Ven 16 Mai - 0:17 | | | | Sylnor Van Ysmir Provocateur, sournois, rusé, sarcastique, mais pas que… Informations Surnom : Syl, seulement pour les intimes (qui sont rares). Age : 115 années et des poussières, ce qui corresponde à un jeune adulte pour un dragon. Nationalité : Originaire du Feu, a grandi dans les contrées de la Terre, mais réside maintenant sur l’Archipel de la Muerta, dans les recoins les plus inaccessibles tels que le rocher des vents. Profession : Assassin indépendant. Camp : Indépendant. Croyance : Aucune. Titre de noblesse : Aucun. | Race Dragon de Feu |
Caractère
Insolent et aventureux seraient des termes relativement juste pour décrire ce jeune dragon au tempérament enflammé, qui n’aime rien davantage que sa liberté. Malgré sa carrure qui s’avère peu impressionnante comparée à ses congénères, il suffit de passer quelques minutes en la présence de Sylnor pour se sentir mal à l’aise. En effet, ce dragon fourbe, rusé, moqueur et sarcastique ne montre pas du respect envers beaucoup de monde, et a sans cesse quelque chose derrière la tête. Il n’est pas aussi susceptible que la plupart des dragons, mais une fois en colère, le responsable aura tout intérêt à savoir courir vite –très vite. Sylnor emploiera tous les moyens possibles et imaginables pour arriver à ses fins, que ce soit pour l’un de ses contrats d’assassinat, ou pour un but plus personnel, comme une vengeance ; en effet, le jeune dragon possède un instinct de vengeance implacable, et fera toujours payer le prix fort à un ennemi lui ayant causé du tort, même s’il doit se montrer patient avant de pouvoir exhiber son trophée (à savoir le corps abîmé de sa victime) sur le toit d’un temple religieux ou de sa propre maison… Ce but personnel peut aussi être l’acquisition de son paiement qu’un commanditaire aussi têtu et peu scrupuleux que lui refuse de lui faire parvenir… Ou encore l’obtention plus ou moins légale de toutes sortes d’objets, tels que des bijoux, des pierres précieuses ou tout autre chose renvoyant un éclat attrayant. En effet, Sylnor a une passion accrue pour tout ce qui brille et attire le regard. Il aime particulièrement l’or et les rubis, mais peut aussi se montrer intéressé par des objets moins précieux ; une dague, une épée ou diverses autres armes, un miroir bien ouvragé, de l’argenterie, un simple stylo… Pour lui, ce n’est pas tant la valeur financière qui compte, mais la beauté de l’objet. Cependant, cette attirance qu’il partage avec beaucoup de ses congénères draconiens ne devient jamais aveuglante ; Sylnor sait faire la part des choses, et vous ne vous offrirez certainement pas ses précieux services en lui proposant un simple stylo bic… Question d’honneur et de fierté. Car en tant que dragon, Sylnor est une créature fière. Les objets ayant peu de valeur, mais beaucoup de beauté selon lui, sont obtenus par divers vols qu’il effectue de nuit, que ce soit en ville ou sur les navires des pirates, qui haïssent de ce fait profondément le dragon rouge ayant établi sa tanière quelque part sur l'archipel de la Muerta. Malgré sa malhonnêteté, et sa tendance à poignarder dans le dos n’importe qui, Sylnor n’éprouve pas uniquement de l’attirance pour les objets précieux ; il aime la beauté dans sa généralité, et est capable de la voir partout, même là où on ne l’attend pas. Il n’y a qu’une chose qu’il chérie plus encore que ses trophées ; la liberté. A ses yeux, il s’agit de la plus belle chose au monde. Sylnor est également capable d’une certaine forme de bonté, du moment que cela ne nuit pas à ses propres intérêts, ou encore à sa réputation. Et sa réputation n’est pas celle d’une créature bienfaisante et généreuse ; le jeune dragon rouge ne fait rien gratuitement, à moins qu’il ait une dette envers quelqu’un, ou que ce quelqu’un compte vraiment pour lui. A vrai dire, accumuler des dettes n’est pas dans ses habitudes, car il ne s’appuie sur l’aide de personne, et ne s’attache à personne. La principale raison qui justifie ce comportement solitaire et sentimentalement distant est qu’il craint toujours le pire ; il lui arrive de jouer avec les sentiments de ses ennemis en menaçant les proches de ce dernier, et Sylnor n’a aucune envie que l’un de ses rivaux ait l’opportunité de faire de même. Cela illustre assez bien sa personnalité ; il est parfaitement conscient qu’il fait le mal, sans pour autant se sentir tourmenté, ou vouloir changer pour devenir vertueux… Vous l’aurez compris, Sylnor n’est pas un saint. Donc, encore faut-il être capable de s’attacher à quelqu’un comme lui…
Physique Sylnor est loin d’être le gigantesque et puissant dragon que le peuple s’imagine en évoquant cette créature. Il ne mesure pas plus d’un mètre trente au garrot, il est donc physiquement moins fort que la plupart de ses congénères, mais bien plus que tout être humanoïde. En revanche, sa petite taille et sa stature fine lui confère agilité, rapidité et discrétion, que ce soit sur terre ou dans les airs. Sa silhouette à elle seule n’évoque pas uniquement une créature reptilienne ; ses pattes, pourvues de longues griffes noires et acérées, ne sont pas rattachées à son corps par le côté, mais par en-dessous, comme un canidé ou un félin. C’est l’un de secrets de son agilité, mais ceci se transforme en handicap lorsqu’il s’agit de grimper des parois abruptes n’offrant que peu de prises. Cependant, ce handicap s’avère extrêmement rare ; comme tout dragon qui se respecte, Sylnor est capable de voler, ce qui résout un bon nombre de problèmes d’accessibilité à un lieu. Ses longues et puissantes ailes aux membranes plus foncées que le reste de son corps peuvent se déployer sur plus de cinq mètres d’envergure, lui permettant de planer sur de longues distances ou de faire des acrobaties aériennes périlleuse, chose qu’il serait incapable de faire s’il pesait plus lourd. Chose également rare chez un dragon, une crinière noire, drue et légèrement dressé, part du haut de son front pour s’arrêter en bas de ses omoplates, entres ses ailes. Ce crin à la fois rigide et soyeux au toucher se retrouve au bout de sa longue queue en un pinceau de poils. Excepté sa taille, Sylnor est pourvu de tous les attributs reconnaissables propres à un dragon de feu ; sa tête, pourvue d’un museau fin moyennement long, est surmontée de deux paires de cornes légèrement arquées vers le haut. Deux d’entre elles sont plus longues, trônant sur le haut de sa tête, et sont ornées chacune d’un anneau d’or jaune. Les deux autres, nettement plus courtes, prennent naissance au-dessus de ses joues et sont quant à elles pourvues d’un anneau d’or blanc. Ces quatre bijoux montrent en quelques sortes son attirance pour ces derniers. Son corps svelte est couvert d’écailles couleur rubis, lisses et presque aussi brillantes que la pierre précieuse qu’elles évoquent. Un plastron d’écailles beaucoup plus larges protège toute sa face ventrale, du haut de son cou jusqu’au bout de sa longue queue dont il se sert comme d’un fouet redoutable. Ses griffes, ainsi que ses nombreuses dents acérées qu’il découvre souvent dans un sourire sournois ou féroce, sont également ses armes les plus sûres ; malgré son attirance pour les beaux objets, y compris les armes, il ne se sert que de ses propres capacités (sauf sous forme humain, où il garde une dague sur lui), ce qui inclue évidemment les redoutables flammes qu’il est capable de cracher. Malgré le fait que Sylnor prenne rarement l’apparence d’un humanoïde, son faciès draconien n’en reste pas moins expressif ; ses grands yeux en amande, vert émeraude et fendus de pupilles verticales, peuvent refléter aussi bien un amusement sincère qu’une sournoiserie moqueuse, ou encore une colère froide et implacable. Il est tout à fait capable de sourire, que ce soit d’un sourire mauvais ou bienveillant –ce qui est infiniment plus rare. Le jeune dragon a plus d’un côté humain, lorsqu’on y regarde de plus près ; les doigts de ses pattes antérieures, pourvues de griffes acérées, peuvent être utilisés comme des mains, même si Sylnor ne peut exécuter des tâches précises telles qu’écrire à la plume ou au stylo. Parfois, on remarque des gestes et mimiques peu courants chez les dragons, tel que hausser les épaules, passer ses doigts dans sa crinière noire lorsqu’il réfléchit, appuyer sa tête dans le creux de sa paume… Il tient tout cela de son enfance passée parmi les humains. Sous forme humaine, Sylnor est un jeune homme d’une vingtaine d’années à la peau claire et unie. Il conserve ses yeux verts et sa crinière noire devient une chevelure mi-longue que Sylnor aime laisser libre. Sous ce masque, comme il le dit, ou sous sa forme originelle, le même sentiment se dégage de lui ; une créature rusée, sournoise, dont on a tendance à se méfier d’instinct. |
Capacités Arme : Ses griffes, ses crocs, son feu et sa ruse Pouvoirs : En tant que dragon, Sylnor est capable de cracher des flammes mortelles. Cependant, contrairement à la plupart des dragons, le feu qui jaillit de sa gueule n’est pas le feu le plus commun, dit « de type air ». Le sien ressemble davantage à une matière liquide, acide et inflammable au contact de l’air ; ces flammes s’agglutinent à leur cible comme de la glue lorsqu’elles l’atteignent, et dissolvent chair et organes en quelques secondes. Un feu cruel et douloureux, qui correspond bien à la personnalité du petit dragon. Celui-ci ne l’utilise que lorsque sa situation devient délicate, et lorsqu’il a le moins de chances de manquer sa cible. En effet, si ce feu acide fait énormément de dégâts sur l’ennemi, il finit par en faire également à Sylnor ; remontant dans sa trachée depuis sa poche à feu, située entre ses larges poumons, ces flammes finissent par lui occasionner des brûlures internes en cas d’utilisation intensive. Heureusement, le dragon a fini par connaître sa limite ; il est capable de cracher du feu continuellement durant cinq à six secondes (soit moins longtemps qu’un grand dragon), et cela trois fois de suite durant un combat. Il lui faut donc limiter et gérer ces trois tirs ; une fois que Sylnor les a utilisés, il doit attendre une bonne heure avant que la muqueuse protectrice se reforme à l’intérieur de sa trachée.
Familier : Généralement, aucun animal n’ose approcher Sylnor, de peur de devenir son repas… Artefact magique : Aucun Autre : Sylnor est capable de se fondre dans le décor à la façon d’un caméléon ; au milieu des rochers, ses écailles rouges prendront une teinte grise ou sable. De la même façon, dans la forêt, elles arboreront des tons de brun ou de vert sombre.
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Histoire Sylnor est loin d’avoir eu une enfance propre à celle d’un dragon. En effet, il n’a jamais connu ses parents, et sait uniquement qu’il est originaire des contrées du Feu, comme la plupart de ses semblables. Son œuf a éclos au beau milieu d’un marché noir duquel il faisait partie, en tant que marchandise. Evidemment, un bébé dragon tout juste sorti de sa coquille était une chose rare et chère, qui trouva bien vite acheteur auprès des Van Ysmir, une riche famille noble. Cette dernière n’avait accueilli Sylnor ni par bonté d’âme, ni dans la volonté de faire de lui un animal de compagnie, mais bien un protecteur redoutable veillant sur leur gigantesque manoir. Ils firent de leur mieux pour élever la créature, faisant en sorte qu’elle ne manque de rien et se sente chez elle. Les années passèrent, et même si le jeune dragon se révéla redoutable, protecteur et vigoureux, il se révéla aussi d’une taille très modeste et peu impressionnante. Tout d’abord, Ryon Van Ysmir pensa se débarrasser de Sylnor, mais plusieurs arguments l’en empêchèrent ; il y avait très peu de chance pour qu’il puisse se procurer un autre dragon, la chose s’avèrerait même impossible… Ensuite, Kara Van Ysmir, sa fille cadette, s’était profondément attachée au jeune dragon rouge, avec qui elle avait tissé un lien très fort, contrairement à Haley, le fils aîné, qui avait toujours cordialement détesté Sylnor, le voyant comme un résidu de la prodigieuse race draconique. Kara était donc la seule compagnie que le dragon ne rejetait pas, au point de se laisser aller à des familiarités telles que permettre à Kara de caresser sa crinière noire ou de décorer ses quatre cornes de bracelets ou de chaines. Cette dernière chose est une habitude que Sylnor garda. Il semblait réellement apprécier la jeune fille en retour, mais Ryon gardait toujours une once de méfiance envers ce cracheur de feu qui se révéla finalement redoutablement efficace. Les Van Ysmir étaient une famille à problèmes s’étant fait divers ennemis. Le jour où une maison noble adverse fit une tentative d’assassinat contre l’épouse de Ryon, alors âgée tout comme son mari d’une soixantaine d’années, Sylnor ne fit pas de quartiers ; son atypique feu liquide réduisit l’assassin en restes organiques dissouts et brûlants, et son complice fut tué d’un coup de crocs dans la nuque, sans même avoir vu ou entendu sa mort arriver. En fin de compte, personne ne fut blessé, et Ryon ne sous estima plus les talents de son protecteur attitré. Au contraire, il l’encouragea à perpétuer ce genre d’actes, allant jusqu’à promettre au dragon des récompenses telles que de l’or, afin que Sylnor élimine des ennemis gênants. Au grand désespoir de Kara, celui qu’elle considérait presque comme son frère prit goût à ces tueries, sans pour autant changer son comportement envers elle ; il lui resta dévoué et bienveillant. Cependant, la jeune femme ne supporta pas de voir Sylnor se transformer en tueur, et non plus en protecteur de la famille. La froideur avec laquelle elle traita le dragon creusa peu à peu un fossé de silence et de mépris entre eux. Kara ne lui reprochait pas vraiment ses actes en eux-mêmes, mais plutôt le fait qu’il y prenne du plaisir, qu’il soit capable de brûler tout un manoir sous la motivation d’un objet précieux, et qu’il n’ait pas peur de l’avouer. Sylnor, lui, ne comprenait pas. Ceux qu’il tuait étaient des cibles désignées par son père, des ennemis de la famille Van Ysmir, alors pourquoi lui en voulait-elle ? Comment sa sœur de cœur, qui le voyait autrefois comme un frère au même titre que Haley, avait-elle pu en arriver à le mépriser ? Sylnor ne chercha pas à comprendre bien longtemps. La rupture de son lien fraternel avec Kara le fit souffrir plus qu’il ne voudra jamais l’admettre, mais provoqua quelque chose en lui ; il ne parvenait plus à voir le manoir familial comme sa demeure. Un mal être indescriptible s’emparait de lui lorsqu’il survolait ses tours, ou qu’il déambulait entre ses murs… Voilà pourquoi, un jour d’orage, perché sur la plus haute tour du manoir Van Ysmir, il déploya ses ailes, s’éleva à la vitesse de l’éclair vers l’immensité du ciel menaçant, et libéra un rugissement qui se répercuta durant un long moment à travers les bois, jusque dans les rues de la ville proche. Sylnor s’envola, pour ne plus jamais revenir. Et aujourd’hui ?Depuis lors, Sylnor vit seul, en tant qu’assassin indépendant au sein de la Congrégation de la Nuit. Plusieurs membres le sous-estimèrent grandement en le voyant pour la première fois, mais la plupart cessèrent bien vite leurs commentaires désobligeants en constatant la redoutable efficacité du petit dragon rusé et sournois. Ce dernier se fit une place dans la guilde, stabilisa sa situation, et établit sa tanière là où seule une créature volante aussi téméraire que lui pouvait venir le déranger ; sur l’archipel de la Muerta, à l’intérieur d’une caverne profonde et bien protégée, située dans une paroi abrupte et impraticable du rocher des vents. Lui-même doit faire preuve d’une extrême prudence en volant jusqu’à cette cachette, qui en vaut pourtant le détour. C’est là qu’il entrepose ses richesses et ses objets « trouvés », bien qu’il lui arrive de passer du temps ailleurs dans ces îles lorsqu’il ressent le besoin d’être au calme, loin des hurlements du vent qu’il entend depuis son antre haute perchée, seul avec lui-même. - Citation :
- L'archipel de la Muerta est le territoire des pirates ; en s'y installant, Sylnor s'est donc condamné à les côtoyer régulièrement. Amazones, Sables Brûlants, équipages indépendants.. raconte les relations que le dragon entretient avec eux, ou a entretenu s'il s'est mis à les éviter comme la peste selon leurs premières impressions.
Dans la vraie vie Âge : 19 ans Comment avez-vous connu le forum ? Par top site Avez-vous déjà fréquenté d'autre forum, si oui lesquels ? Je suis loin d’en être à mon premier, je fais du RP depuis que j’ai douze ans… J’ai déjà fréquenté Ephaëlya, Terres Infinies, Wolf Angel et Galgals (le deuxième est désormais inactif, l’autre n’existe plus). Vos passions : L’écriture et le dessin sont mes deux passions, c’est assez difficile de dire laquelle passe en premier… Ça dépend de mon humeur je suppose ^^ Que pensez-vous de Terra Mystica ? Avez-vous des suggestions pour l'améliorer ? Le forum est très riche et me semble très intéressant, j’espère m’amuser et rencontrer des RPgistes motivés ^^ Avez-vous rencontré des problèmes pour remplir votre fiche? Aucune Phrase fétiche : Si tu penses que la violence ne résout rien, c’est que tu ne frappes pas assez fort.
Journal de bord — Année 114 RPs en cours ♦ L'apaisement de la soif du savoir/ avec Freya Lerosa (début Nadrilla) Freya recherche la vérité sur la disparition de son amant, et chevauche à travers ses terres en pleine nuit à la recherche de cette vérité. Alors qu'elle se fait encercler par des bandits, Sylnor lui vient en aide. La jeune femme ignore que le dragon rouge, grand voyageur, connait la vérité qu'elle veut entendre. RPs terminés - RPs abandonnés ♦ Quand le traqueur est la proie d'une tierce personne / avec Joshua Armadrédo (fin Vennà) Sylnor survole l'Archipel de la Muerta, sur les traces du Dédain, navire pirate sur lequel se trouve sa prochaine cible ; Asmodan. Lorsque ce dernier s'éloigne de sa flotte sur un navire à part, le dragon rouge le suit par les airs, attendant le moment opportun pour attaquer le capitaine du Dédain... ♦ Le repos des barbares / avec Nakh et Galerion (mi-Telniss) En route pour Sen'tsura, Sylnor fait la connaissance d'un démon et d'un orc dans la forêt de Drayame. Cette étrange rencontre nocturne se déroule autour d'un repas de viande d'ours, rythmée par les récits de bataille de chacun.
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| | Sylnor
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