Hascel est plutôt simple comme personne, je ne dis pas simplet mais juste simple.
Il ne va jamais essayer de vous embrouillez ou de vous tromper, surement dû à son age, donc c'est une personne assez sincère. Il a était élevé à la dur donc il est débrouillard et autonome. Il est assez mature même si son comportement ne le montre pas forcement.
Même si il est seul pour la plupart du temps, un peu de compagnie ne le dérange pas, tout ça pour dire qu'il n'est pas insociable.
Il ne se prend pas la tête longtemps et vois le bon côté dans tout le monde et accorde facilement une deuxième à toute personne voulant la saisir, il n'est pas non plus un grand stratège (sauf pour la chasse) et n'hésitera pas à user de ses points si l'occasion se présente, mais il ne se battra jamais contre une fille, ce qui peut le désavantager dans certaine situation.
Sinon c'est une personne normale.

Histoire J'ai passé 12 ans de ma vie sur les routes, je n'ai jamais connu ma mère, ni jamais connu ce qu'était avoir un foyer. Mon père m'a dit que maman était morte quand je suis né puis il a décidé de tout abandonner... Pour m'élever à "l'air libre" comme il me disait toujours. Même si tout ça n'est pas banale j'ai connu une enfance heureuse et je pense que cette enfance n'est pas terminé. Je vais vous racontez ce que pouvais être une journée comme les autres.

Nous étions parti d'Alandïr pour rejoindre La cité des arbres, là où mon père devait retrouver un ami. Plus d'un mois de marche nous séparait de ces lieu mais on avait rien d'autre à faire donc la distance ne nous dérangeait pas. Mon père n'était pas seulement un aventurier ou un voyageur, il était aussi livreur pour pouvoir gagner de l'argent et me nourrir principalement, mais il était aussi garde du corps pour des long voyages de personne qui pouvait payer.
Mon père était très assidu sur les horaires et tout était planifié: on avait 9 heures de sommeil par nuit, 9 heures de marche par jour , 1 heure de pause pour toute la journée, 1 heure pour la chasse, 3 heures pour mon entraînement et 1 heure pour mon éducation.
Certain diront que c'est dur mais j’étais habitué et rien ne m'effrayais.
Les 9 heures de marche sont facile si on a bien dormi et bien mangé, on voyait à longueur de journée des paysages magnifiques et on découvrait des plantes et des créatures chaque jours mais on observait aussi les guerres, la famine et la tristesse de la réalité mais cela m'aidait à faire mon éducation. Pendant les 3 heures d’entraînement, épée et arc sont au menu, mon père n’hésitait pas à m'abandonner devant un ours ou me blesser à de nombreuse reprise pour que j'apprenne vite.
Mon "éducation" était à base de lecture de texte et poème, jeux de plateau et histoire de ce monde.

Mais un jour alors que tout se passait bien ... Nous marchions dans une grande forêt, l'air était pur et le temps clair, c'était une journée parfaite pour une longue séance de marche.
Tout d'un coup ! Des dizaine d'hommes armés surgisse de nul part et nous capture, on avait rien pu faire et combattre aurait signé notre arrêt de mort.
Capturé et amené par ce qui était des chasseurs d'esclaves jusqu'à leur camp à quelque kilomètre de là, on avait déjà eu à faire à eux mais mon père en avait tué un ou deux et ils ont pris la fuite, ce que l'on avait pas pensé c'est qu'ils auraient mis la tête de mon père à prix pour se venger.
C'était le soir et on s'était retrouvé attaché à un poteau en bois avec une corde au poignet.
La situation était largement à notre désavantage, mais mon père avait plus d'un tour dans son sac et en un rien de temps il sortit une petite lame caché puis il cilla mes liens et me demanda de m’enfuir.
Il sortit de sa poche une boussole de sa poche et me dit :
« Voyage partout dans le monde, survit et elle t’emmènera là où tu veux ! »
En m’enfuyant, un garde avait compris ce qu'il se passait et sans réfléchir tua mon père qui était entrain de découper la corde qui le retenait prisonnier (mort de merde). Je n'avais pas compris ce qu'il s'était passé tout de suite mais en arrivant en haut d'une colline ne voyant pas mon père me rejoindre je me mis à pleurer.
Le lendemain matin je décida de suivre le chemin que l'on avait pris avec mon père et d'aller à la cité des arbres. Aujourd'hui je voyage encore et encore jusqu’à en avoir marre, mais cela n'arrivera pas tout de suite …