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| Mar 29 Avr - 12:34 | | | | Stribog Zima Libéraliste pacifique, peintre de talent, possède une mémoire visuelle extraordinaire, émotif, Jarl du Grønnvegg, il rêve de liberté et les dragons le fascinent grandement. Informations Surnom : Le bohémien Age : 20 ans Nationalité : Glace Profession : Peintre Camp : Indépendant Croyance : Leineichte Titre de noblesse : Jarl du Grønnvegg (36) | Race Elémentaire de glace |
Caractère
Stribog, l’homme toujours plus avide de liberté. L’homme qui réussi le prodige de repeindre avec exactitude une scène qui, pourtant, ne se déroule pas sous ses yeux. Le mercenaire de la Neo-Voëlkara, devenu peut-être un peu vénal avec le temps, mais qui, nous le savons tous, ne se l’avouera jamais. Mais aussi l’élémental aux cheveux de blés qui, désormais, maîtrise bien plus ses pouvoirs qu’alors et qui est devenu un véritable danger pour ses ennemis qui sont, pour le moment, assez rares. Malgré ce faciès de guerrier, Stribog est toujours un pacifiste. Néanmoins, sa doctrine anti-combat a de plus en plus de limites et il ne peut, malheureusement, plus très souvent éviter les conflits. Le peuple de son duché s’est forgé dans le sang et la rage des combats, dans la gloire des exploits de bataille. Chaque homme et chaque femme nés sur sa terre est né avec une lame dans la main. Le Jarl est également un homme qui, parfois, fait preuve d’une impulsivité qui peut le pousser à cesser les négociations… Nombre de raisons qui font que cet homme est désormais intimement lié à la guerre, et non-content de ne pas s’en cacher, et ce pour satisfaire son peuple, il favorise désormais cette politique militariste, au grand plaisir de l’immense majorité des habitants du Grønnvegg. Grâce à ça, il est respecté par son peuple et c’est tous ce qui compte à ces yeux.
Mais dans son moi le plus profond, Stribog Zima est toujours le gamin blond, au tempérament d’artiste original, qui rêve chaque soir des écailles luisantes de ces créatures si rares qu’elles en deviennent chimériques… Les dragons. Il continu inlassablement à se répéter qu’il en verra un, un jour. Qu’il pourra lui parler, devenir son ami. C’est l’objectif ultime de cet homme aux demeurant si glacial depuis la mort de son grand-père. Oui, derrière ce masque dur et froid se cache un cœur bien plus chaleureux que nombre de Seliannais du Grønnvegg. Il affectionne toujours son aigle qui trône le plus souvent, fièrement sur son perchoir, dans la salle des fêtes du Jarl. Salle que le sieur Zima affectionne beaucoup car, bien placée dans le centre d’Osfrid, c’est là que son peuple peut venir lui parler librement de ses problèmes. Troubles qu’il essaye à chaque fois de résoudre du mieux qu’il peut. Un généreux dirigeant mais qui peut aussi se montrer intraitable à chaque fois qu’il estime cela nécessaire. C’est un être plein de mystères que vous rencontrerez mais prenez le temps de gratter la glace et vous serez encore plus surpris, voir déroutés…
Physique
Forme humaine
Au quotidien Stribog est un homme d’une petite stature, il mesure dans le mètre soixante environ. De faible corpulence, il à une musculature développée, comme tous les enfants de Cardrak dignes de ce nom. Sa peau est d’une belle teinte cuivrée héritée de son père, et ses cheveux son de la couleur de blé de sa mère. Un tableau polychromatique original mais curieusement harmonieux. Sur son visage doux se dessine une petite cicatrice perpendiculaire à son œil gauche, dont les iris sont colorés d’un envoûtant bleu glacial. L’origine de cette marque sera expliquée dans l’histoire. Ce bel homme porte également une barbe, accordée à ses cheveux, toujours bien taillée. Sa voix est calme chaleureuse et grave, ce qui lui donne une sorte de sensualité totalement involontaire.
Pour ce qui est des vêtements, le Jarl ne suit pas franchement les nouvelles modes en provenance du reste du monde, comme le font les bourgeois d’Osfrid et certains gens de sa cour. Lui suit la tradition vestimentaire de son peuple et de ses dirigeants. Lorsqu’il est chez lui ou à Osfrid, donc pas trop loin de son manoir, il porte souvent des vêtements en tissu ou en cuir mais porte toujours autour de sa taille une peau de puma ou autre prédateur des Glaces. Elle recouvre ses jambes jusqu’à ses genoux environ. Il porte également, dans son dos par dessus sa cape, une longue claymore ornementale nommée « Bøddelis », littéralement « Bourreau de Glace ». C’est un héritage que se transmettent tous les dirigeants du Grønnvegg depuis un bon millénaire.
Cependant, dès qu’il s’éloigne un peu de chez lui, par exemple dans les autres villages du duché ou plus loin encore, il porte toujours son épée cérémonielle dans le dos qui recouvrent ses épaules drapées d’une longue peau de loup qui lui descend jusqu’aux genoux et qui le rend beaucoup plus imposant. Il arrive aussi, assez souvent, qu’il mette un casque en acier et en or de ce type
Forme semi-humaine
Sous sa forme semi, Stribog subi quelques modifications. La plus flagrante est que son bras droit s'habille d’une couche de glace, ce qui lui donne un aspect de rocher parsemé de pointes. Le deuxième changement est que le reste de son corps est protégé par du givre et devient extrêmement dur. Néanmoins, notre élémentaire arrive parfaitement à bouger ses différents membres. Sous cette forme, les yeux de Stribog irradient d’un bleu très intense et profond, presque inquiétant. Il émane également de lui une sorte de brume glacé qui s’intensifie autour de ses mains lorsqu’il invoque sa magie de glace.
Forme élémentaire
Cette apparence est la quintessence de la puissance de Stribog. Comme tous les élémentaire, sous cette forme, il ne devient que pur élément, en l’occurrence glace. Notre jeune homme prend donc la forme d’un immense golem de glace juste un peu plus grand qu'à l'état normal. Il ne reste plus de son apparence humaine que ses yeux bleu. Sauf qu’ils ne possèdent ni pupille, ni iris, juste le blanc devenu bleu glacial et irradiant continuellement. Le reste du corps à une forme humanoïde très simplifié, recouverte de pointes acérées. Les membres antérieurs (mains) ne sont que de simples rochers de glace, mais ils peuvent changer de forme grâce à son pouvoir. Les membres postérieurs (les pieds très logiquement) ont, quand à eux, une vague forme de pieds. Avec une telle apparence il ne peut ni parler, ni voir avec précision – il distingue juste des formes – mais en revanche, il possède une ouïe très développée. Cette forme n’est que puissance et colère. Stribog ne l’emprunte que quand ses émotions négatives sont à leur apogée. (Tristesse, colère…) Il n’est alors plus capable de raison et ne fait que détruire…. Amis ou ennemis.
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Capacités Arme : Un héritage familial. Une claymore d'acier simplement ornementale d'un mètre trente nommée Bøddelis. Elle est rangée dans un fourreau d'argent et d'or incrusté de saphirs. C'est le trésor de la famille Zima avec le Gronnvegg et Stribog l'emmène toujours lors de ses déplacements officiels. Le poids immense de la lame ne lui permet pas de la manier, en tout cas très difficilement. Donc il ne lui viendrait jamais à l'idée de se battre avec. Elle est le symbole de la souveraineté du Gronnvegg. Seul le Jarl peut la toucher, c'est une tradition dont l'origine s'est oubliée avec la disparition des Zima. Pouvoirs : Résistance au froid (Racial): Les élémentaux de glace ne ressentent aucunement le froid.
Congélation (Racial): Les élémentaux ont le pouvoir de congeler n'importe quoi. Seulement, ils ressentent une fatigue proportionnelle à la taille, la chaleur de l'objet et le fait qu'il soit vivant ou non. Exemples: Si il congèle une bille, il ne ressent aucune fatigue. Si il congèle un rocher d'1m² environ, il sera essoufflé et un peu épuisé. Si il congèle un petit morceau de métal chauffé à blanc, il sera sur le bord de l'évanouissement. Enfin, congeler un homme entier le fera s'évanouir pendant plusieurs heures. Si les objets sont trop gros, trop chaud ou si la créature vivante est trop grosse. La tentative de congélation peut aller jusqu'a tuer Stribog, car dès que la tentative de congélation est commencé, il n'y a aucun moyen de la stopper. Cette congélation n'a aucun effet sur les objets chauffés par magie. Si il tente de congeler un humain ou autre humanoïde, il faut qu'il reste en contact avec la peau nue pendant quelques secondes avant que la congélation débute.
Résistance au froid (racial): Les élémentaux de glaces ne ressentent pas le froid, cela aide grandement quand il faut dormir dehors.
Mémoire visuelle parfaite : Stribog possède une mémoire visuelle fantastique dans une fourchette d’une semaine. Cela veut dire qu’il se souvient parfaitement de tout ce qu’il à vu une semaine après. Après ce délai, sa mémoire revient au niveau de celle d’un humain lambda. Là où, chez un humains, elfes ou autre, la mémoire n’est précise qu’a 60% ; la sienne est précise à 99,9 % pendant cette semaine. (marge d’erreur)
Magie élémentaire forme humaine : Il peut faire apparaître un brouillard glacé épais, environ 10 degrés en dessous de zéros, et qui s’étend sur une zone de cinq mètres autour de lui. Celui-ci s'évapore rapidement et reste à l'endroit où Stribog l'a lancé. Une fois lancé, Stribog ne peux plus le contrôler.
Magie élémentaire forme semi : Grâce à son nouveau bras de glace, il peut faire apparaître de minuscules fragments de glace, gros comme des dés à coudre. Il peut les tirer rapidement mais cela fera du bruit. Il peut en tirer 20 maximums avant de faire une pause d'une dizaine de secondes. Stribog tire les 20 fragments en même temps. Plus il tire de rafales, plus il est fatigué.
Magie élémental forme élémental : Ses membres antérieures peuvent changer de forme, seul restriction: ils ne peuvent, au maximum, que doubler leur volume. Sous cette forme, Stribog peut faire pousser des pics de glaces, environ gros comme des pieds, sur tout son corps.
Familier : Un aigle noir du nom de Aquilus, il accompagne notre cher élémental par choix et reste sauvage et libre.
Artefact magique : Un sac aux propriétés magiques, en effet, il peut multiplier par dix son volume en annulant presque totalement la masse des objets qu'il met à l'intérieur.
Autre : /
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Histoire Stribog Zima fût conçu il y a 21 ans par une élémentaire de glace bijoutière et un humain natif de Feu qui gagnait sa vie comme copiste. Cette union hétéroclite donna naissance à un beau bébé le 10 de Vennà de l'an 94. Ce bambin avait la peau brunie de son père et les cheveux dorés de sa mère. La petite famille bourgeoise venait d'accueillir un troisième membre et elle se promit de l'élever comme personne. C'est ainsi que Dans un port près de Cardrak un garçon grandit paisiblement et sereinement. Sa mère lui inculqua les bases de sa magie et son père, homme cultivé, lui appris tout ce qu'il savait du monde. Dès l'âge de 8 ans, le petit garçon savait lire et écrire. Il passait son temps dans la bibliothèque de la ville. Il était passionné par les contes et récits sur des créatures légendaires en particulier: les dragons. Il aimait lire les témoignage de ceux qui en avaient vu, leur aspect de force et de liberté que les hommes ne pourraient jamais avoir. Quelques temps plus tard, le père pris la décision de sortir son fils de sa bibliothèque et de lui montrer la beauté du monde. Il l'emmena à quelques kilomètres de la ville, dans de vastes plaines s'étendant par delà l'horizon. En voyant cela, le petit élémentaire fût subjugué. Tant de beauté et de majesté ! Il re-songea rapidement aux dragons et se les imaginaient, survolant ces immenses espaces sans fin, tout puissant. Son père avait quand à lui une idée derrière cette sortie. En rentrant chez eux, il donna au garçon un chevalet avec une toile vierge ainsi qu'un équipement de peintre. - Tiens mon fils ! Dessine ce que nous avons vu ce matin ! Mets-y tout ton cœur !Le garçon était très obéissant et se mit à peindre avec passion les belles plaines de Saline. Il mît quelques jours à achever son oeuvre mais quand il la révéla à son paternel, celui-ci n'en crus pas ses yeux. La toile était certes faite avec de la peinture, mais le quadragénaire reconnu tout de suite le paysage, et pour cause, tout les détails étaient présents ! Que ce soit la niché de quelques moineaux dans un arbre où la crevasse presque invisible qui se dessinait au loin dans la plaine. Son fils avait fait ça de mémoire, sans revoir l'endroit une seul fois ! Un seul élément n'était pas présent le jours de leur promenade, et celui-ci fâcha quelque peu le père. Un grand dragon d'un jaune doré étincelant parcourait l'horizon. Le père avait échoué. Il voulait faire oublié les dragons à son fils en le faisant peindre. La mère du garçon, quand à elle, décida de développer le don de son fils. Dès lors, elle l'entraîna à mémoriser des éléments toujours plus complexes et à les peindre. Mais plus le temps passait, plus le jeune homme rêvait d'une vie de totale liberté. Et à l'âge de 16 ans, ce fût l'élément perturbateur qui apparut. Pendant une froide journée d'hiver qui semblait s'éterniser, le jeune adolescent partit dans les plaines en quête d'un sujet à peindre. Il était devenu très doué en l'espace de quelques années et ses œuvres étaient vendues chez une petite boutiquière de Cardrak. Il peignait de tout mais ce qu'il préférait, c'était représenter la nature. C'était avec cet état d'esprit qu'il arpentait la steppe enneigé, devenu familière. Il voyait tantôt des oiseaux, tantôt un feu de camp abandonné. Notre jeune homme marcha pendant des heures, toujours plus loin pour trouver le modèle parfait. Il tomba sur une grotte presque invisible sur l'horizon. Il décida d'y entrer, nouvellement emporté par un esprit d'aventure naïf qui rappelait combien il était jeune. Ce qu'il trouva dans cette caverne fût plus que le modèle parfait. Dans les tréfonds sombres de cette grotte se nichait un..... - Un dragon !
Voilà, un dragon ! Un immense reptile vert était couché là, juste devant notre petit homme. Il était blessé à l'abdomen par un trait de baliste. Toute les villes de Saline en étaient pourvus, selon les livres, mais jamais Stribog ne sût à quoi elles étaient destinées. Maintenant tout s'éclaircissait dans sa tête, avec ses machines les habitants chassaient les dragons ! Des larmes coulèrent sur les joues du jeune homme quand le reptile géant ouvra ses lourdes paupières et fixa les émeraude de ses yeux sur lui. Il était faible et allait, malheureusement, bientôt s'éteindre. L'émotion de Stribog arrivât au plus haut lorsque le dragon prononça ces seules mots: - Pars humain ! C'est vous qui m'avez fait ceci, je ne vous laisserez pas l'honneur de me voir mourir !Le quadrupède écailleux émis alors un rugissement puissant qui ne terrorisa point le garçon, tant il était triste. Mais par respect pour le mourant, il s'en alla. En sortant de la sombre caverne, il ne se retourna pas et alla directement vers la ville, chevalet à la main. Quand il arriva chez lui, il s'enferma dans sa chambre sans dire le moindre mot à ses parents. Sanglotant pendant plusieurs heures sans arrêt. Et cela continua pendant une semaine entière, le jeune Stribog était inconsolable. Il ne parlait quasiment plus à ses parents, quand bien même il ne leur reprochait rien. Refusant par moment de manger ou de boire. Il fallait bien que cela cesse. Stribog n'acceptait de sortir de son état qu'a une seul condition: Qu'il puisse quitter ce pays d'anti-dragon dès qu'il le pourrait. Ses parents acceptèrent à contre cœur mais leur amour pour lui les poussa à arriver à cette extrémité. Le jeune Stribog sortit alors de son état végétatif pour reprendre une vie normal. Il continuait à peindre pour gagner un peu d'argent et d'apprendre la magie avec sa mère. Il était très doué dans les deux domaines. Niveau magie, sa mère lui avait apprit de nombreux secrets qui permirent au jeune homme d'apprendre des sors de hauts niveaux. Il s'entraînait ardemment même si il détestait se battre. Se fût lors d'une de ces séances d'entrainements que Stribog se fit cette cicatrice, à cause d'un sort raté. La seule chose que sa mère ne voulu jamais lui apprendre et même lui en parler, c'était de la très obscure forme élémental. Malgré plusieurs essais pour essayer de faire parler sa mère sur ce sujet, elle n'en souffla aucun mot. Stribog vécu alors dans la maison familial encore quelques années, attendant patiemment le jour de ses 20 ans pour partir du pays et aller à Terre où il avait plus de chance de trouver des dragons. Il se convertit même à une nouvelle religion. Contrairement à ses parents qui vénéraient Yehadiel, Stribog avait décidé de vénéré Leineichte. C'était la divinité qui lui correspondait le mieux puisque c'était celle de la liberté. Par une froide journée de Mellinià de sa dix-neuvième année, notre jeune élémentaire s'était perdu dans les plaines en essayant, comme d'habitude, de trouver un bon sujet à peindre. A l'abri du vent dans un igloo de fortune qu'il avait battit en quelques minutes grâce à sa magie. Il mangeait des fruits qu'il avait trouvés plus tôt dans un arbre. Grignotant tranquillement son déjeuner à l'abri, il entendit un bruit lointain dans le néant des plaines. Cela ressemblait à un cri aigu de jeune fille. En quelques secondes le bruit s'intensifia grandement. Stribog s'inquiéta quelque peu. Il rangea sa nourriture dans son sac et se prépara à bondir hors de l'igloo. Mais quand il vît d'où venait le cri strident, il se calma dans l'instant. Un petit aiglon d'un plumage noir de jais se posa devant sa maison. Il semblait épuisé et avait une aile saignante. il devait avoir quelques mois et mesurait environ 40 cm de haut, là où ses aînés devait mesurer plus de 50 cm. Stribog fût prit d'une grande empathie lorsqu'il vît cette animal blessé devant son abri. Il devait être magnifique en vol mais sans soin il ne pourrait plus s'élever dans le ciel et il mourrait sûrement. Le jeune homme s'empressa de sortir les fruits de son sac et de les offrir à l'oiseau. Il voulait qu'il mange pour reprendre des forces mais aussi gagner sa confiance, il pourrait ainsi le soigner. L'aiglon dévora ardemment les quelques baies et une fois ceci finit, il donna un petit coup de bec sur l'épaule de son nouveau débiteur à qui il devait la vie. Ce geste tira un sourire a Stribog, il se mit alors à soigner l'aile de l'oiseau avec sa trousse de soin. Le volatile laissa étonnamment faire Stribog sans frémir. Après quelques minutes, l'aile était recouverte d'un bandage et d'une attelle. L'oiseau remercia le jeune homme d'un petit cri. Durant quelques jours, le jeune homme et l'aiglon se reposait, pour l'un, et se soignait, pour l'autre. Stribog cherchait à manger tout les jours pour satisfaire l'immense appétit de l'aiglon. Il ne trouvait pas de viande mais ce régime végétal lui convenait parfaitement. Peut-être que la viande n'est pas indispensable après tout ! La semaine touchait à sa fin quand le jeune homme enleva l'attelle de l'oiseau. L'aile était complètement guéri désormais. Le jeune volatile allait pouvoir recommencer à voler. Chose qui semblait le ravire. Pendant ces quelques jours, les deux créatures semblait pouvoir communiquer par la pensée, chacun devinait ce que l'autre voulait dire. De toute évidence, ils avaient tissés un lien fort. L'oiseau, après quelques cris d'adieu, s'envola au loin dans la plaines en laissant Stribog seul retourné chez lui. Quand il revint enfin dans la maison familiale, il pu recevoir la punition que méritait une disparition aussi longue. Mais ça valait le coup de sauver cette oiseau et de vivre totalement libre pendant quelques jours. Puis arriva le merveilleux jour de son vingtième anniversaire. Dès qu'il se leva, il s'habilla rapidement avant de descendre dans le salon où était déjà réuni ses deux parents. Ils avaient tous ensemble préparé ce jours depuis longtemps déjà. Même si le jeune homme était heureux, il ne pouvait retenir quelques larmes de tristesse. La famille finissait de préparer le départ du jeune homme. Ses parents avaient dénichés, grâce à des amis antiquaires, un vieux sac aux propriétés plus qu'intéressante. En effet Il pu y mettre toute ses affaires - chevalet y compris - sans que le sac soit rempli. Et il restait étonnamment léger. L'antiquaire leur avait préciser que ce sac pouvais s'agrandir jusqu'à 10 fois plus que sa taille normal, sans que cela se voit à l'extérieur. Malgré une provenance plus que douteuse, Stribog savait à quel point ce sac allait être utile. Bref, les préparatifs continuèrent jusqu'au soir. Quand le crépuscule arriva, toute la famille était réunie sur le quai de la ville. Un bateau était amarré là, prêt à partir. Des adieux douloureux s'étendirent jusqu'à ce qu'un " Le bateau va lever l'encre ! " retentisse. Un dernier "adieu" à ses parents et il embarqua. Un voyage de quelques jours débuta, au cours duquel Stribog eu le temps de songer à son futur à Terre. Quelques heures après le départ, un cri familier se fît entendre dans le ciel. Stribog était sur le pont quand il retentit. Un éclair noir zébra le ciel pour venir se poser sur le bastingage. C'était l'aiglon de Mellinià. Il manifestait par quelques cris un désir de rester auprès du jeune homme. Il en était convaincu quand l'oiseau ne voulait pas partir même quand Stribog l'y invitait. Il était ravi d'avoir désormais un compagnon de voyage, il s'ennuierait un peu moins. Mais il fallait lui trouver un nom... Après quelques minutes de réflexions, Aquilus était le nom tous décidé. Bref, le reste du voyage fût un peu ennuyeux. Lui et Aquilus passèrent tous leur temps à essayer de communiquer, ce qui étiqueta Stribog auprès des autres passagers comme " détraqué". Mais celui-ci s'en fichait royalement. C'est alors que le 14 de Vennà le nouveau continent avait fini par apparaître aux yeux des passagers. Une longue bande de terre s'étendant à perte de vue. - Tumusk en vue !Le bateau accosta sur un port en effervescence, des quais bondés de marchands négociant les prix de leurs cargaisons, de bourgeoises en quête de leur mari de retour des océans... Le jeune homme laissa s'envoler Aquilus loin de cette ville trop remplie d'humains à son goût. Stribog, quand à lui, admirait la beauté de cette endroit au climat bien plus chaud que celui de la bonne vieille Cardrak. Tous un éventail de possibilité s'offrait à lui ! Il ne pu s'empêcher de crier: - Terre ! Me voilà ! Crie qui lui valu quelques regards de passants inquiet. Détails qu'il éclipsa très vite de sa mémoire. - Citation :
- Raconte la session d'entraînement qui a valu à son personnage sa cicatrice.
Dans la vraie vie Âge : 17 Comment avez-vous connu le forum ? C'est mon troisième compte Avez-vous déjà fréquenté d'autre forum, si oui lesquels ?Toujours fidèle ! Vos passions : Trop pour en cité ^^ Que pensez-vous de Terra Mystica ? Avez-vous des suggestions pour l'améliorer ? Magnifique ^^ Avez-vous rencontré des problèmes pour remplir votre fiche? Aucun Phrase fétiche : (Toujours la même ^^) L'union fait la force.
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| | Stribog Zima
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| | Jeu 29 Mai - 10:53 | | | | Partie RP RPs Terminés
Bonjour ! Z'avez pas vu un dragon ? PV:Chioné Féral 17 de Vennà 114 Le modèle de tous les rêves
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Deux arts totalement opposés
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RP DANS L'AILLEURS, DONC PAS D'INCIDENCE SUR LES PERSOS Une aventure étrange
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| | Stribog Zima
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| | Jeu 29 Mai - 11:02 | | | | Relations Chioné Féral Cousine coté maternel FICHE Ezaria Elémentale distraite
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