Fiche des humains → GénéralitésElioSurnoms :
Âge et date de naissance : 13 Vennà 93(19 ans)
Nationalité : Montagnes
Situation: (Noble, habitant, vagabond) : Vagabond(fugitif)
Pour qui êtes vous : Aucun des deux... au contraire.
J’accepte d’être la cible d’un contrat assassina quelconque : Oui
→ Descriptions Description psychologique Elio est un spécimen dur à décrire. Pour plusieurs raison, la meilleure se résumant en deux mots : Aile Ténébreuse. Il ne l'a, de son enfance, vu qu'à quelques reprises, mais ce fut suffisant pour le marquer à vie, lui donnant la personnalité craintive et méfiante qu'il possède aujourd'hui. Bien évidemment, ces 17 années d'études et d’expériences menées à son sujet ont aussi beaucoup contribué. Pour lui, il n'existait rien d'autre que l'obscurité douloureuse dans laquelle il était plongée ou presque.
Le tout l'avait bien évidemment amené à une haine du monde et des êtres "civilisés", rancœur qu'il oublie difficilement. Mais tout particulièrement, il haït ce visage souriant, ces dents étincelantes et ce rire méprisant. Tout autant qu'il en est effrayé. Stigmates qui ne lui permettent plus de dormir la nuit, trop apeuré par les bruissements inconnus et les ombres imperceptibles qui parsèment ce moment de ténèbres. Maintenant que nous avons décourager ces dames à lui faire la cours et ces messieurs à entamer la discussion ou un quelconque duel dans l'honneur en bonnes et dues formes, adoucissons quand même ce portrait de psychopathe paranoïaque et asocial qui s'est en effet légèrement effacé.
Son arrivée dans le monde extérieur a mit un peu de paume sur cette personnalité démente. Les fleurs, l'eau, le ciel et le vent furent comme un énorme soupir de soulagement qui le libérèrent un peu des fers invisible qu'il pensait encore porter, réveillant de ce fait son véritable caractère qui aurait pu faire de lui un véritable gentleman, un chevalier au cœur pur, si tout s'était déroulé autrement...
Le résultat reste une âme dévasté et déprimé où s'entrechoquent la rage de vivre, le dégoût des autres, l'admiration des fruits de la terre et le désir de justice, justice d'ailleurs imprécise au fond de son crâne déboussolé. Mais la curiosité d'un monde à découvrir et la croyance en quelque chose qui vient toujours encore après - comme ce monde de lumière après le noir - font souvent des miracles dans l'esprit d'un enfant... même de dix neuf ans.
C'est pourquoi a pu être créée la troisième couche de sa personnalité (et un semblant d'éducation dans le même temps), limitant ses réactions excessives et irréfléchies au mieux (et croyez moi, il y avait du boulot...) à l'aide d'une personnalité plus réfléchie et cultivée. Un peu, du moins. Si Elio reste un jeune homme très intelligent, son manque de connaissances et d'occasion d'utiliser cette qualité plus qu'appréciable l'avaient jusque là bridé, amincissant cette barrière qui le séparait d'une bête sauvage jusqu'à ce qu'elle soit sur le point de se briser.
Grâce à ce nouveau semblant d'humanité, notre jeune garçon est même parvenu à un stade de compréhension du langage qui lui permet de communiquer avec le monde autrement que par signe et émotions, même si ces derniers restent (bien qu’incompréhensibles) ses moyens de prédilection.
Description physique Doit-on s'en inquiéter ou non, notre petit d'homme possède peu de séquelles physiques de sa séquestration. Quelques cicatrices cachés par les maigres vêtements qu'il porte, des cernes inquiétants sous ses yeux d'un vert scintillant comme deux véritables émeraudes, des mèches autrefois longues qui se limitent désormais au milieu de sa nuque sans avoir rien perdu de leurs reflets châtains, un corps maigrelet qui se fortifie à même la vie sauvage...
Il ressemble à un homme qui vient de se réveiller d'un terrible cauchemar. Si lui même y croyait, il pourrait même être "beau". Mais c'est un terme encore trop relatif pour lui et, sur la grande liste de ses désirs, l'un des derniers à réaliser.
Pour ce qui est de sa condition physique en elle-même, outre ces marques qui "donnent un genre tout à fait particulier" nous diraient certains adeptes du Lycans & co, il a récupéré un poids plutôt bien correspondant à sa taille surprenante qui dépasse le mètre quatre vingt. Si ses muscles légèrement développés l'empêche d'effectuer de véritables travaux de force en longueur ( comme soulever des objets lourds voir même seulement une épée, les pousser, ...), il garde cependant une force d'impulsion (sauts, mouvements rapides et gestes brusques) tout naturellement élevée due à son accoutumance à la vie sauvage. Son agilité est aussi surprenante.
Signe(s) distinctif(s)Mains quelque peu brûlées.
Cicatrices de coupures à quelques endroit du corps, généralement au niveau du sternum et du dos.
Cernes.
Mange généralement la viande crue.
Agoraphobe.
→ CapacitésPouvoirs : (facultatif)
6ème sens : Peut sentir la magie évoluer autour de lui.
Magie d'argent : Forme de magie qui l'utilise de manière pure pour consumer d'autres magies. Elle forme ainsi de magnifiques flammes grises qui brûlent aussi les tissus vivants mais lentement.
Son utilisation reste variable mais, globalement, elle pourrait être utilisée afin de détruire des protections magiques ou des sorts "persistants" (dont l'effet reste longtemps après l'utilisation du sort) en brûlant toute la magie qui les constitue. Ne fonctionne par sur les objets magiques qui protègent leur propre réserve mais peut cependant les désactiver quelques temps.
Arme : [i](facultatif)
Dague originellement utilisée pour manger.
Artefact magique : (facultatif) (un par personne)
Pierre de vérité : Dissipe les illusions et dévoile le cœur des gens. L'utilisateur doit cependant vouloir l'utiliser pour qu'elle fonctionne... En contrepartie, tant qu'il pense à la pierre, il est incapable de mentir (à noter que, paradoxalement, le fait de penser à mentir risque fort de lui faire songer à la pierre...)
Familier : (facultatif)
Communiquer par la penser n'est pas le terme exact, mais, dans les faits, cela y ressemble beaucoup. Griev est un chien-loup d'un mètre au garrot environ et plus ou moins du double en longueur, sans la queue. Sa relation avec Elio est (NON PAS DE CA CHEZ NOUS ! Hum.) telle qu'ils sont capable mutuellement de deviner leurs pensées simplement en s'observant. La pierre de vérité a beaucoup participé à créer cette symbiose. Pour le reste, Griev est un animal assez passif qui ne semble pas montrer beaucoup d'émotion. S'approchant de la dizaine d'année, il s'est quelque peu "rouillé" et, si il se déplace encore très souplement, ne montre plus autant de vivacité que par le passé.
Autre : (facultatif)
→ Votre Histoire L'année 93 se voit "marquée" par trois évènements plus ou moins malencontreux. Le premier est l’accomplissement d'un projet visant à obtenir les pouvoir d'un dragon. Le deuxième est la mort de ce dragon dans un dernier effort pour sauver un enfant de deux mois et sa mère. Le dernier commence par la mort de la jeune femme et finis lors de la capture du bambin.
De l’extérieur (pour les rares personnes qui en ait entendu parler), D93 est un projet visant à faire d'un homme une machine à tuer sanguinaire et destructrice. Une arme secrète capable d’annihiler toutes les forces rebelles en quelques instants. Un projet qui se solde par un échec critique lorsqu'il devint évident que la majeur partie des pouvoirs du dragon était partie avec lui, laissant derrière elle un gamin démunit entre les griffes d'un démon insatiable. Certes, démunit n'était pas le terme le plus approprié. Il lui avait laissé une once de sa magie qui traversait parfois les yeux de l'enfant lorsqu'une part de rébellion se réveillait au fond de lui, se terminant par des douleurs cuisantes après une bonne correction. Ou simplement les poings ensanglantés sur un mur impassible. On s'empressa bien sûr d'essayer de le pousser à utiliser ses pouvoirs de plus en plus souvent, sans chercher à lui apprendre à les contrôler. Pouvoir qui devenait du coup dangereux pour sa propre santé, lui causant sans doute autant si ce n'est plus de souffrances que ses tortionnaires.
Dominer psychologiquement ce projet... non, cet échec, aurait été un jeu d'enfant pour tous, que ce fut les mages qui travaillaient pour la grandeur d'Aile Ténébreuse ou pour ce dernier. Mais à quoi bon élever un rebut qui ne pourrait rien faire de réellement important durant sa courte vie ? Si cette dernière se trouvait quelque peu rallongée, c'était juste parce qu'il y avait encore quelques tests à réaliser avant qu'il ne devienne vraiment inutile.
De l'intérieur, D93 semblait beaucoup plus simple. Si simple qu'il pouvait se résumer en quelques mots : froid, noir, douleur. La pierre qui pendait à son cou depuis la nuit des temps, comme un héritage lointain, s'illuminait parfois. Ce faisant, elle enflammait son esprit avec les sombres intentions des gens qui l'entouraient, le plongeant dans une terreur presque totale. Les rares autres lumières étaient produites par son corps chétif qui se consumait alors de douleur. C'est ce genre d'existence de damné qui ne vous fait rêver que d'une chose : la liberté. Même si personne ne vous en a jamais parlé, vous ne pouvez que penser à ce que serait le monde si il était mieux qu'aujourd'hui. Bien sûr, votre imagination n'aura que rarement trait à la réalité. En bien ou en mal. Mais le rêve est là, bâtit sur une chimère plus solide que l'acier. Et un jour...
Un jour tout se déroule rapidement. L'enfant qu'on avait oublié au coin d'une pièce voit une porte qui s'ouvre sans jamais se refermer. Ses pas l'amènent au hasard des couloirs jusqu'à une petite cuisine ou un homme préparait son futur repas. L'homme hurle. L'enfant aussi. Puis mord. Le goût de sang envahit sa gorge et lui fournit son premier plaisir. L'adrénaline fait une dernière feinte hésitante, puis monte à plein régime. L'alarme sonne. Il court. Sans s'arrêter. Prend la fenêtre et saute. La chute et courte et indolore. Il se relève . Tremblant. Et repart aussitôt. Loin. Toujours plus. Comme si l'ombre derrière lui se lasserait de le poursuivre. Comme si cette haine persistante à son égard allait enfin disparaître. Comme si... Il se retourne.
Il est seul. Le monde autour de lui est étrange. Humide. Marécageux. Sombre. Mais agréable. C'est le premier jour d'une nouvelle ère qui commence pour lui. Sans se retourner, il enfonce ses pieds dans le marais, passant sa langue sur ses lèvres où traîne encore un goût de sang. Il sourit.
C'est ainsi que c'était terminé la première partie de sa vie. Il erra dans la nature quelques temps avant de se trouver à proximité d'un petit village tout juste au nord du marais de la désolation. Avoir survécut jusque là fut assez étonnant. Mais la malchance qui l'avait suivit tout au long de sa vie pouvait bien le laisser un peu suivre sa bonne étoile.
Son errance aurait continué un moment si les cadavres d'animaux plus ou moins sauvagement laissés en évidence aux alentours n'avait alerté les villageois. Si bien qu'une battue fut rapidement organisé et notre jeune "fauve" fut rapidement attrapé, non sans opposé une farouche résistance qui assomma trois hommes et en blessa plusieurs. Mais sans pouvoir achever aucune de ses cibles, il finit, épuisé, par se faire prendre. Qualifié d'enfant du démon, il fut directement et sans concession amené devant la sorcière du village, une vieille bonne femme qui avait eu le temps d'accumuler une dose d'expérience considérable.
Deuxième coup de chance, il échappa au bûcher de peu, la doyenne comprenant plus ou moins bien les raisons du comportement inhabituel du jeune garçon. Il devint donc d'abord une sorte d'animal de compagnie, allant de pair avec Griev, le chien-loup qui ne la quittait jamais, admettant lentement mais sûrement que cette personne n'était pas "le mal". Il finit même par se détendre en sa compagnie, non sans grogner à l'approche de quelqu'un d'autre.
Puis elle commença enfin à l’instruire. Il connaissait déjà plusieurs mots, vaguement leur signification. Mais sans plus. Après un mois, il pouvait déjà tenir une conversation simple. Il lui fallut cependant presque une année pour concevoir les idées plus complexes et la portée de débats philosophiques. Son langage restait limité et il hésitait toujours avant de faire une phrase complète. Mais il savait désormais beaucoup plus de choses et la véritable barrière était devenue celle de la langue. Les conventions sociales furent un peu compliqué à mettre en place pour un humain qui demandait perpétuellement pourquoi à chaque affirmation. L'irrationalité de la loi du Talion fut encore plus complexe à lui faire admettre.
Ses pouvoirs rendirent, par contre, sa cohabitation avec les habitants très difficile. Se manifestant toujours de manière aléatoire, sous un coup de colère ou une pensée particulière, il rendait fou les hommes et femmes qui l'entourait.
Puis un jour vint, alors que sa dix neuvième année s'annonçait, ou un silence de mort s'installa dans la tente de sa bienfaitrice. Cause naturelle. Un médecin aurait pu confirmer qu'il s'agissait là d'un "simple arrête cardiaque" et qu'elle était morte sans souffrir, le sourire aux lèvres. Mais il n'y en avait pas et ce fut une autre paire de manche pour le faire admettre aux habitants qui chassèrent un Elio perdu du seul village qu'il avait connu, faisant renaître cette vieille haine qu'il avait presque oublié pendant deux années. Son paquetage fut vite terminé. La vieille dague qu'il avait volé dans la cuisine de l'enfer, des vêtements sombres qu'il prenait plus par convention que par gêne ou par réel besoin, de manière presque mécanique, un baume, cicatrisant, la pierre qui ne l'avait pas quitté et sans laquelle il se sentait nu et un lui nouveau. Dix-neuf ans. Un monde entier à connaître et la vie à réapprendre. Aucun objectif si ce n'était celui de savoir ce qu'il ignorait encore. Quelque chose d'humide frôla sa main. Il laissa cette dernière glisser le long du pelage du chien-loup.
Et ses premières véritables paroles, murmurées dans le vent qui montait.
- Apprendre à lire, hein...
Il ignorait que depuis deux ans, à des lieux de là, ses anciens propriétaires tenaient à effacer leurs erreurs. Et ils avaient enfin retrouvé sa trace...
→ In Real LifePrénom : Vincent 8D le prénom le plus génial du monde !
Age : 18
Avez-vous fréquentez d’autres forums ? Si oui lesquels : Oui, tout plein
j'ai plus trop les noms mais le meilleur était sans doute Harmonia.
Comment avez-vous connu le forum ? : J'ai qu'un seul ami : Google !
Parlez nous un peu de vous
(goût, loisir, métier) : euuuh... Tout plein
Digital Art, Musique (particulièrement le piano >.<), lecture, programmation, l'informatique, toussa, le judo, les épinards, les fraises, sortir la pièce du cadis sans utiliser un autre cadis, les pâtes, le tiramisu, Nightwish, Era et les loups 8) [put here an other random word]
- Code du règlement :
Ok by Lyra =)
→ Epreuve de confirmation - Citation :
- Raconte une partie de son errance dans le marais