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 Azaghâl N. Radagast

 
Azaghâl N. Radagast Sand-g10Mer 7 Déc - 10:08
Fiche des races inventés

→ Généralité

Azaghâl N. Radagast 625594firstsnowbyIvanSuta
Azaghâl Nakar Radagast

Surnoms : Carcharoth, que l’on peut traduire par « Les Mâchoires Sanglantes »
Âge et date de naissance : 25 ans, né le 11 Raël de l’an 87
Nationalité : Glace, natif de la Toundra
Situation: Vagabond
Poste vacant désiré : Général de Selian (à confirmer par examen RP, si je ne m'abuse)
Profession : Chasseur de Démons, comme tout les Clamerians. Il se fait parfois payer pour débarrasser les villages d’animaux dangereux qui y rôdent. Il est également le chef de son clan. N’imaginez pas une armée de gros toutous féroces, il n’y a pas plus d’une vingtaine de guerriers. Rien de bien inquiétant, somme toute.
Pour qui êtes vous : Dans la mesure où il traque les Démons, on serait tenté de dire qu’il est du côté de la Rébellion. Cependant, il n’y est rattaché d’aucune façon que ce soit. Aussi est-il plus simple de considérer que sa loyauté va à sa terre, les terres de Glace.
J’accepte d’être la cible d’un contrat assassina quelconque : Oui, bien évidemment.




→ Descriptions

Description de la race

Clamerian ; Les Guerriers Canins

♦ Il y a de cela très longtemps, une petite tribu vivait au cœur de la Toundra, dans la nation de la Glace. Ils n’étaient que de simples Humains, et pourtant ils s’étaient adaptés de façon assez impressionnante au climat particulièrement rude qui règne sur ces contrées. Leur vie était simple, et leurs mœurs tranquilles. Ce peuple vivait de ce que voulait bien lui accorder la Nature, et la chasse était la seule forme de violence qu’ils pratiquaient.
Leur existence était certes difficile, mais ils veillaient les uns sur les autres, la solidarité était la valeur qui leur tenait le plus à cœur.
Malheureusement, les choses tournèrent mal. Un jour, un groupe de mages noirs attaqua le camp de cette paisible tribu. Presque tous périrent, exceptés quelques chanceux qui avaient pu s’éclipser sans se faire remarquer. Gelés et affamés, les quelques hommes et femmes qui avaient survécu se réfugièrent dans la prière, invoquant l’aide et la protection de Clamerion, le dieu Chien. Aussi étonnant que cela puisse paraître, la divinité entendit leurs suppliques et se manifesta à eux sous la forme d’un grand chien de traîneau à l’abondante fourrure rousse et blanche. Le dieu leur proposa un marché. S’ils acceptaient d’abandonner leur humanité, il leur accorderait le pouvoir de se venger des êtres qui les avaient presque entièrement exterminés. En vérité, ces Humains -désespérés et poussés dans leur dernier retranchement- n’hésitèrent pas bien longtemps. Une fois l’accord conclut, Clamerion disparût, laissant derrière lui ses fidèles.
De prime abord, ceux-ci crurent que le dieu leur avait menti. En effet, ils ne se sentaient pas vraiment différents, ni vraiment plus forts. C’est donc profondément déçus et avec le sentiment d’avoir été trahis qu’ils s’endormirent les uns contre les autres, afin de se tenir chaud malgré le blizzard qui soufflait avec violence. Cependant… Ils se réveillèrent en plein milieu de la nuit, en proie à une horrible douleur. C’était comme si leur corps brûlait de l’intérieur, comme si leurs os fondaient et leurs muscles se développaient brutalement. Après plusieurs heures de souffrance, ils purent enfin reprendre leurs esprits… Et c’est avec une immense surprise qu’ils constatèrent leur métamorphose. Ils n’étaient plus des Humains, mais de grands chiens des neiges, plus massifs et puissants que des canidés normaux. Des instincts qu’ils n’avaient pas auparavant s’étaient éveillés en eux. Des instincts de chasse, de traque et… Une soif de combats qui paraissait insatiable. Forts de toutes ces nouveautés, ils se lancèrent sur les traces des sorciers qui avaient causé la perte des leurs. Trop surpris ou trop faibles pour répliquer, ils se firent massacrer. Depuis, les Clamerians sont devenus des experts dans l’art de traquer et tuer les êtres démoniaques, ainsi que de féroces combattants.
C’est ainsi que les Clamerians se transmettent l’histoire de leur venu au monde depuis des générations, cependant eux-mêmes émettent quelques doutes sur la véracité de cette version des faits, qu’ils considèrent plus comme une légende à raconter à leurs enfants pour les endormir que comme une vérité historique.

♦ D’un point de vue physique, les Clamerians ont deux apparences, ce qu’ils doivent à la dualité de leur sang.
La première est humaine, à première vue. Ils sont grands et bien bâtis, avec une certaine endurance et une grande agilité. Etant originaires de la Toundra, même sous cette forme-là ils supportent des températures particulièrement froides. Les couleurs de leurs yeux et de leurs cheveux sont souvent assez particulières, bien qu’elles puissent être normales.
La seconde est celle d’un chien. Ils mesurent un mètre vingt à un mètre trente au garrot. Plus massifs, trapus et hauts sur pattes que des loups, ils ont la tête plus large, ce qui rend leurs mâchoires plus puissantes que celles des canidés normaux. Leurs fourrures sont épaisses et les isolent parfaitement du froid glacial et mordant de la Toundra.

♦ Psychologiquement, ce clan est de nature noble et fière, qui ont une grande spiritualité. Ils respectent beaucoup la Nature de façon générale, et leurs divinités, Clamerion et les deux déesses chouettes, Welgaïa et Aweliss. C’est pourquoi ils n’aiment pas beaucoup se mêler aux autres peuples, et encore moins se balader dans une grande ville. Grâce à leur moitié animale, ils perçoivent à la perfection les auras, ce qui les rend difficiles à duper.
D’un naturel sociable, ils forment un clan soudé –bien que largement minoritaire- dirigé par un chef (qu’on peut appeler alpha) qui est conseillé la plupart du temps par une chamane.
Loyaux, les Clamerians font de féroces combattants qui naissent et vivent dans le seul but de livrer bataille. Leur grand sens de l’honneur les fera périr au combat plutôt qu’abandonner. Ils sont férocement territorialistes.

♦ Côté espérance de vie, ils grandissent et vivent comme des Humains, exception faite qu’ils atteignent parfois cent cinquante ans. Avec leur tendance belliqueuse, ils y arrivent rarement.

♦ Les Clamerians s’entendent plutôt bien avec les Elfes et les créatures possédant un lien fort avec la Nature.
En revanche, ils haïssent les Démons et autres êtres maléfiques, qu’ils chassent quitte à y laisser leur vie. De plus, les Lycans et Loup-garou haïssent les Clamerians (ce qui est logique lorsqu’on sait que les loups détestent les chiens).
Leurs relations avec les autres races de Terra sont neutres.

♦ Reproduction : Un Clamerian peut se reproduire avec un Elfe ou un Humain. Et avec un autre Clamerian, bien évidemment.

Description psychologique
(10 lignes minimum)


Az’ est un être complexe, qu’il est loin d’être aisé à comprendre. Ses réactions sont imprévisibles, ce qui le rend difficile à cerner, aussi bien pour ses amis que pour ses adversaires.

Dans un premier temps, il faut savoir que bien qu’étant un redoutable combattant –fait sur lequel je reviendrai plus tard- ce jeune homme est de nature enjouée, patiente et réfléchie. C’est bien simple, il adore jouer des tours aux autres. Je vous conseille d’ailleurs de surveiller vos arrières en sa présence, si vous souhaitez éviter de vous prendre un gros toutou à la langue baveuse sur le dos. Ses plaisanteries ne sont jamais méchantes, cependant, et il évitera de vous faire du mal. Enfin, s’il vous apprécie. Dans le cas contraire, il pourrait devenir mauvais. Son sens de l’humour a des limites, il n’aime pas qu’on se moque de lui ou qu’on trouve le moyen de retourner contre lui l’une de ses farces.
De ce petit passe-temps est né l’un des traits de son caractère le plus marqué. A savoir, l’insolence. Azaghâl n’aime pas qu’on lui donne des ordres. Quoique, pour être tout à fait exact, il faut préciser que son amour-propre de dominant ne tolère que rarement d’avoir quelqu’un au dessus de lui. Les seules personnes qu’il pourrait considérer comme lui étant supérieures sont celles capables de le surpasser dans l’art du combat, mais aussi de faire preuve d’une certaine intelligence. Car oui, il ne supporte pas les brutes épaisses qui se contentent de foncer bêtement dans le tas. Pour lui c’est une preuve de stupidité flagrante et cela n’amène jamais rien de bon. Après tout, quoi de mieux qu’un plan mûrement réfléchi ? Bon, il lui arrive d’être impulsif, il ne peut pas le nier. Mais cela reste rare !
Très curieux, il adore farfouiller un peu partout, au risque de mettre sa truffe là où il n’aurait pas dû… Ce qui est arrivé plus d’une fois, d’ailleurs ! Remarque, il s’en fiche un peu. Bon, il lui est déjà arrivé de marcher dans un piège à loup en voulant aller jeter un œil à une vieille cabane de chasseur abandonné, mais rien de bien grave. Quoique… Il y a bien eut ce jour, là… Croyez-moi, il n’est pas près de s’approcher de nouveau d’une caravane de marchands ! Surtout que les marchands en question avaient engagé quelques mercenaires pour les protéger lors de la traversée de la Toundra. Deux ou trois carreaux d’arbalète dans le flanc, ça ne fait pas du bien. Cet épisode l’a rendu plus prudent, et lui a également fait comprendre que malgré son apparence de chien, les gens peuvent avoir du mal à l’accepter, du fait de la dualité de son sang. Il tire une certaine tristesse de ce constat, mais c’est surtout l’amertume qui le domine, lorsqu’il ressasse ça.

De son sang de chien, Az’ a développé un grand sens de la loyauté. Dans une certaine mesure, on peut même affirmer que son cœur ne lui appartient pas. Il revient à sa terre et aux siens. Jamais il ne pourrait les trahir ou les abandonner, comme tout bon Clamerian qui se respecte. Sa vie est dédiée à la protection de son clan et à l’éradication des êtres maléfiques. Evidemment, il n’est pas idiot, et il sait très bien que jamais il n’y arrivera, mais l’espoir fait vivre, hein ! Et de l’espoir, il en a pour toute une armée.
Très optimiste, le jeune homme ne s’avouera jamais au grand jamais vaincu, quand bien même la situation serait désespérée, et le combat perdu d’avance. Il serait fichu de jeter jusqu’à ses dernières forces dans la bataille, s’il estime qu’il est de son devoir de le faire.
La trahison ? Il l’abhorre. Avisez-vous de le tromper, et vous risquez de finir taillés en pièces. A ses yeux, il n’y a pas de crime plus grave. Pour certains, c’est faire preuve de barbarie, mais pour lui ce n’est que justice.

Méfiant, Azaghâl ne fait que très peu confiance aux inconnus, et n’aime pas particulièrement qu’on se comporte de façon familière avec lui. Non, il n’est pas un gentil petit chien de compagnie ! Et il déteste qu’on le considère comme ça. Déjà que les Lycans ne l’ont pas à la bonne, il ne manquerait plus que les autres se mettent à le déprécier ! Soit, sa fierté lui a déjà joué des tours, mais cela ne l’a jamais empêché de survivre jusqu’à maintenant. Et atteindre vingt-cinq ans quand on est le chef de clan des Clamerian, ce n’est pas un mince exploit.
A propos, évitez de le taquiner sur sa moitié de chien. Etant très fier de sa race, il le prendra comme une insulte à son espèce et deviendra très agressif.
D’ailleurs, il lui arrive –assez rarement tout de même- de jouer les têtes brûlées. Ce n’est que sous le coup de la colère ou de la douleur que Az’ délaissera toute raison ou stratégie pour se jeter le plus purement et simplement sur son adversaire. Dans ces moments-là, il vaut mieux ne pas trop le chercher, ce serait mal avisé de votre part.

D’un autre côté… Ce qu’il faut garder en mémoire, c’est que malgré son air de peluche adorable et protectrice, Az’ reste un Clamerian. En cela, il a le combat dans la peau. En fait, je crois qu’on peut même dire que se battre lui est aussi nécessaire pour vivre que respirer. Combattre, c’est ce qui fait sa vie et son âme. Il est né et a grandi pour chasser et affronter tout adversaire qui se présentera. Ce sont des traits de caractère qu’il partage avec les autres membres de sa race, et il ne s’est jamais vraiment interrogé sur la légitimité de ces instincts. Tout ce qu’il sait, c’est qu’il ne peut pas s’empêcher de les exécuter. Et puis, qui est-il pour remettre en cause les enseignements de ses aînés ?
A ce propos, Azaghâl a le sens de la famille. Il a un certain respect pour les anciens, encore que… Si les anciens en question l’insultent, il se permettra de devenir impertinent voire insolent. Après tout, le respect marche dans les deux sens, non ?... Les enfants ? Alors là, ils les adorent ! C’est bien simple, il devient une véritable peluche en présence de petits bouts de chou, et sera d’une grande patience avec eux. Qu’ils lui tirent les oreilles, les poils, ou qu’ils lui bavent dessus, il ne dira rien. Instinct d’animal, encore une fois ? Aucune idée, et puis il s’en moque un peu de savoir d’où ça peut venir, après tout.

Pour résumer Azaghâl, il faut donc savoir ces quelques petites choses. Bien que gentil et protecteur, il n’en reste pas moins un Guerrier Canin et un adversaire de valeur. Ne le provoquez pas, sans quoi il se fera les crocs sur vos mollets !

Description physique
(5 lignes minimum)


♦ Forme humaine ;

Azaghâl est grand, très grand. Un mètre quatre-vingt quinze pour un poids approximatif de soixante-quinze kilos. Et que du muscle, s’il vous plaît. Bon, en fait il n’a pas l’air d’une montagne de muscles, et aurait même plutôt une silhouette fine et élégante. Son corps est souple et agile, taillé pour les assauts vifs et précis. Bien qu’endurant, on devine donc que les combats de longue haleine ne sont pas pour cette apparence-ci.
La peau de ce jeune homme est plutôt pâle, ce qui est normal lorsqu’on sait qu’il vit sur une terre où il neige presque en permanence. D’ailleurs, ses fines prunelles d’un écarlate éthéré se détachent particulièrement bien sur son teint blanc, presque sans défaut. Az’ possède un nez droit des plus banales, et des lèvres plutôt pleines, pas beaucoup plus colorées que le reste de son épiderme. Son visage est plutôt fin, aux traits nets et bien dessinés, assez durs.
Az’ arbore une épaisse chevelure mi-longue d’un bleu profond, qui prennent parfois des reflets électriques à la lueur de la lune. Il aime laisser une mèche dissimuler la partie gauche de son visage, marquée d’une longue cicatrice effilée du haut de son front jusqu’à la moitié de sa joue.
Sa voix est plutôt grave et douce, pas franchement agressive. Il n’a pas besoin de hausser la voix pour se faire respecter, les intonations qu’il utilise suffisent à maintenir l’ordre. Azaghâl aime bien chanter, de temps à autre, et bien qu’il chante juste et soit plutôt agréable à entendre, il ne le fait que rarement.
Dans son attitude générale, il a l’air assez nonchalant. Ce n’est pourtant pas dans son caractère, mais il aime bien se faire passer pour plus assuré qu’il ne l’est. D’ailleurs, on lui prête souvent des traits de coureur de jupons ou de sombre héros solitaire au cœur froid et aussi dur que la pierre… Comme quoi les apparences sont trompeuses.

Du côté vestimentaire, sa préférence va à un pantalon de toile blanche plutôt épaisse retenu sur sa taille par une ceinture de cuir in ne peut plus simple. Pour le haut, il privilégie une tunique qui était autrefois bleue, mais qui est aujourd’hui délavée et donc plus grise qu’autre chose. Pour achever sa tenue, il porte un long manteau noir à col haut, qui descend presque jusqu’à ses chevilles. Evidemment, il ceint à sa taille une autre ceinture d’un cuir plus solide et précieux à laquelle est attaché le fourreau de sa lame.

♦ Forme canine ;

L’apparence préférée de Az’ ! C’est bien simple, il passe la majorité de son temps ainsi. Mesurant un mètre trente au garrot –la taille maximale pour un Clamerian-, il est plus trapu et haut sur pattes qu’un loup. Ses membres puissants s’achèvent par de larges pattes –joliment armées de solides griffes- qui font office de raquettes, afin de faciliter ses déplacements dans la neige. La musculature qu’il gagne sous cette forme n’enlève rien à son agilité, et lui permet non seulement de combattre pendant longtemps, mais également de faire des bonds impressionnants qui s’avèrent très utiles sur un champ de bataille.
Sa tête massive abrite une mâchoire solide capable de broyer la plupart des os, ce qui lui a d’ailleurs valu le surnom de Carcharoth, « Les Mâchoires Sanglantes ». Du côté des yeux, on retrouve les mêmes que ceux qu’il possède sous sa forme humaine, rien de bien extraordinaire. Quant à sa queue, elle est très touffue et s’enroule vers son arrière-train, comme celle d’un chien de traîneau.
Azaghâl arbore une épaisse fourrure à l’épreuve des grands froids qui règnent sur la Toundra, dont les teintes sont argent/cendre sur le dessus du corps, et d’un blanc immaculé pour ce qui est du reste. Excepté le bout de ses pattes et de ses oreilles qui est ébène. Particularité physique, une crinière d’un bleu plus clair que ses cheveux d’Humain pousse le long de son échine en partant du haut de son crâne et s’arrêtant à la naissance de ses épaules. La même cicatrice barre le côté gauche de son visage, cette fois-ci bien visible.

Trois bandes d’un tissu blanc et solide sont attachés à la base de sa queue, et sur chacune d’elle est accroché un grelot doré. Ces objets sont en quelque sorte le reflet de l’humeur de Azaghâl. S’il est heureux, ils tintent, et s’il souhaite se faire discret, ils ne produiront pas un seul son. Il se sert de ses bandes comme d’armes lorsqu’il combat, les utilisant pour immobiliser ses ennemis afin pouvoir les mordre à son aise.

Signe(s) distinctif(s)
(cicatrices, tatouages, tics...)


Az’ a le corps marqué de nombreuses cicatrices, surtout présentes sur son dos, car c’est l’endroit qu’il présente aux lames si jamais il se trouve dans l’obligation d’encaisser un coup. Les plus remarquables sont ces deux-ci. La première est celle qu’on remarque immédiatement, sur le côté gauche de son visage. La seconde, quant à elle, se trouve au creux de ses reins, horizontalement. Elle est le résultat d’un méchant coup de griffes savamment administré par un Lycan.

→ Capacités

Pouvoirs par défaut :

Un Clamerian peut pratiquer la magie, mais à un niveau relativement basique. De plus, il s’agit exclusivement de magie liée à l’élément de la glace, ce qui est plutôt normal lorsqu’on considère leur contrée d’origine.
D’un point de vue des capacités physique que l’on pourrait peut-être voir comme des pouvoirs, ils sont particulièrement endurants et rapides, mais cela reste bien évidemment raisonnable, ce ne sont pas non plus des guépards !
Ah oui, un détail. Un Clamerian est capable de matérialiser son arme dans sa gueule de chien, pour peu qu’il la portait sous son apparence humaine.

Pouvoir particulier :

Azaghâl possède les capacités suivantes, qui l’aident grandement lorsqu’il se trouve en pleine bataille.

♦ Spectres Gelés ; Cette technique –reposant sur la magie des Glaces- permet à son utilisateur de matérialiser trois doubles de lui-même, composés de glace (ha ha, nan, tu crois ?). Ils ne sont cependant pas dangereux car ils ne sont là que pour distraire l’adversaire (qui lui n’est pas censé savoir qu’ils sont inoffensifs), permettant au lanceur du sort de s’échapper ou de reprendre son souffle quelques instants. Il suffit de frapper une seule fois un clone pour qu’il vole en éclats.

♦ Sens des Chouettes ; Il s’agit –dans le nom de cette technique- des déesses Chouettes que vénèrent les Clamerians. Welgaïa symbolise la patience et Aweliss la tempérance, les deux ensemble étant vénérées pour leur sagesse. En utilisant ce tour de passe-passe, un Clamerian décuple ses sens, ce qui lui permet de traquer plus efficacement son dîner. Ou un Démon, tant qu’à faire.

♦ Morsure de Clamerion ; Ah, une technique dangereuse à employer ! Si le coup est bien placé, et donc que le Clamerian parvient à planter ses crocs dans la chair de son adversaire, ce dernier se retrouvera avec un membre complètement gelé, inutilisable. Cependant, c’est un coup qui demande une telle quantité d’énergie que son lanceur se retrouve vidé, à peine capable de tenir sur ses pattes. A utiliser en dernier recours, donc. Voire jamais, en fait… [/justify]

Arme :

Il possède un sabre de belle facture, héritage de son clan qui se transmet de chef en chef ; Aïsswirr. Longue d’un bon mètre vingt, cette lame semble avoir été forgée dans un alliage d’argent, d’acier et de glace. Az’ en prend particulièrement soin.

Familier :

Ce n’est pas franchement un Familier, c’est plus un animal de compagnie. Et encore ! Azaghâl a eu le malheur de sauver une petite moineau, un jour. Depuis, elle ne le quitte plus ! Az’ a décidé de composer avec, et l’a nommée Chun. Pourquoi Chun ? Bah lui-même il ne sait pas…

Autre :

Tant que nous y sommes, parlons des préférences de Az’. Il est bi. … Nan, pas bigleux, ni bichon (je vous le dis clairement, il n’a rien d’un caniche) ! Il est bisexuel. Eh oui, pour lui, hommes ou femmes, qu’importe ! La beauté est universelle et on devrait tous être capable de l’apprécier sous ses différentes formes. Enfin ça, c’est ce qu’il dit. Car oui, il en est conscient, et il en même fier, de cette ambivalence. Ne le taquinez pas sur ça, il risquerait de mal le prendre…

→ Votre Histoire
(10 lignes minimums)

A sa naissance, Azaghâl n’était pas destiné à devenir le chef de son clan. C’était une responsabilité qui revenait à un autre, plus âgé car né cinq ans avant lui. Cependant, cela n’empêchait pas ses parents de l’aimer, bien évidemment. Et pourtant, il leur en faisait voir de toutes les couleurs ! Véritable petite boule de poils pleine de vie et d’énergie, il passait beaucoup de temps sous son apparence de chien, gambadant d’un coin à un autre du village, entraînant les autres enfants dans des courses ou des jeux au rythme effréné. Az’ aimait vivre, rire, et se mêler aux autres. A cette époque, tout lui semblait si simple !...

Pourtant, en grandissant, il a bien fallu abandonner ses jeux pour se consacrer à des choses plus sérieuses. A savoir, l’entraînement au combat. Son père commença son enseignement, à partir des dix ans de Az’ jusqu’à ses douze ans. Il ne put malheureusement pas le poursuivre au-delà, car il périt en affrontant une bande de Démons qui avaient été assez givrés pour s’aventurer jusque dans la Toundra. Givrés, Toundra… Ha ha !... Hum, bref !
Son éducation fut donc confiée à un Clamerian d’aspect et de caractère rude, nommé Melkor. Ce dernier portait une barbe rousse et touffue, que l’on avait l’impression de retrouver dans son pelage de chien tout aussi flamboyant. Bien que dur avec lui, Azaghâl se prit d’affection pour son maître, qu’il considéra un peu comme un second père.
Durant des années et des années Melkor poussa son disciple à se dépasser, à rechercher l’excellence, à ne jamais abandonner. Il avait pour coutume de dire « L’honneur et la loyauté sont nos biens les plus précieux. Nous n’obéissons à aucune autre loi. » Un précepte que le jeune Clamerian se borna à retenir avec la meilleure volonté du monde… Mais qu’il oublia vite. Ah, la fougue de la jeunesse…

Vers ses dix-sept ou dix-huit ans, une annonce ébranla tout le village. Nasica, le chef du clan depuis à peine trois ans, venait d’être retrouvé mort au fond d’une ravine, mis en pièces. La nouvelle mit tout les villageois sur le pied de guerre, et chacun courait voir ses proches pour entendre leur version des faits, ou savoir ce qu’ils en pensaient. Az’ en fit de même, d’ailleurs, rejoignant Artelius au sommet de la cascade gelée qui avoisinait le hameau. Artelius était un jeune Clamerian aux cheveux vermeils arrivé depuis peu parmi eux, dont la mère avait été bannie bien avant sa naissance. A la mort de sa génitrice, l’adolescent avait décidé de partir à la recherche de son clan, et était arrivé ici. Nasica l’avait immédiatement accepté, conscient qu’il aurait été complètement idiot de condamner quelqu’un pour un crime qu’il n’avait pas commis. Bref !
En arrivant à leur point de rendez-vous, Azaghâl eût du mal à se calmer, trépignant nerveusement en geignant. Vite agacé, son ami l’attrapa par la peau du cou et le secoua vivement, histoire de le calmer un peu. Abasourdi, il tomba sur son arrière-train, figé sous le coup de la surprise. En face de lui, Artelius prit un air satisfait, s’asseyant dans la neige à son tour :

- Bon, tu es calme, là ?

- … Arty, tu abuses ! Enfin bref, ce n’est pas le sujet. Tu es au courant de ce qu’il s’est passé ?

- Comment est-ce que je pourrais l’ignorer ? Tout le village ne parle plus que de ça ! Si tu veux mon avis, c’est louche. Il y a quelque chose qui cloche.

- C’est ce que je pense aussi.

- Qui va prendre la place de Nasica ? s’enquerra Artelius.

- Melkor, mon maître.

- … Ce que je vais te dire ne va pas te plaire.

- Dis quand même.

- A mon avis, c’est Melkor qui a tué Nasica. Réfléchis un peu. Nasica avait beau être jeune, des Démons n’auraient pas pu le tuer. Il était sage et réfléchi, s’il avait vu qu’il était en position de faiblesse, il serait revenu au village ventre à terre, ou alors aurait hurlé pour qu’on lui vienne en aide. Hors, ce n’est pas le cas. Quelqu’un qu’il connaissait et en qui il avait confiance a dû lui donner rendez-vous hors du village, et à profiter de l’effet de surprise pour l’assassiner. La seule personne que je soupçonne capable d’une chose pareille est Melkor.

- Il est mon maître, Artelius ! Je lui dois beaucoup, et je ne peux pas te laisser l’insulter de la sorte !

Sous le coup de la colère, Azaghâl s’était mis à gronder, babines retroussées, fixant son ami d’un air furibond. Bien qu’il s’attendait à ce qu’il ne soit pas franchement content, Artelius n’avait pas envisagé que son compagnon de vadrouille puisse devenir agressif, et s’était relevé d’un bond, reculant de deux pas, les oreilles couchées en arrière et la tête basse, en signe de paix.

- Je ne voulais pas te blesser, Az’… Mais essaie d’être objectif, je t’en prie !

- Si tu t’entêtes, je ne vois pas pourquoi je continuerai à te fréquenter.

- Je ne te mentirai pas pour te faire plaisir. Tant pis si tu es assez bête pour te croire obligé de ne plus me voir.

- De toute manière, tu n’es qu’un étranger, ici. Je ne vois pas de quel droit tu te mêles de nos affaires ! Va donc au diable !

Sur ces mots, Azaghâl fit volte-face et s’enfuit ventre à terre vers le village, laissant Artelius stupéfait et attristé. Cette tête de mule tint parole, du reste, car il ne s’approcha jamais plus que nécessaire de celui qui fut pourtant un ami proche. Et pourtant, s’il avait su, il aurait immédiatement adhéré aux hypothèses d’Artelius, car celui-ci avait mis dans le mille.

~

Deux longues années s’écoulèrent, et Azaghâl ne décolérait pas. A ses yeux, les propos d’Arty étaient une véritable trahison, et il avait décidément bien du mal à avaler la pilule. Cependant, il finit enfin par se rendre compte qu’il avait raison depuis le début.

Un soir, le jeune Clamerian –âgé de vingt ans- faisait une ronde de routine dans les bois qui se situaient à l’ouest du village. Rien de bien particulier, tout était on ne peut plus calme. Enfin… Jusqu’à ce qu’une odeur ô combien détestable parvint jusqu’à sa truffe. Son poil se hérissa le long de son échine et ses muscles se bandèrent instinctivement. Un Démon.
Aussi silencieux qu’une ombre, il se glissa entre les arbres, remontant la piste aussi rapidement qu’il le pouvait tout en restant le plus discret possible.
Finalement, il arriva aux abords d’une clairière, depuis laquelle montaient deux voix bien distinctes. Curieux de nature, il ne put s’empêcher de s’approcher davantage pour jeter un œil, et se tapit sous les fourrés, se faisant aussi petit que faire se peut. Ce qu’il vit alors lui glaça le sang. Là, à peine quelques mètres devant sa truffe, son maître –sous son apparence humaine- conversait avec un Démon ! Tout à coup, Az’ crut qu’une boule de plomb tombait dans son estomac, et il sentit ses pattes devenir lourdes. Une larme perla alors qu’il réalisait l’étendue de la trahison, et qu’il comprenait enfin qu’il avait sottement balancé aux orties une amitié qu’il avait eu tant de mal à tisser avec Artelius.

Au fond de lui, quelque chose se brisa. Profondément blessé, sa douleur laissa place à une sourde colère. Perdant toute lucidité, il bondit hors de sa cachette en grondant. Ce Démon ne devait pas être bien courageux, car il s’enfuit à tire d’ailes alors que les pattes de Az’ touchaient à peine le sol. Par réflexe, Melkor s’était métamorphosé en chien, faisant à présent front à son disciple, solidement campé sur ses quatre fers et prêt à agir.
Azaghâl ne chercha pas midi à quatorze heures. C’est dans un grondement proche du rugissement qu’il se jeta sur l’autre canidé, qui vint à sa rencontre de la même façon. Le choc fut rude. Chacun des deux combattants cherchait à saisir la gorge de son adversaire, pour donner le coup de crocs fatal. La carotide, qui une fois tranchée, signait l’arrêt de mort de son malheureux propriétaire.
La bataille fut acharnée. L’un et l’autre se frappaient de leurs pattes, se mordaient cruellement, sans jamais atteindre un point vital. L’écho de leurs grondements se répercutait à travers les arbres. Aucun ne semblait sortir vainqueur. Jusqu’à ce que Melkor parvienne à placer un puissant coup de patte. Azaghâl fit un bond en arrière avec un jappement de douleur, la tête ensanglantée. Par chance, seule une des griffes avait entaillée sa chair, mais il n’en serait pas moins marqué à vie pour autant. Déboussolé, Az’ ne parvint pas à esquiver la charge de son maître, qui l’envoya rouler dans la neige.

*Perdu. Je suis perdu !...*

Cependant, alors qu’il se faisait cette réflexion un rien pessimiste, une idée lui vint. Bien que capable de se relever, et peut-être même de s’enfuir, il décida de jouer la comédie. Le jeune Clamerian feinta donc d’essayer de se relever, puis se laissa retomber dans la neige en geignant de douleur.
Confiant et certain de sa supériorité, Melkor s’approcha de son élève sans la moindre prudence, pour l’achever. C’est lorsque son aîné baissa la tête vers lui que Az’ agit. Vif comme l’éclair, il planta ses crocs dans la gorge de son maître et d’un mouvement sec, il arracha tout un pan de sa chair. Le traître tituba légèrement, incapable d’émettre le moindre son, et alla s’effondrer un petit mètre plus loin, tâchant la neige d’écarlate.

Victorieux mais pas moins blessé, Azaghâl rentra au village comme il put. Là bas, il fit la lumière sur les évènements étranges qui s’étaient déroulés dans les parages depuis la mort de Nasica. Si les Démons étaient plus nombreux que d’ordinaire, ces temps-ci, c’était à cause d’un arrangement passé entre Melkor et l’une de ces infernales créatures.
Puisque Az’ avait vaincu le chef de clan –tout traître qu’il ait été- dans un combat singulier, les villageois décidèrent que se serait à lui de prendre les rênes, à présent. Bien que réticent au début, il finit par accepter.

Deux ou trois semaines plus tard, remis de ses blessures, Azaghâl décida qu’il était temps de réparer une chose qu’il avait cassée il y a déjà trop longtemps. C’est pourquoi il rendit visite à Artelius. Dire que ce dernier fut surpris de le voir au pas de sa porte serait un bel euphémisme ! Il le fit néanmoins entrer chez lui, restant perplexe.
Une fois à l’intérieur, Az’ perdit complètement toute crédibilité en se mettant à baragouiner plus ou moins intelligiblement :

- Ecoute, je sais que j’ai été idiot, mais je suis désolé. Tu avais raison, j’avais tort, et ce depuis le début ! J’aurais dû te croire au lieu de te balancer à la figure ce que je t’ai dit ce jour-là, j’ai vraiment été stupide, excuse-moi. J’ai été un bien bel abruti !

- Hum… Voir le chef s’insulter comme ça en se répandant en excuses, je dois avouer que ça ne manque pas de charme. Je ne t’en veux pas, Az’, et ne t’en ai jamais voulu. Tu n’étais pas objectif, c’est tout.

- Merci, mes dieux ! J’ai cru que j’allais devoir te supplier à genoux !

- Tu me tentes, là. Quoique, réflexion faite, c’est autre chose qui me tente.

A peine ces mots furent prononcés que Artelius s’était considérablement rapproché de son chef. En fait, pour être tout à fait exact, il faudrait dire que l’un n’avait guère qu’à tendre les lèvres pour embrasser l’autre. Paralysé de stupeur, Azaghâl ne retrouva la voix que lorsque les mains d’Arty cherchèrent à se glisser sous ses vêtements :

- M-mais… Qu’est-ce que tu fi-fiches ?...

- A ton avis ? souffla le jeune homme en posant une main dans le creux des reins de son compagnon.

- Arrête.. !

- Si je ne te plaisais pas tu m’aurais déjà repoussé à grands renforts de hurlements, je te connais. Détends-toi, laisse-moi faire.

Azaghâl lâcha finalement prise, essayant de se détendre comme il le lui avait demandé. Un léger sourire aux lèvres, Artelius lui retira son manteau –qu’il envoya paître par terre- et fit glisser la tunique délavée au sol, avant de faire reculer Az’ jusqu’à son lit, où il le fit s’allonger. Incapable de rester tranquille, celui-ci se redressa sur les coudes, les joues aussi écarlates que les cheveux d’Arty, pour voir ce qu’il trafiquait. A présent complètement nu (« Et peste qu’il est beau comme ça… ! » vous dirait Az’), le jeune homme se mit, lentement, à déposer de longs baisers sur la peau mise à nue de son torse. C’est avec un frisson de plaisir que notre chef Clamerian fit le constat suivant :

*… D’accord, j’suis bi. Voilà qui est intéressant, tiens… Oh bon sang !...*

Pensée qu’il poursuivit à voix haute en se crispant un peu :

- Pas là, Arty !... Je suis chatouilleux… Et on devrait arrêter….

- Pourquoi ? On ne fait rien de mal… Tu… Ne veux pas de moi ?

- Non, ce n’est pas ça. Tu as trois ans de moins que moi, je te rappelle, tu n’as que dix-sept ans…

- Et alors ? Je m’en fiche. Je t’aime, c’est tout ce que je vois, moi.

Allez savoir pourquoi, mais ces quelques petites mots agirent comme une sorte de clef sur la porte qui bloquait les sentiments de Az’ depuis le début. Soudain beaucoup moins gêné, il enlaça Artelius par la taille pour l’amener contre lui et l’embrassa tendrement, avant d’inverser les positions, se retrouvant ainsi au dessus de lui.

- Tu as raison, on s’en fiche. Profitons de cette nuit, on verra le reste demain.

~

Finalement, Azaghâl et Artelius décidèrent de rester ensemble, même si cela déplaisait à certains anciens du village, qui voyaient cette relation d’un mauvais œil. Les années passaient et se ressemblaient, entre les chasses au Démon, les quelques escapades qu’ils s’offraient parfois pendant des semaines à travers la Toundra, sans oublier les quelques fêtes propres à leur race qu’ils célébraient entre eux.

Néanmoins… Un matin, cinq ans plus tard, Az’ se réveilla seul. Bon, ce n’était pas coutumier chez son amant, mais peut-être avait-il eut besoin d’aller se dégourdir les jambes au grand air. Aussi ne s’inquiéta-t-il pas au début, pensant qu’il rentrerait rapidement.
Bien vite les heures s’égrainèrent, puis les jours. Azaghâl patienta une nuit de plus avant de craquer. Mort d’inquiétude, il partit seul dans la Toundra à la recherche d’Artelius. Après un mois d’efforts vains et d’investigations inutiles, il revint au village, abattu. Aucune trace, pas la moindre odeur. Disparu. Envolé.
Az’ est cependant loin d’avoir abandonné. Il s’est juré qu’il le retrouverait, et ce à n’importe quel prix. (Ce qui ne l’empêche pas d’aller voir dans les lits des autres, eh. Ce n’est qu’un homme, après tout !)

→ In Real Life

[CF ; Nifhlheim Hel Von Helheim]

→ Epreuve de confirmation
Citation :
Raconte nous la prise de pouvoir de ton maitre et les évènements étranges qui se sont déroulés ensuite
Azaghâl N. Radagast Valida11

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Azaghâl N. Radagast Sand-g10Mer 15 Fév - 10:07
Artelius Celynin
"Où es-tu passé, mon cher et tendre Arty ?..."
L'amour de toute une vie, tout simplement.




"J'étais heureux, avec lui. Nous avons vécu ensemble durant cinq ans. Les plus belles années de ma vie, je peux l'affirmer.
Mais un jour... Il a disparu. Je me suis réveillé, un beau matin, et envolé. J'ai cru qu'il reviendrait, il est toujours revenu. Pas cette fois, malheureusement. Oh mes dieux, faites qu'il soit encore en vie !..."



Jenaël A. Venceslas
"Pourras-tu me pardonner ?..."
Un ami perdu par bêtise

"Je suis tellement désolé, Jen'... J'ai été idiot et complètement aveugle. Ah ça oui, j'ai été si stupide que j'ai réussi à tout ruiner ! Et têtu comme il est, je doute qu'il accepte de me pardonne, un jour... Et quand j'y pense, j'ai envie de me cogner la tête contre un mur. Ses parents ont très certainement été assassinés par l'un des Démons que la traîtrise de Melkor avait amenés dans la Toundra...
Je sais que j'aurais dû intervenir, le jour où il a été banni. Mais je n'ai pas bougé le petit doigt. Pourquoi ? Par lâcheté, par peur de m'opposer à celui qu'à ce moment-là encore je considérais comme un père ?... Aujourd'hui, ce dernier est mort, et j'en porte la preuve sur mon visage.
Si jamais on se retrouve, Jen'... Quand bien même essaierais-tu de me tuer que je ne réagirais pas. Je t'ai assez fait de mal comme ça."

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