Terra Mystica

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 Mensonge noir et Mensonge blanc

 
Mensonge noir et Mensonge blanc Sand-g10Dim 4 Aoû - 8:56
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Spoiler:


Nous revenions d'une bataille menée bravement bien que navrante. Les termes exacts ou les circonstances n'apportaient que peu d'intérêt, seules comptaient les conséquences de ce qui s'y déroula. Daryus était le commandant des Épéistes légers et mon subordonné. Son jeune frère, Volgoth, cadet de leur famille était un épéiste -léger- possédant une langue non moins fourchue que celle d'une hydre. Notre mission au but simpliste consistait à éradiquer un groupe de séparatistes démoniaque ayant élu domicile aux abords de la foret de Drayame, menaçant par là même le fébrile protectorat dont jouissaient les elfes et l'accord tacite entre les deux nations. Si nous avions agi ne serait-ce qu'une lune plus tard, les harcèlements constants des félons risqueraient fort de pousser ces fumistes engagés à prendre position, et bien évidemment, en notre défaveur.

En tant que Général de l'armée terrestre, un tel déraillement n'était pas envisageable, d'autant plus que l'on ne blâmerait personne d'autre que moi, Moi ! Oh non je ne permettrai point que l'on jette le discrédit sur mon nom, ni aujourd'hui, ni demain, jamais !
Nous avions peu d'informations sur lesdits déviants, juste l'emplacement de leur campement et leur inédite technique de domptage des ours sanguinaires. Bon, ne tournons pas autour du pot plus longtemps, la stratégie offensive élaborée ne valait guère plus qu'un torchon de suie. Cents guerriers contre ce que les éclaireurs estimaient à une soixantaine de renégats sentait le tout cuit. Mais c'était sans compter sur leurs colosses apprivoisés qui en plus de doubler leurs effectifs, apportaient un gain de puissance, ma foi, non-négligeable.
Ce qui s'avéra salutaire pour mes soldats, ou tout du moins les trois quarts...enfin quelques uns de mes soldats, fut l'initiative inspirée d’encercler le champ de bataille par de nombreux archers. Je serais tenté d'appeler cela un trait de djinn, mais je ne le dirai pas, car même si l'idée était de bon aloi, le méli-mélo engendré eut vite effet de déstabiliser la visée des tireurs, lesquels eurent tout le temps de faire valoir leurs qualités une fois la majorité des combattants tombés. Rien de très glorieux au final, mais c'était ma première mission sous le couvre-chef de Général. J'osais impétueusement croire, que l'on me pardonnerait cette étourderie.

Parmi les pertes à déplorer, seulement une se frayait un chemin dans la mémoire collective, exceptée la mienne, Volgoth. Oh il n'avait rien de particulier ce gars là, mis à part le fait qu'il fusse le petit frère du commandant. Sa mort n'avait rien d’exceptionnel, bien au contraire, il avait jugé bon de se trouver sur la trajectoire d'une flèche afin d'éviter à Daryus un épilogue misérable. Le sacrifice, c'était si...humain. Durant l'escarmouche, alors que les épées cliquetaient à la rencontre des griffes, je le revoyais avec sa collerette de sang. Le pauvre avait du mal à respirer, et je le comprenais tout à fait, même si la vue de l'empennage sortant de son cou lui donnait un côté fantaisiste qui ne tarda pas à m'arracher un gloussement. Que ressentions-nous lorsque notre âme était aspirée dans les limbes, à quoi pouvions-nous bien penser ? Étions-nous peinés, assistions-nous impuissants au défilement de notre existence passée ? Si tel était le cas, je suppose que pour les êtres intemporels il faudrait revivre pour mourir.  

Quoi qu'il en fût, je croisai brièvement le regard d'un commandant détruit. En laissant de côté le mélodrame, je reconnaissais là une expression reine de Zelphos et princesse de Terra : La vengeance. Typique d'un démon bâtard né d'une invasion par procréation. Dans ce monde, les créatures trouvaient toujours un fautif, une infortune liée au destin ou encore des faits malencontreux sujets à la fatalité. Tous des pleutres, incapables de comprendre qu'ils ne devaient la responsabilité des conséquences qu'à leur velléité.
Bref, comme je disais, Daryus me désignait de ses yeux injectés de sang coupable, et dans un sens, je l'étais. Affecté ? Non. Averti ? Oui. Si sa propre force ne m'effrayait pas le moins du monde, la dangerosité de qu'il pouvait provoquer me rendit suspicieux. Aussi me permis-je dès notre retour dans la somptueuse capitale, d'envoyer quelques élites quérir une racine de mandragore. Ardue à dénicher, elle serait néanmoins une pièce maîtresse dans la réalisation de mon plan pour asseoir définitivement mon autorité. Autorité que beaucoup se mirent à remettre en question. Je suspectais conjecturalement l'endeuillé commandant de ne pas être étranger à la chose.

Nous étions en plein Telniss, l'étoile du pragmatisme brillait au-dessus de nos têtes et la cité impériale resplendissait de mille feux. Enfouis dans les catacombes, il était difficile pour mes commandants et moi-même de discuter stratégie, absorbés dans la pénombre que nous étions, alors qu'à l'extérieur toute forme de vie bourgeonnait. Personnellement, j'adorais cette ambiance, l'odeur fétide qui y régnait, l'obscurité entrecoupée par la danse des bougies, oui que c'était enivrant ! Mes sept généraux tendait docilement l'oreille quant à ma suggestion.

"A bien y regarder, elle est pas si imprenable que ça cette forteresse des glaces ?! Il nous suffit juste de concentrer le gros de nos troupes sur la herse, de l'emboutir et le tour est joué ! Avant même que l'ennemi s'en rende compte, on sera déjà entrain de dîner sur son cadavre.

Bon, je suis conscient qu'on risque de perdre, au bas mot, la moitié de nos effectifs, maiiiis le bonheur nécessite quelques sacrifices non ?"


Apparemment non. Ils se lancèrent tous des regards désapprobateurs, certes, mais qu'importait, je profitai de cet instant pour analyser la moindre de leur mimique. Et ils en avaient de belles bouilles mes hiérarchisés ; en les scrutant avec attention je leur trouvai de la stupéfaction comme sentiment commun, en grattant un peu plus le vernis de leur carapace émotionnelle, je pus en déduire qu'ils éprouvaient surtout de la crainte. A ne pas s'y méprendre, ils ne craignaient pas le déluré que j'étais, grand diable non, il y en avait plein les cimetières des comme moi. Seulement, de part mon statut, ils craignaient ce que j'étais capable d'accomplir, et ceci me convenait parfaitement. Qu'on se le dise clairement, chez les démons, la confiance en l'être n'existait pas. Par contre, la confiance des capacités d'autrui était plus que tangible.
Mon ancien "précepteur", Maki'aveel, m'avait un jour inculqué : "Si l'on doit se passer de l'un d'eux, il est plus sûr d'être craint, qu'aimé." D'après lui, le véritable défi résidait dans la limite de la peur que l'on inspirait, éviter au possible de ne pas être haï. Pour autant, ma remarque farfelue n'était destinée qu'à un seul de mes congénères et ce dernier afficha une mine haineuse comme on n'en faisait plus. Darys se dressa en moins de temps qu'il ne fallut à son faudesteuil pour toucher le sol.

"Par Zelphos ! Avez-vous donc si peu de considération pour vos hommes que vous les envoyez à la guerre comme on enverrait un troupeau à l'abattoir ?"

"Assis."

"Comment osez-vous ?!"

"J'ose, petite vermine, parce que j'en ai le pouvoir ! J'ose parce que je suis le Général, et je n'hésiterai pas à me pencher sur ta dépouille pour me nourrir de tes abats si Toi, tu oses encore montrer de l'insubordination. Reste à ta place !"

Voilà qui lui clouerait le bec assez longtemps pour me permettre d'affiner la bonne marche des événements à venir. D'ordinaire, je me serais déjà chargé de son cas, s'il n'avait pas son propre rôle à jouer...
les autres démons présents ne surent guère où se mettre dès lors que j'avais élevé la voix. Inconsciemment, ma vocifération eut un impact identique concernant le comportement qu'ils se devaient d'adopter. La réunion se termina dans une ambiance pensante.

Les jours passèrent, chacun apportant son lot de dégradation. Les salutations naguère vives se mutaient en de vulgaires marques de respect sarcastiques, là où je passais les conversations se taisaient pour laisser place à de vindicatives accusations oculaires. Les voilà enfin, ces signes avant-coureurs que j'attendais. Peu à peu, je pressentais que quelque chose se ourdissait, quelque chose qui faute de réaction prendrait des proportions ingérables, un abcès qu'il me fallait littéralement crever.

Mon intendante, Reazia, s'invita un matin dans mes appartements accompagnée d'une délicieuse trouvaille.

"Mon général, voici ce que vous avez mandé auprès des conquérants. Deux d'entre eux y ont perdu la vie."

"De bons soldats. Leur mort ne sera pas vaine, veille également à ce que les autres soient dûment récompensés."

"Déjà fait mon général !"

"Excellent ! dis-je en me frottant les mains, Maintenant, suis-moi."

Nous nous rendîmes au laboratoire du Grand Herboriste. L'homme de léans, bien que rabougri, ne pouvait être comparé à la singularité de sa demeure. Elle contenait plus d'étrangetés que ne pouvaient en garder un slither, et plus encore d'espèces végétales inconnues que ne pouvait en exposer le jardin botanique de sen'tsura.  
Vladd me reconnut sans que je n'eus à me présenter.

"Que me vaut l'honneur de votre visite, mon général ?"

"J'ai cru comprendre, Vladd, que tu étais un sang-mêlé aux multiples talents."

"Certes, certes, mais que..."

"...Et que tu avais mis au point un sérum capable de délier les langues."

"Je...oui mais...comment le savez-vous ?"

"Ha ! Ne sois pas si enfantin Vladd, l'opuscule des vérités, croulant sous un tas de poussière à la Grande Bibliothèque est vraiment passionnant !"

"Impressionnant, je ne vous percevais pas féru de lectures abandonnées au triste sort du temps."

"Je sais, illustrai-je d'un rictus éloquent, tout comme je sais qu'il ne te manque qu'un seul ingrédient, un de ceux que l'on ne cultive plus."

"Très juste, et..."

Je posai le coffret renfermant la racine de mandragore sur la table jonchée de babioles. Ses yeux s'illuminèrent à l'ouverture de ce dernier.

"Mille dragons ! Que va me coûter tout cela ? Kaho, votre prédécesseur s'est déjà joué de moi ainsi !"

"Rien. A part une totale coopération. Que le sérum de penthotal soit concocté dans les plus brefs délais !"

Dans ma famille, coopération rimait avec soumission. Pensez-vous qu'il l'eut compris de la sorte ? J'en avais que faire à vrai dire, qu'il fasse ce que je commande, et tout se passerait bien.
Première étape terminée, désormais se déroulerait la partie sensible de mon plan, suivez le guide.

Ma prochaine ruse m'accapara un cycle terrestre entier, de quoi éprouver rudement ma patience, mais le prix en valait la chandelle. Je connaissais les liens spéciaux que développaient un commandant et ses guerriers, après tout, à chaque affrontement la mort guettait nos pas en se léchant les babines, dissimulée derrière chaque coup d'épée. N'en déplaise à certains, il arrivait même que cela créait des liens, disons, un peu plus zélés.
Je choisissais donc la brebis galeuse de chaque division, lui glissant au creux d'une oreille l'information piégée.
Je commençai par les épéistes, commandés par le très soupçonné Daryus.

"On fait souvent fausse route d'aiguiser sa lame, si l'on ne fait pas de même avec son esprit. Ton imbécillité a fini d'exaspérer ton commandant, aussi veut-il te tuer dès ce soir. Je ne fais que te prévenir..."

Puis je passai aux phalanges.

"Quelle belle arme que la lance ! Si j'étais un commandant furieux après l'une de mes recrues, ce serait l'arme de prédilection pour l'assassiner. Tu ferais bien ne pas traîner dans les rues ce soir, à titre indicatif..."

Un petit tour chez les archers.

"Manquer sa cible aussi souvent que tu l'as fait force le commandant à s'interroger sur la démarche à suivre. De mon point de vue, je choisirais le meilleur archer pour te donner la meilleure des leçons qui soit. Une flèche en pleine tête, ça ne laisse pas le temps de réfléchir, crois-moi."

Et voilà ! j'avais ciblé ceux susceptibles de mener une mutinerie contre moi.
Dorénavant, il y avait trois débouchés possibles : Soit, le seul à aller se plaindre vers son supérieur serait celui qui pensait sa situation tranquille puisqu'au courant de l'insurrection en préparation, forçant le scélérat à se dévoiler.
Soit, deux oisillons seulement se plaignaient, ainsi deux commandants viendraient me demander de rendre des comptes, et le seul à ne pas se montrer serait forcément celui qui ne devait pas attirer l'attention, donc le coupable.
Soit, celui qui venait se plaindre m'apportait une version décalée de celle en rapport avec sa division, me permettant de mettre à jour le ou les instigateurs, d'où le besoin de se creuser les méninges à sortir trois versions différentes !

Que personne vienne râler relevait d'un pourcentage extrêmement faible.
La nuit tomba, Vladd avait à peine terminé de me refiler le petit flacon tant espéré que l'on frappait déjà à ma porte. Reazia, diligente comme à l'accoutumée s'empressa d'aller ouvrir. Borolis, le chef des archers se présenta à moi rouge de colère, et si j'étais fanatique des jeux de mots, je l'aurais dépeint comme possédé par le démon. Il devait être le premier d'une courte série, pensais-je, jusqu'au moment où il ouvrit la bouche pour meugler.

"Alors comme ça je suis du genre à éliminer les soldats qui ne démontrent aucun don intellectuel ! Si vous étiez un général digne de ce nom, vous sauriez qu'on leur demande avant tout d'utiliser leur épée ! Les erreurs commises sur le champ de bataille ne reviennent qu'à la tête du commandement !"

Avais-je bien entendu ? Si je reprenais mes prévisions, et à en juger par ces dires, ce cher Borolis était celui qui depuis le début, montait l'infanterie contre moi. En analysant bien la situation, c'était logique, lors du conflit ouvert contre les séparatistes, j'avais positionné maladroitement le corps des archers, au point de limiter radicalement leurs actions, les forçant même à commettre quelques actes fratricides. Par la suite, il s'était servi de la rancune de Daryus pour faire écran à ses manipulations...Fûté !

"Je t'attendais justement, je crois que nous allons avoir une longue entrevue !"

Sans tergiverser outre mesure, je lui sautai dessus et le rouai de coups jusqu'à ce qu'il perde connaissance, voire un peu plus avec les intérêts. Entre-temps, j'avais demandé à ma séduisante intendante de convoquer mes principaux commandants sur le parvis de la gigantesque cathédrale à l'aube, pour une ultime confrontation des genres. Nous pourrions lever le voile sur les dernières vicissitudes à l'écart du peuple, qui ne devait pas entrevoir la moindre faiblesse dans notre organisation militaire.
Avant cela, j'avais pris soin de mon invité, profitant du sérum afin de lui faire cracher le morceau, et des avérées propriétés hallucinogènes de la mandragore pour -agrémenter ses aveux d'une touche personnelle-.

Aube. Le soleil pointait le bout de son nez et commençait tout juste à clairsemer le ciel de sa lumière bienfaitrice. Je divague, effectivement. Il n'y avait rien de magnifique à voir cela, mais pour les humains, cet instant était source d'innombrables poésies. Allez savoir pourquoi...
Nous étions tous réunis dans cet espace privé, en plus des convoqués, une centaine de guerriers répondaient à l'appel, et si personne ne se jeta pour libérer l'affreux Borolis, on ne pouvait en vouloir qu'à ce sentiment paradoxal que nous ressentions tous face à un incident : La curiosité.
Que faisait le chef des archers attachés à un poteau de pin ? Pourquoi arborait-il autant d'ecchymoses ? Pourquoi étions-nous témoin de cela ?

"Mes chers frères ! Si je vous ai assemblés ici, c'est pour vous faire part de ma désolation. Voyez cet homme en face de vous, destitué de ses fonctions pour une raison bien précise ! Je sais que depuis des lunes il est responsable de l'antipathie générée à mon égard. D'aucuns m'ont préjugé de parvenu, d'arriviste, et je ne peux vous en blâmer. Tout le monde sait que l'homme est plus vil que n'importe quel démon ! Je ne désire qu'une seule chose, que vous laissiez la vérité éclater."

Je donnai un bon coup de poing sur la joue rosée de ce sous-être, ne voulant pas être impoli. Il était vrai qu'après une vivifiante nuit de torture, on avait du mal à parler distinctement.

"...Je...Je suis..J'ai, je vous ai trahis. Je suis...un...rebelle infiltré."

Petit haut-le-cœur provenant de la foule, surtout de ceux qui l'ont des années durant appelé mon Commandant.

"Ma...mission était de...déstabiliser la cohésion de...l'armée. Vous n'êtes que des monstres !"

Deuxième ampoule dans le crâne, l'essentiel avait été dit.

"Non, nous sommes l'avenir. J'ai fait mes classes avec vous, je comprends les attentes d'un général. Ai-je fauté ? Oui, je le reconnais. J'ai péché de ferveur, mais jamais je n'ai manqué de loyauté envers notre Roi, jamais je n'ai manqué de foi envers notre Dieu ! Vous voulez la victoire ? Vous désirez plus que tout écraser cette rébellion qui s'évertue à ronger notre patrie de l'intérieur ? Alors suivez-moi, et vous verrez que l'aube à venir sera teintée d'un rouge conquérant !"

Ils s’époumonèrent à scander la cause supérieure de notre guerre, la flamme qui tremblotait dans leur âme s'était transformée en brasier. Ce coup de poignard des rebelles ne faisait que renforcer notre détermination. Terra Mystica serait notre !

"Adressez vos doléances à qui de droit. En attendant, disposez de cette raclure."

Ils se ruèrent sur Borolis et pour rien au monde, je n'aurais échangé ma place avec la sienne. Reazia vint à mon niveau et questionna :

"Mon général, je ne comprends pas, comment susciter autant d'envie après avoir frôlé un soulèvement ?"

"Démagogie."

Balthazar Féral

Balthazar Féral


Démon

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