| Aller à la page : 1, 2 | Sam 7 Sep - 22:40 | | | | Peut on faire un beau poème sur un sujet répugnant ? Il semble que oui ! !! GG
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| | Nashley
Partie IRLCrédit avatar : Venus Raven (deviantArt)Double compte : nopeVitesse de réponse : le plus vite possible
| | Dim 8 Sep - 2:37 | | | | Je vais rougir vraiment ! "devient tout rose en imaginant les compliments de la demoiselle" Mais merci c'est très plaisant ! Bon suite ^^ Aux anges
En un sentiment total d'admiration, Et pourtant si loin d'une possible action, Je vous représente, déesses inégalées, Genre humain dont je ne devrais parler.
Aux Aphrodites, aux Héras, aux beautés splendides, Aux êtres féminins, qui des déserts arides, En un sourire, en font des oasis bénis, Je me doit de leur dévouer une trace écrite.
A ces demoiselles, splendeurs florales, Qui nous laisse, naïvement, entrevoir leurs pétales, Ces douceurs de tournesols, de roses et de lys, Ces chants de pureté dont elles resteront toujours les cantatrices.
A ces dames, aux charmes ravageurs, Dans les prémices d'un esprit vengeur, Trouvent leurs supériorités dans le sublime de leurs êtres, Je cherche liaisons mais ne trouve rien à comparaître
A toutes ces belles figures, Dont je ne peux approcher, de peur d'une coupure, Dont mes mains maladroites purent être les organisatrices, Je préfère rester dans l'ombre, protecteur de ces délicieuses actrices.
A ces formes de perfection, dont les mouvements, Vont jusqu'à faire perdre la notion du temps aux passants. Toutes ces ombres dont on garde un souvenir onirique, Nous en gardons l'impression de canons antiques.
Pour vous, êtres de rêves, Je garderais toujours un sentiment de bonheur, Et de loin je ne me permettrai aucune trêve, Tant que mes actions protectrices garderont leur valeur ! - Spoiler:
Amour, admiration, chevalerie, tellement de comportements auprès des femmes leurs apportent un caractère quasiment sacré. Mais est-ce que cela est bon ?
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| | Mer 11 Sep - 13:54 | | | | Et une suite ^^ En marche
Je vois passer nombre de paysages, Aux apparences fragmentées, aux apparences sauvages, Montant vers le ciel, ou plongeant sous terre, Marqués par les pas de ses éternels hères.
En strates, en monts, en vallées, Je les vois lentement défiler, Avec leurs couleurs, vives, ou mortes, Lieux désolés qui, le temps, supportent.
En de ces lieux, secrets et sauvages, Mon corps et mon esprit, détachés, voyagent. Mais en cet engin en rien je n'adhère, Bouclé par le fer et ces vitres de verres.
Je passe de point d'eau en campagne, Et de campagnes en vertes vallées, Et autant on parle de ces traversées qui soignent ... Rien ne me permit de ne plus y penser !
Bloqué dans un chien mécanique, Embourbé dans ces sons et ces formes, En rien naturel, en tout aspect éthique, Comme dans un animal, une tique énorme !
Je ne me sens que peu à ma place, Un être solitaire au milieu d'une impasse, Entouré par quantité de personnes, Et pour une fois aucune alarme ne sonne !
Les paysages ont de nouveaux changé, Les souvenirs tendent à s'effacer, J'en garde pourtant une graine, une idée ... Qu'en ce milieu-ci, il est difficile d'exister ! - Spoiler:
Difficile de dire clairement à quoi je pensais quand j'ai écris celui-là. Il s'agit d'un voyage en train, mais je ne me souviens plus de ce qui m'avait rendu si critique ... Et vous, comment le ressentez vous ?
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| | Jeu 19 Sep - 17:08 | | | | Triiiiple post ^^ Est-ce que ça veut dire que les textes plaisent moins ? Je n'espère pas ... Voici en tout cas la suite : Renouveau
Le couvercle céleste s'emplit de mille feux. De couleurs ardentes font danser nos yeux, Alors qu'au loin l'astre rougeoyant se couche. Et notre horizon s'étend d'une nocturne touche.
La précision se perd dans le sombre décor, Perdant en complexe ce qu'il gagne en sensations. Le paysage offre son intégrité, et s'endort, Offrant à la pénombre sa parfaite soumission.
Et enfin, en voyage dans cette glorieuse noirceur, Je puis retrouver le bonheur d'un manteau protecteur, Cachant mes mouvements, cachant ma face, En Égide bienfaitrice, malheureusement fugace.
Et sous cette proie divine de l'aurore, Je me balade, dévêtu de toutes ces manières d'or, Qui enrichissent mes relations sous le plomb solaires, Mais qui cache et alourdie mes formes austères .
J'en suis venu à espérer cette ébène protectrice, L'admirant en fugace et éternelle beauté, propice A l'oubli du paraître, pour laisser les rêves parcourir le monde en de douces trêves .
Et lorsqu'enfin dans cette nuit, Vous faites de vos cauchemars vos plus beaux amis, Laissez vous pénétrez par ce goudron vaporeux . Oubliez vous dans le noir, dans ces songes nébuleux .
Je suis capable de courir sous les étoiles, En ces lieux oniriques, et en maître parfait, Je frôle les cauchemars de tout ces êtres, Qui furent miens et qui sont désormais au paraître. Celui là je ne l'explique pas, faites-vous votre avis sans chercher, que ressentez vous en le lisant ^^ ?
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| | Sam 5 Oct - 2:24 | | | | Discours de l'ombre au corps
Aux heures propices d'une nuit délicieuses, Il émet la volonté d'un désir puissant, Qui offre, sur sa vie, une fin douteuse. Souffrir est ce qui lui revient violemment !
Il aimerais, pouvoir, dans son propre corps, Tiré l'encre rouge pour ces mots, Et pouvoir de nouveau, et encore, Puisé dans sa chair la boue de ses vaisseaux.
Il a le désir de s'arracher lentement les entrailles, Déchirer les horreurs se nourrissant en son sein, Déloger la putrescences, n'ayant autre chose qui lui aille, Et l'anéantir, me finissant par les mêmes moyens .
Tout ce qui est bon sens l'entrave, Il veux à sa flasque chair les pires châtiments, Il veux pouvoir s'user dans les gestes les plus graves, Libérer la Terre de sa présence et le plus douloureusement .
Point de clémence, ni de pitié, Il veux se déchirer, bout à bout, ce corps, souillé, putréfié, Cet immondice à la charnelle gonflée de malveillance. Pas de choix, pas de repentances, pas de loi. Juste le silence .
Il a la volonté de s'arracher cœur, poumons, organes avec les dents, Offrir à son corps, la seule punition possible, une sentence infernale, Mais il ne puis, qu'en essais y ressemblant, Infliger à son corps tout ce qu'il peut de plus condamnable .
Dans le corps, il y a l'esprit, dans l'esprit l'homme, Dans l'homme on as la bête, et dans la bête l'immonde, Et l'immonde qu'il est demande du repos, un somme, Et le monstre qui restait en sommeil ne le laisseras pas en ce monde !
Non, l'outrage qu'il se porte, N'est en rien comparable, à ce qu'il supporte . Quadruple post, est-ce que ce sujet aura une réponse ? Je ne le sais guère, mais j'espère que ce dernier poème saura vous plaire ^^
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| | Mer 16 Oct - 7:57 | | | | Bon eh bien je continue, en espérant que cela plaise toujours ^^ Megalopolis
Un lieu de décadence et de vice la décrit, Cette capitale aux façades de pleurs et de cris, Enfantins et féminins, espérant dans leurs prisons, Une autre destinée que celle de l'exécution .
Les chaines tintent de bruits aigus et saccadés, Aux pieds et aux mains de nombreuses vies saccagées, Aux noms de gloires et d'espoirs d'un monde libre, Et qui ne trouve que pages blanches dans les livres .
C'est un lieu où la banalité a une place reine, Et où la pauvreté mentale est l'idée la plus saine. Une place forte, où une mêlée d'arme fait cohorte, Dressées à l'épaules, à feu, précise vers l'aorte.
C'est une ville où le squelette drapée exulte, Et où les musiciens cessèrent de jouer de leurs flûtes. Là, où la balance aux yeux bandés rendit son étoffe aveugle, Ici, où chaque colombes se trouve entre les serres d'un aigles.
Ce ne sont pas des dalles qui parcourent les rues, Nuls murs sont de pierres et de béton armurés, Mais peines et douleurs sont ce qui, les pavés, constituent, Et Chairs et clameurs sont les bâtisses à vue sur les tranchées.
Et au milieu de ces enveloppes grises et vides, L'homme gît paresseusement, espoirs et esprits arides, Négligeant de la moral et de l'éthique, y préférant confort, Levant sa vie sur la trahison, l'esclavagisme, puis le remord !
Nous somme tous êtres destinés au purgatoire, Soit grâce au dénis, soit grâce à l'idée du désespoir. Et seuls aux sages et aux miséreux seront donnés le choix, De choisir entre l'ennui du haut et le malheur du bas !
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| | Sam 19 Oct - 16:38 | | | | Dans ce cas, je poste ! J'aime bien En marche ! Les rimes sont efficaces et bien trouvées ! En marche pour encore de nouveaux poèmes, dans ces cas !
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| | Nashley
Partie IRLCrédit avatar : Venus Raven (deviantArt)Double compte : nopeVitesse de réponse : le plus vite possible
| | Mar 14 Jan - 9:43 | | | | Eh bien merci Nashley ... Voilà j'apporte du nouveau désolé : Analyse
Aux espoirs comblés Dont je n'aimerais parler Je veux déchéance Aux bonheurs, malveillance Et à l'amour, Haine Et ne laisser ainsi que peine . Vite, horreurs, achevez-moi Et que désormais rien ne soit Que larmes et sang Que j'aille jusqu'à être dément Un démon dans l'enfer béant A l'ignominie irradiant Et dans les couleurs rougeâtre Découpés un de ces âtres Protégeant ma vilainie Et mes douloureuses envies De douleurs, et de tueries . Récupérer le riz maudit Des mariages et des églises Brûlez tout cela, l'incendier Définitivement les eliminer Rendre en cendres ces symboles Voirent toutes ces coupoles Tomber sous les pierres Effacant l'avri des hères Etre l'assassin damnés Par ces vies enragées Auquel je ne veut plaire Et à vouloir me satisfaire Je plombe la châpe Que les voyageurs attrapent Pour se couvrirent les épaules Et passant les saules Pleure leur compagnon perdu Dans les coins obtus De la robe rouge De celle qui arrête ce qui bouge De la déesse mortelle Qui me hèle Tel son protégé Parce que je lui suis dévoué En être imparfait et inutile En être lâche et subtile En créature qui au bonheur préfère A toutes fleurs celle de fer Qui voit en elle libération En une toute simple action D'un mouvement net Eparpillées les miettes De toute ma personne Quant les cloches tonnent Dans un requiem final Et dans un sommeil hivernal Je cauchemarderais Je m'en irais Vers de nouvelles horreurs Histoires pour que mon coeur Se met à me condamner A éprouver ces sentiments cachés Au plus profond des ténêbres Qui resteront toujours les plus célèbres . Et un deuxième parce que bon je suis un peu en retard ^^ Aux anges
En un sentiment totale d'admiration, Et pourtant si loin d'une possible action, Je vous représente, déesses inégalées, Genre humain dont je ne devrais parler.
Aux Aphrodites, aux Héras, aux beautées splendides, Aux êtres féminins, qui des déserts arides, En un sourire, en font des oasis bênites, Je me doit de leur dévouer une trace écrite.
A ces demoiselles, splendeurs florales, Qui nous laisse, naïvement, entrevoir leurs pétales, Ces douceurs de tournesols, de roses et de lys, Ces chants de pureté dont elles resteront toujours les cantatrices.
A ces dames, aux charmes ravageurs, Dans les prémices d'un esprit vengeur, Trouvent leurs supériorités dans la sublime de leurs êtres, Je cherche liaisons mais ne trouve rien à comparaitre
A toutes ces belles figures, Dont je ne peut approcher, de peur d'une coupure, Dont mes mains maladroites purent êtres les organisatrices, Je prefère rester dans l'ombre, protecteur de ces délicieuses actrices.
A ces formes de perfection, dont les mouvements, Vont jusqu'à faire perdre la notion du temps aux passants. Toutes ces ombres dont on garde un souvenir onirique, Nous en gardons l'impression de canons antiques.
Pour vous, êtres de rêves, Je garderais toujours un sentiment de bonheur, Et de loin je ne me permettrais aucune trêve, Tant que mes actions protectrices garderont leurs valeurs !
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| | Jeu 6 Fév - 20:05 | | | | Waouh! Franchement là où je t'admire le plus c'est pour la profondeur de tes poèmes, y a vraiment un sens super recherché à la manière des grands écrivains, j'adore Sinon, mais là c'est une question de goût, certains poèmes sont très sombres, et tu me connais, j'aime la joie, la bonne humeur, l'optimisme quoi! Et aussi, des fois j'ai eu l'impression qu'il y avait des erreurs de rythmes, mais peut-être est-ce calculé ou bien c'est sûrement moi qui ait l'habitude des poèmes classiques Bref, encore bravo!
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| | Nawel
Partie IRLCrédit avatar : Signature d'Anima, avatar de Luz et Léandre ♥Double compte : DélyëVitesse de réponse : Moyenne
| | Ven 14 Fév - 8:47 | | | | Je viens de me farcir la totalité des poèmes, et bien que ce genre littéraire ne me plait pas vraiment, force est d'admettre que tu es doué.
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| | Wode Everhatt
Partie IRLCrédit avatar : LinkbestDouble compte : Aeon & SiryëVitesse de réponse : selon l'inspiration
| | Mar 18 Fév - 8:38 | | | | Je vous remercie tout les deux pour vos compliments. J'essaierais d'en faire d'autre, mais c'est vrai que mon inspiration (comme pour le RP) est un peu inspirée par la spirale infernale des études de médecine ^^ Encore une fois merci, et pour cette raisons je vous offre de nouvelles compositions : En marche
Je vois passer nombre de paysages, Aux apparences fragmentées, aux apparences sauvages, Montant vers le ciel, ou plongeant sous terre, Marqués par les pas de ses éternels hères.
En strates, en monts, en vallées, Je les vois lentement défiler, Avec leurs couleurs, vives, ou mortes, Lieux désolés qui, le temps, supportent.
En de ces lieux, secrets et sauvages, Mon corps et mon esprit, détachés, voyagent. Mais en cet engin en rien je n'adhère, Bouclé par le fer et ces vitres de verres.
Je passe de point d'eau en campagne, Et de campagnes en vertes vallées, Et autant on parle de ces traversées qui soignent ... Rien ne me permit de ne plus y penser !
Bloqué dans un chien mécanique, Embourbé dans ces sons et ces formes, En rien naturel, en tout aspect éthique, Comme dans un animal une tique énorme !
Je ne me sens que peu à ma place, Un être solitaire au milieu d'une impasse, Entouré par quantité de personnes, Et pour une fois aucune alarme ne sonne !
Les paysages ont de nouveaux changé, Les souvenirs tendent à s'effacer, J'en garde pourtant une graine, une idée ... Qu'en ce milieu-ci, il est difficile d'exister !
Renouveau
Le couvercle céleste s'emplit de mille feux. De couleurs ardentes font danser nos yeux, Alors qu'au loin l'astre rougeoyant se couche. Et notre horizon s'étend d'une nocturne touche.
La précision se perd dans le sombre décor, Perdant en complexe ce qu'il gagne en sensations. Le paysage offre son intégrité, et s'endort, Offrant à la pénombre sa parfaite soumission.
Et enfin, en voyage dans cette glorieuse noirceur, Je puis retrouver le bonheur d'un manteau protecteur, Cachant mes mouvements, cachant ma face, En Égide bienfaitrice, malheureusement fugace.
Et sous cette proie divine de l'aurore, Je me balade, dévêtu de toutes ces manières d'or, Qui enrichissent mes relations sous le plomb solaires, Mais qui cache et alourdie mes formes austères .
J'en suis venu à espérer cette ébène protectrice, L'admirant en fugace et éternelle beauté, propice A l'oubli du paraître, pour laisser les rêves parcourir le monde en de douces trêves .
Et lorsqu'enfin dans cette nuit, Vous faites de vos cauchemars vos plus beaux amis, Laissez vous pénétrez par ce goudron vaporeux . Oubliez vous dans le noir, dans ces songes nébuleux .
Je suis capable de courir sous les étoiles, En ces lieux oniriques, et en maître parfait, Je frôle les cauchemars de tout ces êtres, Qui furent miens et qui sont désormais au paraître.
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| | Mer 30 Avr - 12:33 | | | | Bon eh bien en voilà deux nouveaux, en espérant qu'ils plaisent ^^ Et comme toujours c'est sombre et pas bien drôle, pardonnez moi mais je crois que la joie n'est pas faites pour moi Idylle
Un cœur au désespoir, brûlée d'une flamme vive, Au sein maintes fois lacérés par de douloureuses tentatives. Maintes fois espérant que de cet chaleur il périsse, Toujours se retrouvant effondré, porteur de sanglantes cicatrices .
Une âme trop grosse, enflée de tristesse, Voisine de cet oiseau rouge, racontant sa messe, Dont les sermons restent encore emprunts d'espoirs, Mais aucun d'eux, au fond, ne peuvent y croire !
C'est alors tel une utopie qu'elle apparut, Cet personne dont le corps et la pensée méritent les nues. Une divinité, d'une pâle, et envoutante pureté, Et à qui, malgré des avertissements, mon intérieur c'est loué .
C'est un ange, une beauté froide, une légende, Et entre nous une barrière égale à la Cordillères des Andes, Que j'hésite à gravir et dans laquelle je fonce, en fou, Décidé de rejoindre celle qui rends même les puissants jaloux .
Maintes chutes, maintes blessures, maints ouvrages et pertes, Me séparent de tout ce qui constitue mon être . Chassant les colombes aux lauriers, laissant l'or aux roches, Je m'accroche son visage au cœur, tel une broche.
Je la vois, toute près, à trois pas de moi, Enjambée de manière fulgurante, je tends les bras, Et l'attrape, l'enlace, jusqu'à ce qu'elle disparaisse, Et le miroir la remplaçant me met à genoux, tel le ferait Héraclès.
Qui suis-je ? Une enfant ? Un vieillard ? Tout juste assez vieux pour ne pas se laisser choir . Tant d'années vécues à poursuivre la vérité ... Pour que ma vie s'efface une fois mon cœur lavée ...
Compagnie ...
C'est souvent sous le couvercle de la douce nuit, Que nous retrouvons les sentiments que nous avions abolis, Ceux qui de jours ont encore un rôle de parjure, Et qui de nuit nous consomment en divines brûlure.
L'âme, cette vorace, se gorge de ce Nirvana infernale, D'où sort le plus violent des bonheur, et le plus doux des mal. S'eusse n'été qu'un instant, quelle fantastique amie ! Mais éternellement dans sa poigne, nous sommes de bienheureux maudit !
Tant de sensations, est-ce encore humain ? Pourquoi frôler l'infarctus en touchant une main ? Comment aimer la douleur dû à une unique absence ? Pourquoi vouloir, à chaque autre regards, vengeance ?
Basé sur des sentiments si contradictoires, si différents, L'on se demande pourquoi chacun y passe obligatoirement . Et même comment cela se fait que tout le monde le désir, En sachant pertinemment que cela fais souffrir !
Je me demande encore si j'ai toute ma raison . Si tout ce que je ressens n'est pas qu'une horrible illusion, Et c'est là qu'un seul de ses mouvements me fait tout oublier . Je m'abandonne à ses bras, désireux d'y rester ...
A passer la main sur ce tendre et doux rêve, Je passe avec les malheurs précédents une trêve, Oubliant les autres, éradiquant l'idée d'un univers , A cet personne je garde ma pensée tout entière !
C'est un sentiment des plus contradictoires, Tantôt horrible malheur, tantôt parfait espoir, De vivre transpercé d'une même flèche, Ensemble touché par la foudre, bénédiction soudant toutes brèches !
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