ailleurs, quand Blondie se leva, et me dit :
- Tu l'as fait volé vers où déjà ?
- Je n'sais plus.
Je me mit à réfléchir à un plan d'attaque, en vitesse, il fallait que je la tue avant qu'elle n'en ai l'occasion. Je ne pouvais pas à mains nue, il fallait que je trouve une arme ! Je me levai alors à mon tour, et aperçu mon sac d'armes, à l'autre bout de la grange. Blondie cherchait encore l'arbalète. Tout à coup elle s'écrit : " Elle est là ". Ma dernière chance, si elle se retrouvait avec une arme, je ne ferais vraiment pas long feu. Je me mit alors à courrir comme un fou, en direction du sac d'armes. A mi-chemin, Blondie apparut devant moi.
" - Tiens, ton arbalète, dit-elle en me la tendant.
- Merci...dis-je en la prenant, affichant une mine aussi décontractée que possible.
- Pourquoi tu t'es mis à courir d'un coup ? On est pressés ?
- Euh...non, non, c'est juste que j'étais impatient de me dégourdir les jambes, et quoi de mieux pour ça que de piquer un sprint à travers une grange !? lui dis-je en tapotant mes jambes.
- D'accoooooooord, dit-elle en levant le sourcil droit, je vais chercher une cape longue, je ne sais pas si tu es au courant, mais les vampires n'apprécient pas tant la lumière !
Elle s'éloigna, monta un petit escalier et s'engouffra dans un petit couloir, menant sûrement à sa grade robe. Je restai là, consterné, me posant toutes sortes de questions. Pourquoi ne m'avait-elle pas tuée ? Pourquoi m'avait-elle donné son arme ? Etait-il possible qu'elle soit une version gentille du vampire ? Etait-il possible qu'un vampire soit capable de se priver de sang humain ? Blondie était-elle vraiment différente de Christabella ?
Il fallait que j'ai des réponses, je jouerais franc jeux. Par prudence, j'allais quand même récupéré ma masse à pointe dans le sac, et l'accrochait à ma ceinture, de sortes que je puisses l'avoir sous la main, au cas où Blondie essaierait de me sauter à la gorge. J'attendit alors quelques secondes, et Blondie réapparut, vêtue d'une cape marron. J'allais lui lancer une de mes questions à la figure, quand tout à coup, son visage prit une expression d'horreur.
" Qui y a-t-il ?" demandai-je inquiet.
Des voix venant de l'extérieur me répondirent à la place de la vampire : "Mort à la sorcière !!! Brûle démon !!"Une chaleur intense se fit sentir, quand je réussit alors à en localiser la source. Un feu s'était déclencher sur le toit, et avait progresser avec une vitesse hallucinante. Le temps que je repère ce feu, la double porte qui composait la seule véritable issue s'embrasa à son tour.
"- Dahlia a du monter tout le village contre moi, dit-elle avec une pointe de panique lui déformant la voix.
- Comment on peux sortir d'ici ? lui demandai-je en levant la voix pour couvrir les bruits que produisaient les flammes.
- Suis-moi ! dit-elle en se déplacant avec son allure de vampire.
- Attends, lui hurlai-je, j'ai des questions à te poser avant de pouvoir te faire vraiment confiance.
- Non, je n'ai jamais tué personne, je me nourrie du sang de bêtes, ou plus rarement, en buvant le sang d'une personne déjà morte. Ca va là t'es comblé ?! On peut y aller ? dit-elle avec agacement.
- Qui me dit que tu ne me ment pas ?
- Personne, tu vas devoir me faire confiance prématurément !" lança-t-elle encore plus agacer qu'avant.
Elle avait raison, je ne saurais jamais la vérité, je ne pouvais lui faire confiance, je devrais me séparer d'elle après m'être sortie de cette grange en feu. Je commençait alors à la suivre, quand la poutre à trois mètres de haut s'effondra, me bloquant le passage. Le feu qui la consumait m'empêcher de la franchir. Blondie fit irruption, en sautant au dessus de la poutre avec une allure surnaturelle, m'attrapant par la taille, et me faisant repasser de l'autre côté du brasier.
" - Ca y est là ? T'as confiance ! hurla-t-elle à l'attrissage.
- Non, lui lançai-je sèchement.
Elle ne fit pas attention à ma remarque, et me tira jusqu'à un mur de la grange. Elle poussa légèrement le bas du mur, et celui-ci s'enfonça vers l'extérieur, révélant une sorte de châtierre géante. Elle me fit sortir en premier, puis me rejoignit dehors. Je commençait alors à courir vers mon cheval, qui se trouvait toujours à l'entrée de la ville, à environ cent mètre de là, quand j'entendit Blondie m'appeler, je ne me retournais que quand j'entendit alors un bruit de lame sortant de son fourreau, et une voix lancer : " Dis au revoir à ta tête ", la voix de Dahlia. Je fit alors demi-tour, voyant une scène abominable se dérouler sous mes yeux. Six villageois, dont les visages étaient déformés par la fureur, tenait Blondie, à genoux, le cou en évidence, alors que Dahlia brandissait une épée longue au dessus de sa tête, prête à la faire retomber sur la nuque de sa "sorcière". Sans réfléchir, je visais Dahlia avec mon arbalète, et lui décochai un carreau dans le ventre. Elle laissa tomber sa lame à côté de Blondie, et s'effondra de tout son poids. Je courrai vers Blondie, qui semblait inconsciente, quand un des hommes qui la tenait ramassa l'épée de Dahlia. Je lançais alors ma masse à pointe vers le nouveau bourreau, mais ce fut le manche qui l'atteint, et alors que je n'étais qu'à une dizaine de mètres de Blondie, l'épée retomba sur son cou.
" NON !!! "hurlai-je en voyant sa tête rouler jusqu'à mes pieds.
Je sentis alors des mains m'attraper, et un objet contondant heurter ma tête. Je m'évanouissais alors...
Je me réveillais attacher par plusieurs cordes d'une épaisseur monstre, à un poteau de bois, entouré de pailles et de branches. Alors que je récupérais l'usage de mes yeux peu à peu, je vis une foule acclamant un homme sur une estrade devant moi. Il débitait son discours avec une aisance politique palpable :" Mes amis, la sorcière a été éliminé, mais elle nous a laissé ses monstres, tous à ses pieds, esclaves de son esprits ! Nous allons ce soir les libérés du jougs démoniaque ! Mes amis, remercions les dieux, de nous avoir apporté la clairvoyance ! Le feu purifiera vos âmes pauvres pêcheurs ! "
Je réalisais que je n'étais pas seuls, il y avait quatre autres poteaux qui m'entouraient, avec chacun son "esclave" de la sorcière. L'un d'eux, un homme assez âgé, aux cheveux grisonnant, et vêtue d'une toge de moine marron, hurla alors à la foule :" Mais enfin vous êtes tous complètement fous ? Aucun de nous n'est au service d'une quelconque entité démoniaque ! Le seul démon qui habite ce village, vous l'avez devant vous, l'homme qui vous a tous endoctriné ! Derrick est le seul pêcheur qui mérite la mort ici ! Vous allez brûler des innocents, et ce pêché là vous suivra jusque dans votre propre tombe, soyez en sûr !". Les villageois paraissaient déboussolé, mais leur leader charismatique revînt à la charge, nous comparant à la peste, qui pourrait rendre malade, et tuer tout le village, si nous n'étions pas "purifier" par la flamme divine dés maintenant. Un homme brandissant une torche se détacha de la foule, monta sur la scène et, sur commande du chef fanatique, enflamma la paille qui encerclait le poteau du vieil homme. Le feu prit très vite, et constitua alors une prison au vieux moine. Cependant, le feu ne l'atteignait pas, la paille et les branches était disposé de telle manière que le feu ondule tout prés de lui, mais ne le consume jamais vraiment. Nous mourrons très lentement de cette façon, la chaleur réduisant nos peaux en lambeaux aux bout d'une heure, et commençant à prendre nos vies seulement au bout d'une trentaine de minutes supplémentaires. Je commençait sérieusement à paniquer, quand l'homme à la torche embrasa un deuxième bûcher, un jeune garçon, qui ne devait pas être bien plus vieux que Nissy, se trouvant au centre, encore inconscient. Mes liens était indéfaisable dans ma position, si je devais m'échapper, se serait avec une aide extérieur. Je devais retourner la foule contre ce malade qui nous avait condamné, tous les cinq. Je commençait alors à hurler, que leur chef était maudit, qu'ils seraient tous jugés pour nous avoir regardé mourir, que nous ne connaissions aucune sorcière, mais ce fut sans effet, ils n'avaient d'yeux que pour l'autre, démontant chacune de mes affirmations par une habile tirade, mettant en avant l'aspect démoniaque de mes propres mots. L'homme à la torche enflamma un troisième bûcher, celui-ci entourait une femme d'une trentaine d'année tout au plus, très bronzé. Le prochain devait être moi, et encore après, une vieille femme, qui était consciente, mais ne semblait quand même pas présente. Je perdais espoir peu à peu, la foule hurler de nous brûler, et l'homme à la torche décrivait un rythme méticuleusement effrayant, dans sa façon de créer un intervalle entre chaque embrasement. Vint alors mon tour, et les dernières bribes d'espoir s'envolèrent, pendant que les flammes me caressaient presque le visage.
Cela faisait presque dix minutes que le dernier bûcher avait été allumé, et on entendait déjà le vieux qui hurlait de douleur, et le jeune garçon, qui s'était réveillé depuis, sangloter et tousser à cause des vagues de chaleur insupportables que dégageaient les flammes. La trentenaire priait un dieu, qui ne semblait pas pressé de l'aider, alors que la vieille femme marmonnait doucement des paroles inintelligibles, tout en restant les yeux fixés sur le sol. Je ne pouvais voir que mes voisins directs, mais il m'était facile d'imaginer l'état du vieux, dont la peau devait sûrement déjà commencer à fondre, en formant de grosses cloques dégoulinantes, ou encore du jeune garçon, qui devait déjà avoir plusieurs traces noires sur le visage rougît par le brasier intense. Derrick, le fanatique débitait toujours son discours selon lequel il nous rendait ainsi notre liberté...
Quand soudain, des hurlement se firent entendre en provenance de la foule. Je scrutais celle-ci tant bien que mal à travers les épaisses flammes, et comprit très vite la cause de ces cris. Une armées de créatures monstrueuses déferlait à travers le village, massacrant tout à leur portée. L'armée de l'aile ténébreuse. Une lueur d'espoir très obscure, mais c'était mieux que rien. Les créatures arrivait à point nommée, tel le châtiment divin s'abattant sur des fanatiques extrémistes. Cette pensée me fit sourire, ils méritaient tous les uns autant que les autres de mourir, et c'était l'aile ténébreuse qui nous rendrait justice. Soudain, je vis la vieille se mettre à voler. Ses liens étaient à terre, coupés, sûrement par le couteau de cuisine qu'elle tenait à la main. Elle se dirigea vers moi, survolant les flammes, et défit mes liens tout en me soufflant à l'oreille : "Sauves le village !". Je franchissait alors les flammes, et vit la vieille sorcière aller détaché les trois autres "pêcheurs". La femme et l'enfant s'enfuirent, alors que le vieux s'effondra dans les flammes, son corps déjà trop abîmé. Malgré ma dette évidente envers cette vieille dame, je ne pouvais consentir à risquer ma vie, ne serais-ce que pour un seul de ces lâche, qui, il n'y a pas si longtemps m'auraient regardé mourir à petit feu sans sourciller. Je m'enfuyait donc, vers mon cheval, quand je l'aperçus, au loin, à l'entrée du village, coucher, les entrailles dehors. Je fit demi-tour, et m'isolait du massacre dans une petite maison vide. Il fallait que je m'enfuis, que je trouve un cheval, à pieds, ça ne serait pas jouable du tout. Je sortais de la maison, cherchant une monture des yeux, quand je vis à quelques mètres de la scène, Derrick, sur un cheval, tentant de fuir. C'était sans compter sur les autres villageois, désireux eux aussi de vivre, qui le tirer de partout, bloquant le passage. Le cavalier sorti son épée, et commença à donner des coups dans le tas. C'était ma chance, à côté de la scène, je repérais un coffre, dont le manche de ma masse dépassait. Le reste de mes armes devait aussi s'y trouver. Je rejoignait mon Graal, en sortit la masse, qui alla directement se loger dans le crâne d'un gnome un peu trop collant. Je sortit alors l'arbalète, la chargeait, et laissait la masse à terre, elle ne ferait que m'alourdir. Je repartais vers Derrick, qui donna un dernier coup d'épée à un pauvre homme déjà bien ensanglanté. Je pointai mon arbalète dans sa direction, et visais juste. Le carreau lui rentra dans la bouche, le faisant tomber de sa monture en même temps qu'il lui arrachait un dernier râle. J'enfourchais alors la bête, et fuyait enfin ce village maudit...
J'étais rentré chez mon oncle après ça, et avait entamé des recherches sur les einherjar. Voici ce que j'en tirais : Lorsqu'une personne meurt par la violence la plus extrême, et qu'elle éprouve une haine intense envers son bourreau, son âme est recueillit par une entité très puissante, appelée l'hôte brumeuse. L'âme se retrouve alors dotée d'un pouvoir de torture, appelé "la grande culpabilité". Ce pouvoir n'est efficace que sur les êtres possédant une conscience, autrement dit, il est inefficace sur la plupart des animaux, et sur certains démons. Le pouvoir consiste alors à faire raisonner tout les hurlements de douleur qu'a causée la cible, dans sa tête, ceci ayant pour effet de causer une douleur presque sans limites, mais sans jamais en mourir. Autrement dit, si la cible n'a jamais tué personne, le pouvoir sera sans effet sur elle, si au contraire, la cible a commis des centaines de meurtres, les cents cris de douleurs qu'elle aura engendré raisonneront ensembles, ceci ayant pour effet de paralyser la cible de douleur. Dés que l'âme entre en possession de ce pouvoir, elle devient un einherjar. L'hôte brumeuse marchande avec les êtres qui réussissent à la trouver, elle leur offre une des âmes qu'elle a recueillit, en échange d'une chose qui n'a pas de prix. La personne qui obtient alors un einherjar devient alors un hôte. Ce statut lui donne le donne le droit de faire apparaître à tout moment son einherjar, et de lui ordonner d'utiliser son pouvoir sur n'importe qu'elle cible. L'einherjar est obligé d'obéir à son maître lorsqu'il est appelé. Si l'hôte n'invoque pas son einherjar, celui-ci reste dans la tête de son maître, et peut lui parler par la pensée. Ainsi, l'einherjar n'est absolument pas sous le commandement de son hôte, et peut dire ce qui lui plaît. Sauf si bien sûr, son maître l'invoque, l'einherjar est alors totalement soumis à l'hôte. Les einherjar ont pour apparence lorsqu'ils sont invoqués, la dernière apparence qu'ils ont eu durant leur vie, soit l'état dans lequel leur bourreau les a laissés. N'étant que des âmes, ils sont immatériel, leur apparence est donc légèrement brumeuse, et ils ne peuvent être frapper que par une lame d'argent. Si cela se produit, l'einherjar ne peut plus être invoqué avant la prochaine lune. Les hôtes quant à eux sont souvent désignés à l'avance par l'hôte brumeuse, qui leur communique par le rêve certains indices sur la position de son antre. Mais il est possible de devenir hôte sans que l'hôte brumeuse ne vous ait contacté avant, ceci dit, les hôtes brumeuses changent d'antre à chaque fois qu'elles concluent un pacte avec un hôte, ce qui les rend très difficile à trouver pour ceux qui n'ont pas reçu d'aide de l'hôte brumeuse elle-même. Autre chose que Blondie n'avait pas mentionner, certains einherjar canalise leur haine en créant une arme de leur choix, que l'hôte se voit offrir par l'einherjar dés qu'il entre en sa possession.
Tout ceci me semblait parfait pour éliminer Christabella, et je remerciais Blondie, pour m'avoir mis sur la voie. Même si Blondie était une vampire, elle n'avait jamais eu le moindre comportement antagoniste à ma quête, au contraire, elle m'avait donné la clé de la réussite. Ces villageois l'avaient tués, et ils furent damnés par l'armée démoniaque pour ça. Il ne passait pas un jour sans que je remercie Blondie et l'aile ténébreuse de m'avoir si bien aidé. Depuis que j'étais rentré, l'état de Borehus se dégradait de jours en jours, sa peau se pâlissait, il avait de moins en moins de forces, et il décéda huit mois après mon retour. On l'enterrait une semaine plus tard, un jour de pluie. Roberus ne parraissait pas très affecté, il me confiait qu'ils n'étaient pas vraiment amis, mais puisque c'était lui qui avait assisté l'entraînement d'Arias, il m'avait confié à cet homme sans soucis. Et il avait bien fait, mon entraînement m'avait fait devenir beaucoup plus fort, plus rapide, plus agile, et surtout, Borehus m'avait appris tout les points faibles des vampires, toutes les façons de les tuer. Depuis sa mort, je m'entraînait tout seul dans la forêt, me mettant au défi de sauter d'arbres en arbres toujours plus éloigné, avec des sacs de sables au cou, ou alors je m'entraînait à visé avec précision à l'arbalète, chose qui allait demandé encore du travail.
Le temps passé, et je me demandai toujours comment j'allais pouvoir passé dans la région de Flore sans mourir. Je venais de passer le mois de mes 18 ans, la neige tombait avec encore plus de force que d'habitude, et je réfléchissait à un moyen de passer inaperçu dans cette forêt blindé de démons. J'en parlais avec Roberus au repas, et Nissy eut une idée. Elle me suggérait d'engager des mercenaires pour faire diversion, pendant que je me déplacerais silencieusement dans les arbres. Ce n'était pas une mauvaise idée en somme, mais cela impliquerait de trouver des mercenaires assez bêtes pour courir au suicide. Roberus était sceptique à l'idée d'envoyer des hommes à la mort, mais finalement, c'est lui qui trouva la meilleure alternative :
"- Je connais un bar à la capitale, où se réunissent des vampires complètement fous. Je pense que ta proposition pourrait leur plaire, à condition d'y mettre le prix bien sûr ! dit-il en me faisant un clin d'oeil, signifiant qu'il se chargerait de cette partie.
- Tu crois que je pourrais faire confiance à des vampires ? lui dis-je avec anxiété.
- Ca t'as plutôt bien réussit jusque là non ? Et puis, pour de l'argent, certains feraient bien pire que ça je t'assure !"
Il avait raison, encore, le lendemain matin, il me confia une bourse assez pleine de phénix d'or pour faire vivre tout un village pendant un demi-année. Je partais après le déjeuner, empruntant une nouvelle arbalète, une dague discrète, et un bouclier léger.
Le voyage fut long, mais j'arrivai enfin à Sen'tsura, en pleine nuit, rejoignant immédiatement le bar que Roberus m'avait très précisément indiqué. A peine la porte s'ouvrait-elle, que tout les regards se tournèrent vers moi. J'entrai lentement, et les regards me suivaient de prés, je vis même un vampire sur ma gauche se passer la langue sur les lèvres. Je m'arrêtais alors en plein milieu de la pièce, et déclarai avec une voix forte, et remplie d'autant d'assurance que possible : " Si il y a des vampires ici, qui veulent se faire un bon paquet d'argent, et qui n'ont pas peur d'affronter les rejetons de l'Aile ténébreuse, qu'ils viennent me trouver à ma table, j'ai besoin d'eux !"
Les vampires se mirent à chuchoter, et je rejoignais une table vide, dans un coin un peu isolé. Finalement, après un petit quart d'heure, les premiers candidats se présentèrent. J'en retenais 12, qui avaient des capacités guerrières plus que satisfaisante, et qui m'inspiraient assez confiance. Roberus avaient raison sur un point, ces vampires étaient tous plus fous les uns que les autres, il n'y en eu qu'un seul qui refusa de se rendre à Flore parmi les 26 candidats.
Mes 12 nouveaux alliés et moi, partîmes sans attendre. Nous arrivâmes assez rapidement à Flore, grâce au rythme soutenu que j'imposais à mes compagnons, et dont ils s'accommodaient bien mieux que moi. Même s'ils étaient des vampires, ils restaient très humains dans leur comportement avec moi, certains plaisantant, d'autres critiquant ma façon de monter aux arbres pour nous dégager la vue, et une jeune vampire, me confiait tout ses secrets, ce qui devint vite embarrassant, lorsqu'elle commença à me raconter ses exploits "intimes" avec plusieurs autres vampires... en même temps !
Arriver à Flore donc, je leur rappelais le plan, ils seraient divisé en 4 groupes de trois, et feraient diversion, chaque groupe à une entrée différente de la forêt, attirant ainsi le plus de monstres possibles vers ces points, pendant que je le traverserai par les arbres, tentant de trouver des feuilles bleue, puis la grotte de l'hôte brumeuse. Ils acquiescèrent tous, et les groupes se formèrent. Chaque groupe partit dans une direction opposée à la mienne, me laissant seul. Au bout d'une heure, ils devaient être en place, et devaient commencer l'attaque, je montais donc sur une arbre, qui ne ressemblait à aucun autre qu'il m'avait été donné de voir d'ailleurs, avec ses branches plates et larges, et son tronc écailleux à la surface miroitante. Il fut simple à escalader, les écailles formant de très bons appuis. Une fois au plus haut, je tentais de repérer la forêt bleu, avec succès, elle se trouvait à environ 1 kilomètre de ma position, au nord-est. Je me mettais tout de suite en route, sautant de branches en branches avec une rapidité qui m'étonnait moi-même, l'excitation devait y être pour quelque chose, je sentais mon coeur battre le rythme de mes déplacements avec une justesse remarquable. Pendant le trajet, j'entendais des fracas de lames, très faibles, sans faire attention d'où ils venaient, mais cela me permettait de savoir que mes diversions me couvraient toujours. J'arrivai à la forêt, et une sorte de flash m'apparut, la grotte se matérialisait dans ma tête, et une voix me soufflait avec légèreté de la suivre. Je reprit mes esprits, et la voix s'éloigna. Je décidai de la suivre, elle me mènerait probablement à la grotte. En effet, suivre la voix me mena directement devant cette grotte. Alors que je descendait de l'arbre, un doigt invisible se mit à tracer des flèches dans le sable blanc qui recouvrait le sol. "Le chemin à emprunté dans la grotte" me souffla la voix. Je mémorisais alors les treize flèches, et entrais dans la grotte. J'aurais du penser à prendre une torche, le peu de trous qu'il y avait la pierre ne laissé passer qu'un très faible fil de lumière, je me retrouvais le 3/4 du temps dans le noir, à tel point que j'étais souvent obligé de longer les murs avec la main pour savoir quand tourner.
Finalement, j'arrivais devant la même pierre tombale que dans mon rêve, celle-ci noyé par un halo de lumière provenant d'un trou dans le plafond, d'environ 60cm de diamètre. Je m'accroupis, et passais la main sur la pierre, enlevant une épaisse couche de poussière, et découvrant une inscription, que je lisais à voix haute :
" Pronosce Bruhmehus Balbydoll Einherjar ".
Une brume très dense se mit alors à sortir de sous terre, et, en se regroupant, forma une femme nu, aux formes mal définies, mais aux yeux parfaitement remodelés par la brume.
" - Je te félicite Delonias, tu as trouvé mon antre, cela fait longtemps que je t'attends, mais tu as mérité ta récompense. Je suis l'hôte brumeuse, et je t'ai choisi pour être le nouvel hôte de l'un de mes plus puissants einherjars, dit la créature de brume.
- Justement, pourquoi m'avoir choisi ? dis-je avec tout le respect que je pu insuflé à ma réplique.
- J'ai senti ta haine envers une certaine vampire, le jour de tes dix ans il me semble, et j'ai tout de suite su que tu serais un très bon hôte, c'est pour cela que tu as reçu ce rêve, répondit la créature avec une voix aussi légère que devais l'être son propre corps.
- Merci, j'en suis très honoré. En me renseignant, j'ai appris que l'einherjar avait un prix.
- Justement, non, il n'a pas de prix, ce que je te demanderai contre l'einherjar sera quelque chose qui a une valeur bien supérieure à ce que peut quantifier une monnaie. Je dois d'abord sonder ton esprit, pour trouver ce qui t'es le plus précieux, et ce qui pourrait m'intéresser."
Sur ce, la brume se dispersa, et m'entoura avec lenteur. Pendant une bonne minute, elle tournoyai ainsi, me caressant parfois les joues et le cou, puis, elle reforma l'hôte brumeuse, qui reprit :
" - Bien, j'ai choisi. Consens-tu à me livrer le souvenir du visage de ta mère, ainsi que ta faculté à donner la vie ?
- Oui, dis-je tout de suite.
-Ce choix n'est pas à prendre à la légère tu sais ? C'est une partie de toi qui va disparaître, laissant place à quelque chose de sombre, d'inconnu et d'instable... dit l'hôte brumeuse avec une pointe d'ironie.
- Vous pensez sérieusement que c'est ce que je veux ?! Que j'ai le choix !?! dis-je avec une colère qui semblait hystérique.
- Tu as le choix, tu peux choisir de laisser tomber toute cette histoire de vampire et de vengeances. Tu peux passer à autre chose, dit-elle plus sérieusement.
- Non, je ne peux pas abandonner maintenant. Maintenant que je vous ai trouver, que je vais devenir l'arme qui mettra fin à ce cycle de cauchemars ! Je veux en finir avec ça, une fois pour toute ! dis-je en espérant mettre fin à la discussion.
- Trés bien, c'est ton choix. Tu vivras avec toute ta vie. Qu'il en soit ainsi... Zeeta, ton maître t'attend !"
Elle disparût alors en laissant derrière elle une luciole rose, qui me fonça dessus, et pénétra mon corps.
Bonjour ! Hihihi ! Je suis Zeeta, n'ai pas peur, je ne mord pas si fort que ça ! dit une voix dans ma tête. Je sentis ma tête s'alourdir tout à coup, ma vision se mit à défaillir, une vive chaleur me prit au niveau du bassin, et retomba un peu plus bas. Alors que tout me paraissait vagues, je m'assis à même le sol, pour reprendre mes esprits, mais je tombai, et perdais conscience.
Je me réveillais, toujours dans la grotte, mais la pierre tombale avait disparut.
Allez on se réveille là, j'ai envie de bouger un peu, lève toi !
" Qui es là !" dis-je en cherchant autour de moi.
Je suis dans ta tête, tu ne peux pas me voir. Tu te rappelles, tu m'as adopté, je suis ton einherjar.
Ah, oui, et là on est dans l'antre c'est ça ?
Non, l'hôte brumeuse a quitté les lieux, cette grotte n'est rien de plus qu'une simple grotte maintenant. Au fait, je sais pas si tu te rappelles mais moi c'est Zeeta !
Enchanté Zeeta ! Je sais que ça peut avoir l'air mal placé, mais...tu n'es pas censé m'offrir une arme ?
Ah si ! désolé ! Tu es mon premier hôte en fait alors je suis pas encore à fond sur le protocole ! Hihi !
Un katana dans son étui apparut alors au sol devant moi. Il était trés long, je sortais la lame de son fourreau, elle était tout simplement magnifique. Des dessins de vagues au reflets rougeâtres ornaient la base, alors qu'une sorte d'oeil était gravée avec finesse au bout du tranchant. Je taillais le vent pendant un petit moment avec cette nouvelle arme particulièrement fluide, la finesse de la lame rendait les frottements de l'air totalement négligeable, elle devrait pouvoir couper tout ce qui lui opposerait une quelconque résistance. Je rangais enfin le katana, et accrochait le fourreau à ma ceinture, au niveau du bassin.
Je quittais alors la grotte, avec l'aide de Zeeta, qui avait un sens de l'orientation vraiment remarquable. Dehors, je montais à l'arbre le plus proche, et fuyais cette région désormais habité par toutes sortes de monstres sous l'égide de l'aile ténébreuse.
Pendant prés d'une année, j'enchaînais les contrats, tout en me renseignant sur Christabella. Au cours d'une mission, je récupérais la Bague de Sérénité, un artefact magique ayant le pouvoir de faire taire la voix d'un einherjar dans la tête de l'hôte de celui qui la porte. Le temps passé, et mon âme s'assombrissait, j'optais pour des tenues plus sophistiquées que ma vieille cape, et m'équipai de ceintures un peu partout. Ma peau se mit à pâlir, et mes veines coloré par le sang noirci qui les traversait ressortaient énormément. Ma réputation grandissait, et le nom de BlackHost fut vite connu à travers Terra, ne serais-ce que pour son physique particulier...

( FIN, je compte éliminer Christabella en RP, c'est pourquoi elle ne meurt pas dans mon Histoire, et je vous demanderai donc de ne pas me donner notre affrontement en épreuve de confirmation. Merci de votre compréhension ! )

BlackHost  Hcapac10

Pouvoirs : Je peux invoquer Zeeta, qui est une alliée redoutable, grâce au pacte passé avec l'hôte brumeuse. Elle peut infliger des tortures mentales à n'importe quel ennemi de type humanoïdes ( humains, vampires, nains, elfes...) ayant déjà tuer, et ne peut pas être touché par les armes bannales ( elles lui passent à travers comme si elle était faite de brume ). Elle ne craint que les lames d'argent, où les sort de l'élément eau. En contrepartie, L'hôte brumeuse m'a volé le souvenirs du visage de ma mère, ainsi que la possibilité de donner la vie ( stérile quoi ! Crying or Very sad ).

Arme : Je peux utiliser le Katana de Zeeta, même lorsqu'elle n'est pas présente physiquement sur le terrain. C'est une lame trés longue ( environ 1m de longueur ) et fine, extêmement tranchante, aux reflets rougeâtres rappelant à son utilisateur à quoi elle sert. Je cache aussi une dague d'argent dans mes bottes, coincé avec une ceinture, ainsi qu'un petit arsenal de petites potions fumigènes que j'ai concocté moi même, caché sous la ceinture de mon bras gauche, ce qui permet d'y avoir accés facilement, même avec les mains ligoté, avec un bon coup de dents. Il m'arrive aussi d'utiliser une arbalète légère, mais ponctuellement, l'arbalète ne fait pas vraiment partie de mes armes habituelles.

Artefact magique : Bague de Sérénité, me permet de faire taire la voix de Zeeta dans ma tête lorsque je la met au doigt.

Familier : Zeeta peut être considérer comme un familier ? ( plutôt comme "autre" non ?)

Autre : Zeeta est une petite fille morte alors qu'elle avait 8 ans. Son fantôme a malgrés tout été choisi comme einherjar, des esprits immortels accordés aux méritants qui réussisse à rentrer en contact avec une "hôte" brumeuse. Les einherjar sont visibles de tous quand ils sont appellés par leur maître, et prenne la dernière apparence qu'ils aient eu en mourant ( vêtements compris ). Ainsi, Zeeta arbore un visage légerement ensanglanté, avec des cernes trés sombres, une peau blanchâtre, et des cheveux noirs nuit, ensanglantés aussi par endroits, ce qui lui donne un aspects "poupée de la mort" trés effrayant. Elle est vêtue d'une toge violette avec un col blanc immaculé. Zeeta ne parle pas de sa mort, mais on peut facilement deviné que celle-ci a dû être trés violente. Son aspect repoussant m'oblige à ne faire appel à elle qu'en cas de combat, je ne l'invoque pas au milieu de la rue !
BlackHost  Hirl10
(facultatif)

Prénom : Robin
Age : 16
Avez-vous fréquentez d’autres forums ? Si oui lesquels : J'ai fréquenté le forum de jeuxvideo.com, la rubrique "Livres" surtout, ainsi que les forum du jeux Hordes.
Comment avez-vous connu le forum ? Honnêtement c'est un coup de chance ! Je cherchais des infos sur le personnage principal de FF6, quand google m'a aiguillé vers ce forum ( qui n'a rien à voir avec FF6 d'ailleur XD ) parceque j'ai rajouté "mystica" dans la barre de recherche, pensant que j'aurai droit à de jolies fanart ! Je n'ai pas trouvé de Fan art, c'est un mal pour un bien ! ça faisait longtemps que je désirais m'inscrire sur un forum RP
Parlez nous un peu de vous (gout, loisir, métier) : Je suis lycéen ( bein oui à 16 ans on peut pas travillé décemment à notre époque !), en 1ereS. Je compte prendre un spé math l'année prochaine, parce que je déteste la physique/chimie et les SVT :p ! Aussi non, ma couleur préféré est le vert feuille, niveau musique je suis ouvert à tout ( en ce moment c'est "Rolling in the deep" lol! ), même si j'ai une grosse préférence pour Rihanna ( c'est du grand art ! Very Happy ), par contre côté film j'ai un sérieux coup de coeur pour les films d'épouvante ! Pour les livres, j'aime beaucoup les dystopie, les histoires sombres et tragiques, mais surtout les récits à la première personne ! Je trouve ça beaucoup plus immersif et pour moi c'est ce qui compte le plus dans un livre, l'immersion !!! Je suis aussi un gamer affirmé et assumé, équipé d'une PS3 et d'une 3DS. Fan de RPG et de jeux de combats, je pratiques souvent des titres tels que Super street fighter IV 3D édition. Côté manga je suis un noob, je n'ai l'u que les 6 premiers Death Note, et les Battle Royal. Autres truc à savoir sur moi, c'est que je suis un drogué de séries ! J'en regarde 3000 en même temps, nottament en VOST, mais j'ai tout de même mes préférées ( Desperate, Charmed, Kyle XY, Vampire Diaries ( aprés la saison 1 toute pourrie ça devient trop bien O_O)...).

BlackHost  Hcodes10
Ok by Albar


BlackHost  Confir16
(à remplir par les modérateurs)
Epreuve de confirmation :
Citation :
"Raconte comment tu as obtenu ta bague de la Sérénité"



BlackHost  Valida11

Invité

Anonymous




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