Terra Mystica

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 Etann

 
Etann Sand-g10Sam 8 Sep - 17:18
Etann Silven
Passionné pour les combats (avec armes), distant avec les autres, auto-dérision,
Information
Surnom
Âge : 20
Nationalité : Montagne
Profession : Forgeron ou soldat
Camp : Aile Tenebreuse
Noblesse : Aucun
Mort :
Pas pour le moment
Race
Humain
Caractère

Je suis plutôt sociable tant qu’on ne s’approche pas trop près de moi. Si vous savez gardez vos distances, J’accepterais volontiers de parler avec vous de tout et de rien sans vous connaitre. En revanche si je m’aperçoit que vous êtes du genre tactile, a faire des grosses claques dans le dos, à serrer la main de tout le monde, … je devient tout simplement associable, renfermé, désagréable. Non pas que je ne voudrait pas vous toucher, mais c’est un peu comme une façon d’oublier ma malédiction. D'y échapper.
Si vous arrivez à ne pas passer à travers moi, que vous avez un minimum le sens de l'humour, nous pourrions nous entendre. Mais ne comptez pas sur l'ami fidèle prêt a tout pour ses amis. A force d'être seul, on finit par ne plus avoir besoin des autres, où ne plus savoir dépendre des autres. Si vous êtes en danger, je vous aiderais mais n'y laisserais certainement pas ma vie. Si vous mourrez, dommage, c'est triste mais je trouverais quelqu'un d'autre à qui parler. Seul mon père meriterais que je me sacrifie (mais de toute façon ça lui ferais trop de peine et il ne voudrais pas, comme ça c'est regler).
Par contre si vous êtes quelqu'un d'arrogant, sans gène où désagréable, laissez tomber, je ne supporte pas ça. Même chose si vous êtes une femme, à moins de savoir vous battre.
Par habitude, je suis plutôt fidèle à AT, n’hésitant pas à tuer sans réfléchir quand les ordres viennent de son armée mais tout en tenant a garder une sorte d’indépendance. Pour cela je ne suis pas engagé a temps plein dans l'armé mais effectue plutôt des sortes de "missions", et me apporte un renfort quand les effectifs manquent.
Les combats reste le seul moment où je suis dans mon élément. Sentir le choc des lames, pouvoir avoir une action sur les autres, le repousser avec une arme, se battre jusqu’à ce que l'on connaisse si bien notre adversaire que l'on peut prévoir ses réactions, ses attaques, ses parades. Contrôler son corps. Et puis il y a aussi l'aspect dangereux, quand les lames effilées passe près de mon cou, qu'elles font couler mon sang, ... C'est dans ces moments là que je me sens le plus en vie, que j'arrive à croire que mon corps n'a rien d’étrange, qu'il existe bel et bien.

Physique
N’allez pas croire que monsieur est transparent ou flou ! Qu’il soit ou non en train d’être transpercé par quelqu’un, il garde une apparence complètement humaine. Bon, un humain un peu grand certes, dépassant le mètre 80 sans difficultés. Bien musclé, la peau tannée par le soleil, bien proportionné, il met un point d’honneur à entrenir sa forme physique (en même temps il n’a que ça a faire !). Bref, sinon c’est aussi un visage aux traits fins et expressif, au regard très foncé, et aux cheveux noir. Pas d'arme de prédilection auquel on donne un nom, pas de tatouages, des cicatrices sans grandes importances, pas de bijoux fétiche.
Capacités
Armes : Epée, arc, poignard
Pouvoirs : Immaterialité
Familier :
Artefact :
Autre : PRECISION SUR LE POUVOIR
Je ne connais pas de mot qui décrive précisément ce pouvoir. C’est une sorte d’immatérialité.
Pour être très pointilleux, je dirais qu'il peut éviter le contact avec tout ce qui est animal ou humain (ainsi que les vêtements ou harnachements portés). De façon naturelle, cette capacité est toujours « activé » mais il peut (mais il ne le sait pas encore) la « désactiver » sauf quand il se sent agressé (pour éviter qu’il ne joue trop avec ça pendant le combat). Pour tout ce qui est démon immatériel, monstres de fer, ... Je leur laisse le loisir de décider si ils sont concerné.
Histoire

Histoire Rire, pleurs, jeux, cris, courses, blessures, joie, insouciance, … J’ai grandit comme tout enfant normal, favorisé par la réussite de mon père, forgeron de qualité.
Comme tous les enfants normaux, je rêvais de devenir comme lui et le regardait avec envie former le fer par la simple volonté de l’esprit. Sans être un saint, mon père était un homme bon, qui aurait pu se servir de son pouvoir sur les métaux pour partir guerroyer dans les contrées de Terra, mais qui fit le choix de rester. Pour moi. A l’inverse, ma mère était partie quelques mois après ma naissance, conquise par un chevalier a l’amure brillante, a l’allure fier et au cœur volage.
Un enfant normal donc, dont les yeux brillent devant la force des adultes et pétillent à la pensée de son avenir. Mais dans toutes les histoires il y a un jour, une rencontre, un évènement, un changement qui renverse les plans sur la comète, écrase les rêves, et tue cette naïveté insolente de l’enfance.
Je n’ai pas eu à attendre longtemps ce « mais » maudit. J’avais 6 ans et, une fois de plus, j’observais mon père réparer une charrue de labour, émerveillé. Le fer devint malléable, se tordit, pris la forme voulut sans que le forgeron ne le touche. Seul son regard permettait de le reconnaitre comme auteur de la transformation qui se déroulait. Quand mon père se releva, les yeux fatigués mais le visage souriant j’applaudis.
- Dit papa, je pourrais faire comme toi un jour ? Tu m’apprendras ?
Il me sourit, amusé.
- Ne me dit pas que tu veux devenir forgeron ? Ne rêve tu pas de jolie princesse et de combats courageux.
J’haussais les épaules, incapable de comprendre le monde qui séparais ces deux vies, et allais insister pour apprendre le métier quand on entendit des cris dans la rue. « Le seigneur, le seigneur rentre de la chasse ! » Entendait-ton.
Il ne m’en fallut pas plus pour remettre à plus tard la discussion sérieuse que je tenais à avoir avec mon père. Je bondis hors de l’établi et me fondit dans la foule.
Les chevaliers étaient là, leur montures pleine de sueur frappaient du sabot sur les pavés de la place, les serviteurs accouraient pour emmener le gibier au château. Les dames accouraient, l’air sévère donnant toutes leur avis sur « la saleté des vêtements », « la mauvaise conduite des chiens », « la curiosité sans gêne de la basse-cour », … La basse-cour, c’était nous, et ça nous était bien égal. En tout cas, à 6 ans, je m’en moquais complètement.
- Eh ! Pssst, viens !
Je me retournais. Liter. Il avait deux ans de plus que moi, mais nous nous étions mutuellement déclaré meilleurs amis après avoir réussi à faire sauter un garde du château dans la mare de boue qui s’étalait derrière sa maison. Je le rejoignis rapidement, me frayant un passage dans la foule tant bien que mal.
- Devine qui est venu voir son père renter de la chasse ?
- La princesse ?
- Gagné !

La princesse en question n’était que la fille du seigneur, mais nous l’avions pris pour cible de mille compliments qui l’embarrassait pour notre plus grand plaisir. Personne ne pouvait nous punir de lui avoir déclaré tantôt « un amour ardent », tantôt qu’elle était « la plus belle fille du royaume », ou encore que « nos vies sans elle ne serait qu’une nuit sans lune ». Liter avait beaucoup d’imagination et mon rôle s’arrêtait souvent à pouffer de rire derrière lui, mais que voulez-vous, tout le monde ne peut pas être poète à 6 ans ! Tout ce cinéma n’aurais pas duré longtemps si les réactions de la « princesse » n’avait pas été aussi amusantes. Elle commençait par nous traiter de tous les noms, exiger du respect. Puis elle se mettait à taper du pied, se tirer les cheveux, et fermer les yeux. Enfin, et c’était là tout l’intérêt du jeu, elle ordonnait à un garde de nous attraper.
Et nous partions pour des heures de courses poursuite dans les ruelles de la ville que nous connaissions si bien. Il nous arrivait de nous faire attraper, mais personne ne trouvait d’excuses valables pour nous faire punir et nous étions relâchés rapidement, au pire avec un coup de pied sur le derrière.
Ravi, je m’empressais donc de suivre Liver jusqu’à la jeune fille qui, n’ayant pas le droit de s’approcher des chevaux, attendait patiemment son père sur les marches du château. Liver mit un doigt sur sa bouche pour me faire taire, contourna la jeune fille par derrière et vint lui murmurer à l’oreille
- Jolie dame, est-ce un spectacle pour un si doux cœur ?
Elle poussa un cri de surprise qui devint rapidement une exclamation de colère
- Non mais ça ne va pas dans ta tête le gueux ? Je te rappelle que ….
Liver la regarda déballer la phase « insultes et menaces » avec un grand sourire. Je ne pus me retenir et éclatait de rire, ce qui eut pour effet de la faire passer en mode « folle cherchant à exprimer quelque chose ». Quand elle eut finit, elle s’écria ;
- Otino ! Attraper moi ces deux mendiants !
Otino, nous le connaissions bien, c’était le garde attitré de la petite folle. Il soupira, nous jeta un regard désespéré et répondit sagement
- Oui, toute de suite Mademoiselle !
Ce fut le signal du départ. Liver attrapa ma main et nous détalâmes dans la première ruelle vide trouvée. Le pauvre homme n’était pas en forme, et après l’avoir promené dans toute la périphérie de la ville, nous avions décidé de le ramener vers le centre. La fatigue commençait à se faire sentir pour moi et je pris du retard sur mon ami. Quelques mètres. Quelques mètres que je regretterais éternellement.
Je le vis traverser la rue principale et puisa dans mes réserves pour le rejoindre. Quand je débouche sur la chaussé de l’avenue, je pile net. Trop tard. Tout se passa très vite. Un des amis du seigneur venu pour la chasse rentre chez lui. Pressé, il dévalait la rue au galop. Et je me sentis comme un petit lapin face à un dragon. Très petit. Conscient que je n’aurais pas le temps de m’écarter (ou trop apeuré pour bouger), je restais immobile, la bouche ouverte. Tout d’un coup, le cheval me traversa, comme si je n’étais qu’un nuage.
Choc. Terrifiant. Oubliant Liver et Otino, je courus à la forge, les yeux pleins de larmes. Soulagé et inquiet à la fois. Soulagé d'être en vie et inquiet... d'être en vie.
Mon père était là, parlant tranquillement avec un de ses amis.
- Papa, papa ! Criais-je des que je pus le voir.
- Eh, mon grand, qu’est ce qui t’arrive ?
Il me tendit les bras et je courus m’y refugier. Je voulus m’y refugier. Mais a nouveau, mon corps devient nuage et je traversais mon père et me cogna la tête contre le mur derrière lui.
Choc. Peut être pire que la mort.
- Papa, papa, j’ai peur.

Je ne sais plus ce que fit mon père, les paroles qu’il me dit, le regard qu’il eut. Je sais que, au debut, rien ne changea. Le jour passa, et les habitudes ont repris. Je partais jouer dans la boue avec les autres enfants, grimper sur les arbres avec Liver, chanté sous les fenêtres de la Princesse, … tous les matins. Comme d’habitude. Et mon père me regardait partir le regard drôle. Comme d’habitude. Mais sans m’ébouriffer les cheveux, sans me taper l’épaule comme un grand. Et Liver ne jouait plus à me pousser dans les douves. Et Otino n’essayait plus de m’attraper. Et je n’arrivais plus à caresser les chiens.

Ma vie ne changea pas radicalement après ce jour-là. Mais le poison coulait dans mes veines, lentement mais surement. Au fil des années, l’absence de contact avec des êtres vivants, pensants, de chair et d’os me détruit de l’intérieur. Je rêvais de pouvoir ne serait-ce que toucher la main abimée de mon père, a défaut de pouvoir me blottir contre lui.
Quand j’eus 10 ans, il trouva un poste mieux payé dans une autre ville. J’étais heureux de quitter cette ville où j’avais trop de souvenirs agréables que le présent s’évertuait à me faire regretter.

Mais ma nouvelle vie ne fut pas celle que j’espérais. Si avant on me tolérait ainsi pour m’avoir connu normal, ici pas de pitié. Rapidement, mon père m’expliqua que si je ne voulais pas d’ennuis, je ne devais surtout pas leur montrer ma particularité. Sauf qu’il est inévitable pour un garçon de 10 de toucher quelqu’un. Les poignées de mains avec les autres enfants, pour faire comme les grands, furent les premières à me trahir. Et puis il y eut les combats corps à corps. Les frappes amicales dans le dos. En une semaine, les regards devinrent méfiants.

Ce fut encore une fois mon père qui vint à mon secours. 5 ans plus tard. Il arriva un matin que je broyais du noir dans un coin, un sourire aux lèvres.
- Qu’est-ce qu’il y a de si drôle ? Lui demandais-je, agressif.
- Pas drôle, mais je me sens … inspiré !
Il me tendit une épée de petite taille.
- Prend-la !
Méfiant, je pris l’arme dans ma main. La poignée était encore chaude d’avoir été tenue par mon père. Il s’accroupit à ma hauteur et ses yeux marron se fixèrent sur les miens.
- Écoute-moi bien fils. Je ne vais pas m’apitoyer sur ton sort, je vais ne pas te plaindre. Ne compte pas sur moi pour ça. Mais par contre, je vais te montrer un autre pouvoir que tu as.
Je fronçais les sourcils, interloqué. Il ne répondit rien mais essaya de me prendre dans ses bras, sans succès. J’allais m’énerver, lui dire que j’étais au courant de ce « pouvoir » quand il reprit la parole.
- Tu ne peux pas revoir de l’affection, et tu ne peux pas en donner non plus. Pas physiquement. Tu ne pourras jamais embrasser une femme et bercer tes enfants.
Je ne comprenais pas où il voulait en venir, pourquoi enfoncer le couteau dans la plaie. Mais son père leva alors la main et lui envoya son poing serré en pleine face. Sans succès, il y eut un choc, mais se fut celui de sa main sur le mur auquel j’étais adossé. Je soupirais.
- Ce n’est pas un echec fils. C’est ton deuxième pouvoir ! Tu n’imagines pas la portée de ta capacité. Ta vie n’appartient qu’à toi, je ne te forcerais à rien. Mais si tu veux un conseil, apprend à te battre.
Je lui envoyais un même coup dans le visage.
- Je ne peux pas Papa ! Je ne peux pas en recevoir mais je ne peux pas en donner ! C’est si difficile à comprendre ?
Il attrapa un marteau accroché à sa ceinture, le regarda fixement puis, sans prévenir, me donne un coup sur l’épaule. Douleur.
- Voilà pourquoi je te donne une épée. Tu peux être blessé par elle, mais tu peux aussi blesser avec ! Il eut un sourire et ajouta. C’est si difficile à comprendre?

Le lendemain, ma décision était prise. Pendant un mois, je entrainais avec mon père. Plus, toujours plus. Quand il travaillait, j’utilisais mon temps libre à me muscler, à gagner en endurance, … Les heures que j’y consacrais ne comptaient pas pour moi, je n’aurais rien pu faire d’autre. Pas d’amis, de compagnons, pas d’animal de compagnie, …. Et puis, il me fallut plus que les connaissances rudimentaires de mon père et je me mis à chercher quelqu’un de compétant. Ce ne fut pas simple, tous connaissaient le « jeune fantôme » et rares étaient ceux qui acceptaient de mettre leur réputation en péril en m’entrainant.
Finalement, ce fut un ami de mon père, ancien soldat qui accepta de m’aider. Quand j’eus 16 ans, ne tenant plus en place, je décidais de partir. Avancer seul, apprendre par moi-même. Grandir.
Sans sortir des Montagnes, je parcourus de longues routes à la recherche d’expériences, travaillant comme apprenti dans les forges, je restais parfois deux mois auprès d’un maitre d’arme avant de repartir. Finalement, ce fut auprès de l’armée de l’Aile ténébreuse que je trouvais les meilleurs mentors, mais surtout les plus indifférents à mon pouvoir. Avec tous les démons, vampire et autre sorcellerie qui hantait leur rang, je ne pesais pas lourd dans la balance !
Quand, l’année de mes dix-huit ans, je rentrais voir mon père, j’étais capable de me débrouiller dans de nombreuses situations sans problème, et surtout je savais parfaitement exploiter mon pouvoir pour surprendre mes adversaires les plus expérimenté. Ceux qui avait l’habitude t’attraper les bras de leur ennemi pour les maintenir en place, ceux qui leur agrippait les cheveux avant de leur couper la tête, … tout ceux-là se retrouvais déstabilisés.
Sans être le guerrier parfait, Dieu merci, j’étais surtout un passionné. Dans les combats je trouvais le seul contact humain possible, les épées remplaçaient les bras, les boucliers devenaient des torses, les lames étaient des mains douces et agiles. Maigre compensation quand je voyais tous les gestes du quotidien qui liaient les autres hommes entre eux, à leur femme et à leurs enfants. Gestes que seuls mes rêves m’autorisait à faire.
Au cours de mes voyages, j’ai pu rencontrer un allié inespéré dans mon combat contre la solitude. L’humour. Pas toujours efficace sur les autres, il me permit de me redonner du courage quand je voulais tout abondonner. Tout.
Finalement, pendant des missions que j’effectuais pour l’armée de l’Aile je compris la deuxième force de mon pouvoir. Par mon isolement social, j’étais plus endurcit, capable de dénoncer un rebelle père de famille, capable de risquer ma vie sans craindre de laisser veuve et orphelins derrière moi. Tout en sachant pertinemment que mon père désapprouvait mon engagement pour cette armée je m’y plaisait, cherchant a m’endurcir toujours plus pour ne jamais plus avoir de regrets de ne pas avoir une vie normale. Si les dieux m’en avaient privé, peut être que mon destin se déployait ailleurs.
Deux s'écoulèrent alors pendant lesquels je finit de devenir celui que je suis et revenant vers les autres. Pas de meilleur ami complice, de jeune dame au coeur brûlant, de groupe d'amis soudé, ... Juste le nécessaire pour se tenir au courant de la vie normal, de la progression de l'influence de l'Aile, des dernières rumeurs, des commerages de rues, ... Le minimum pour me permettre de rencontrer des gens pour parler de tout et de rien, sans devenir trop intime, mais pour avoir des repères, et rester humain.

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