Dim 27 Jan - 10:29 | | | | CLYDWEN Curieuse - Maniaque - Énergique - Intransigeante - Optimiste - Socialement inepte. Aime la culture, la magie et ce qui brille - Déteste les imbéciles, les grandes villes et les chiens. Informations Surnom : Gwyn au sein de sa tribu, Clyd pour les néophytes de sa langue maternelle. Âge : Cent-vingt printemps, à peu de choses près. L’âge ne se compte pas vraiment en années, de par chez elle. Nationalité : Terrestre, de Flore plus exactement. Profession : Apothicaire, et quelque peu alchimiste pour sa Guilde. Son environnement d’origine et sa race lui octroient le privilège d’avoir des plantes souvent mal voire méconnues du grand public. Camp : Guilde « La Confrérie des Brumes ». Titre de noblesse : Aucun. Croyance : Yehadiel, principalement. Von Luar et Cyri en second lieu. Famille/tribus : Sans. Mort : Oui. | Race Ilwynog. Caractéristiques physiques.Les Ilwynogs sont des créatures issues de Flore ; petits êtres anthropomorphes, ils mesurent en effet une cinquantaine de centimètres pour les plus petits d’entre eux et peuvent atteindre aux environs de soixante-dix centimètres pour les plus grands. Il n’existe cependant pas d’exceptions à la règle : de mémoire et à ce jour aucun membre de cette race n’a été drastiquement plus petit ou plus grand que cette tranche-ci. Recouverts de fourrure, celle-ci différant de poils mi-longs à longs, les Ilwynogs arborent des robes de couleur variable, que celle-ci soit unie ou découpée en tâches, striures et autres facéties visuelles. Cette dernière cependant est exclusivement d’une teinte pastel et très rares sont les Ilwynogs à arborer une couleur dite ‘extravagante’ : cela correspond à leurs yeux à un équivalent de l’albinisme. Ils ignorent la cause cette originalité capillaire mais les créatures à en être victimes ne sont pour autant pas discriminées. Les Ilwynogs sont couronnés de grandes oreilles et la forme et taille de ces dernières diffèrent d’un individu à l’autre. Pointues, rondes, droites ou pendantes, elles possèdent néanmoins toutes les mêmes caractéristiques : une ouïe plus affinée que la plupart des êtres vivants de Terra. Loin de pouvoir capter les ultrasons, les Ilwynogs n’en restent pas moins plus sensibles aux bruits et, couplé à leur nyctalopie, sont par-là même d’excellents animaux nocturnes. Cette vision de nuit, du reste, est la seule particularité de leurs pupilles : ils perçoivent les couleurs comme tout un chacun et n’ont pas d’acuité particulière. Leurs pattes sont pourvues de griffes rétractibles et se composent de cinq doigts pour les antérieures, dont seulement quatre touchent le sol lorsqu’ils se déplacent à quatre pattes, et de quatre doigts aux postérieures. Ils possèdent également des coussinets, constitués d’une membrane élastique qui leur confère une marche silencieuse. Ces spécificités octroient aux Ilwynogs une grande souplesse et une détente ample lors de leurs sauts : ils peuvent sauter une hauteur jusqu’à cinq fois leurs tailles. Cela n’est pas les seuls avantages de ces dits coussinets : aidés par les vibrisses, longs poils présents sur les moustaches, les pattes et les sourcils des Ilwynogs, ils rendent ces derniers très sensibles aux vibrations et les font bénéficier de ce qu’on pourrait appeler un ‘sixième sens’ d’un point de vue humain. Pour finir, leur organe vestibulaire est particulièrement développé, leur conférant un excellent sens de l’équilibre et expliquant entre autre leur capacité à toujours retomber sur leurs pattes. Caractéristiques psychologiques.Les Ilwynogs sont des créatures dotées d’intelligence ; et quelle intelligence ! Race connue et reconnue pour son érudisme, ce sont pour la plupart des bestioles arrogantes qui font l’apanage des plus forts.. intellectuellement. Tout du moins, au sein même de leur tribu : bien plus tolérants avec les étrangers, ils sont particulièrement appréciés pour leur affabilité en plus de leur physique pour le moins mignon. Entre eux, néanmoins, c’est une autre histoire : être imbécile, chez les Ilwynogs, ça n’existe pas – tout du moins, pas officiellement. Bien malheureux les simples d’esprits ; exclus de la société mondaine, s’ils restent un membre à part entière de la race (car les Ilwynogs n’en restent pas moins grégaires et s’aimant les uns les autres) ils ne peuvent espérer achever quoi que ce soit aux yeux de leurs compatriotes. Doté d’un savoir gardé farouchement dans leurs bibliothèques et d’une histoire uniquement transmise oralement par souci de secret, ils n’en restent pas moins très pacifistes et proches de la Nature, qu’ ils vénèrent pour la grande majorité et avec laquelle ils ont une affinité naturelle. Les rares Ilwynogs à quitter leur Flore natale sont ceux qui sont appelés à de très grandes choses (un professeur éminent à l’Université de Drayame est Ilwynog, par exemple ; de la même manière, un Ilwynog fait partie des intellectuels renommés travaillant sur des projets de golems chez les nains) et ceux, bien plus exceptionnels, qui rêvent d’aventure ou de savoir extérieur, mais dans la mentalité fière sinon hautaine de la plupart des Ilwynogs il est inutile de partir tant ils ont su référencer toutes les connaissances possibles et imaginables dans leur petit coin de paradis. Autre.Les Ilwynogs peuvent vivre jusque milles ans. Ils ne peuvent se reproduire qu’entre eux ; une femelle connait ses périodes de chaleur une fois tous les sept ans et peut mettre bas jusqu’à trois petits à la fois. La durée de gestation dure de trois à quatre mois. Ils ne restent que très peu de représentants de cette race suite à l’Hiver Éternel qui les a décimés, et ils ne doivent leur survie qu’aux nymphes, elfes et autres créatures des forêts entourant Flore. Ils ne sont plus qu’une centaine de membres au jour d’aujourd’hui. Ils possèdent des relations privilégiées avec les membres des races forestières de Terre. |
Caractère
Terriblement mobile, Clydwen est partout où on ne l’attend pas ! Elle passe son temps à poser des questions... et à y répondre. Sa curiosité et sa vivacité d'esprit sont insatiables. Son esprit est constamment en ébullition, passant d'un sujet à l'autre, résolvant des problèmes, accumulant les anecdotes et les connaissances sur un court laps de temps. Sa mobilité, essentiellement mentale, l’emmène très loin et fait de son quotidien une mosaïque de moments intenses et plaisants, sans qu'il n'y ait forcément de corrélation entre eux : du moment que cela bouge, qu’elle puisse faire travailler ses neurones et qu’elle rencontre du monde, tout va bien ! Tout d'une pièce, son énergie naturelle la pousse fréquemment à désirer avoir la première place partout où elle arrive, et sans l'étrange sympathie qui émane de sa personne, certains pourraient parfois la trouver arrogante. Foncer tête en avant n'a évidemment pas que des avantages. À force de courage et de mouvement, elle peut aussi se cogner et brutalement... douter. Du coup, tout son courage, sa droiture, son enthousiasme et sa franchise peuvent se muer en une certaine agressivité, une révolte et une vulnérabilité que personne n'aurait soupçonnée avant. Dieu merci, son côté instinctif et batailleur mais aussi son énergie particulièrement abondante ne la laisseront pas sans ressource longtemps et le feu sacré qui coule dans ses veines la remettra sur selle pour de nouvelles cavalcades à la conquête de buts aussi ambitieux ou glorieux que risqués. Mais une fois la compétition effacée, Clydwen est d'une nature nerveuse, secondaire, qui privilégie la réflexion comme préalable à l'action, qui passe au crible de la sélection toutes les éventualités et réactions possibles dès qu'un évènement se présente, qui essaie systématiquement d'adapter à la situation la meilleure réponse : perfectionniste avant tout, elle n'a de cesse dans tous les domaines d'optimiser les choses, que ce soit dans le domaine professionnel et pratique, dans les domaines de l'esthétique et même du plaisir, refusant la spontanéité en considérant que l'exigence du mieux est la moindre des choses pour profiter pleinement de la vie et aller plus loin, même si cela est au détriment de l'instinct et de la force brutale qui y est associée. L'esprit intervient avant le physique, avant les sentiments : c'est une des clefs essentielles pour la comprendre.
Physique Clydwen, en Ilwynog relativement jeune - elle vient comparativement juste de sortir de l'adolescence, est d'une énergie, d'une vivacité physique particulièrement épuisante. Ses grands yeux curieux ne s'immobilisent que si elle se retrouve un bouquin entre les mains, et ses sourcils accompagnent ses derniers en une fresque d'émotions en constante évolution. À l'instar de sa bouche toujours en train de débiter quelque chose, son visage est d'une transparence presque indécente, reflétant ses pensées et son âme comme un grimoire ouvert. Il serait de bon ton cependant de ne pas le retourner contre elle, car ses pupilles ambrées pourraient rapidement voir rouge. Son pelage crémeux est d'un poil long et, s'il a perdu de sa douceur infantile au fil des années et des voyages, il reste agréable à toucher lorsqu'on prend le temps d'y perdre ses doigts. Ses grandes oreilles pointent vers le ciel et forment un demi-cercle, se pliant et remuant en fonction des émotions de Clyd - ou du vent, parfois, mais ça. Comme la plupart des Ilwynog en dehors de Flore, elle porte des vêtements alliant toujours bleu et doré s'accordant aux couleurs naturelles qui lui ont été accordés par Mère Nature ; une vieille tradition de tribu, assurément. |
Capacités Arme : Un bâton, ma foi, tout ce qu’il y a de plus basique. On pourrait aisément le confondre avec une branche d’arbre lisse éventuellement très légèrement travaillée lorsqu’on y regarde de près. Pouvoirs : Utilisatrice de magie druidique, elle peut, basiquement, communiquer avec les plantes et les animaux. En dehors de ça, le druidisme repose sur la compréhension et l’acceptation totale de la Nature, l’utilisant grâce à sa magie en gardant toujours à l’esprit que la Nature décide avant soi. En prenant le risque de l’utiliser, il faut savoir, comprendre et avant tout assumer que le contrôle n’est pas entre ses mains. De ce fait, Clydwen est capable de déclencher des événements naturels qui, après leur invocation, évoluent au gré du chaos naturel qui les régit en temps normal. Il est dit que les plus puissants des druides peuvent invoquer jusqu’à des catastrophes naturels, mais nombreux sont les récits racontant la mort de ces imbéciles qui avaient oublié jusqu’aux règles de base de leur art. Clydwen ne leur arrive pas encore à la cheville, cependant cela ne l’empêche pas de fantasmer sur un jour prochain où, à son tour, elle saura invoquer un tremblement de terre. En attendant, elle se contente de faire souffler le vent et pousser les fleurs en espérant que celles-ci ne soient pas carnivores. - Spoiler:
Le principe du druidisme, dans ce que j'en ai fait, c'est de pouvoir utiliser la Nature (et tous les événements qui l'entoure) grâce à la magie. Du coup, faire souffler le vent, tomber la pluie, entamer le bourgeonnement des fleurs, énerver une mer calme, faire entrer un volcan en éruption.. mais à partir du moment où on a lancé la machine (et au contraire des élémentalistes qui eux contrôlent leur élément), c'est la Nature qui décide du reste et du sens dans lequel va évoluer l'impulsion première donnée par le druide. Du coup leur magie est largement plus dévastatrice mais en contrepartie totalement incontrôlable (et évidemment plus le druide est puissant plus il saura contrôler l'impulsion première, mais dans le principe ils respectent la Nature comme des fanatiques et savent pertinemment qu'ils n'auront jamais le dernier mot et qu'il y aura toujours des risques). Les exemples que j'ai cité sont, du coup, juste des exemples dans toute l'étendue de possibilités que la magie druidique peut offrir. Pour l'instant, Clyd est une druide minable (faut dire ce qui est, hein) dont l'impulsion première n'influence pas la Nature et dont le moindre sort est par définition chaotique. De plus elle pourra y mettre toute la volonté qu'elle voudra elle ne pourra pas contrôler les grandes forces comme les grandes étendues d'eau, les nappes phréatiques ou la lave d'un volcan. C'est largement en dehors de sa portée. Le druidisme à ma définition ne comporte ni la magie solaire ni la magie lunaire. Elle se cantonne aux événements naturels terrestres. Familier : Sans. Artefact magique : Non plus. Autre : Peut parfois vous refiler des puces. Ouaip. Alors gaffe à vos fesses. |
Histoire Les Ilwynog était, au départ, une tribu de Flore prospère et paisible, s'épanouissant au fil des saisons pour former une famille toujours plus grande ; parfois, il arrivait que certains représentants de la race s'aventurent hors du nid, mais la plupart passait leur vie au sein même de la forêt. L'arrivée de l'Hiver Éternel, cependant, les décima avec violence, réduisant drastiquement leur nombre à une petite centaine de membres, et ce uniquement grâce à l'aide des elfes, des fées et autres nymphes sans qui la race aurait complétement disparue. Clyd vint au Monde dans ce climat presque morbide durant lequel la natalité, presque inexistante, n'était plus très bien vu. Elle eut une enfance heureuse, cependant, bien que privative, et huit ans après sa naissance le gel commença peu à peu à disparaître pour laisser place à une saison plus luxuriante. Dés lors, elle passa sa tendre jeunesse à aider sa famille à se relever ; comme les Ilwynog vivait basiquement dans la Nature et que celle-ci restait meurtrie de ce long givre, il fallait s'occuper des êtres vivants de toute sorte, qu'ils soient animaux ou végétaux. C'est sûrement pour cette raison que, très tôt, Clydwen s'intéressa à tout ce qui pouvait enrichir son esprit ; l'ennui était terrible pour une jeune érudite. Sa soif de connaissance, elle l'assouvit à la bibliothèque de Drayame - les Ilwynog ont une histoire transmise principalement à l'oral, non pas parce qu'il s'agit d'un peuple stupide mais parce qu'ils sont d'une prétention assez hautaine pour des boules de poil lorsqu'il s'agit de leur savoir. Insatiable et hyperactive cependant elle n'en avait jamais assez et désira, à l'aube de ses soixante ans, partir. Elle s'arrêtait dans une ville pour s'y poser quelques mois, quelques années, tout dépendait de ce qu'elle y trouvait et de quoi elle pouvait nourrir son esprit. Elle était plus intellectuelle qu'aventurière, cependant elle rêvait de se joindre à ses expéditions dangereuses sans jamais oser signer. Elle fantasmait sur la possibilité d'un jour pouvoir pénétrer dans la cité oubliée, mais hé, ça, c'est une autre histoire. Vivant de ses origines, vendant plantes curatives et venimeuses ou des conseils pour servir ou contrer ces dernières, elle essuyait les regards discrets en réussissant presque toujours une intégration exemplaire ; il existait toujours cependant des petits crétins pour se moquer de ce qu'elle était, mais elle ne manquait jamais de leur pourrir la vie en faisant pleuvoir sur leur quartier le temps de son séjour - on se vengeait et on s'en réjouissait comme on pouvait. Lorsque Aile Ténébreuse commença à étendre son pouvoir sur Terra Mystica, Clydwen se trouvait en Sawahi, au sein d'une tribu qui l'avait accueilli à bras ouverts lorsqu'elle leur avait expliqué les raisons de sa présence ; la flore locale, en l'occurrence. Elle y resta de ce fait beaucoup plus longtemps que prévu. Outre le fait que les Ilwynog étaient des créatures attachantes, cette terre de Feu était en sécurité contre les dangers grandissant à l'extérieur, et sur conseil des sauvages avec qui elle vivait alors, il fallait attendre un peu de voir ce qu'il allait se passer - voire que ça se tasse - avant de s'y aventurer. Cela ne se tassa pas, cependant, et Clydwen dut improviser pour se remettre à voyager en toute sécurité. Elle trouva cette assurance dans la Compagnie des Brumes, qu'elle ne rejoignit pas uniquement par commodité cependant : elle y trouva une vraie passion et des opportunités qu'elle n'aurait jamais eu l'occasion de trouver seule. Peu concernée par la la Guerre qui faisait alors trembler Terra Mystica, Clyd est d'une fidélité aveugle à sa Guilde et son allégeance infinie revient au Savoir. À tort ou à raison, ça, seul le temps nous le dira. La seule chose dont elle peut vraiment être sûre, c'est que "un jour, j'ai passé quelques semaines dans une famille qui plonge les nouveaux-nés dans un bain d'eau froide accompagnée de glaçons pour laver leurs âmes et leur assurer une vie saine et pure ; si quelqu'un avait eu la présence d'esprit d'envoyer Aile Ténébreuse chez eux, on en serait pas là aujourd'hui !" - Citation :
- Raconte-nous cette fameuse halte de quelques semaines au sein de la famille « qui plonge les nouveaux-nés dans un bain d'eau froide accompagnée de glaçons pour laver leurs âmes et leur assurer une vie saine et pure », ainsi que ton intégration parmi eux.
Dans la vraie vie . Âge : Vingt-deux ans. Comment avez-vous connu le forum ? Google, si je me rappelle bien. Avez-vous déjà fréquenté d'autre forum, si oui lesquels ? Il y a trop longtemps pour que je m’en rappelle. Vos passions : Cf. la fiche de Bjørn Jansson. Que pensez-vous de Terra Mystica ? Avez-vous des suggestions pour l'améliorer ? Cf. la fiche de Bjørn Jansson. Avez-vous rencontré des problèmes pour remplir votre fiche? Sebastian a été assez adorable pour y remédier. Cependant je préfère poster ce qui risque de poser problème avant de terminer ma fiche parce que sait-on jamais, alors n'hésitez pas si j'ai fait quelque chose de mal. Phrase fétiche : Cf. la fiche de Bjørn Jansson. Code du règlement : Cf. la fiche.. ah, pardon. [OK, vérifié par Seb]
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| | Clydwen
Partie IRLCrédit avatar : Tyson Tan, Evaëlynn pour les retouches.Double compte : Bjørn Jansson, Jihad el-Houari.Vitesse de réponse : Lente.
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