Aashadon s’étais habillé richement, comme toujours.
Un haut a long col d’un gris sourie, les boutons qui refermait ce haut étaient en or et dessus était visible des dessins ésotériques. Comme par dessus Aashadon avait choisit une longue cape noire et violette laquelle était ornée de chaînettes d’argent et de quelques boutons d’or blanc. Le pantalon était plus sobre, de la même couleur que le haut avec quelques dessins tracé au fils d’or autour des poches. La coiffure était nouvelle, pour la première fois depuis très longtemps l’archevêque avait laisser ses cheveux poussés, pour les faire revenir en arrière. Les tempes étaient blanchis. Les doigts de l’homme de clergé étaient comme a leur habitude remplis de lourde et précieuse bague de tout métaux rare et de pierre précieuses.
L’invité était de marque. L’Alchimiste de l’Empire.
Aashadon n’avait jamais eu l’honneur de le rencontrer, c’était apparemment un mort-vivant. Une race très spécial. Il devrait faire bonne impression si cet « homme » était vraiment cultivé, en espérant au moins tomber sur un quelconque raffinement.
Aashadon aimait flâner avant de discuter, les quelques paperasse de baptême et autre attendront bien quelques jours.
L’attente fut longue, environs une heure. Aashadon aimait bien préparer son esprit avant de recevoir quelqu’un d’important. Il avait entre temps enfilé un petit foulard en soir mauve autour de son coup qu’il avait passer en partis sous son haut. Il fumait d’ailleurs une longue pipe en bois rare, un bois qui venait des îles de la Muerta.
Un léger bruit se fit entendre contre la lourde porte de son magnifique bureau.
Aashadon fit patienter le mort-vivant ainsi 5 minute devant la porte, profitant de tirer de longue bouffer de fumer sur sa longue pipe.

Aashadon finit par lancer un « Entrez ! ».

La raffinement était une vertue que le mort-vivant ne semblait pas avoir. Peut importe, Aashadon savais faire avec les rustres ou les mal-propres. L’archevêque écoutas le monologue malpolie de l’alchimiste, de toute façon les scientificards ne sont jamais très habile en société. Au moment ou la mâchoire du cadavre ambulant qui puait déjà particulièrement retombas mollement dans un craquement affreux, laissant l’horrible langue d’Antiprus bouger au rythme frénétique du monologue théâtralement grotesque de ce être déjà bien ridicule, l’archevêque lacha donc une bouffer de fumé a la figure de cet étrange être. Attendant la fin du récit. Profitant enfin après quelques instant de malaise diplomatique pour placer ses mains paume ouverte vers le ciel.
« Sternit. Nocet Tuae partes sunt.
Rigore ira. Semitico populum tuum post te praeterit.
Minimum percusserit.
Ut regnaret super terram.
Sternit.
Aspice regnum tuum.
Caedit, prosternit. »
C’était une simple prière habituel. L’archevêque tandis d’une poigné large et mole une petit bac a tabac au mort-vivant, celui ci ne pouvait sûrement plus fumer, mais la politesse exigeait.
Enfin le maître de maison regarda l’invité dans les yeux. Ou du moins ce qui semblait être des yeux.
« Votre connaissance en votre matière m’a l’air conséquente a votre poste. Quant au désir de vouloir un meilleur bureau, il faut l’avoir personnellement. Avec notre argent, même si faire prélever quelques impôts supplémentaire a tel ou tel personnes bien aisées n’est pas chose dur. » Le démon pointa le doigt vers un grand tableau usé par le temps.
« C’était un tableau de la famille .. de quelqu’un d’important. Mais parlons magie et alchimie, j’aimerais connaître vos compétences. Ne soyez pas timide je vous prit, vous n’avez pas a avoir peur de vous faire juger par un ancien et un professionnel. » Aashadon prit son air hautain et le sourie comme si il le défiait. Finissant pas cracher une bouffé de tabac dans la figure du pauvre mort-vivant.

Aashadon regarda la larve. Une flamme apparus sur son corps, elle se calcina en quelques secondes. Le démon reportas ses yeux vers son interlocuteur.
« Nous sommes conscient que vous n’avez pas été prit pour votre physique. » Dit l’archevêque avec un petit rire sadique.
Il prit un livre, un vieux bouquin abîmé, taché. Le cuir semblait à moitié brûlé les bord étaient cornés, le papier tachés, des traces brunes sur le dos du livre.
« Voici un ouvrage d’alchimie qui a été censuré par moi même. C’est le dernier exemplaire, tout les autres on été brûlé. Sous mes yeux » Dit il avec un sourire au coin des lèvres.
« Mais voyez vous, mon cher, je suis sur que vous ferez bon usage de cet ouvrage. C’est pourquoi nous comptons vous en faire cadeau, voyez cela comme un investissement de ma part, car je suis sur que nous nous partagerons nos connaissances. Bien l’idée de vous apprendre à manier le feu, ne soit peut être pas la meilleurs que nous ayons eu. Vous aurez sûrement des problèmes avec cet élément ? C’est pourquoi je préfère vous ouvrir les ouvrages censuré que j’ai. Je pense que notre collaboration vas être longue et fructueuse. Même si vous n’avez certainement pas mes capacités, nous vous faisons la promesse ne nous mettre à votre niveau pour vous détailler ses ouvrages. »
Aashadon allumas d’un regard une feuille de papier d’Arménie qui trônait dans une coupelle prête à changer l’odeur de la pièce. Profitant du repos auditif pour envoyer une autre bouffé de fumé dans l’air, l’humidité de l’air rendait la fumé de tabac plus blanche que jamais.
Il est vrais que cet être puait, au sens propre. Enfin… « propre »… c’est un bien grand mot.
Mais bon, au moins l’interlocuteur était au moins un minimum cultivé.
« E nomine Zelphos, e nomine Aile Ténébreuse, comme on dit, n’est ce pas ? »
Une dernier phrase craché entre deux bouffé, une question d’archevêque pour testé la fidélité du cadavre.

Le démon prit un regard amusé. Le petit rampant que l’alchimiste venait de sortir de son corps se tortillait sur le magnifique planché de bois vernis. C’était ragoûtant. L’archevêque fit passer son regard sur cette petite vie, une flamme enroba alors ce petit corps. Celle ci s’éteignais après avoir consumer l’insecte. D’un regard l’immondice avait été réduite en cendre. Il ne fallait quand même pas que cet être en face de lui le prenne pour une magicien de pacotille. Aashadon se leva donc de son fauteuil, rien de mieux que de pouvoir marché aisément devant quelqu’un qui ne le pouvais pas.
Le démon enfila une grand manteau de fourrure brune, puis suivis un grand collier de religieux ou une pièce frappé du nom du Dieu en langage de zelphos venait de s’ajouter a la collection qu’Aashadon portais sur lui.
« Connaissez vous mon monde ? Connaissez vous nos pouvoirs ? Connaissez vous les Féral ? Que savez vous sur ce que je suis ? Vous devez sûrement avoir lus mon livre, hélas interdit, La Peste. Un excellent ouvrage de classification des races. Décrivant précisément ce que vous êtes et à peut près ce que je suis. »
Un peut de pub ne faisait jamais de mal, n’est ce pas ? Le démon tournait désormais autour de l’invité. Posant une main sur son épaule, lui prouvant ainsi que sa laideur et sa puanteur n’avais aucuns effet sur quelqu’un qui avait passé des siècles à ouvrir les tripes d’infidèles.
L’odeur de cadavre, de chair pourris et abîmé était une habitude pour celui que certains nommais l’Inquisiteur.