Si l’on voulait décrire Enélaya en deux mots se serait « douceur » et « sérénité » En effet de mémoire d’homme cette femme plusieurs fois centenaire n’a jamais haussé la voix. D’un calme olympien elle dégage une aura fascinante qui à le pouvoir d’apaisé, de calmé les esprits les plus tourmentés et de rassurer presque instantanément par sa simple présence. Ses nombreuses années de vit lui ont permis d’acquérir une immense sagesse qu’elle partage avec plaisir mais pour toujours de façon très claire. En effet Enélaya est une adepte des phrases sibyllines, mystérieuse et incompréhensible. Attentive et d’une gentillesse extrême elle est la nourrice idéal et à déjà garder et en partit élevé trois Impératrice. Elle est d’ailleurs la confidente d’Issendra qui n’hésite pas à lui dévoiler ses moindres secrets. Enélaya n’est pas bavarde, et d’une fidélité à toute épreuve. Les secrets qu’elle garde sont scellé à tout jamais et nul n’a réussit à apprendre quelque chose. Sous ses aires naïf dut à sa grande générosité et sa gentille omniprésente Enélaya est intelligente et très réfléchis. Elle ne fait jamais rien sans avoir pris le problème sous toutes ses cultures et dispense de très bon conseil à tous ceux qui le souhaite. Féru de lecture et de musique, elle passe la majeure partie de son temps dans le silence des bibliothèques. Vivant très sobrement malgré tout le faste dont le château l’entour. Sa chambre est d’une simplicité déconcertante, tout comme ses vêtements et ses rares bijoux. Mystérieuse elle reste assise de longue heure à contempler la neige qui tombe, il ne faut pas chercher à la comprendre. Sa philosophie lui est personnelle et si elle accepte de la partager nul ne serait capable de l’appréhender dans sa totalité. Elle arbore toujours un léger sourire maternel, sans doute facteur de sa capacité à s’accorder la confiance des gens. C’est une femme pleines de principe qui ne connaît que son pays et n’a jamais éprouver le désire de le quitter. La fraicheur du lieu, la neige, la glace… Des éléments quelle apprécie et qu’elles savourent encore chaque jour. Une chose vitale quand on est immortelle. Beaucoup de personnes pourrait se lasser, s’ennuyer de leur vit morne et répétitive. Mais Enélaya voit de la merveille en chaque chose et aime chaque instant. Elle est donc bien loin de mourir et compte bien garder encore quelques mini-impératrices. Comme tout séraphin qui se respecte Enélaya aime voler et fait parfois de longues balades aérienne, mais contrairement à la plus part de ses pairs, si sentir le vent dans ses cheveux lui agréable, voler ne lui ai pas indispensable, elle aime la terre autant que le Ciel fait étrange pour une créature celeste.

Enélaya est une séraphin, elle en possède donc toutes les caractéristiques. Deux petites ailes blanches trônent dans son dos, en temps normale elles font une trentaine de centimètre mais lorsqu’elle les déploie elles font plusieurs mètres d’envergure. Elle possède aussi une peau pâle sans imperfection et d’une douceur unique. Ainsi que des yeux d’un bleu azure magnifique. Gardien de sa vieillesse et de sa sagesse ils sont d’une pureté et d’une intensité à toute épreuve, lorsqu’on y plonge il faut plusieurs secondes pour s’en remettre. Enélaya n’est pas très grande, sans être naine non plus. Elle est par contre extrêmement fragile, ses os très léger peuvent se briser à la moindre chute. Heureusement elle possède une faculté d’auto-guérison assez performante. Mais ce qui fait sa fierté se sont ses cheveux. Ils sont d’une étrange couleur argenté et s’illumine au moindre rayon de soleil, elle les porte souvent lâche, ce qui n’est pas sans effet, car ils coulent comme une cascade se soie dans son dos et ne s’arrête qu’a ses chevilles. Plutôt raide, ils sont néanmoins léger et d’un soyeux étonnant. Elle les coiffes chaque jour pendant presque une heure et personne n’oserait la prétendre superficielle.

Histoire : Vous raconter l’histoire entière d’Enélaya est tout bonnement impossible, elle a vécu bien trop de chose. Son histoire ne commencera donc pas à sa naissance, son enfance n’ayant rien de notable. En effet, elle vivait avec ses deux parents, tous deux très gentils, et ils n’avaient pas de problèmes particuliers. Quelques années avant l’hiver éternel Enélaya, déjà âgée se promenait innocemment dans Sen’tsura lorsqu’elle fut attaqué par Azazel. Elle aurait pu être l’une de ses innombrables victimes mais elle eut de la chance : le prince de Sen’tsura, accompagné de sa garde personnelle, passait par là et il la sauva. Seulement celle-ci s’était évanouie sous l’effet de la peur et il n’eut d’autre choix que de la ramener avec lui. La suite fut extrêmement « cliché » : ils tombèrent amoureux et vécurent une idylle sans pareille... Jusqu'à ce que le devoir prenne le pas sur l’Amour. Depuis sa naissance le prince de Sen’tsura avait était fiancé à une elfe dans l’espoir de garantir la paix entre ces deux peuples, qui à l’époque de s’entendaient pas vraiment bien. Il l’épousa comme convenu et Enélaya, encore très amoureuse, devint sa maîtresse. Elle le resta pendant de nombreuses années et appris les secrets du pouvoir en compagnie de son aimé qui avait était nommé roi entre temps.

Lorsque celui-ci eu un enfant avec la Reine, sa femme légitime, Enélaya qui avait beaucoup acquis en sagesse décida de partir. Elle erra longtemps dans le Ciel, voyagea beaucoup, rencontra nombre d’individu qui lui permirent de devenir ce qu’elle est maintenant : quelqu’un de sage et de réfléchi. Ses ailes la portèrent jusqu'à Selian où elle fit la connaissance du frère d’une Impératrice des Glaces, l’arrière grand-mère d’Issendra. Ne voulant reproduire les erreurs du passé, elle repoussa les avances de celui-ci mais fut tout de même introduite dans la Cour, où l’Impératrice su apprécier sa sagesse. Bien plus tard, l’Impératrice mis au monde Inéalisse, la mère d’Issendra. Et ce fut le plus naturellement du monde qu’Enélaya devint sa nourrice. Bien après quand Inéalisse prit le pouvoir, Enélaya faisait officieusement partie de la famille Selian, tant celle-ci était importante à ses yeux. Maintenant encore, il n’y a personne au monde qu’Issendra respecte plus.