Dim 18 Nov - 18:18 | | | | Sulnida Hyssälä Indépendante, farouche et intrépide. Maladresse sociale et brutalité. Joie de vivre et liberté. Une bonne lame plutôt qu’un collier. L’utilité d’abord. Informations Surnom : Sul’ pour les rares autorisées, ceux qui osent une familiarité sans permission risquent de se retrouver avec un beau coquard. Age : 28 ans Nationalité : les Glaces Profession : Aubergiste Camp : Les Glaces Titre de noblesse : Aucun Mort : Je ne suis pas contre, tenant juste à être prévenue bien entendu. | Race Sulnida est issue d’un petit peuple barbare de Saline qui a pour particularité de vivre en symbiose avec la meute de grands chiens des glaces. Ce peuple est connu sous le nom des Sondag, en bonne partie à cause de la grande majorité de leurs membres à la peau mate et c’est ainsi que leurs compagnons canins furent nommés les Mondag. Chaque Sondag, à sa naissance, est lié à un Mondag. La symbiose entre eux se développe au fil des années et de leurs relations. Tout d’abord, l’humain et le grand chien communiquent mutuellement par pensées. Un Sondag ne peut pas le faire avec un Mondag qui ne lui est pas lié et inversement. Vient après la perception du danger qui vient surtout du Mondag et qui est transmis ainsi à son Sondag. Le chien peut sentir l’humain en danger et le retrouvait rapidement et c’est tout aussi possible dans l’autre sens. La symbiose devient presque complète quand tous deux peuvent ressentir la douleur de l’autre. Si l’un des deux est blessé, l’autre le ressent et peut s’en retrouver affaibli. Cependant, il s’agit d’un stade où ils se comprennent mutuellement à un tel point qu’ils peuvent mettre en place des attaques coordonnées redoutables. La coordination devient parfaite quand la symbiose est complète et là, que ce soit le Mondag ou le Sondag qui meurt, l’autre meurt également. Il peut arriver parfois qu’une symbiose ne marche pas, souvent à cause d’une mauvaise entente, et là, il existe une grande différence entre les deux peuples. Les Sondag bannissent alors celui qui a échoué. Les Mondag, eux, gardent les leurs avec eux qui se retrouvent cependant dans le bas de la hiérarchie, inférieurs mais protégés. Les Mondag : ce sont de grands chiens au pelage blanc, ils peuvent atteindre jusqu’à la taille de 2 m pour les plus grands. Ils laissent leurs Sondag monter sur leur dos pour les longs trajets et aussi pour les combats. Ils sont une force brute et féroce pour les batailles. Entre eux, les plus forts sont les dominants, et entre les plus forts, c’est le plus âgé qui a le dernier mot. On y retrouve là le principe d’une meute… mais tout cela change une fois qu’ils sont liés à un Sondag et là, il s’adapte tout d’abord à la situation de l’humain. Les mondag qui ne sont pas liés ont une espérance de vie d’une trentaine d’années mais la symbiose a l’effet bénéfique de rallonger la durée de leur vie à celle de leur humain. Les Sondag ont toujours été des alliés d’Harald Wallah, certains se mêlant plus ou moins à l’ensemble du peuple de Saline. Mais dernièrement, suite au conflit entre les Glaces suite au pacte d u roi de Selina avec l’Aile Ténébreuse, les Sondag sortent alors de l’isolement pour renforcer les forces de leur allié. Ils sont après tout Saline et le danger les touche tous. Evidemment, les Mondag suivent donc le mouvement. Et ils ont d’ailleurs déjà participé à la libération de l’impératice Issendra en rejoignant Harald Wallah et son maréchal, affrontant pour la première fois les attaques de démons. S’ils sont retournés après dans leur isolement, ce fut pour une courte durée, le temps de faire preuve de leur loyauté pour partir sur le chemin de la guerre.
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Caractère
Sul’ n’a besoin de personne, c’est ce qu’elle se plait à croire à tout moment et elle ne manque pas de le rappeler à tout bout de champ. Par contre, à l’inverse, elle estime bien souvent être indispensable et sa vie s’en retrouve des plus remplies. Il est vital pour elle de se sentir utile et elle ne manque aucune occasion de se trouver en plein milieu de l’action. Heureusement, son métier l’amène à côtoyer bien du monde, à être au courant de bien des choses, et de proposer dans le dos de son père son aide. Plus c’est dangereux et plus sa motivation est grande. Mais elle ne crache pas non plus sur les petits coups de mains anodins. A vrai dire, elle sait rarement dire non à toute requête surtout si c’est pour le bien du peuple de Saline ou des Glaces et même des rebelles. Si elle surestime ses capacités ? Sûrement ! Juste quelques proches arrivent à la raisonner de temps en temps, sinon, elle se montre toujours présente jusqu’à dodeliner de la tête, à moitié endormie à essuyer des chopes à son auberge. C’est sa façon d’être généreuse, mais, par contre, elle n’est pas du genre à donner des piécettes aux mendiants. Elle estime que l’on ne doit recevoir que ce que l’on mérite. Ainsi, elle ne cherche aucun comportement de faveur de la part des autres et elle n’en donne aucun aussi sans bonne raison. Elle a ainsi une certaine droiture mais qui reste à sa bonne convenance. Parfois, elle oublie fort vite qu’elle est sa place et peut renvoyer balader avec brutalité tout haut seigneur ou soldat bien gradé dont la demande lui paraitrait abusive. Ah il est vrai que Sul’, au tout premier abord, est totalement dépourvue de toute délicatesse féminine. Elle fait également preuve d’une certaine maladresse dans sa façon de parler et d’aborder les gens. Aussi, elle a la fâcheuse manie de mettre les deux pieds dans le plat. Ce n’est pas qu’elle est vulgaire, méchante ou ingrate. La bonne séance sociale n’est tout simplement pas son fort. Cela ne l’empêche pas d’être une bonne vivante et de plaisanter à tout va. Mais attention, toute plaisanterie a ses limites et il vaut mieux éviter de se montrer trop familier avec elle au risque d’être remis à sa place avec violence. Dans le même genre, la galanterie la laisse totalement indifférente, elle est loin d’être fleur bleue. Inutile aussi d’essayer de l’impressionner, elle écoute bien plus ses instincts, elle se sert de sa tête en fait qu’en second, et elle n’est pas non plus d’une intelligence particulière, se fondant dans le commun des mortels pour cela. Sur l’agréable, elle préfère ce qui est utile, la liberté d’une balade dans les plaines glacées aux promenades dans une ville ou un campement. Sul’ est sans pitié face à ceux qui sont ses ennemis, et elle ne manque pas d’alimenter le conflit par provocation. Comme déjà dit, elle est instinctive et fonce souvent tête baissée et il est bien difficile parfois de comprendre son raisonnement. Heureusement, elle n’est pas seule avec Njörd qui ne la quitte pas d’une semelle. C’est comme s’ils ne faisaient qu’un. Si on s’en prend à Njörd c’est comme si on s’en prenait à elle-même, et elle sort de suite ses griffes. Njörd se révèle être étrangement la voix de la sagesse dans leur duo. Pour ceux qui sont ses proches et amis, une face cachée chez elle se révèle, un peu plus délicate, des plus chaleureuses et attentionnées. Elle fait un peu plus patte de velours, mais pas dans la faiblesse, il ne faut pas exagérer non plus. Elle garde tout le temps une main de fer sur sa vie.
Physique Tout comme son caractère est fort, son apparence n’est en rien fragile. Sulnida n’a rien d’une petite femme menue dont on briserait le bras en une seconde. Grande, mesurant environ 1m80, elle a un gabarit tout à fait normal et même un corps avec une fine musculature du fait de sa vie très active. Elle ne fait pas pour autant garçon manqué. Elle n’est ni planche à pain, ni un modèle de volupté, se rangeant là encore une fois dans ce qu’il y a de plus commun. Ce qui la démarque, c’est cette peau mate inattendue dans un monde peu ensoleillé. Une caractéristique de son peuple dont elle a hérité. Si elle ne l’entretient pas spécialement, sa peau garde une certaine douceur naturelle mais il est vrai que ses mains se révèlent un petit peu plus rugueuses, ses occupations étant bien loin de la simple couture délicate des dames nobles. Son visage est un peu allongé, son menton légèrement carré. Son nez lui est fin, d’une courbe délicate ornant bien son visage. Quant à ses lèvres, rien d’extraordinaire, du même ton que sa peau, la lèvre inférieure un petit peu plus charnue que la supérieure. Ce sont ses yeux qui contrastent avec la couleur de sa peau, deux grandes amandes agrémentées de longs cils qui renferment deux saphirs clairs et lumineux. Des sourcils légèrement épais mais bien dessinés les surplombent ajoutant une marque d’assurance certaine à son regard aussi expressif que son minois. Ses cheveux bruns sont plutôt longs et épais. Sulnida ne les laisse que rarement détachés pour éviter de se retrouver avec plein de nœuds ou des cheveux gênants voletant devant son visage. Elle adopte alors une queue de cheval et emprisonne deux épaisses mèches de chaque côté de son visage dans des petits tubes bleus. Aucun bijou, elle n’y voit aucun intérêt et elle les abîmerait. Aucune poudre ou maquillage qui ne feraient que la démanger. Côté vestimentaire, Sulnida ne connait pas les jupes ni les robes, elle n’en a jamais porté de sa vie et ne saurait en mettre seule. Elle a adopté les pantalons larges et s’arrêtant au-dessus de ses chevilles. De même, elle a choisi des hauts sans manche, accordés à de larges brassards au niveau de ses bras et de ses poignets, largement suffisant pour elle dans la chaleur de l’auberge. Si elle sort, elle a une veste en peau bien épaisse pour braver les vents glacés de Saline. |
Capacités Arme : Deux dagues que Sulnida sait bien manier, usant bien plus de feintes que de force dans ses coups. Savoir se battre était une évidence pour elle qui veut être indépendante. Elle apprit auprès de ses frères le temps qu’elle resta avec leur peuple. Elle se perfectionna ensuite seule ou avec l’expérience des différentes rencontres à l’auberge. Pouvoirs : La symbiose est comme un pouvoir. Pour Sulnida et Njörd, elle est développée au point que l’autre ressent quand l’autre est blessé. Leurs mouvements sont déjà fort bien synchronisés et ils sont capables de se retrouver facilement quand ils sont séparés. Familier : Njörd, un Mondag mesurant 2m aux puissants coups de pattes et à la mâchoire imposante. Il faisait partie des dominants dans sa meute. Il impressionne par de gros grognements, charge pour déstabiliser et renverser l’ennemi, mord et griffure puissantes pouvant transpercer les armures de petites et moyennes qualités. Balourd, l’agilité n’est pas son fort. Là, c’est le domaine de Sulnida. Njörd est celui qui arrive à refreiner les ardeurs de cette dernière, à l’assagir, il est aussi très protecteur. Un comportement louche envers sa Sondag à ses yeux ou s’il ressent un danger et il vous grogne dessus en montrant ses babines. Sulnida chevauche Njörd, en général avec un harnais adapté pour les longs voyages mais elle peut le faire également sans mais rendant la chevauchée moins confortable et bien plus fatigante. Artefact magique : Aucun Autre : Aucun
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Histoire La vie était somme toute agréable en compagnie de son peuple bien qu’un peu plus primaire. Sulnida a vu le jour au campement Sondag qui avait fait halte en bas d’un grand glacier. L’avant-dernière dans une fratrie de 3 frères et une autre sœur. Njörd n’était qu’un chiot quand il s’était faufilé entre les tentes, échappant à la surveillance maternelle, pour venir renifler ce petit bébé hurlant à tout poumon, dans son berceau prêt du feu tandis que sa mère reposait à côté. Aucune inquiétude de la part de cette dernière, c’était un fait courant, le Mondag qui était attiré par le Sondag auquel il était lié. Et elle sut que ces deux êtres étaient liés, car à la présence de Njörd, la petite se calma instantanément. Sulnida connut une bonne enfance, petite protégée de la famille (ce qui ne manquait pas de la faire râler bien des fois), elle s’émancipa surtout auprès de ses frères et autres garçons de leur peuple, préférant bien plus jouer à la bagarre que d’aider à la cuisine et autres tâches purement féminines. Oh elle tenait à son devoir, ne fuyant pas tout le temps, elle avait montré un très grand désir de tout vite apprendre pour pouvoir se débrouiller toute seule et son entourage répondit positivement à cela. Ce fut en réalité bienvenu car, à la naissance du petit dernier, son petit frère, leur mère s’affaiblit considérablement, et sa sœur ayant déjà fondé sa propre petite famille, elle prit alors la relève. Âgée d’une douzaine d’années, elle cuisinait, s’occupait du petit dernier en l’amenant à une autre femme du peuple capable de le nourrir en lait, et déjà avec son caractère trempé, elle ne manquait pas de donner des ordres et d’engueuler ses frères âgés de quelques années de plus qu’elle derrière le dos de leur père. Son temps libre, elle le passait à embêter ses frères et leurs amis jusqu’à ce qu’ils finissent par accepter qu’elles participent à leurs entraînements au combat. Njörd ne la quittait guère aussi et elle s’accordait parfois quelques fugues avec lui à chevaucher où bon lui semblait. Malgré une entraide familiale exemplaire et l’aide du guérisseur de leur peuple, leur mère succomba à 45 ans après une longue maladie 3 ans après la naissance du petit dernier. Ils se doutaient tous de cette issue fatale et passèrent cette épreuve ensemble, encore plus unis. Un premier évènement vint perturber cette vie normale pour un peuple barbare. Leur campement se trouvait sur une falaise, Sulnida était en train de polir la dague qu’elle avait reçu pour son seizième anniversaire, assise au bord de la falaise, tranquillement adossée contre le flanc de Njörd, les jambes dans le vide, toute concentrée sur sa tâche quand un frisson traversa son échine, tout s’assombrit et un long grognement sourd roula dans la gorge de Njörd. Ce dernier se redressa alors et elle l’imita, levant les yeux au ciel. Elle le vit donc, ce grand œil rouge occupant le ciel. Tout ne fut que chaos, les enfants qui pleurent, les cris de panique et les Mondag qui hurlèrent à la mort. Un court instant semblant interminable puis l’œil finit par disparaître. Un lourd silence plana suite à ce choc et ensuite tout le monde se regroupa pour parler de ce phénomène. Voilà ce que fut pendant un long moment le sujet des discussions, mais la jeune adolescente n’y prêta guère attention dans un premier temps car, après tout, cela ne changeait rien à sa vie les mois suivants. C’était plus son père et les anciens qui multiplièrent leurs discussions autour du feu, à polémiquer sur l’origine de cet œil rouge, chacun avançant ses hypothèses. Sulnida n’oublierait jamais l’apparition de cet œil et de la sensation de son cœur qui s’arrêtait mais elle avait encore une notion du monde plutôt réduite, juste son peuple et les Glaces. Et rien ne se passait à la faire s’inquiéter, loin de là. Elle s’épanouissait et avait tendance à s’éloigner de plus en plus lors de ses promenades du campement. Sûrement avec son assurance grandissante mais aussi une certaine curiosité. Et celle-ci allait être bien assouvie 5 ans plus tard quand son père annonça que, comme certains autres membres de leur peuple, il allait rejoindre la ville, une coutume par loyauté envers le souverain de Saline et aussi pouvant ainsi informer leur peuple de ce qu’il se passait bien au-delà des mers. Sulnida aurait pu rester avec les siens, elle aurait fini par s’unir à un des amis de ses frères, avoir son propre foyer mais cela ne lui paraissait en rien aussi palpitant que de découvrir la ville et surtout, elle sentait qu’elle serait bien plus utile aux côtés de son père, déjà bien âgé. Et ce dernier ne réussit aucunement à la faire changer d’avis, elle ne comprenait pas en quoi rester serait quelque chose de mieux pour elle, c’était le contraire à ses yeux. Elle commençait déjà à se sentir un peu à l’étroit, la nouveauté ne pouvait qu’être alléchante. Ce fut ainsi que Sulnida dit au revoir à ses proches, s’accordant une dernière glissade avec Njörd sur un des grands glaciers de Saline, un de ses loisirs à sensation, avant de suivre alors son père jusqu’à Cardrak. Que de découvertes entre ce qu’était uen ville et tous ces gens amassés les uns sur les autres, un port, les bateaux… Mais elle n’eut pas dans les premiers temps de s’y intéresser tant, car, le premier projet fut l’ouverture d’une auberge aux abords du port Cardrak, assez proche de l’entrée de la ville pour se révéler bien placée pour les voyageurs. Là, Sulnida eut de quoi s’occuper, multitâche pour aider à l’auberge son père, s’imposant bien facilement face à la clientèle pour créer sa place, et ce malgré quelques maladresses ou brutalités de sa part froissant la fierté de certains clients. Rapidement, leur auberge gagna ses habitués et la jeune femme celle de la fille de l’aubergiste barbare coriace mais de confiance. La vie se révéla agréable, à ne pas lui déplaire même si elle ne manqua pas de s’accorder encore quelques échappées loin de la ville, servant aussi de messager entre son père et son peuple, adorant partir à la chasse des traces des siens dans la neige. Il y eut alors un marin, un très bon ami de son père qui se lamentait de la voir toujours sans époux. Sulnida ne le détestait pas et tant que ce dernier ne l’empêchait pas de garder sa vie actuelle, elle ne vit aucune raison de refuser l’idée de son père de la marier à lui. Après tout, il serait souvent absent en mer pour ne pas lui enlever son indépendance, et elle pourrait tolérer son côté collant quand il était avec elle à l’auberge. Et bien, justement, la mer en décida autrement en leur volant le marin et si cela navra son père, elle par contre n’en fut nullement perturbée, se contentant d’un « C’est comme ça » avec un haussement des épaules coupant court à toutes les discussions à ce sujet, avec moins de tact s’il le fallait. Sa maladresse put la faire paraître bien insensible à cette époque là mais après tout, ce n’était pas une période où on s’attardait sur une aubergiste, non, car il y avait de terribles échos de ce qui se passait de l’autre côté de la mer. L’Aile Ténébreuse, une discussion qui devenait de plus en plus présente et d’ailleurs, les visages s’assombrissaient à chaque avancée des forces de ce démon, une certaine crainte naissante que la mer ne soit pas un rempart éternellement. Il y avait vraiment de tout, des paranoïaques, des indifférents… et pour l’instant, Sulnida se contentait d’écouter sans ressentir la moindre peur, étant bien confiante en leur force. La première vague qui les toucha fut conséquente. Un complot de Selina et d’Aile Ténébreuse contre l’impératrice et Harald Wallah organisa la rescousse. Son père rejoignit ses forces et Sulnida se retrouva ainsi un temps seule en charge de l’auberge, s’en sortant comme une vraie chef. Elle avait râlé de ne pas pouvoir le suivre mais elle savait qu’elle ne pourrait s’infiltrer dans les troupes sans qu’il ne la voit de suite. Et puis, l’auberge ne pouvait être abandonnée, elle se résigna, un peu plus caractérielle jusqu’au retour de son père qui fut raccompagné par d’autres soldats d’Harald Wallah, ayant perdu dans l’histoire une jambe. Là où bien des femmes auraient été aux petits soins, Sunilda se montra certes attentive mais elle ne manquait pas une occasion de pousser son père à se faire à son handicap et à se débrouiller dès que possible tout seul. Malgré son manque de douceur, elle obtint ce qu’elle voulait, l’acceptation de son père de son infirmité et qu’il se batte alors pour garder sa vie au maximum comme avant. Après tout, il avait suffisamment de muscle dans les bras pour se maintenir que d’un sur une béquille et se servir de son autre bras. Officiellement, les Glaces décidèrent de soutenir les Rebelles et leur chère auberge en accueillit quelques-uns et voilà ainsi une nouvelle occupation en plus pour Sulnida qui ne montra aucune hésitation à proposer son aide à tout va, rien de tel pour l’épanouir, garder des marchandises étant certes ennuyeux mais si cela pouvait amener à ce que l’on reconnaisse sa valeur pour plus téméraire… Maintenant, dans l’auberge, on parlait de guerre et des bateaux qui étaient peu à peu chargés et armés. Sulnida ne manqua pas dès son premier temps libre de filer au port avec Njörd pour observer le spectacle… Aucune peur, ni panique, elle était attirée par le pont de ces bateaux… Oh ça, une chose allait être sûr, les Salinéens allaient lui en faire voir de toutes les couleurs à ce Aile Ténérbeuse. - Citation :
- "Savoir se battre était une évidence pour elle qui veut être indépendante. Elle apprit auprès de ses frères le temps qu’elle resta avec leur peuple. Elle se perfectionna ensuite seule ou avec l’expérience des différentes rencontres à l’auberge."
Racontes nous ton apprentissage du combat, à partir de ton premier entraînement jusqu'à aujourd'hui. Dans la vraie vie Âge : 25 ans pour mon plus grand malheur Comment avez-vous connu le forum ? Bjorn, en une recherche mutuelle d’un bon forum et le coup de cœur a été trouvé :heart : Avez-vous déjà fréquenté d'autre forum, si oui lesquels ? Oh oui, plein… mais pas ces derniers temps. Mais déjà 8 ans de rp derrière moi. Vos passions : Tout ce qui fait appel à l’imagination, livre, film, écrire, le fantastique, j’ai aussi un faible certain pour Star Wars. La musique aussi, très diversifiée. J’aime bien les jeux (vidéos, de société). Que pensez-vous de Terra Mystica ? Avez-vous des suggestions pour l'améliorer ? Très riche, il y a beaucoup de possibilité, j’adore ! Et on sent vraiment que l’équipe s’investit et ça motive.^^ Avez-vous rencontré des problèmes pour remplir votre fiche? non, pas pour le moment Phrase fétiche : Tomates ! Code du règlement : [Ok by Luz]
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