Victo le superbe conquérant des cieux
Qui telle un guerrier très majestueux
à découvert l'introuvable forteresse
celle qui riait et fuyait avec adresse

Alors que les siens étaient dans les ténèbres
Il a trouver la sublime lumière
celle qui semblait être fait de l'obscurité
et qui brille fortement d'une chaleur glacé

Rien ne peut l'arrêter, rien ne le contrarie
Sans se presser, sans s'arrêter, sans s’inquiéter,
Il combat sans faillir, il n'a pas d'avarie
Volontaire, héroïque, il est partout aimé

Travaillant sans répit, luttant férocement
Il est le pourfendeur de l'horrible fléau
Celui qui voulait supprimer notre héros
le juste souverain gouvernement finement

En tant que conte, en tant que quête
Sur des terres rocheuses ou boisés.
Fut longues les histoires contre d'ancienne bêtes
Et souvent si connue qu'on ne veut en parler.

Mais gloire à celle qui de dessein
Prit avec elle nos amis, nos confrères nains
Et les mena loin dans les terre de glace
Pour notre peuple, en importance, elle a prit sa place

Longue marche, présence de fléau,
Elle fut guidée par la main des très-hauts
Un but lancée pour notre avenir
Trouver ors, minerais, sans risquer un ire.

Car nombreux sont ces chevaliers,
Qui en héros furent tous acclamés
Mais rien de cela ne valut les peurs
Des ennemis de cette naine et de son grand coeur.

Car chevalier sans but ne vit
Que pour occire et chercher l'éclat
D'un but que personne n'a accompli
Lorsque que dame Hammerfrost vous tient dans ses bras

Oui, paladine, cette femme au grand nom
Avance par monts, par vaux, avec ses compagnons.
Elle est partie, menée ses camarades aux Glaces
Et pas un seul fut laissé aux rapaces

L'or, pierre rutilante, fut ramenée
Des mains de la femme qui de sa masse soutint
Le dur voyage dans les toundras gelées
ET toute l'économie de nos confrère nains

Les grands conseils appliquèrent leurs marques
Sur la famille Hammerfrost et même le grand monarque,
En voyant cette femme lui offrit promesses
D'être un ami proche de la future comtesse

Encore aujourd'hui cette demoiselle tient
Son bouclier protecteur du peuple dans une main
Et sa masse scintillante dans l'autre
Pour vaincre les dangers et les ennemis des notre !

Clique ici ! (Image trop grande)

Pour Gwandyr, cette dame.
Femme dont le courage flamboie l'âme.

Cent survivent, cent meurent
Au coeur des batailles qui déchirent nos contrées
Nombreux sont ceux de très belles valeurs
Qui disparaissent sans jamais aimés

Mais là, entre tout ces soldats
Qu'ils soient de bon coeur ou de mauvais aloi
Existe une personne qui sans doute
Pourfend ces ennemis dans une myriade de gouttes

Et ces gouttes, rouge pur, rideau de flammes
Voilent un être parfait vainquant le mal
Un être à l'apparence de fer luminescent
Aux yeux perçants, à la chevelure de sang.

Ô guerrière cette ôde pour toi
Est l'exemple de nos épées qui, en soi,
Sont là pour te soutenir, pour mener à bien
Les grands choix de nos généraux et les tiens.

Gwandyr, chevalière aux airs glacés
En qualité, ta lame, ne peut être égalée
Et la maîtrise que tu en as est affolante
Oui tout en toi te porte gagnante.

Grande femme, encore meilleur guerrière
Après tes voyages, tes aventures, tu es en pleine guerre
Fauchant ces adversaires qui osent encore
Courir vers toi, courir vers leur mort

Non que tu n'y prenne goût, ou même passion
Tu agis par justice, saintes sont tes actions,
Et rien au monde ne saura entraver
Ce bras par lequel tant de troupe son sauvés.

Et quand les cendres tombent lentement,
Que les survivants partent de tout ces champs,
Alors apparaît encore, seule, cette ange
Figure atypique, iconique, hors de toute fange.

Et cette guerrière d'une main
Vient toucher ce qui reste du larbin
D'un comte, d'un duc, d'un despote infâme,
Dont elle aura la tête, dont elle purifiera l'âme.

Elle s'en retourne, grande et vaillante
Femme de Mars, ultime guerrière de grande lignée
Fait quelques pas, vas se recueillir sous sa tente,
C'est la fin de ce chant, la belle peut se reposer.