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 Alastair, Grand Prêtre de Zelphos

 
Alastair, Grand Prêtre de Zelphos  Sand-g10Jeu 5 Mar - 22:33
http://www.terramysticarpg.com/t6859-alastair-grand-pretre-de-ze
Alastair Zelphos

Mage de génie - Alchimiste expérimenté - Intelligent - Désabusé des hommes - Arrogant - Fatigué - Méfiant
Information
Surnom Nombreux tels que Le Tyran, La Peste... mais ça c'est pour le privé. Hors de chez eux les gens me nomment plus souvent Grand Prêtre, simplement.
Âge : 75 ans
Nationalité : Terre
Profession : Grand Prêtre de Zelphos
Camp : Aile Ténébreuse
Noblesse : Aucun
Croyance : Agnostique mais l'amour que j'ai pour la magie s'approche de l'adoration
Famille : Aucun
Race
Humain
Caractère

Alastair Zelphos… C’est mon nom. Mais certains le connaissent surtout comme étant un monde parallèle au nôtre d’où viennent les démons qui envahissent actuellement Terra avec, à leur tête, ce cher Azraël. Et ils sont innombrables ceux qui associent ce nom à la religion officielle de l’empire qu’a bâti le démon nommé juste avant. Pourtant, au départ, je me nomme Alastair Samhain. Ce pseudonyme est celui réservé au démon considéré comme divin par toutes les nations de Zelphos. Ce fut Azraël qui me le donna comme présent avec l'avale de toutes ses troupes lorsque je l'ai amené sur Terra. Mais qui se cache derrière Alastair Zelphos ? Je vais essayer de vous l’expliquer.

Beaucoup me connaissent comme étant celui qui a ouvert la faille entre les deux mondes et amené les conquérants démoniaque sur notre terre. Ces gens là m’imaginent comme étant le pire des monstres. Un homme qui tue tous ceux qui le regardent de travers par de fantasmagoriques pratiques de magie noire venant tout droit de l’autre monde. Ils me prennent aussi le plus souvent pour un fou, qui passe son temps dans un vieux laboratoire poussiéreux à chercher de nouveau moyen de détruire plus de vies. Je ne m’amuserais pas à essayer de prouver le contraire car c’est justement le propre d’un fou de dire qu’il ne l’est pas. Cependant j’aimerais vous montrer ce que les gens ne connaissent pas de l’homme qui se cache derrière le titre élogieux de « Grand prêtre de Zelphos ».

Tout d’abord, il faut savoir que je suis agnostique. Je ne crois pas plus en Aile Ténébreuse que l’Impératrice Issendra. Si je suis le chef de ce culte c’est pour des raisons bien plus… sombres que même Azraël ne connait pas finalement. La seule chose que je pourrais considérer comme une déité serait la magie, purement et simplement. Elle est dans toute chose, dans tout être et réellement fous ceux qui pensent le contraire. Les peuples « barbares » l’avaient bien compris, eux, mais d’une autre façon. Ils vénéraient la nature, mais ce en quoi ils croyaient n’était autre que la magie qui palpitait comme un cœur à l’intérieur de cette nature. Donc voilà en quoi je « crois » et à quoi je voue ma vie.

Durant des années, les gens ne me connaissaient pas comme un tyran fou et démoniaque mais bien comme un mage talentueux et un alchimiste accompli. Tout ce savoir je l’ai accumulé durant des années est bien plus grand que celui de n’importe quel pratiquant des arcanes. Je ne connais personne qui comprend le monde mieux que je ne le fais et ce n’est pas un euphémisme si je dis que je suis l’un des plus grands mages de notre époque. Malheureusement… je n’utilise que très rarement la magie désormais mais j’en parle assez précisément dans mon journal.

Je suppose que vous voulez aussi connaître mes positions par rapport à la guerre. Et bien je ne me soucis aucunement du front. Mais les batailles que je mène sont tout aussi importantes. Ce sont des batailles silencieuses, nocturnes, mentales… Je me bats contre des espions, des saboteurs, des assassins… Tout le monde dans la rue veut ma mort et c’est normal vu ce que j’ai fait. Mais avis à tous ceux qui aimeraient voir ma tête tomber. Tout ce que je veux c’est sauver ce monde. En vous tuant certes mais cela est nécessaire. Les hommes détruisent peu à peu Terra sans le voir. Les démons de Zelphos représentent une chance pour ce monde d’être débarrassé de deux espèces nuisibles. Et si, malgré ça, vous continuez à vouloir me trancher la gorge, pensez que vous n’êtes pas le seul, loin de là… et pourtant je suis toujours ici. Alors réfléchissez, et rejoignez Zelphos, la seule voie de salue pour ce monde.


Physique
Bon… au cas où je dois vous rencontrer en secret pour X ou Y raison, il faut que vous puissiez me reconnaître. J’avoue que cela sera assez difficile étant donné que je n’ai absolument… aucun signe qui ne me distingue des autres vieillards de mon âge.

Je suis un septuagénaire fatigué par une longue vie de nuits blanches, de voyages et de travail. Cela se voit sur mon visage, surtout dans mes yeux de couleur commune, brune. Quoiqu’ils soient plus clairs que la plupart de ceux que j’ai vu. Ce visage épuisé est en permanence encadré de longs cheveux blancs que je laisse toujours détachés, me souciant peu de leur entretien. Cependant parfois je remarque ces éternels petits cheveux noirs, restes de mon ancienne crinière ébène que j’arborais dans ma jeunesse. Je me suis laissé dire que c’était à force de déambuler à Volcania, il y a de cela plusieurs décennies, que mes cheveux ont grillés et restent désormais noirs. Je sais bien que c’est une fable idiote, mais c’est pour éviter de me tourmenter avec une question qui l’est tout autant. Ma mâchoire légèrement pointue est ornée d’une affreuse barbe très mal entretenue qui termine en un bouc assez long. Il parait que j’ai toujours sur mon visage un semi-sourire chaleureux. Cela doit être un tic que j’ai gardé de mes jeunes années.

Mon corps, lui, est recouvert des stigmates d’une existence passée dans les endroits les plus reculés de ce monde. Vous verrez donc ça et là des cicatrices, des traces de brûlures… J’entretiens quand même mon corps dans l’espoir de vivre assez longtemps pour concrétiser mon projet. Je suis donc toujours vigoureux. Simplement… les efforts fournis le seront moins longtemps et il y aura des séquelles. J’ai gardé un dos droit et on me donne de la prestance lorsque je marche. Je ne m’en suis jamais aperçu et à vrai dire je ne m’en soucie pas. J’essaye cependant de donner la meilleure image possible lorsque je fais des apparitions publiques. Je prends une voix claire, dépourvue de parasites et je conserve une attitude solennelle qui déteint sur moi lorsque je suis hors de vue de la plèbe. Je le reconnais aussi je suis… maigre. Toutes ces nuits passées à faire des recherches ne me donnaient pas le temps de manger assez mais j’essaye aujourd’hui de me rattraper, même si j’ai peu d’appétit.

Voilà, j’espère qu’avec ce portrait que j’ai essayé de faire le plus précis possible, tout en allant pas dans des zones… que vous ne verrez pas de toute manière, vous arriverez à me reconnaître sans mes apparats de grand prêtre.

Capacités
Armes : Divers potions décrites plus bas. Contrairement à ses pouvoirs, Alastair peut les faire en illimité. Il devra néanmoins se ré-approvisionner après chaque utilisation et plus la potion est puissante, plus les ingrédients sont rares.

Pouvoirs : Voir plus bas, Zelphos n'utilisant ses pouvoirs qu'en cas d'urgence majeure, la quantité de magie nécessaire pour ouvrir une nouvelle faille étant colossale. Les seuls exceptions sont les runes, qui ne demandent pas d'énergie magique à leur création mais plutôt une grande force mentale.
Familier : Aucun
Artefact : Aucun
Autre : /
Histoire

Histoire

Préambule

Je rédige ces lignes pour que des souvenirs qui s’effilochent de plus en plus dans mon esprit ne soient pas oubliés. En effet, mon objectif me prend tout mon temps et ma mémoire se remplie peu à peu d’un savoir inimaginable qui servira entièrement à ma cause. C’est une entreprise fantastique que de rassembler toutes ces connaissances pour permettre aux deux mondes de s’annihiler pour être purgés. Malheureusement, ma mémoire n’est pas infinie et ces idées prennent peu à peu la place de ce qui a fait ma vie pendant de nombreuses années. Je ne veux pas oublier ce que j’ai fait de mon existence, même si ces actes importent peu au final. Je ne veux pas oublier tout ça lorsque le monde chutera pour revenir plus fort. C’est pour cela que je rédige ce journal. Il remplace l’ancien qui a brûlé dans une malencontreuse expérience quelques heures avant que je ne commence à écrire ces mots. Malgré ma mémoire défaillante, j’essayerai de retranscrire ici tout ce dont je parviens à me souvenir.

Fin du préambule

Je me souviens de mes parents. Des mages itinérants qui parcouraient ce continent avec acharnement pour poursuivre une noble quête de savoir. Je les respectais et les aimais. Mon enfance passée avec eux sur les routes me permit d’apprendre beaucoup de choses qui me servent encore aujourd’hui. Dans mon souvenir, je n’appréciais pas les départs intempestifs. Je ne pouvais aimer d’autres personnes que mes géniteurs, et cela me mettait en colère. Oui c’est ça. Mais malgré cela, je ne leur en ai jamais vraiment voulu. C’est grâce à eux que j’ai appris à aimer l’aventure, les expériences, que j’ai appris les rudiments de l’alchimie que j’ai perfectionnée des années plus tard. Oh oui mon enfance fut une belle période, mais plus belles encore furent les années qui suivirent.

Je me souviens que, lorsque j’étais adolescent (je ne me souviens plus quel âge j’avais exactement) mes parents m’ont inscrit à une université de magie réputée quelque part dans les Plaines. Elle ne doit plus existée aujourd’hui… Je crois que les dirigeants étaient assez indépendantistes alors à mon avis cela n’a pas dû les aider lorsqu’ils ont rencontrés Azraël. Enfin, cela ne me concerne plus maintenant et j’ai eu vent de la création d’une grande Académie de magie dans le pays glacé de Silena. J’imagine que la visiter aurait été un rêve pour moi lorsque j’étais plus jeune… Mais aujourd’hui, elle peut bien brûler, elle et ses pathétiques occupants… Ils mourront tous de toutes manières.

Mais je m’égare, revenons à mon adolescence. Cette université était une aubaine sans nulle autre pareille ! J’ai passé là-bas des années magnifiques, et elles resteront à jamais gravées dans ma mémoire. C’est là-bas que j’ai rencontré quatre des personnes qui ont le plus comptées pour moi dans ma vie. Quatre des personnes qui… je l’avoue… me manquent aujourd’hui. Il y avait d’abord Lucien, un être plein de sagesse quand j’y repense. Tout jeune déjà, il savait que les hommes étaient des êtres stupides. Cependant… il exagérait. Il disait qu’ils étaient incapables de comprendre la magie dans son essence. C’est vrai que même moi je n’y suis toujours pas parvenu mais je pense que je suis assez bien avancé dans ce domaine pour affirmer qu’un jour, sûrement, les arcanes n’auront plus aucun secret pour moi. J’aimais bien Lucien. Je ne me souviens plus de ce qu’il fit après ses études. Je suppose qu’aujourd’hui il est mort. Il a dû vivre paisiblement. Dans mon souvenir il avait aussi trouvé une femme. Ah… quel désir futile lorsque je me le remémore. Moi aussi j’ai un jour désiré vivre de façon ordinaire alors que je n’étais pas du tout destiné à cela. Que j’étais fait pour être grand ! Pour changer le destin de ce monde ! Pour le sauver !

Ah je me souviens désormais ! Je me souviens de Louise ! Une personne admirable vraiment. Elle aussi voyait grand. Elle aussi voulait avoir un destin glorieux dans le monde de la magie. Elle était peut-être un peu trop volcanique… Je me rappelle que sa spécialité était les sorts purement offensifs… Ça me fait sourire. Je pense que quelqu’un comme Azraël l’aurait vraiment apprécié. A l’instar des autres, je n’ai aucune nouvelle d’elle depuis des années maintenant. Enfin… Peut-être est-elle morte au combat, comme elle l’aurait sûrement souhaité.

Il y avait aussi… aaaah Sonia. La bonté même. Très sage également mais elle a gâché son potentiel immense dans un mariage futile et une vie de famille ennuyeuse. Tant de futilités… C’est triste, je trouve, d’étouffer ses talents auprès des autres. C’est pourtant ce que j’ai fait avec eux pendant quelques années. Certes, ce furent de bons moments mais même si je travaillais dur, je stagnais au fil du temps. Heureusement pour moi, j’ai finalement réussi à me détacher d’eux pour aller plus loin, plus haut. Et pendant trois années, je n’étais pas seul sur cette voie. Il y avait, qui m’accompagnait, Guillaume. Lui était un véritable ami, je le reconnais aujourd’hui. Il a toujours été le plus intelligent et le plus intéressant de mes trois compagnons. Je crois me souvenir que trois ans après notre entrée dans la sphère supérieure des études, les plus ardues et les plus exigeantes qu’offrait l’université, il abandonna, me laissant seul. Mais ce n’était pas pour me déplaire. C’est en se complaisant dans la solitude que l’on parvient réellement à comprendre et à perfectionner la magie.

Je continuais donc seul, devenant au fil du temps de plus en plus talentueux et puissant. J’appris durant ces années tant de choses… Un savoir infini m’était offert dans cette université et il me sert parfois encore aujourd’hui. Oh si les gens qui m’avaient accompagnés durant cette période étaient auprès de moi aujourd’hui... Je ne sais comment j’arriverais à rembourser la dette que j’ai envers eux. Mais cela n’a plus d’importance aujourd’hui. Je ne parviendrais à mes fins qu’en oubliant tout cela au profit de plus grandes connaissances. C’est aussi pour cela que je rédige ceci, pour vider mon esprit de ces souvenirs inutiles et qui prennent tellement de place. Une fois ce journal terminé et protégé avec tous les sors dont je peux disposer, je pourrais enfin me concentrer uniquement sur l’ouverture d’une nouvelle faille, et uniquement sur ça. Et je le ferais seul, comme je l’ai toujours été au final, comme cette fois à Volcania…

Cela faisait plusieurs mois que j’avais terminé mon apprentissage dans l’université de magie. Je l’avais quitté en lauréat talentueux. Même les professeurs me demandaient avec inquiétude ce que je comptais faire désormais que je quittais le lieu que je chérissais le plus à l’époque. Je leur avais tout simplement répondu que j’allais suivre ma propre quête de savoir au travers de ce monde si vaste. Je me souviens alors que la première destination que je convoitais dans ce but était la savane de Sahawi. Je devais trouver un intérêt particulier à sa faune étrange car je me rappelle avoir passé beaucoup de temps à l’étudier, ainsi que les plantes. Il était toujours utile de récolter des informations comme celle-ci dans le métier que j’exerçais alors. Car pour pouvoir me payer de telles fantaisies, j’aidais les gens que je croisais dans leurs petits problèmes du quotidien. Avec mon savoir en botanique et en alchimie j’arrivais le plus souvent à mijoter des décoctions qui convenaient parfaitement à leur situation, et ils me payaient pour ça. Un travail fort ennuyeux quand j’y repense, mais il me permettait de financer mes escapades et mes recherches. Je voguais sur les routes tel un humble vagabond. Seulement moi, j’avais un but. Un objectif si insensé que même encore aujourd’hui on ne me croirait que difficilement si je le racontais.

Je l’ai vu… Celui que l’on nomme le Père des Dragons… Un immense monstre qui dort dans la lave comme si c’était une couverture de soie. Tellement gigantesque qu’un seul de ses crocs est plus massif qu’un orc. Son savoir est si grand que même celui contenu dans la bibliothèque de Von Luar n’arrive pas à le surpasser. En tout cas, c’est ce qui se raconte… Pour moi ça a surtout été un abreuvoir de connaissances dans lequel je me suis baigné jusqu’à me noyer. Arriver jusqu’à lui fut des plus ardus et je pense que les quelques mèches noires qui me restent sont simplement les traces de quelques flammèches que j’ai récolté durant cette période de ma vie. C’est une comparaison amusante je trouve, mais passons. Durant les quelques mois que j’ai passé à ses côtés, je n’ai jamais pu ne serait-ce qu’effleurer son esprit si ancien et mystérieux. C’était comme essayer de décrypter les rayons du soleil… Dans mon souvenir, cela me frustrait. Mais je pense que si je le recroisais aujourd’hui j’aurais mes chances de percer le secret de ses pensées. Mais c’est un rêve vain… mes vieux os seraient incapables, aujourd’hui, de supporter le climat de Volcania. Même avec toute la magie que je pourrais déployer… Non. Concentrons-nous sur la faille ! La faille, Zelphos ! Tu ne dois penser à rien d’autre !

Bon… de quoi je me souviens d’autre… je dois rapidement terminer ce fichu journal ! Il faut que je retourne travailler ! Lorsque j’ai quitté Volcania… je me souviens avoir eu envie de me rendre à Tilamus… je crois que je cherchais une sorte de cité mais c’est flou dans mon vieil esprit… Ah oui ! Je n’étais pas arrivé jusqu’à mon objectif ! J’ai dû m’évanouir avant ou quelque chose d’approchant… J’ai dû être sauvé par des voyageurs car je me souviens m’être réveillé dans un petit village au pied des montagnes. C’est là-bas que j’ai rencontré deux des personnes les plus importantes de ma vie, si bien que le cadre dans lequel j’ai fait leur connaissance est complètement obscur dans ma pauvre tête. Il y avait tout d’abord Nelad, celui qui devint plus tard mon plus proche ami et disciple. Le même que j’ai… que j’ai dû… oh j’en parlerais plus tard de toutes manières ! Chaque chose en son temps ! La seconde personne c’est évidemment Silène. Future épouse et future mère de ma petite fille. Cette même petite fille qui, à sa naissance, était atteinte d’un mal si étrange et si rare qu’encore aujourd’hui je ne saurais dire si j’aurais pu le soigner complètement, même à ce stade de ma vie. Je me rappelle avoir parcouru ciel et terre pour trouver un remède. Tsss… au final je n’ai réussi qu’à rallonger sa vie de souffrances inutiles. Si je savais où elle était aujourd’hui je la ferais certainement tuer pour abréger ses maux.

Toujours est-il qu’après des années fortes ennuyeuses où je me complaisais dans l’oisiveté d’une vie « normale » les aventures reprirent après quelques épisodes forts peu intéressants. Ma vieille amie Louise, Nelad et moi-même partirent en quête d’un savoir perdu au fond du continent glacé. Je pense que ce que l’on cherchait n’était rien d’autre que la bibliothèque de Von Luar, mais c’est seulement aujourd’hui que je le comprends. Je me souviens que, même avec toute la volonté du monde, nous ne sommes pas parvenus à la dénicher. Nous sommes donc tous les trois rentrés à Luütra, où je vivais à l’époque, et nos chemins se séparèrent. Ensuite je vis encore un peu de temps en compagnie de ma femme et de mon enfant et au bout d’un temps qui me semble interminable quand j’y repense, je repars sur les routes. Toujours en quête d’un savoir que je n’espérais plus trouver. En quête de connaissances qui m’avaient échappées. Je ne crois pas me souvenir avoir mis beaucoup de temps avant de trouver ce vieillard. Une sorte d’ermite qui vivait là, au fin fond des plaines enneigées et hostile du continent. J’admirais sa capacité de survie dans un lieu aussi dangereux. Et aujourd’hui je me rends compte que, en plus de son immense savoir que j’évoquerais plus tard et à l’instar de Lucien à l’université, il avait compris plus tôt que moi que les hommes ne méritaient pas le moindre intérêt.

J’avais donc rencontré ce vieillard d’une façon assez particulière, tout autant que sa méthode de chasse. La plèbe chasse à l’arc, les nobles avec des chiens, lui chassait grâce à la magie. Et pas n’importe quelle magie, une branche qui m’était alors inconnue. Ancienne et mystérieuse. La magie runique. Ce domaine archaïque qui consiste à poser un sort sur une surface ou un objet par l’intermédiaire d’un dessin plus ou moins compliqué selon la puissance du sort. Selon les recherches que j’ai effectué bien des années après cette heureuse découverte, les nains étaient les maîtres dans ce domaine de la magie et, comme tous les secrets de ce peuple, le savoir sur les runes était jalousement gardé et aucun habitant hors des montagnes n’aurait pu espérer un jour y avoir accès jusqu’à relativement récemment. Le commerce entre les nains et les autres races a facilité les « fuites » et, même si cela reste rare, il est possible de rencontrer un maître dans cette magie hors de Sola. C’était donc sur un homme de ce type que j’étais tombé ce jour là…

Et cet homme fut mon énième professeur. Malgré des négociations difficiles j’ai réussi à le persuader de me prendre comme élève. En échange je devais effectuer nombre de travaux que ses vieux os ne pouvaient plus accomplir par eux même. Ce fut une époque… magnifique. Je retrouvais le goût du travail acharné que j’avais perdu depuis mon départ de l’Académie. Le goût d’apprendre de nouvelles choses tous les jours, que je n’avais, au final, pas réussi à garder enfermé très longtemps. J’étais né pour apprendre et devenir le monticule de savoir que je suis aujourd’hui. Je ne compte transmettre mes connaissances à personne, car ce serait une entreprise bien trop longue et vaine. Non. L’homme qui désirera acquérir autant de connaissances devra le faire par lui-même, comme je l’ai fait durant des décennies. Il faut consacrer sa vie au savoir pour pouvoir le savourer pleinement.

J’appris auprès de cet homme quelques mois environ. Il mourut ensuite et je dus continuer mon apprentissage seul, au côté de Louise qui m’avait rejoint au bout de quelques semaines. Au bout de deux ans, je suis rentré chez moi, auprès des miens. Nous partîmes finalement à Sen’Tsura pour la petite mais je continuais à étudier tous les jours pour pouvoir maîtriser cette nouvelle magie. Je me perfectionnais de semaines en semaines et ce fut une période fort intéressante mais très peu pratique à écrire sous forme de lignes. En résumé j’oscillais entre le travail d’herboriste réputé que j’exerçais là-bas, ma vie de famille et les études. Pendant des années, je vécus ainsi. Rajoutés à cela une longue méditation sur la vie. Je découvrais de plus en plus de choses qui, elles aussi, ne peuvent être couchées sur du papier. Comment l’homme est fait, comment il réagit à la magie, face aux autres etc… D’immenses connaissances me parvenaient presque spontanément au fur et à mesure de mes méditations. Puis je passais aux expériences. Je devais prouver nombre de mes théories et je me mis donc à faire plusieurs recherches et manipulations dans cette optique.

C’est ce jour là que j’ai tout compris.

Un jour de printemps 82. Il pleuvait averse, un orage dément zébrait le ciel d’éclairs infinis. C’était de toute beauté et être sous cette intempérie ne me dérangeait absolument pas. C’est alors que je la vie. Une anomalie, purement et simplement. Une fraction de seconde, l’endroit que je regardais sembla infiniment changé, il ne ressemblait plus à rien de connu. Mon esprit se mit aussitôt en marche, essayant de comprendre ce qu’il venait de voir, mais il n’y parvint pas. Enfin, pas tout de suite. Il me fallut longtemps. C’est seulement après des tas d’expériences magiques qu’une hypothèse s’établit dans mon esprit. Elle était démentielle mais possible !

Sans attendre, je convoquais chacun de mes vieux amis. Seule Louise ne put venir mais ce n’était pas grave, les autres suffiraient largement. Durant une bonne heure je leur expliquais ma théorie rocambolesque. Celle d'un univers composé de plusieurs trames. Où la magie serait omniprésente, mais présenterait des singularités qui étaient à découvrir. Je leur expliquais mon impression du jour d'orage, celle d'une faiblesse dans le monde. Comme si les trames s'étaient entrecroisées. Ou étaient proches de le faire. Une théorie encore à ses balbutiements, sur les failles spatio-temporelles. Cependant, ils ne me crurent pas. Enfin… pas complètement. Cependant ils se ravissaient bien de me le dire, mais je le voyais, ils me pensaient fou… Peut-être que je l’étais à l’époque.

Je décidais de tout abandonner. Ma femme, ma fille, mes amis et Sen’Tsura. Pendant douze ans j’ai parcouru Terra à la recherche de compréhension de ce phénomène. Je suis finalement arrivé à la frontière invisible qui sépare notre monde de celui de cette déesse folle. Seul Foam, l’endroit que je n’ai jamais trouvé, recelait peut-être les savoirs qui me permettraient de mieux comprendre l’essence de ce rideau mystique. Durant mes pérégrinations, je découvris avec un étonnement grandissant que l’homme avait changé la nature à un point qui dérivait de plus en plus vers l’absurde. Ce qu’ils faisaient à la terre, aux animaux… je ne m’en étais jamais rendu compte auparavant mais toutes ces années de méditations m’ont permis de comprendre que le monde souffrait, par la faute des hommes.

Au fur et à mesure des années, ma théorie se précisa de plus en plus. Les lieux où ses changements s’opéraient étaient précis et nombreux. Ce n’était pas un hasard ni une coïncidence si ses phénomènes se produisaient. Je faisais plusieurs expériences à ses endroits. La magie ne réagissait pas du tout de la même manière lorsqu’elle se trouvait là. Le voile entre Terra et les Limbes était là, et il présentait des plis, des craquelures, presque invisibles mais j’avais réussi à les localiser. Je devais ouvrir ce voile, le déchirer pour révéler ce qui se trouvait derrière. Nelad me rejoignit lorsque je lui demandais de le faire. Il ne me donna aucune nouvelle de ma famille ni des autres et je ne lui en demandais aucune. La seule chose qui m’importait désormais était mon projet.

Pendant six ans, j’accumulais toujours plus de magie et de connaissances. Nous parvînmes à ouvrir une minuscule faille par magie et à voir au travers. Elle ouvrait sur un monde si sombre, si différent du notre… Les créatures qui le peuplaient ne juraient que par la haine et le sang. Même si c’était une vision repoussante, voir effrayante, je devais continuer d’essayer de briser cette frontière invisible. J’avais une petite idée en tête. Elle était… radicale mais je devais le faire. Il le fallait. J’étais le seul être dans ce monde capable d’ouvrir ces failles ! Je devais le faire pour sauver cette terre ! Si je parvenais à ouvrir définitivement un portail entre nos deux mondes, le mien et le sien, les hommes et les démons s’entretueraient pour prendre le contrôle. Ainsi les deux mondes seraient débarrassés de ces créatures si abjectes et la magie pourrait prendre pleinement possession d’un territoire qui lui était dû.

C’est dans cette optique que le 15 de Nelnurr. 100 ans après la fin de l’Hiver Eternel, j’ouvris La faille entre nos deux mondes. La faille. Celle dont on parle encore aujourd’hui tant elle est synonyme de malheur dans les esprits de tous. Moi je m’en souviendrais plutôt comme l’expérience la plus extraordinaire de tous les temps. L’énergie demandée fut tout bonnement immense et je crus mourir plusieurs fois sous la dépense d’énergie faramineuse, mais j’y parvins. Il sortit de la faille suivit de ses sujets. Azraël. Il était impressionnant dans ses atours démoniaques. Mais je n’avais pas peur de lui. Ni même encore aujourd’hui. Pourquoi ? Mais parce que tout le monde mourra un jour. Je n’ai pas peur de la mort. Alors je n’ai pas peur de ces êtres qui s’amusent à la donner lorsqu’ils le veulent.

S’ensuivit donc une longue, très longue discussion avec ce chef de guerre renommé sur son monde mais totalement inconnu sur celui-ci. Nous avons passé beaucoup de temps à faire d’innombrables estimations et calculs et avons conclus qu’il était nécessaire de créer un clergé influent et de réunir le maximum d’adeptes, notamment quelques archevêques, pour pouvoir ouvrir une seconde faille, définitive cette fois-ci. Je comptais bien voir ces deux peuples s’annihiler dans la guerre et la haine, mais Azraël lui voulait conquérir ce monde purement et simplement. Au début je n’y prêtais pas attention, à ces petits jeux de pouvoir, mais aujourd’hui je réalise que s’il gagne totalement… mon entreprise sera perdue ! Il doit toujours subsister la guerre sur Terra. Il faut que tout le monde meure !

Quant à Nelad je… je ne veux pas en parler… Mais aujourd’hui il ne peut plus faire échouer mes plans… C’est tout ce que j’ai la force de dire.

Les années qui suivirent furent constellées de tâches de sang.

Celui que l’on nommait désormais Aile Ténébreuse mais que, personnellement, j’appellerais toujours par son nom, partit à la conquête des différents pays de cette terre. D’abord Ciel, puis Eau, Feu nous a prêté allégeance et finalement Terre s’est pliée à la volonté de l’archidémon. Je n’avais pas prévu que cela aille aussi vite. De mon côté, j’étais trop occupé à développer le clergé de Zelphos, Les démons m'avaient choisis pour porter le doux nom de leur monde en guise de nom de famille. Je troquais donc Alastair Samhain pour Alastair Zelphos, ce qui n'était pas plus mal. Je devais également m’occuper de recruter les archevêques qu’il nous fallait pour le rituel. Actuellement nous n’en avons que deux. Une dénommée Bordeau et Anthithée Féral. De ce que j’ai entendu, les Féral sont l’une des plus puissantes familles qu’il y avait sur « Zelphos » (encore un cadeau d’Azraël) et je sais qu’elle est en train de devenir très puissante ici aussi. Et je l’avoue, cette capacité à devenir influent partout où ils vont m’intrigue… je devrais peut-être songer à rencontrer un ou deux autres membres de cette famille…

Lorsque la guerre entre l’empire d’Azraël et les rebelles a éclaté, j’y voyais une formidable occasion de voir les habitants de Terra et les démons se détruire dans une interminable guerre. Mais c’était sans compter la puissance des démons… Je les ai sous-estimé, je m’en rends compte maintenant, mais je ne peux plus revenir en arrière. Je dois trois autres archevêques et faire ce rituel ! Enfin… j’ai tant de choses à faire… Il faut aussi que je surveille ces… Adorateurs de Nayris. Ils m’inquiètent vraiment. Si ils arrivent à réaliser leur stupide prophétie (et ils en prennent le chemin) et que la déesse est libérée… Je n’ose même pas imaginer ce qui se passerait…

Enfin. Voilà tout ce dont je me souviens sur cette vie qui est la mienne et dont je ne me souviendrais probablement plus au fur et à mesure que le temps s’écoule. Je n’utilise presque plus la magie aujourd’hui. Je stock toute celle que je possède en vue de faire le rituel. Par contre je me suis remis à faire un peu d’alchimie. Je retourne à mes racines et cela me plait, même si les occasions de pratiquer sont rares. J’essayerai de tenir régulièrement à jour ce journal comme je l’avais fait à une époque. Même si je sais que, bien souvent, les journées se ressembleront mais au moins je pourrais, à la fin de mon existence, revoir plus précisément ce qu’a été ma vie.



Dans la réalité

Âge : Entre 7 et 77 ans !
Avez-vous déjà fréquenté d'autres forums, si oui lesquels ? Mystère et boule de vinaigre o/ (quoi ? ça se dit pas ?)
Vos passions : ... beaucoup trooooop !
Votre avis sur le forum? Sympathique ! Un lore bien travaillé et c'est pour cela que j'ai pris une IV ^^
Comment avez vous connu le forum? Un coupain de moi
Phrase fétiche : We are here to drink your beer !
Crédit avatar :

Alastair Zelphos

Alastair Zelphos


Humain


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Alastair, Grand Prêtre de Zelphos  Sand-g10Mer 18 Mar - 15:42
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Pouvoirs d'Alastair



Éclairs arcaniques

Du bout des doigts d'Alastair sortent des éclairs bleus très lumineux et fins qui se diffusent aléatoirement sur une largeur d'environ cinq mètres devant le mage, une haute de trois mètres et une longueur de dix mètres. Les éclairs sont plus traîtres que la véritable électricité. Ils brûlent au contact plus qu’électrocutent et enchaînent les flashs aveuglants, empêchant ainsi toute riposte. Cet enfer peut être maintenu durant vingt secondes montre en main. Il faudra ensuite le double de temps de repos à Zelphos. Il peut faire cela cinq fois par jour, il doit ensuite attendre huit heures car cela épuise sa réserve de magie qu'il conserve précieusement pour la faille. Il doit concentré tous les éclairs sur un seul point pour neutraliser quelqu'un. Si il est exposé plus de dix secondes d'affilés, il est en voie de paralysie c'est à dire qu'il aura de plus en plus de mal à se mouvoir au fil du temps et au bout de trente secondes d'exposition, il est mort. Zelphos peut concentrer la multitude d'éclairs en un seul sur un point précis et sur une longueur supérieur, environ quinze mètres. L'éclair paralysera donc la cible pendant trois secondes et causera une immense douleur mais ne dure qu'un fraction de seconde.


Flèche arcanique

Zelphos ne peut faire cette attaque qu'une fois par jour. C'est une flèche longue d'à peu près trois mètres qu'il peut lancer sur une longueur de cinquante mètres et à une vitesse frôlant la centaine de km/h. Être touché de plein fouet par cette flèche tue un humain normalement constitué et non protégé par une armure ou autre. Sinon ce sera uniquement l'objet touché qui se prendra les dégâts. (Enfin la personne derrière peut indirectement s'en prendre, par exemple, si son bouclier explose en milliers de morceaux)


Bouclier arcanique

C'est une sorte d'enveloppe d'énergie qui recouvre le corps d'Alastair comme un vêtement. Lorsqu'il exécute ce sort, son corps reflète la lumière comme le métal. Ce bouclier dévie tous les projectiles, qu'ils soient magiques ou non, excepté si leur masse est supérieur à celle de Zelphos ou si l'énergie qu'ils portent est trop puissante. (Exemple : un boulet de canon lancé à pleine vitesse transporte une énergie cinétique supérieure à l'énergie du bouclier d'Alastair. Il ne pourra donc pas le dévier) Si il souhaite pouvoir dévier des projectiles plus dangereux, il devra impérativement fournir lui-même l'énergie manquante. Sachant qu'il est très limité en énergie, l'objet le plus puissant qu'il peut faire dévier est un boulet de catapulte en fin de descente (donc n'ayant plus beaucoup d'énergie).



Runes d'Alastair

Les runes sont des dessins chargés de magie par leur conception et qui causent plusieurs effets. Elles sont utilisées pour un usage à retardement ou à long terme. Plus la rune est grande, plus elle est puissante mais elle sera moins discrète.


Rune explosive

Cette rune est complexe et demande du temps à être dessinée, mais lorsqu'elle l'est, tout objet qui entre en contact avec elle provoque une explosion magique qui s'étend sur un périmètre d'environ un mètre. Après, elle disparaît. Alastair ne peut faire que trois runes de la sorte à la fois.

Rune paralysante

Elle est relativement simple à tracée et paralyse tout être vivant qui la touche pendant une dizaine de secondes. Elle disparaît ensuite.

Rune de verrouillage

Rune qui permet à un objet d'être intouchable. La personne qui essayera de le toucher sera comme... repoussée. Ce sera très subtil au début, mais si elle tente d'utiliser la force elle sera projetée avec la même violence. Elle se maintient seulement 12h.

Rune de fer

Cette rune fonctionne en deux parties. Le premier dessin sert de « dalle ». Si quelqu'un marche dessus, ça active la seconde. Le second dessin tire tout simplement une flèche à une vitesse équivalente au tir d'un archer ordinaire. Tant que l'objet reste sur le premier dessin, le second continue de tirer au rythme de deux flèches en cinq secondes. La rune ne se maintient que 12h maximum.

Rune d'embrochement

Elle est obligatoirement très grande mais s'active avant le contact. Elle fait à peu près un mètre de diamètre et lorsque quelque chose passe à moins d'un mètre devant elle, une lance de taille équivalente jaillit d'elle. Alastair ne peut faire qu'une seule rune de ce type à la fois et elle ne se maintient qu'une heure.

Voici pour les runes qu'il utilise le plus fréquemment, je demanderais l'accès à d'autres runes dans les améliorations si j'en trouve qui seraient utiles.


Potions d'Alastair

Une potion médicinale universelle aux ingrédients rares qui traitent toute les maladies infectieuses graves et apaise fortement les symptômes des mortelles en augmentant l'espérance de vie de l'infecté. Cela ne concerne pas les maladies d'origines magiques.

Une potion de soin pour les plaies ouvertes. Soigne en quelques minutes les plaies ouvertes d'une taille inférieure à la largeur du tronc d'un humain et dont la largeur ne dépasse pas la poignée de centimètres. Cela ne concerne pas les lésions au cou, à la tête et les membres coupés. Cela referme juste un peu les dîtes lésions et accélère la formation du moignon.

Tous les types de poisons (que je demanderais dans le sujet approprié lorsque j'en aurais l'utilité)

Des potions qui augmentent les capacités physiques des humains comme la force, la rapidité, l'agilité etc... en contrepartie, cela cause des effets secondaires allant du mal de tête au coma. Sa plus puissante potion de ce type permet de ne plus ressentir la douleur pendant une dizaine de minutes. Mais le sujet sera ensuite paralysé environ une minute et chaque prise diminue l'espérance de vie et dégrade la santé.

Des potions magiques qui permettent de résister à certains éléments comme le feu, l’électricité ou le froid. C'est toujours pour une durée de dix minutes et après le sujet sera plus sensible à l'élément concerné pendant une trentaine de minutes. (c'est très relatif. Un humain normal aura, par exemple, beaucoup plus chaud en présence de feu ou bien verra sa peau brûler beaucoup plus vite au contact de la chaleur)




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