| Jeu 17 Avr - 13:33 | | | | Ses recherches toujours aussi peu fructueuse, finirent par le faire retourner dans sa patrie d'origine, Montagne, malheureusement ce n'était pas du tout le même coin qu'il connaissait, quelques similitudes par si par la tel que les rochers et encore les roches. Il ne connaissait pas du tout ces lieux et ne voyait aucun village ou campement, juste une longue route, reliant deux grandes villes entre elles mais il ne savait pas leur nom.
Marchant toujours, fatigué et déprimé par le non contact avec d'autres personnes le rendirent de plus en plus triste, c'est surement pour cela qu'arrivant dans un tournant en haut d'un petit précipice, il aperçut en contre bas un semblant de village fait de bric et de broc, une conception bien étrange pour des nains, encore plus étrange pour des gnomes. Guidé par sa seul curiosité il rebroussa chemin pour trouver une petite route lui permettant de s'approcher du "village". Gravissant souche d'arbre et rocher tel un aventurier courageux ou un enfant turbulent, tout dépend de qui vois la scène. Emplit d'un sentiment de joie, prêt à découvrir un nouveau lieu, rencontrer de nouvelles personnes. Tout était parfait.
Du moins c'est ce qu'il croyait, arrivant à 5 mètres de la palissade de bois il aperçut un drapeau bien étrange, représentant une lune blanche sur fond rouge. Il entendit également quelques petit bruit au loin, comme si quelqu'un marmonnait. Il continua à avancer un peu plus lentement, sur ses gardes, peu rassuré au final par la vue si proche de ce camp. Il fit encore deux trois pas et passa la palissade pour se retrouver à l'intérieur de la structure. Observant attentivement à droite et à gauche il lui sembla voir quelque chose passait, petit et rapide. Il empoigna le manche de son épée sans la dégainer, prêt à toute éventualité. Un rire sordide sortit de l'une des maisons, en y regardant de plus prêt elle semblait être fait de peau de bête tanné. Et une petite créature verte, au long nez fourchu, en sortit agitant un bâton dans tout les sens. Il cria quelque chose d’incompréhensible et pleins de petit pas se firent entendre.
Le paladin s'empressa alors de se retourner pour retourner vers la route, en espérant du plus profond de son cœur qu'ils ne le suivront pas. Il finit son mouvement et pris appuie sur son pied gauche afin de s'élancer, courant aussi vite qu'il pouvait il passa au dessus d'un premier rocher, puis d'un deuxième. Il jeta un coup d’œil en arrière et pu voir une vingtaine de ses créatures le poursuivre. Regardant à nouveau devant lui il ne vit se rocher que trop tard et se le prit de plein fouet, tombant sur le sol avec une douleur assez violente dans l'abdomen. Il lâcha un juron en voyant se rapprocher dangereusement les peaux vertes. Prenant appuis de son bras il se releva difficilement, toujours une mains contre la douleur, et reprit sa course effréné tant bien que mal. L'un des gobelins arriva à sa hauteur, pris d'un élan de courage et surtout d'adrénaline pour ne pas mourir Helkyn bifurqua vers le gobelin pour lui asséner un violent coup d'épaule qui le fit virevolter et s'écraser contre un arbre.
Regardant autour de lui pour trouver se qui le sortirait de cette situation, il vit sur la route un énorme convois nain, celui ci descendait justement la route et n'allait pas tarder à arriver en bas. Redoublant d'effort et faisant appel à toutes les forces qu'il lui restait le paladin marmonna une petite prière à la Sainte Chaussette, le suppliant de lui donner la force de s'en sortir. Il sentit alors cette petite brise de fraîcheur qu'il aimait tant, oubliant son corps et ses douleurs il sprinta à toutes allures jusqu'au niveau de la route. Voyant le convois à moins de dix mètres il sauta sur la route pour faire arrêter les chevaux, ratant son atterrissage il se vautra littéralement sur le sol. Se cassant le nez au passage. Il regarda rapidement une dernière fois derrière lui tandis qu'il se sentait partir pour voir la horde de peaux vertes continuait à foncer vers la route.
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| | Jeu 1 Mai - 17:09 | | | | A l’arrière du convoi nain, dans le carrosse principal, Alaric se reposait tranquillement tout en étudiant différents textes de loi. La demi-journée nécessaire au trajet ne pouvait être considérée simplement comme un moment de détente, aussi se faisait-il un devoir de poursuivre ses obligations légales y compris lors de ses déplacements personnels.
Personnel était un bien grand mot. Le Duc-Directeur n’avait aucune envie de quitter le confort de Cœur-du-Granite, ne serait-ce que pour quelques heures. Mais il ne pouvait pas se permettre de perdre de vue son objectif premier. La fin de la guerre entre l’Empire et les Rebelles lui laissait toute latitude pour s’atteler à la tâche divine qui lui avait été confié. Une tâche bien épuisante au demeurant.
Ne pouvant se permettre de prendre avec lui les troupes régulières du Conglomérat –qui ne devaient savoir mot de ses activités-, il n’était parti qu’avec ses douze Brise-Acier. Les Nains en qui il avait le plus confiance, après ses propres fils. Et parmi les meilleurs guerriers de toutes les Montagnes. Entièrement recouverts de Stratium, ces douze gardes avaient de quoi mettre en déroute une petite armée de brigands ou de barbares.
Mais ce ne fût ni des bandits ni des sauvages qui vinrent faire s’arrêter le convoi. Un gnome. Perdu ici, sur cette route déserte abandonnée de tous depuis des années. Que pouvait-il bien faire là ? Alaric sortit sa tête par la fenêtre du carrosse, afin d’observer ce qui avait bien pût causer l’arrêt de sa troupe. Il remarqua immédiatement le Gnome, mais il ne lui fallut que quelques secondes pour voir qu’il était poursuivi par des dizaines de gobelins. Horreur !
Autrefois, cette route reliait Fort Granite au petit village minier de Roule-Roc, village qui aurait dût rester dans l’anonymat s’il n’avait pas été attaqué et décimé par des gobelins menés par une poignée d’orcs, voilà des années. Les troupes de la Montagne avaient alors rapidement été mobilisées, et repris le village, mais les orcs responsables n’avaient jamais été retrouvé. Ce n’était qu’il y a quelques mois, lors de la grande offensive peaux-vertes qui avait suivi la découverte du Stratium, que les orcs s’étaient de nouveaux montrés, et avaient été passés au fil de la hache.
Il y avait, de toutes évidences, des survivants. Probablement massacraient-ils les malheureux qui les découvraient, comme ce gnome allait en faire l’amère expérience. Mais pas cette fois. Assuré de la supériorité de ses soldats, Alaric se contenta d’un mouvement du bras à destination de son capitaine des Brise-Acier. Celui-ci l’interpréta correctement : Détruire toute opposition.
Six Brise-Acier quittèrent le convoi au pas de charge, fonçant vers la masse de Peaux-Vertes. Le choc frontal fût écœurant, les os des petites créatures verdâtres se brisant au contact violent avec le Stratium, leurs organes internes éclatant sous la puissance de l’impact. A coup d’hache et de marteau, les Brise-Acier se transformèrent en un tourbillon de métal, traversant les regroupements de gobelins tels des magiciens de mort.
Tandis que quatre Brise-Acier restèrent avec Alaric pour assurer sa protection, deux autres vinrent aider le Gnome à se relever. Lui prodiguant les premiers soins, ils stoppèrent promptement l’hémorragie nasale du pauvre voyageur, avant de le porter jusqu’au convoi à proprement parler. Ils le déposèrent sur un carrosse secondaire, et Alaric vint le voir au trot, afin de se renseigner sur la situation.
- M’entends-tu, fils de la Montagne ?
Le pauvre était sonné, et semblait sur le point de s’évanouir. D’un claquement de doigt, le Duc-Directeur ordonna qu’on apporte une puissante bière, afin de la verser directement dans le gosier du blessé. Cela marchait en général avec les Nains, mais il ne savait trop comment le Gnome allait réagir. Tandis que deux Brise-Acier le maintenaient en position, un troisième lui déversait de la bière de qualité en espérant le revigorer. Et pendant que les cris de détresse et de douleur des gobelins s’élevaient de leur village en contrebas, Alaric ordonna à deux autres soldats d’élite de rejoindre le combat.
- Gnome, si tu m’entends, sache que tu es en sécurité. Nous allons nous occuper de ces mécréants. Étais-tu seul ? Ou y a-t-il d’autres fils et filles des Montagnes en danger par ici ?
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| | Alaric
Partie IRLCrédit avatar : Double compte : Non.Vitesse de réponse : Moyen à rapide.
| | Lun 5 Mai - 18:05 | | | | Tout était trouble, comme si une épaisse brume l'entourait. Il distinguait les formes avec peine et n'entendait que des échos, quelque chose bloquait ses sens. Il était comme ailleurs et ses yeux se fermèrent lourdement.
Des contacts, comme des mains, qui venaient se poser en dessous de lui, puis un sentiment de voler. Il ne touchait plus le sol, cette sensation le fit frissonner, que ce passait il ? Il réussit à ouvrir les yeux à grande peine pour voir deux énormes masses autour de lui, tout de gris vêtu. Était ceux des hallucinations ou les nains qui le sauvaient ? Ses yeux se fermèrent à nouveau et sa tête bascula, il n'arrivait plus vraiment à contrôler son corps et ses membres devinrent tendus.
Il sentit quelque chose sous lui, un contact dur cette fois, l'avait il reposé ? Il tenta d'ouvrir ses yeux, tant bien que mal il les garda ouvert et, peu à peu sa vision revenait, son ouïe restait comme bouchée par l'épaisse brume. D'abord, une forme grise, assez large mais petite, puis une barbe se dessina plus en détails et bientôt un visage. La personne dit quelque chose, mais ses paroles furent incompréhensible comme s'ils avaient été à des kilomètres l'un de l'autre.
L'homme dit à nouveau quelque chose et une autre forme grise, maintenant assez clair pour deviner une armure, apporta ce qui ressemblait à un cor de guerre, il enfourna le plus petit côté dans la bouche du gnome et un délicieux liquide coula dans la bouche de celui ci. A la première lampée Helkyn reconnut le goût savoureux du houblon, elle lui rappelait celle qu'il y avait dans sa communauté, mais plus raffiné. Un vrai délice qui lui redonna un second souffle. Sa vue redevint presque normal, les côtés restaient flou, ses oreilles se débouchèrent et il sentit son corps entier.
- Gnome, si tu m'entends, sache que tu es en sécurité. Nous allons nous occuper de ces mécréants. Étais-tu seul ? Ou y a-t-il d'autres fils et filles des Montagnes en danger par ici ?
Le paladin tourna la tête vers l'homme qui venait de lui parler, il possédait en effet une longue barbe qui recouvrait une bonne partie de son armure. Se redressant à l'aide de son bras droit il voulut répondre, à la première tentative aucun mot ne sortit. Il retenta une nouvelle fois et réussit à dire :
- Mer... Merci de ... m'avoir aidé, il reprit son souffle, j'étais ... j'étais seul, je voya ... voyage toujours seul.
Il se redressa en position assise pour voir la scène des gobelins se faisant charcuter par les guerriers nains.
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| | Mar 13 Mai - 12:39 | | | | Le gnome, aussi malheureux que malchanceux, avait été drôlement secoué. Pourtant, il n’avait pas l’air aussi chétif que les représentants de sa race sont parfois. Pouvait-il être un membre du détachement d’infiltration des profondeurs ? Pas à en juger son accoutrement. Mais ces questions devraient attendre. Il était seul, cela signifiait donc que les Brise-Acier pouvaient se concentrer sur l’extermination des gobelins.
- Gardez un œil ouvert, messieurs. Les peaux-vertes peuvent avoir fait des prisonniers depuis qu’ils sont ici. Il se peut même qu’ils soient encore en vie. Si c’est le cas, les sauver reste notre priorité.
Alaric envoya ce qu’il restait de gardes dans la bataille, ne gardant que deux Brise-Acier avec lui. Après tout, il faudrait vraiment manquer de chance pour qu’une autre troupe gobeline se trouve dans les parages au même moment. L’important était de sauver autant de membre des Montagnes que possible.
- Et réveillez-moi le gnome, j’ai besoin de savoir tout ce qu’il sait. Peut-être a-t-il eût le temps d’étudier leurs défenses avant de tomber dans leur embuscade.
Et tandis que ses deux gardes s’évertuaient à verser davantage de bière salvatrice dans le gosier du paladin –qui n’en demandait pas tant-, le Duc-Directeur observait les alentours d’un œil inquiet. Il connaissait bien ces monts. Il y avait une raison au fait que les Nains n’aient pas tenté de recoloniser massivement suite aux attaques gobelines. Quelque chose qui lui donnait envie de partir aussi rapidement que possible. Quelle probabilité y avait-il pour que cela se passe mal ? Presque aucune.
- On récupère les éventuels survivants ou corps, et on déguerpit. Vous savez comme moi pourquoi on ne peut rester ici.
En contrebas de la route, la bataille faisait rage dans le village gobelin. Les malheureux, sans armure et se battant avec des armes en bois et en pierre, n’avait virtuellement aucune chance. Ces peaux-vertes sauvages ne pouvaient compter que sur leur magie, pour tenter de se défendre, et de toute évidence il n’en disposait pas. Mais il y avait une possibilité qu’Alaric n’avait pas prise en compte.
- Troll ! Ils ont des Trolls en bas !
D’un rapide coup d’œil, le seigneur du Conglomérat ne pût que le constater. Trois trolls, armés de gourdins de bois qui devaient avoir autrefois été des troncs d’arbres. Voilà qui risquait d’équilibrer considérablement l’affrontement, à la défaveur des Nains. Mais en théorie, rien que ne puisse gérer les Brise-Acier. Mais là encore, et alors que le gnome recouvrait connaissance, Alaric fît preuve de malchance.
L’un des deux Brise-Acier resté au convoi sortit un tonneau de poudre volatile de la caravane. Une arme de secours, qu’il jugeait trop utile pour ne pas l’utiliser. Les Trolls étaient juste en bas, regroupés, pourquoi ne pas en profiter ? L’occasion était trop belle. Sauf que ce Brise-Acier n’était pas originaire de ces territoires. Il ne faisait partie du Conglomérat que depuis quelques mois, et n’était donc pas dans la confidence d’Alaric.
Il ne savait donc pas que le Conglomérat avait fait des expérimentations dans ce secteur, à la demande du Duc-Directeur. Que c’était ces expérimentations qui avaient attiré les gobelins, et repoussé les Nains. Ces mêmes expérimentations qui avaient découragé le Conglomérat de revenir. La terre elle-même avait été blessée. Et avant que quiconque ait pût réagir, le tonneau dévalait la pente en direction des trois trolls.
- Malheureux ! Ces collines sont instables ! T… Tout le monde a terre !
La déflagration secoua toute la vallée. Comme prévu, les Trolls périrent dans l’explosion, ou furent terriblement blessés. Plusieurs gobelins proches finirent même déchiquetés. Mais cela ne s’arrêta pas là. Les monts tremblèrent, comme secoués sur leurs fondations. Plusieurs sommets s’effondrèrent instantanément, mais nains comme gobelins savaient que cela ne s’arrêterait pas là.
- Accrochez-vous à ce que vous pouvez !
Tandis que les avalanches de pierre se multipliaient, la terre même sous les pieds des protagonistes se fissura. Le sol, sur des zones aussi vaste que de petites villes, se brisa. D’énormes failles apparurent, menant à des puits plongeant sur des centaines de mètres en contrebas. L’un de ces puits apparût juste sous le convoi, donnant tout juste assez de temps à Alaric de remonter dans la caravane avant que celle-ci ne plonge dans l’obscurité qui s’étendait sous elle.
La chute dura de –très- longues secondes. Sans qu’il ne puisse voir ce qu’il advint de ces gardes ou du gnome, Alaric se mît à prier Modan. Il n’y avait qu’elle qui pouvait, l’espérait-il, faire quelque chose pour sauver sa vie. Et quand bien même il survivrait à la chute, le Nain savait très bien où il allait tomber. Et qu’une mort pire encore l’attendrait s’il n’était pas en état de se défendre.
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| | Alaric
Partie IRLCrédit avatar : Double compte : Non.Vitesse de réponse : Moyen à rapide.
| | Lun 26 Mai - 14:24 | | | | Le combat ne semblait pas si périlleux que ça pour les gardes nains, ils étaient suffisamment lourdement équipé pour ravager des hordes de gobelins sans trop de problème. Mais les choses ne vont jamais comme il faut et au moment où on lui versa à nouveau de la bière le gnome pu entendre une phrase qui le fit avaler de travers.
- Troll ! Ils ont des Trolls en bas !
La bière passa dans le mauvais canal et il du recracher en toussant fortement, perdre de la bière, surtout de si bonne qualité, le dégouttait au plus au point. Il pria pour que les nains n'ai aucun mort à la fin de cette bataille, tout était de sa faute et il s'en mordait les doigts, il aurait voulu s'excuser au chef des nains pour les avoir embarqué dans une tel situation mais leur calvaire n'était pas fini.
L'un des brises acier sortit une drôle d'arme avec laquelle il tira, la détonation fut tel que les montagnes se mirent à trembler dans tout les sens, secouant les charrettes et rendant fou les chevaux. Il voulu prendre une nouvelle gorgée pour éviter de penser à l'état actuel des choses mais lorsqu'il se tourna le nain avait disparu, en se penchant légèrement il pu voir que celui ci était tombé du toit et se trouvait allongé sur le sol. Le gnome commença à se relever pour tenter de l'aider mais le sol se mit à trembler de nouveau, cette fois ci dans une secousse bien plus terrible que toutes celles d'avant.
Une faille s'ouvrait sur la route, et commençait à emporté l'arrière du convoie dans ses profondeurs. La terreur l'envahit, s'il tombait le choc de l’atterrissage risquait d'être terrible, mais ça le serait encore plus pour le nain allongé par terre et c'était de sa faute, il prit son courage à demain et descendit relever le nain au sol, puis tout deux eurent le temps de s'accrocher in extremis à la charrette. La faille c'était ouverte sous leur pieds et une longue chute commença, ils eurent le temps, bien qu'avec peine et en s’entraidant de regagner le toit de la carriole.
Le coeur d'Helkyn se souleva dans sa poitrine durant la chute, c'était la première fois qu'il ressentait se genre de sensation et il faillit certainement faire un arrêt. La charrette heurta d'abord le côté de droit de la faille et commença à tourné sur elle même, obligeant ses deux occupants à tourner avec, bientôt les deux comparses finirent sur le côté gauche de celle ci.
Finalement ce qui devait arrivé arriva et la charrette se fracassa sur le sol, entraînant la mort des chevaux qui la tractait dans une souffrance extrême. Le gnome dégringola à la renverse et parcouru cinq mètre en tonneau avant de tomber dans l'inconscience...
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