Raizou n’est encore qu’un gamin du haut des 16 ans, il est très resté très enfantin. Dans la vie de tous les jours, c’est un personnage haut en couleur qui se fait facilement aimer grâce à son caractère joyeux. Rai’ est aussi surnommé le macaque des fois, un vrai petit singe qui fait des grimaces, des drôleries pour faire rire le monde. Il fait très attention à ce que ressentent les autres autour de lui. De même qu’il n’est pas méchant pour deux sous, loin des êtres sadiques ils ne tuent pas par plaisir mais juste pour se défendre et même là, il essaye de ne pas tuer car quand on meurt il ne reste plus rien, ni passé ni futur. Mais Raizou est aussi quelqu’un de généreux encore un des préceptes que sa mère lui a enseigné, il aidera toujours les plus démunis même s’il n’a déjà pas grand-chose lui-même.

Raizou adore le vert, couleur de ses yeux, il s’habille ainsi souvent de cette couleur et adore dormir dans les prairies d’herbe verte ou dans le foin. Pour l’instant dans tout ce qu’il a visité, il n’a rien trouvé de mieux que Drayame, qu’il n’a pas encore eu le plaisir de visiter vraiment, n’étant resté qu’a la bordure de la forêt. Le jeune homme n’a pas encore rencontré l’âme sœur, il n’a eu que de brèves relations amoureuses (quand il avait sept ans, cf histoire). Raizou a une façon de combattre bien à lui, que son père lui a léguée. Il se bat plutôt bien pour quelqu’un de son âge et de façon ordonné ce qui est différent de son caractère. Face aux dangers, qu’il arrive à évaluer plutôt rapidement, il ne fuie pas que ce soit ou non perdu d’avance. Face à une personne en détresse, il serait comme un chevalier charmant et l’aiderait sans rechigner.

Le but de Raizou est de visiter tout Terra et de devenir plus fort. Il aimerait aussi gouter toute les spécialités excitante dans ce monde ; mais pour ça il lui faut de l’argent alors Raizou accepte de faire n’importe quel petit boulot susceptible de lui payer ses futurs repas, par contre il a des principes et n’acceptera pas de voler ou tuer n’importe qui comme ça.

UN SOIR QUELCONQUE QUAND RAIZOU AVAIT DANS LES 5 ANS.

« Dis papa, tu me raconte une histoire ?
- Papa est fatigué, là … peut-être plus tard.
- Mais papa je veux histoire ! Une histoire !
- Bon d’accord … tu veux laquelle ?
- Celle du samouraï et de la princesse ! »
- Mais je l’ai déjà raconté hier, et avant-hier, ça fait au moins deux semaines que je te raconte la même tu va la connaitre par cœur !
- JE VEUX CELA ! Papa !
- Bon, d’accord ! Allons-nous installer prés du feu …
- YOUPIII ! Vite ! Vite !
- Il y a de ça plusieurs années, un homme, un guerrier redoutable sillonnée le pays. Sa façon de combattre au sabre était l’une des meilleurs, en plus il avait un charme certain et de nombreuses femmes étaient folles de son corps, on disait même que …
- PAPA ! la suite !
- Bon, il était fort. Très fort. Un jour il devint le garde du corps d'une jeune femme. Une princesse. Elle était magnifique. Le jeune homme tomba éperdument amoureux de la jeune femme malheureusement pour lui, la lady était promise à un riche homme. Lui n’était qu’un guerrier. Sans titre et sans le sous. Il ne faisait pas le poids. Maisun jour ...
- le guerrier d'eut décider entre son devoir et son coeur, et il choisit l'amoureuh !
- C'est ça, quand j'te disais que tu allais la connaitre par coeur !
- Le repas est pret, dépéchez-vous avant que sa refroidise !
- Oh mais maman, papa a pas finit de me raconter l'histoire.
- Raizou, tu connais déjà la fin de toute façon. Les deux amants fuirent ensemble et ...
- Se marièrent et eurent un beau petit garçon.
- C'est ça mon coeur, allez à table maintenant ! »


UNE APRES-MIDI DANS LA VIE DU PETIT RAIZOU DE 9 ANS.

On entendait dans tout le village le bruit que provoquait les épées qui s’entrechoquaient. Le père et le fils s’entrainaient au combat. Le père apprenait au fils les rudiments du sabre. Il s’y connaissait, ayant participé à de nombreuses batailles. Il entrainait son fils ainsi deux fois par semaine parce qu’un homme doit savoir se défendre et défendre ceux qu’il aime. Bien sûr le père battait toujours le fils mais ce dernier espérait bien qu’un jour, il pourrait bien prendre le dessus.