Lun 5 Aoû - 19:27 | | | | Howard Hazred
Psychorigide - Intolérant - Aliéné - Inconscient (Danger pour autrui comme pour lui-même) - Agressif - Absorbé - Vindicatif - Curieux - Mauvais sens de l'orientation, - Complexe - Rustre et mal élevé.
Bavard - Sarcastique - Loyal - Brave - Protecteur - Juste (Un peu trop) - Honnête (Beaucoup trop) - Tenace (Outrancièrement beaucoup trop) - Calme - Patient.
Howard aime la Nature et les choses bien faites. Cassez ne serait-ce qu'une tulipe (De manière délibérée) et il vous pourchassera jusqu'en enfer pour pour vous le faire payer en vous brisant l'échine en plusieurs morceaux. Lorsqu’il dit quelque chose il le fera, quoi qu'il se passe. De même lorsqu'il donne sa parole, jamais il ne la reprendra. Aussi étrange que cela puisse paraître, il n'aime pas les animaux. Encore moins les humains et leurs dérivés.
Information Surnom L'homme-arbre Âge : 113 ans, techniquement. 2 si l'on considère sa renaissance comme l'actuelle. Nationalité : Terre Profession : Vagabond Camp : Neutre. Noblesse : Seigneur de la forêt, ça compte ? Baron-Fougère, Duc du Pédoncule (Ta mère, wesh) Marquis des ronces et j'en passe. Croyance : La Nature, cela va de soi. Même si il ne participe pas activement à lui vouer un culte, il en est le défenseur et le serviteur éternel. Famille : Les écureuils comptent comme une grande famille ?
| Race Tréantiens. Ils sont un dérivé de ce que l'on peut connaître sous le nom de Tréant de certains contes ou légendes. A défaut d'être de véritables arbres ayant la capacité de se mouvoir comme bon leur semble, ils sont les avatars de la Nature et plus particulièrement des arbres. Ils ne vivent en général que peu de temps, ce sont donc des créatures très éphémères. Quelques semaines, quelques mois... Au fur et à mesure que le temps passe, la forêt a développée elle-même ses propres moyens de se défendre. Les Tréantiens représentent ce moyen de défense.
Les forêts présentes dans la Nation de la Terre sont toutes plus ou moins liées à l'Arbre Roi. Ses racines, profondément ancrées dans le sol de la Nation toute entière peuvent sentir le danger des autres plantes et arbres. L'hiver éternel par dessus, il en fut terriblement affaiblit. Dés lors qu'il prit fin, en l'an 0 du calendrier, il développa une nouvelle forme de Nature plus intelligente, capable de se produire ses propres défenses.
Chaque fois qu'un arbre meurt ou se sent menacé, l'Arbre-Roi insémine une graine dans un arbre situé dans la location du danger. De cet arbre, en quelques heures seulement (Oui, la Nature est lente, mais bon) qui se sépare alors d'une partie de ses écorces, de sa sève, naît une créature étrange. Un soldat silencieux et dénué de personnalité qui s'en va bouter le danger hors de la forêt à grand coup de lattes. Dans un premier temps, ils n'avaient pas de forme prédéfinie. Animaux quadrupèdes, singes difformes, créatures longilignes... Il fallut plusieurs années pour comprendre à la Nature que le plus efficace et polyvalent était de copier les agresseurs. Les arbres donnaient à présent naissance à des humanoïdes, dotés de deux bras et de deux jambes mais fait d'écorces et au sang de sève. Invoqués de manière spontanée, les arbres étaient alors bien trop affaiblis par cette naissance pour y survivre la plupart du temps. Quitte à y perdre la vie, l'Arbre-Roi développa de nouvelles graines. Ces dernières, plus complexes et plus riches, permettaient aux arbres de tenir le coup après une naissance. Malheureusement, cette solution affaiblit bien trop le dirigeant qui dû abandonner cette solution. C'est alors qu'un arbre prit la décision de se sacrifier volontairement au nom des siens et donnant toutes ses ressources à la création d'un Tréantien. L'arbre mourrait alors mais donnait naissance à une créature viable qui ne pourrissait plus au bout de quelques jours.
Désormais, chaque fois que la Nature se sent menacée, d'une quelconque façon, un arbre meurt, mais donne naissance à un gardien capable de vivre quelques années.
Cependant, ces sacrifices étaient encore une bien trop grande charge et les agressions sur multipliaient. C'est alors que le plus vieux et le plus solide fut appelé, l'Arbre-Roi y déposa une ultime graine. Après plusieurs jours de gestations, un être doté d'intelligence, de conscience, de personnalité en sortit. Mais surtout, tant qu'il resterait dans la Nation de la Terre, il serait éternel. Il n'avait qu'à se ressourcer auprès de ses frères pour se régénérer, si l'on venait à le tuer il serait remplacé en quelques heures par un autre gardien. Plus l'arbre qui acceptera de se sacrifier sera vieux et imposant plus le défenseur sera fort et résistant.
C'est depuis l'an 111 que la Nation de la Terre est défendue par une poignée de gardiens. Ces derniers, inconnus, agissent dans l'ombre et son responsables de la plupart des "Accidents de chasse" ou "D'incidents forestiers malencontreux". Il est très rare voir presque impossible d'en croiser un, comme vous croiseriez un démon en allant faire vos courses dans le marché du coin.
Peu connus du grand public, il est rare qu'ils interviennent autrement que pour éradiquer une menace pour la forêt. Il est donc normal que l'on en parle peu. Les rares à l'es avoir vus ne sont plus là pour en parler. Les autres en parlent comme la Justice de la Nature et ne cherchent pas trop à savoir comment cela se produit. Qui se douterait que la forêt déciderait de se défendre elle-même ?
Les Tréantiens ont des besoins physionomiques à équivalence similaire à celle des humains. Ils doivent se nourrir, boire et dormir. Cependant, leur nourriture est constituée principalement de sève d'arbres qui acceptent de les sustenter. Seule l'eau permet de les hydrater efficacement et il leur en faut une certaine quantité. (Plus que pour un être humain par exemple) Leur sommeil n'est pas dû à une fatigue quelconque mais plus par besoin de se régénérer. Descendants d'arbres, ils sont privés de racines qui permet aux feuillus de s'auto-suffire. Hors pour ne pas se dessécher, faner et donc perdre de leurs capacités, les Tréantiens doivent se ressourcer auprès d'un arbre quel qu'il soit pendant plusieurs heures et ce plusieurs fois par semaine. (Minimum 3)
Il n'existe que peu de gardiens actifs au même moment. Il faut donc attendre la disparition d'un gardien avant d'en voir naître un nouveau.
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Caractère Howard est né d'un arbre centenaire. De par ce fait, il ne conçoit que de très loin les habitudes et les coutumes des Hommes. Il n'a reçu aucune forme d'éducation quelle qu'elle soit. Oubliez les "Bonjour" et autres "Merci", vous n'en aurez pas, pas par volonté mais simplement car ce n'est pas dans sa nature. L'homme-arbre n'est pas spécialement mauvais, ni potentiellement bon. Disons qu'il a son camp bien à lui et rien d'autre.
Howard connait plusieurs formes de communications et en comprend tout autant. Les arbres se sont nourris des murmures et des paroles des êtres visitant ou habitant dans la forêt et les ont retransmis à leurs Gardiens, de manière à pouvoir communiquer avec eux si besoin est. (Prévenir des Elfes d'un danger imminent, appeler des Fées, menacer un être humain ect...) (Ce qui arrive rarement, je le conçois) Il comprend donc parfaitement les humains et peut leur parler comme si il avait toujours vécu en parlant cette langue. Même si parfois il perd des bouts de phrases ou se trompe de mots. Au final, le Tréantien n'a que peu l'occasion de discuter alors, lorsqu'il tombe sur une créature amicale, il ne peut s'empêcher de lui poser des questions, de manière dissimulée et en feintant le désintérêt. Curieux de nature, il ne pourra s'empêcher de chercher à savoir d'où vient telle ou telle personne, de quelle race, de quel pays il vient. Howard peut même dialoguer avec une partie de la faune de la Nation de la Terre. Mais il évite, parce que de manière général, les animaux sont des trous du cul égoïstes.
N'ayant pas conscience de beaucoup de choses, Howard ne se rend pas bien compte de ce qui peut être potentiellement dangereux pour lui ou pour les autres. Il fera donc des choses qui peuvent paraître insensée, voir suicidaires sans s'en rendre compte. Comme mettre un coup de tatane dans le postérieur de bébé Ours alors que Maman Ours le regardait se laver. Puis se fritter à mains nues avec Maman Ours et finir en morceaux dans le fleuve. Vous l'aurez compris, l'homme-arbre est un peu bagarreur. En même temps, il est ainsi dire, né pour ça. Tuer n'est pas son dada, absolument pas une passion chez lui. Mais prendre une vie ne lui semble pas non plus incohérent ou "mauvais". N'étant pas humain et n'ayant aucune échelle de valeur d'humanité, il n'a pas conscience de l'importance de la vie d'un humanoïde. Il fait son travail, ce qu'on lui demande. Il éradique la menace. Il supprime au vie pour en préserver des milliers et il vit en paix avec ça, sans se soucier de quoi que ce soit d'autre. Si Mère-Nature avait un problème avec ça, elle ne tolérerait pas son existence, de toute façon. Vivant en parfaite harmonie avec Elle, il est son serviteur le plus fidèle, même au travers de son silence et de son manque de prière, il lui prouve sa loyauté avec ses actes non par les mots. Même si il lui arrive de se recueillir, il ne la recherche jamais... Il sait qu'Elle l'observe, le surveille et surtout, veille sur lui à chaque instant tant qu'il reste sur ses terres.
Cependant, injuriez-la, tentez de la blesser, de briser son intégrité et jamais le protecteur ne vous lâchera. Jamais il n'a laissé s'échapper un être ou une chose ayant délibérément fait du mal à la Nature. Car outre le fait qu'il soit un défenseur, il est également un vengeur. La Nature est son juge, il est son bourreau, son bras armé prêt à tout pour appliquer le verdict quelle que soit la sentence prononcée. Il ne lâchera jamais, même si il doit quitter les terres de sa Nation, il trouvera toujours un moyen de se venger et de faire ce pourquoi il a été crée.
Howard n'a, pour ainsi dire, peur de rien. Déjà parce qu'il n'a pas conscience de sa vie, mais aussi parce qu'il sait qu'à sa mort, il sera remplacé ou ramené à la vie d'une quelconque façon. Le danger ne l'effraie pas et il ne recul devant rien pour préserver ses pairs. Il respecte et suit à la lettre un code de conduite qu'il pense juste et irréprochable. Il ne se pose donc jamais de questions et agit de manière directe. Directe, comme son approche de la vie. Howard ne connait pas vraiment le mensonge et est donc toujours honnête. La honte lui est inconnue, comme la gêne ou tout autre sentiment du même genre. Si vous l'ennuyez, le dérangez ou si vous êtes sur le point de commettre une bêtise il vous le fera savoir dans l'instant et ce sans aucune retenue.
Par chance, Howard est un être très calme. De par sa descendance directe de la forêt, il est d'une patience à toute épreuve. Il est quasi-impossible de l'énerver et pour peu que ça puisse arriver, cela ne durerait que bien peu de temps. Cela se traduit aussi par un autre trait de caractère... Si l'homme-arbre est concentré sur quelque chose, un événement ou un souvenir, il sera bien trop absorbé pour se préoccuper de ce qu'il se passera autour de lui. Seule une alerte pourrait le sortir de ses songes. (Ou de vraiment gueuler comme un veau) Cependant, ça peut arriver à n'importe quel moment et il n'est pas rare de le voir se stopper en pleine marche ou en pleine conversation avec un écureuil pour penser à quelque chose d'important. Cela peut durer quelques secondes comme plusieurs minutes.
Le Né-des-arbres a une lacune plutôt particulière. Lorsqu'il ne ressent pas le danger il ne sait plus se diriger. Il erre la plupart du temps de la forêt sans savoir d'orienter. Ce qui est pratique, c'est qu'il se surprend parfois à croire qu'il découvre de nouvelles parties de la forêt alors qu'en fait, il la voit juste dans un angle différent et ne sait alors plus où il se trouve. De manière fréquente, il demande son chemin aux animaux et aux autres créatures. On se moque souvent de lui à cause de ça et c'est l'un des rares façon de le mettre hors de lui et de briser sa patience.
Exemple de loyauté, Howard ne changerait de camp pour rien au monde. Comme il n'en rejoindrait pas un de toute façon. Il ne cherche pas à s'impliquer dans un quelconque conflit. En revanche, si la Nature ou la Nation de la Terre venait à être menacée, il n'hésiterait pas à la défendre et ce de toute les façons possibles et imaginables quitte à y laisser ses branches.
Physique Nécessairement imposant, Howard est une créature de plus de deux mètres vingt. Surplombant de ce fait un bon nombre d'humains standards, il prête à réfléchir à deux fois avant de faire un feu de forêt. Ou d'embrocher un gros écureuil juteux. Outre sa taille d'armoire à glace il en a aussi la carrure. Certes il n'est pas aussi large que haut, mais pas loin. La Nature ayant décidé de jouer sur l'intimidation de manière à dissuader quiconque voudrait s'en prendre à elle ou à ses gardiens, Howard est un genre d'arbre dopé à la testostérone de requin sous amphétamine. Pas de muscles à proprement parlé, puisque dénué de chaire, sa "chaire" est entièrement constituée d'écorce très solides et de lianes en tout genre. Une étrange couche de matière rugueuse et argileuse recouvre ses membres pour constituer une sorte de "peau" et faire plus humanoïde. Par dessus tout ça, ajoutez d'épaisses couches d'écorces semblables à des armures. Les ornements de son corps ont été particulièrement ouvragés de par son amitié avec quelques peuplades elfiques qui ont voulu le rendre un peu plus... Présentable. Moins primaire tout du moins. Ainsi, ses armures ont été retravaillées et gravées puis agrémentées de plusieurs pierres vertes qui luisent en plein soleil. Deux gantelets démesurés renforcent cette impression qu'il possède des mains gigantesques qui peut écraser le crâne de n'importe quoi rien qu'en forçant un peu. Deux épaulières ornées d'une pierre luminescente de chaque coté, ainsi qu'une cuirasse qu'il serait difficile de percer de manière conventionnelle et sans avoir une arme de bonne qualité. (Rangez vos dagues mal aiguisées les enfants, vous ne lui ferez pas grand mal) ajoutez à cela une ceinture elle aussi ornée d'un cailloux brillant à la lueur du soleil et des jambières descendants jusqu'à ses pieds. Ces derniers sont à l'air libre si l'on veut, pour ressentir le sol et la Nature chaque fois qu'il foule le sol. Ils n'ont cependant pas grand chose d'humain et sont de ce fait, dénués d'orteils. On peut voir, de temps à autres, une petite racine percer la couche de terre d'argile qui lui sert de peau et tenter de se planter dans le sol. Pour peu qu'il reste inactif trop longtemps.
Howard n'a pas de visage pour ainsi dire. Pour combler ce "vide", ses amis lui ont confectionner de manière un peu hâtive, un masque voulu effrayant mais qui au final lui donne des airs de "tribal" auquel ils ont planté deux pierres pour les yeux et une pour le nez. Le fait qu'il n'ait pas de bouche ne le rend pas très expressif. Il tente parfois de trouver une branche un peu archée et de la mettre sur son masque pour simuler un sourire. Mais ça ne trompe personne.
Et il a l'air con en faisant ça.
Son crâne est recouvert d'un linge blanc à la base immaculé, mais depuis plutôt sale. Deux bandes de lin lui tombent sur les épaules sur lesquelles sont inscrites les mots "Protecteur" et "Inexorable". S'échappant du joug de ce bout de tissu, deux grandes cornes de bois sur lesquelles naissent de petites pousses. Selon la saison y naît des petites feuilles, parfois des fleurs aussi. Le printemps ne l'aide pas spécialement à faire peur, mais ça renforce la frustration lorsque l'on se fait tuer par une barrique de deux mètres avec des cornes à fleurs.
Pour son poids ? Je sais pas, essayez de le soulever pour voir.
| Capacités Armes : Un bâton de sa taille. (2m20) Pouvoirs : L'homme-arbre est très fort tant qu'il reste dans les lieux boisés. En dehors, c'est une toute autre histoire.
Nation de la Terre : Howard est une créature qui n'a pas de pouvoirs à proprement parler. Il est juste physiquement bien au dessus d'un être humain normal du fait qu'il n'en a pas les contraintes. Pas de chaire, pas de muscle, pas de réelle douleur lorsqu'il est blessé puisque dénuée de terminaisons nerveuses. Il peut quand même "saigner" de la sève lorsqu'il est blessé et sans cette sève il se fige et devient une statue de bois, mais il va falloir l'entailler sévèrement avant qu'il ne perde tout son "sang". Physiquement très fort, Howard peut soulever une Maman Ours en colère sans peiner ou toute une famille de blaireaux. Et jongler avec. Autrement il est infatigable et se déplace avec beaucoup de facilité. Ce n'est pas un exemple d'agilité et il ne peut se permettre des cabrioles insensées, mais il peut grimper aisément aux arbres et sauter de branches en branches sans jamais se vautrer. (Sauf en marchant su un nid d'oiseaux, ce qui est rare. Puis après il a des comptes à rendre à Mère Nature et ça fait des histoires tout ça...) Tant qu'il reste dans son domaine il peut se régénérer de manière infinie, même si ça lui demande pas mal de temps. Pour cela, il s'invite dans un arbre et s'enracine. Ainsi son enveloppe se reconstruit et ses plaies sont ainsi pansées. Cependant, le gardien sera alors inactif et il perdra conscience. Dans cet état, il ne peut se réveiller et si l'arbre venait à mourir, il mourrait avec lui. De plus, où que vous vous trouviez dans le domaine de la Terre, Howard peut vous traquer. Il est inutile de tenter de vous cacher, il vous retrouvera. Le seul moyen pour lui de perdre votre trace serait de quitter la Nation de la Terre. Inutile donc de vous cacher derrière un arbre, de toute façon ce sont de vraies balances. Il lui est également possible de faire sortir des racines du sol pour vous prendre au piège. Soit en vous entravant seulement les pieds, soit en créant une véritable cage autour de vous. Pour peu que vous ayez déjà été immobilisé. Cependant, de manière générale, il est très sensible au feu. (Même si sa peau argileuse tend à le rendre un peu moins inflammable) cela reste le meilleur moyen de se débarrasser de lui efficacement. (Mais foutre le feu à la forêt soulèvera bien d'autres soucis) De manière générale, on peut considérer un Tréantien comme étant potentiellement éternel tant qu'il reste dans le domaine de la Terre. (Au niveau de sa longévité qui pour l'instant n'a pas de limite théorique.)
De par sa naissance exceptionnelle, directement de l'Arbre-Roi et avec le temps, son corps change et se développe. Il gagne donc en solidité mais surtout en résistances et son écorce parvient à absorber une partie de la magie qui pourrait le toucher. De manière pratique, on peut dire qu'il est immunisé aux pouvoirs de contrôles de l'esprit. De plus, certains sorts s'avèrent moins puissants, comme si son armure le protégeait. Le feu magique est en partie atténué par ce système sans cependant le rendre insensible. (Le feu magique ou non reste sa faiblesse principale)
En dehors de la Nation de la Terre : Il aura quelques difficultés. Déjà à se nourrir, il lui faudra obligatoirement de la sève, sans cela il deviendra inactif jusqu'à ce qu'il en ingère. (Comptez trois jours avant qu'il ne fane complètement) De plus, si il ne peut boire, s'hydrater ou être arrosé (Un peu comme le géranium chez votre mamy) sa puissance et sa force décroîtront avant qu'il ne meurt pour de bon. De plus il lui faudra se reposer, soit en plantant ses racines dans de la terre (Pas n'importe quel sol) ou mieux, auprès d'un arbre. Sans cela, sa puissance s'en verra également diminuée. De plus, en dehors d'un terrain forestier, impossible de localiser qui que ce soit. Sans arbres ni plantes alentours, impossible d'utiliser de son pouvoir d'immobilisation. Familier : / Artefact : / Autre :
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Histoire Histoire Né d'un arbre centenaire, robuste et majestueux, une entité a vu le jour en perçant l'écorce. Collant de sève, poisseux, un amas de lianes et de branches peinait à tenir sur ses jambes. Il était difficile d'envisager pour un arbre de se tenir sur deux jambes, de se mettre à avoir besoin d'air sans pour autant en produire et surtout à prendre une... Pseudo conscience. Il était comme sortit d'un sommeil qui se destinait à être éternel. La chose observait ses frères silencieusement pendant de longues heures. La Nature reprenant ses droits, des racines tentaient de le rallier au sol. Il apprit à lutter contre ce besoin en se mettant en marche. Tenant à peine sur des jambes, sa grande masse n'était pas des plus faciles à manier. Mais sa naissance n'était pas une bénédiction loin de là. En effet, si on avait fait appel à lui c'était pour une bonne raison. Protéger et servir la Nature. Prenant peu à peu conscience de la responsabilité dont on le chargeait, il se rendait compte qu'il n'était plus un des arbres à conserver, qu'il n'était plus un simple ouvrier, un habitant de la nature, un acteur de la vie forestière. Devenu un gardien à part entière, il se chargeait lui-même de veiller à ce que ses frères n'aient pas à faire comme lui et se lever, se déraciner... Pour que les siens évoluent en paix, se développent, poussent silencieusement et paisiblement, lui allait devoir combattre le mal qui pouvait les toucher. C'est donc péniblement qu'il se mit en route. Une centaine d'années à emmagasiner des informations, à rester connecté avec les autres arbres, les souvenirs de sa vie déjà si lointaine alors qu'il venait de naître lui venaient en tête. Il observait les animaux, il se souvenait des Hommes, il sentait la terre sous ses "pieds". Ses pas balourds se transformaient alors en une marche presque assurée puis bientôt en une course effrénée. L'appel de son congénères se faisait chaque seconde plus fort, plus étouffant. Auparavant il lançait les appels à l'aide, il écoutait ses frères, maintenant il les ressent et chaque cri, inaudible par qui n'était pas né par les racines, le déchiraient en son fort intérieur. Arrivé au lieu des cris, un humain chétif et semble-t-il très maladroit donnait quelques coups de haches sur un de ses anciens camarades enracinés. La créature presque informe l'observait silencieusement. Un coup de hache, perçant à peine l'écorce. Puis un autre. Le rythme était très lent, très irrégulier. Puis le jeune garçon se stoppa et vit le créature qui, sans s'en rendre compte, soufflait bruyamment. Visiblement il peinait à respirer, à abreuver toutes les racines dans son enveloppe corporelle. L'humain lâcha alors la hache qu'il avait dans les mains avant de se mettre à gueuler comme un goret, pris d'effroi. Une créature de plus de deux mètres, couvert de plaques d'écorches et dans les bras et jambes ne sont elles-même que racines. L'acier de l'outil tomba alors sur le sol. Les vibrations parvinrent jusqu'au grand gaillard qui le surplombait de plusieurs têtes. Sans même crier gare, d'un bon, la créature se retrouva à moins de quelques centimètres du petit homme. Il le saisit alors à la gorge, lui broyant la trachée et tout ce qui pouvait lui servir à respirer sans vraiment le vouloir. Il ne se contrôlait pas vraiment. Sans avoir si il était mort ou non, il se débarrassa de sa carcasse en l'envoyant se heurter contre un arbre à plusieurs mètres de là. Il trouva étrange qu'on appela un nouveau gardien pour juste... Cette frêle créature. Cependant cette interrogation passa bien vite alors qu'un appel bien plus important venait d'un peu plus loin. Il entraîna donc son corps informe dans la direction escomptée et en quelques temps il aperçu un autre homme, un peu plus grand bien plus costaud et avec lui aussi une autre hache à la main. Il avait un autre gaillard à coté de lui. Un autre homme, aux cheveux jaunes, alors que l'autre avait des cheveux noirs. Il était plus grand, avec un air un peu benêt. La créature fut surprise de voir que des créatures, pourtant si proches, pouvaient présenter des anomalies aussi protubérantes et être aussi différents. D'un regard, il se fixa vers un arbre presque éventré. Un Gardien en sommeil venait de se faire abattre, une épaisse couche de sève se répandait sur le sol, noyant les bottes des deux gugusses. "Tu crois que c'était quoi ? Papa ? Une Statue ? Hein, dis..." "Y'avait pas assez d'arbres "Normaux" dans cette forêt ?" Dit le plus vieux des deux avant de lui mettre un tape sur la tête. "Qu'est-ce que j'ai fait pour avoir un demeuré comme toi pour fils ?" "Mais... Dis pas ça..." "Va me chercher ton bon à rien de frère, je m'occupe de finir ça." Le gardien se figea, se dissimulant derrière un des siens, silencieusement. Se trouvant à plusieurs mètres, il ne l'avaient visiblement pas entendus, malgré sa discrétion de pachyderme. Alors que le grand gaillard blond passait à son niveau, il déploya son bras et le goala d'un geste vif et précis sa pauvre tête qu'il pressa comme un vieux citron, avant de balancer le corps par dessus son épaule. Le père, jeta son regard dans la direction d'où partait son grand benêt de fils. Il avait entendu comme un grand bruit de feuille, puis un craquement bizarre. Ce n'est que lorsque le corps heurta le sol qu'il s'inquiéta vivement. Il pensait alors que son vif était tombé sur un sanglier ou qu'il 'était vautré d'une quelconque façon. Méfiant, il s'avança de quelques pas, empoignant fermement sa hache. "Gontran... Gontran, tu es là ?" Dit-il sur un ton entre l'inquiétude et l'impatience. L'humain entendit du bruit sur son coté droit. Il ne fit un bond sur lui-même, faisant face au danger. Le danger ? Une grosse masse lancée à pleine vitesse. Chacun de ses pas faisait trembler le sol. Cette créature imposante, lancée à pleine vitesse le paralysa sur le coup. C'était... Comme si un arbre lui fonçait dessus. N'ayant pas le temps de réagir, il se le prit de plein fouet. Le choc fut si brutal qu'il se retrouva propulsé sur plusieurs mètres, dérapant sur le sol. Sa hache avait volé à son opposé. Visiblement salement touché, il peina à se mettre sur le dos. L'homme se tint alors les cotes, visiblement brisées, du sang s'écoulait de sa jambe droite et tâchait son pantalon marron. Le monsieur hurlait de douleur, ne sachant où trop mettre ses mains, son corps étant en morceaux. La créature se déplaça lentement vers lui. Arrivée à son contact il leva une de ses jambes au dessus de sa tête. "La Nature... Reprend... Ses... dr... oits... Être de... De... chaire..." Balbutia-t-il péniblement avant d'abattre son lourd panard sur le visage de l'humain, lui broyant littéralement la tête contre le sol. Puis le tréantien se tourna vers son camarade d'infortune. Il recueillit une partie de la sève qu'il perdait, tentant de lui réinjecter. Mais... En réalité il n'y avait plus rien à faire. Les coups de haches étaient bien trop profonds, son corps était complètement brisé, l'arbre sur lequel il se tenait était lui aussi partiellement abattu. Il se servit alors de ses ressources pour se renforcer. La sève recueillit sur son prédécesseur l'aida à se former correctement. Ses racines se rangèrent correctement, l'écorce devint plus solide, son corps ressemblait de plus en plus à celui d'un être humain correct et non plus à une grosse masse informe. Des cornes commençaient à pousser de chaque coté de son crâne. Chaque jour qui passait amenait son lots de problèmes à résoudre. Il apprenait à vivre à la manière d'un bipède, à se mouvoir correctement. Mais cependant, ce gardien était un peu spécial. Il ne se contentait pas de simplement protéger les siens. Lorsqu'il n'y avait personne pour s'en prendre à la Nature, il partait à la rencontre des êtres vivants, quels qu'ils soient. Il parcouru les terres en long et en large, en découvrit les limites à ne pas franchir. Il les franchis quand même et s'affaiblit à vue d’œil. Il apprit à se nourrir, à contrôler son corps. Mais aussi à savoir où se trouvait le danger et à la prévenir. Reconnaître les bons des mauvais humains, mais aussi à se cacher d'eux pour ne pas éveiller les soupçons quant à leur existence. Puis, à venir à la rencontre des isolés, de ceux qui paraissaient plus fanés, ceux qui ressemblaient à de jeunes pousses à peine germées, ceux-là qu'on ne croirait pas si ils venaient à conter ce qu'ils avaient vu. Il apprit beaucoup sur les coutumes et leur façon de vivre, du pourquoi du comment. Même si on lui expliquant pourquoi les Hommes avaient besoin de feu, il ne pouvait permettre l'abattage de ses frères. Et pourtant, il ne pouvait l'empêcher totalement. Parfois impuissant, incapable d'agir... Ou parfois vaincu, que ce soit lui ou un des autres gardiens. Il ne pouvait empêcher l'Homme d'être un Homme. Destructeur et expansionniste. Heureusement, la plupart vivaient en harmonie avec la Nature, mais les interventions étaient nombreuses et trop souvent impunies. Contrairement à sa première intervention, appeler un gardien pour sauver un d'entre eux n'est pas "Rentable", mais remplacer à gardien était indispensable. Et la forêt ne peut se permettre de nourrir trop de gardiens. Alors, elle fait des concessions. En explorant les contrées de Drayame, il fit la rencontre du peuple elfique. Il peina longuement avant de rentrer en contact sérieux avec eux. Il eut d'abord peur de les effrayer, puis s'avançait peu à peu vers eux. Il tentait d’entamer la discussion avec ceux qui sortaient de la cité Elfe, mais certains s'enfuyaient, d'autres s'évanouissaient, d'autres semblaient un peu plus au courant. C'est en croisant très... Spécial et très attachés à leurs tenues qu'il se prêta à un jeu bizarre. On l'orna de divers objets, puis de vêtements ridicules et colorés. Le gardien perdait un peu patience mais s'amusait à voir que ces créatures chétives étaient aussi coquettes. Chose qui lui était totalement inconnue. Il ne conserva qu'un linge blanc qu'on lui enroula autour du "visage". Cependant, même si il n'avait pas d'yeux à proprement parlé il avait quand même deux orifices qui lui servaient à voir et le drap lui bouchait la vue. Il trouva donc un compris et l'enroula de manière à ce que sa vision ne soit pas obstruée. Mais dans le coup, on voyait quand même que son crâne n'était que racines. Aussi, ils lui confectionnèrent un masque à partir d'un arbre mort naturellement. Ils l'ornèrent de pierres luminescentes qui lui donnaient un aspect inquiétant. Ce qui arrangeait tout le monde. Au fil des semaines, chaque fois qu'il partait à leur rencontre, ils lui offraient des choses construites à partir de son frère décédé. Chaque fois plus travaillé, chaque fois plus beau, il prenait conscience de ce qu'étaient les... Vêtements... Et que le visuel avait une importance. Au fil du temps, il ressemblait de plus en plus à un être humain. Son corps s'était recouvert d'une couche de terre argileuse et formait une sorte de peau recouvrant et dissimulant ses origines forestières. De loin comme de près on pourrait le confondre avec un homme des bois imposant et inquiétant, un ermite aliéné qui vit on-ne-sait comment et qui aurait... Une maladie de peau ? Ou un Elfe Noir sous testostérone. Mais ça, on y croit moins. (Personnage sans doute très audacieux de par sa nature, sa race, comme du reste. Si vous voulez plus de détails, n'hésitez pas à demander, j'aime beaucoup de concept et j'espère qu'il vous plaira également, ou du moins vous amusera comme j'ai pu m'amuser à le concevoir. En espérant qu'il n'existe rien de similaire sur le forum. Si vous vous posez la question, j'ai l'intention de le faire évoluer et surtout de lui faire quitter la Nation de la Terre pour peu que je trouve quelques personnes motivées pour l'aider. Seul ce serait inenvisageable. ) - Citation :
- Un petit groupe de soldats s'aventure dans ta forêt. Voilà qu'ils ont visiblement décidé de prendre un chasse une petite fille, courant à sa poursuite sans même se préoccuper des branchages et buissons qu'ils arrachent et déchirent sur leur chemin ! Raconte ta réaction, lorsque mère Nature te met au courant de ce fait.
Dans la réalité
Âge : 20 ans. Avez-vous déjà fréquenté d'autres forums, si oui lesquels ? Y'en a tellement... Vos passions : Les enfants en bas âge... Les arts vidéoludiques, dessiner, écrire, taper des ours avec des chaussons... Votre avis sur le forum? Bien plus complet qu'on ne pourrait le croire. Comment avez vous connu le forum? Forumactif. Phrase fétiche : Plus te pédales moins vite, moins t'avances plus fort. Crédit avatar : thiago-almeida - DeviantArt
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| | Howard Hazred
Partie IRLCrédit avatar : thiago-almeida : DeviantArtDouble compte : /Vitesse de réponse : Entre 1 et 7 ans.
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