Boris voulait enfin avoir une journée pour lui-même. En effet, les petits contrats et l’aventure passé ces derniers temps dans les terres de feu étaient plutôt mouvementés. Pour y remédier, il alla à un lac qu’il avait connu plusieurs mois passer et il y passa la journée sans trop de dérangement par les habitants. Il essaya d’apprendre comment faire de la pêche, Boris n’avait aucune patience en ce genre de sport. Cela ne prit que quelques minutes avant que Boris jeta sa canne à pêche au fin fond du lac. Il passa le reste de la journée à boire comme un trou et à fête un peu seul dans son coin. L’orc n’avait pas beaucoup d’amis à part peut-être Anodrac, mais il avait grandement besoin d’un haut niveau social. Il décida donc de retourner à Heldren, un village non loin du lac en question.
Pendant sa route, à cause qu’il était ivre par tout l’alcool qu’il avait bu, Boris n’était pas conscient des obstacles qui séparaient lui et son orgueil de pauvre. Soudainement, il fonçait droit sur un poteau et se cogna la tête sauvagement. L’impact fut tombé le poteau très près de la tête d’un cheval près de là qui tirait une caravane. Le maître du cheval surpris et furieux cria :
- Hey toi! Tu as presque tué mon cheval!
L’orc totalement bourrer compris que la moitié des mots puis répondit :
- Hein?! Je suis pas ton cheval! Laisse-moi tranquille!
Puis il partit à la course aussitôt!
Arrivé à Heldren, l’orc rentra dans l’une des auberges sans vraiment regarder le nom. Bois remarqua qu’il y avait un peu de personnes et pas assez pour continuer à fêter son retour. Il s’avança vers l’aubergiste pour avoir plus d’information…
En discutant un peu avec lui, Boris prit la décision de l’installer un peu dans cette auberge pour relaxer. L’aubergiste lui attribua une chambre et l’orc monta à l’étage au-dessus. Arrivé à l’étage, Boris, avec sa grande gueule de bois, avait beaucoup de mal à lire les numéros de chambres. En prenant l’un au hasard, il entra et à ce moment-là, il n’avait déjà plus de force pour continuer alors il plongea au sol au milieu de la chambre qu’il avait pris… Mais quelqu’un semble déjà occuper cette chambre!
Boris Hidécris
Partie IRL Crédit avatar : D&D Double compte : Chaos Féral Vitesse de réponse : Moyenne
Sam 6 Déc - 22:20
L'Âne Bâté. Quel nom curieux. Quel nom horrible. Mais bon. Je ne peux pas toujours dormir à la belle étoile. Humblement vêtue d'une robe blanche emprunté sur un fil à linge, je me suis rendue à cette auberge. Après tout une fois n'est pas coutume, je peux le faire de temps en temps... J'ai bien évidemment demandé leur plus belle chambre en faisant les yeux doux au propriétaire. Ainsi qu'une bassine avec de l'eau propre et du savon pour me nettoyer. Quelques heures plus tard, me voilà dans un bain chaud, en train de passer le savon sur mon corps parfait. Ce n'est pas de la première qualité, mais pour être Belle je dois accepter d'être Humble. L'endroit est modeste, certes, mais propre. Le plus propre du bâtiment. Nul humain, surtout simple d'esprit, ne peut résister à mon aura de Beauté. J'ai un sourire en coin. Je suis satisfaite de moi. Et j'ai vu ce charmant jeune homme au sourire envoûtant... Nul doute qu'il est fou de moi. Peut-être lui ferais-je l'honneur de ma couche s'il se montre suffisamment Beau. Je rêvasse, revoyant son torse musclé à peine caché par une chemise ouverte. Je me mord la lèvre inférieure. Morceau intéressant. Très intéressant. Je me met à chantonner tout bas un air de flirt.
"Je cours et je me cache, sauras-tu me trouver ? Mon beau damoiseau, cours donc à travers les bois. Poursuit donc la belle sauvage qui te tend les bras. Viens à moi, merveilleux homme, viens pour m'embrasser.
Non, mon cher ami, je ne ralentirais pas. Je suis un sauvage esprit de la Nature, Belle et indomptable, renarde joueuse mais mature, Peut-être un jour viendra où tu m'attraperas.
Oh, jeune homme au cheveux d'or. Tu es beau, grand et fort, Tes paroles sont si tendres, Mais sauras-tu te vendre ?
Son rire s'envole vers le ci-el, comme des oiseaux. Il sourit, m'éblouit comme le soleil levant. S'il continue, nous deviendrons des amants, On nous appellera peut-être les tourtereaux.
Je rêve de nous, ça me fait sourire et je ris. Mais hélas l'amour est toujours loin derrière, Du moins c'est ce que je crois, et j'en suis fière. Il ruse pour me mettre dans son lit.
Oh, jeune homme au cheveux d'or. Tu es beau, grand et fort, Tes paroles sont si tendres, Ton cœur je désir prendre.
Le soleil se couche derri-ère les grands arbres verts, Bientôt la nuit nous..."
En un grand bruit, ma porte fut ouverte malgré le verrou. J'écarquillais les yeux en voyant un Horrible orc debout face à moi. Quelle Horreur, qu'il est Laid ! Avec sa peau verte, son visage semblable à une ébauche n'ayant jamais été terminée... Sans parler de ses défenses à faire froid dans le dos. Tout mon être se révulse à cette vision. Je me redresse, le droit bien droit, les épaules vers l'arrière. Je lève le menton, la moue méprisante, je regard hautain. L'erreur de la Nature se vautre par terre. Le vent de sa chute amène son odeur épouvantable à mon nez délicat. Je plisse ledit nez avec une moue de dégoût. Beurk ! Il aurait bien besoin d'un bain lui aussi ! Bien plus que moi lorsque je suis arrivée...!
Il semblerait que mon invité surprise soit ivre mort. C'est le pompon. Je claque de la langue, agacée. Il vient gâcher ma journée ce gros tas ! Je me lève, élégante, de mon humble bac et file enrouler une serviette autour de mon corps. Il ne faudrait pas qu'on me voit nue. Ça créerait des émeutes... huhu ! Bref. Comment je m'en débarrasse ?... Mmh... J'ai entendu dire une fois que les orcs n'aimaient pas l'eau. À moi que ce ne soit les trolls ? Aucune idée, mais je peux essayer... Je prend un verre posé sur ma table basse, je le remplie à ras bord d'eau de mon bain – ça ne lui fera pas de mal – et, sans hésiter une seconde, je le lui verse sur la face.
- Excusez-moi Monsieur mais ici c'est ma chambre. Et je n'ai pas payé de collocation avec un orc saoul. Veuillez quitter ma chambre sur le champs, je vous prie ! fis-je, polie mais agacée.
Je m'attendais, bien entendu, à ce qu'il se réveille, se confonde en excuse et disparaisse de ma vue. Ce qui aurait été on ne peut plus normal, je lui aurais peut-être même pardonné si ça avait été le cas. Parfois, je suis une peu naïve quand même...
Lovely
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Dim 7 Déc - 19:41
Après quelques secondes de sommeil après être accidentellement entré dans la mauvaise chambre, Boris se rouvrit partiellement les yeux. Il aperçut une femme... non une très jolie demoiselle avec un verre d’eau dans les mains. Sans hésiter, elle versa le verre d’eau dans la figure de l’orc. À cause de l’eau glaciale qui éclaboussa sur son visage, Boris fut entièrement réveillé par la ravissante femme qui se trouvait devant lui. D’un sursaut, il se mit en position assise et regarda la kitsune de haut. Malheureusement, à cause de livresque de l’orc encore présent, il eut un peu de misère à entendre qu’est-ce qu’elle avait à dire à Boris.
- Excusez-moi… ma chambre… collocation avec un orc… sur les champs, je vous prie!
La femme ne fut pas vraiment impressionnée par la présence de l’orc. En effet, son expression faciale donna un message indirect à Boris qu’il avait une très mauvaise odeur. Par contre, la phrase qu’il vient de comprendre disait tout à fait le contraire… Avec les grands yeux ronds, Boris se leva et marcha de reculons vers la sortie. Bien sûr, il avait beaucoup de misère à marcher et il ne regardait même pas où il allait. D’un air incertain il dit à la demoiselle.
- Désoler... Mais je n’offre pas ce genre de service…euhh … Pardonnez-moi!
Un peu mal à l’aise avec la situation Boris décida de se présenter même s’il n’avait pas la bonne manière. Après avoir vu plusieurs nobles dans le passé, plusieurs d’entre eux avaient comme habitude d’embrasser les mains de la dame avec qui il discutait. Normalement, ce genre de chose avait beaucoup de succès auprès des femmes. L’orc n’avait rien à perdre et en plus il trouvait la kitsune drôlement jolie.
- Euh… Bref bonjour, je m’appelle Boris… Euh Boris Hidécris… Ravie de vous rencontrer?
Tout en se grattant la tête et en regardant le sol, Boris était vraiment gêné vis-à-vis la jeune femme. Alors il décida d’y aller le tous pour le tous! En s’avança d’un pas vif, il saisit la main de la dame et se pencha par devant pour ensuite embrasser sa main. Il n’était pas sûr comment elle allait réagir, mais il avait une petite confiance en lui.
- Et qui êtes-vous?
Boris Hidécris
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