Ven 7 Mar - 16:23 | | | | Zalde Aime voir les gens souffrir – Raciste envers les Fées – Dépendant à la drogue – Brille dans la nuit – Hallucine. Informations Surnom : Aucun. Age : 98 ans. Nationalité : Terre. Profession : Aucune en particulier. Camp : Confrérie des Brumes. Croyance : Exios. Titre de noblesse : Aucun. | Race Elfe. |
Caractère
Commençons par un point important, non, Zalde n’est pas quelqu’un de malade, ou de dérangé. Il ne souffre d’aucun trauma dans son enfance pour expliquer ses actes, sa consommation de drogue non plus n’est pas un argument crédible, et il ne possède aucune maladie mentale – enfin, ceci est discutable, juste pas sur le point de son plaisir malsain à faire souffrir des gens, par exemple. Il s’agit tout simplement de quelqu’un de mauvais, parfaitement conscient de ses actes et de leurs conséquences. Il n’y a pas à chercher de circonstances atténuantes dans son histoire. Ce qu’il fait l’amuse, pour l’instant, et c’est tout ce qu’il recherche. Aucune obligation, il pourrait s’arrêter quand il le souhaite.
Bref. Il n’est cependant pas exempt de petits traits de caractère pouvant sembler étranges, d’une manière ou d’une autre. Son racisme envers les fées, par exemple, est parfaitement inexplicable. Aucune d’entre elles n’a jamais voulu lui faire du mal, bien au contraire, mais Zalde n’a jamais pu les supporter. Au mieux, il pense que leur place est dans un bocal que l’on placerait sur une armoire quelque part, et au pire n’aura aucun mal à avancer que leur vie n’a aucun intérêt et qu’elles ne méritent même pas cela.
Passons sa passion pour la destruction de pots, vases et jarres en tous genres pour en venir à l’une de ses croyances qui ne fait pas l’unanimité niveau popularité. Zalde prend en effet le temps, une fois au calme et s’il en a la possibilité s’entend, d’arracher le cœur de ses victimes, pour ensuite les exposer quelque part. Il est en effet persuadé que, une fois un certain nombre d’entre eux rassemblés en un seul point, sa force vitale personnelle augmentera. Autant dire que ce n’est pas au goût de tout le monde.
Parlons ensuite de sa dépendance à une certaine drogue, assez forte. S’il consomme toutes celles qui lui passent par la main, celle de sa création reste sa préférée, et celle sans qui il ne pourrait pas survivre. S’il reste relativement rare qu’il n’en consomme pas assez, il est bien plus courant qu’il dépasse, parfois largement, sa consommation quotidienne habituelle. Cela a, bien entendu, un impact sur son comportement. Si les effets sont variables, le phénomène le plus récurent est celui de le rendre, justement, un peu dingue et désinhibé. Cette dépendance a fait naître en lui deux nouvelles « personnalités », qui lui parlent constamment, et à qui il répond à voix haute. Ce qui a tendance à donner l’impression que l’on a affaire à un fou. Ce qui serait faux, il n’est pas fou, ce sont les deux autres qui le sont. Oh, et en plus, Zalde a tendance à avoir des hallucinations visuelles.
Pourtant, il est impossible de se dire que l’on veuille éviter l’elfe au premier regard. Il peut en effet se montrer tout à fait charmant, même attentionné envers certaines rares personnes. Il n’aura aucun mal à se faire apprécier en société, pour peu qu’il ait une quantité de drogue raisonnable dans le sang, lui permettant d’être parfaitement lucide. Ce constat sera encore plus flagrant lorsque sa compagnie sera une jeune femme blonde, ayant un faible pour ces dernières. Si en plus elles sont au pouvoir, en danger, ou les deux, c’est encore mieux.
Physique Zalde est un elfe relativement classique. Plutôt grand, élancé, ni trop gros, ni trop maigre, il ne se démarque pas spécialement du reste des siens. Ses yeux bleus, ses cheveux blonds et ses longues oreilles ne le rendent pas spécialement très différent non plus.
Niveau vestimentaire, l’elfe fait dans le simple. Des bottes en cuir, un pantalon en toile blanc, une chemise blanche surmontée d’une tunique verte, sur laquelle on peut trouver une ceinture et une lanière, tenant son fourreau qui se trouve dans son dos, tous deux en cuir. Il possède aussi un chapeau, que certains aiment à qualifier de bonnet de nuit, tout aussi vert que le reste.
Son regard et sa posture change régulièrement, en fonction de ce qui sied le mieux à la situation. Ou à ses capacités à se tenir par rapport à la quantité de substance illicites qui se promène dans son sang. De manière générale, il est tout autant capable d’avoir l’air d’un psychopathe dégénéré que d’un petit enfant angélique, sans même qu’il ne se rende compte lui-même de ce changement.
Au final, un seul point ressort assez étrangement. Suite à diverses expériences, un peu compliquées à expliquer pour un tel résultat, la lumière de la pleine lune, éclairant Zalde, fait briller son sang et rend sa peau grisâtre. Cela n’a strictement aucun effet, ni sur ses capacités, ni sur son comportement. Simplement un petit détail, que l’elfe a tendance à ne pas apprécier plus que cela. |
Capacités Arme : Un bouclier et une épée à une main. Peut parfois s’équiper d’un arc, mais ne le fait que rarement. Capacités : Forces :- S’il n’a aucun pouvoir particulier, Zalde possède les capacités générales d’un elfe, en un rien plus amélioré. Plus précis, rapide, fort, et rapide, il est aussi capable d’avoir une capacité d’analyse des situations plus grande, et donc d’avoir de meilleurs réflexes.
- Connaissance de la recette de la drogue dont il est dépendant.
Faiblesses :- D’une première part, sa consommation de drogue. D’un côté, il lui arrive de ne pas en prendre assez, et de ressentir un manque. Aux effets qui deviennent graduellement de plus en plus graves. D’abord, ce sera sa vue qui commencera à en prendre un coup. Sa perception des profondeurs ne sera plus adéquate, avant que sa vision ne se trouble tout à fait. Bien entendu, cela s’accompagne d’une chute drastique de ses capacités. Viennent ensuite des soucis de déplacement, de réflexion et d’élocution. Et si le manque n’est pas rapidement réglé, ce sera la mort qui arrivera.
- A l’inverse, la consommation de Zalde peut avoir été excessive. Certes, ses capacités s’en trouveront très légèrement améliorées, mais les effets indésirables seront bien présents. Si l’accélération de son débit de parole ou de sa respiration peuvent sembler assez peu dérangeants, son incapacité pour se concentrer sur quoique ce soit, un combat par exemple, est bien plus handicapante. Oh, et le risque d’arrêt cardiaque aussi.
- La médecine traditionnelle ainsi que les sorts de soins ou de guérison n’ont aucun effet sur lui.
- Il lui arrive de ne pas être capable de contenir le besoin de soulever au-dessus de sa tête, un air fier sur le visage, les objets importants qu’il vient de ramasser. Cela peut lui arriver n’importe quand, et personne n’a réussi à se l’expliquer. Probablement encore un effet secondaire des expériences qui ont été faites sur lui.
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Histoire
« Il était une fois un petit elfe, tout jeune et mignon, du nom de Zalde, enfant de deux elfes, moins jeunes et moins mignons, mais fort sympathiques. Cet elfe fit rapidement montre de désirs qui n’étaient pas forcément tout à fait très bien vus par tout le monde autour de lui. Jouer avec le feu, littéralement, arracher les pattes aux insectes qu’il croisait. Jusqu’au jour où un bel homme, alchimiste de surcroît, fit un arrêt dans les alentours, à la recherche d’un assistant. Ses parents furent bien entendu trop heureux de se débarrasser de leur fils, et ils ne prêtèrent qu’une attention toute relative à l’explication de ce qu’allait subir leur progéniture. A vrai dire, l’alchimiste aurait montré un peu d’hésitation avant de s’en aller avec le jeune elfe, ils lui auraient proposé n’importe quoi pour dissiper ses doutes. Et c’est ainsi que le petit Zalde sortit de sa forêt, et quitta son régime alimentaire à jamais. »
En soi, il est difficile de narrer plus précisément l’enfance de Zalde, ce dernier ne connaissant que les détails que l’alchimiste lui a conté. Dans des termes plus ou moins similaires aux précédents. Ce dont il se souvient, cependant, ce sont les expériences qu’il a subi. L’homme qui l’avait « recueilli » était en effet un passionné de tests bizarres et relativement dangereux, dont il n’avait aucune connaissance des effets. Et au vu des autres bizarreries sorties de chez lui, l’elfe s’en était encore bien tiré. Il eut la chance de ne subir qu’une trentaine d’essais sur lui avant que l’alchimiste ne rende son dernier souffle. Certains n’avaient aucun effet. D’autres des conséquences assez amusantes, comme l’effet sur le sang de Zalde, le faisant briller sous la pleine lune. Rares furent ceux qui eurent des effets désastreux, sur le long terme du moins. En réalité, seules deux choses marquèrent réellement le jeune elfe, modifiant son comportement à vie. La passion délirante pour les expériences en tous genres, pas toujours très propres de l’homme, et son obligation de consommer des produits différents, parfois assez étranges, se transformant petit à petit en besoin.
Désormais livré à lui-même, le cobaye erra au hasard, n’ayant aucune idée d’où il se trouvait, jusqu’à s’effondrer au sol, incapable de continuer plus loin. Un groupe de mercenaires finit par repérer son corps. Bien décidés à vérifier s’il ne possédait rien d’intéressant, ils furent surpris de le voir encore en vie. Une heure de discussion plus tard, ils se mirent d’accord pour le garder. Visiblement, les légendes parlant des vertus miraculeuses de plumes de certains oiseaux n’étaient pas fondées. Ils l’avaient appris à leurs dépens, eux qui avaient décidé de faire la fête pour les tester, éventrant joyeusement trois de leurs compagnons... Une triste soirée. Bref, ils avaient besoin de sang neuf, et cette recrue leur semblait être tombée du ciel.
Les mercenaires l’entrainèrent, l’équipèrent. Rapidement, ils le lancèrent sur divers contrats. Mais Zalde avait un goût de trop peu. Oui, bien sûr, venir en aide aux gens et se faire payer, de manières diverses et variées passant par le règlement en nature de la somme promise à, parfois, une petite dose agréable de substance illicite permettait de vivre, et avait ses avantages. Seul problème, il n’agissait pas selon ses désirs, mais selon les besoins – Parfois un peu douteux et étranges – d’autres personnes. Il décida donc de se séparer du groupe, et de ne plus attendre des contrats pour agir, afin d’avoir toute la latitude possible pour ses actions. Cela ne dura qu’une bonne semaine. Une bonne semaine durant laquelle il se comporta, et fût traité en héros. Que ce soit pour sauver des gens, chasser quelques créatures sauvages pour protéger un village, ou pour ramener des poules enfuies dans leur enclos, l’elfe n’hésitait pas à agir. Ce n’était juste pas ce qu’il souhaitait faire non plus.
Enfermé dans une chambre d’auberge, qu’il ne cessait de traverser en long et en large, Zalde se mit à réfléchir quant à ses actes. A ce qui pouvait ne pas aller. Contrairement à ce que beaucoup lui disaient, juste avant de mourir – Il s’était rapidement rendu compte de cette tendance qu’avaient les mourants à déblatérer ou à croire n’importe quoi, tant que cela pouvait leur donner un peu d’espoir – ce n’était clairement pas un problème de son incapacité à juger du bien et du mal, et donc de prodiguer sa justice à l’aveugle. Non, les gens ne sont pas tous si compliqués, et dans la majorité des cas ils se complaisent dans un manichéisme aberrant. Agresser une jeune femme seule dans une ruelle sombre ? Mal. Sauver cette demoiselle et profiter de sa reconnaissance ? Majoritairement bien, probablement. Il n’y avait pas toujours une action cachée derrière le mal pour expliquer, se justifier. Les gens pouvaient être simplement mauvais. Et il fallait bien quelqu’un pour les arrêter, c’était pour cela qu’il combattait, non ?
Ce ne fût que le lendemain qu’il eut un début de réponse. Il y avait des rumeurs dans le village, comme quoi l’un des habitants s’était mis à produire sa propre drogue dans sa cave, et faisait sa distribution. Et, bien sûr, on le blâmait pour le comportement des enfants, qui auraient pris de cette substance. Parce que ce n’était clairement pas la faute à l’éducation qui leur était donnée, il fallait un élément extérieur. Soit. Il ne chercha pas à en savoir plus, à se renseigner sur le fait qu’il était gênant, créant un peu plus de concurrence, et se laissa guider jusqu’à cette cave. L’homme qu’il rencontra était sérieusement atteint, demandant sans cesse à ce que l’elfe dise son nom. Voyant qu’il ne le connaissait pas, il se jeta sur lui dans un geste d’une imprécision parfaite, et se trouva éliminé sans le moindre ennui, laissant Zalde perplexe, seul avec ce petit laboratoire.
Déjà habitué à la consommation de substances en tous genres, la petite création de sa dernière victime lui fit découvrir quelque chose de parfaitement nouveau, dont il ne parviendrait plus à se passer. Quelque chose qui lui permit d’ouvrir les yeux sur ses réflexions de plus tôt. Non seulement il était clair qu’il n’était pas un chevalier héroïque bienveillant, puisqu’il prenait du plaisir dans l’acte en plus de celui de la récompense. Mettre fin aux jours de personnes qui n’avaient rien demandé, qu’il ne connaissait même pas, et ce pas toujours de la manière la plus propre, était une chose qu’il trouvait particulièrement grisante. Et c’est là qu’il se rendit compte qu’il n’y avait pas besoin de plus qu’un simple « Parce que » pour justifier des horreurs. Certains n’avaient pas besoin de plus pour créer des mouvements de culte, après tout. Il ne fallait pas une raison à tout, bien au contraire. L’ignorance et l’imbécilité n’ont presque jamais tué qui que ce soit. Le monde serait plus vide et les peuples mieux dirigés sinon. Certes, dans le cas présent, des gens seraient tués, mais pas par le manque d’explications.
Après quelques années, sa consommation commença à se stabiliser à un niveau lui permettant de vivre plus ou moins normalement. Si l’on ne compte pas les hallucinations visuelles et les deux voix aux personnalités différentes ayant élu domicile dans sa tête désormais. Mais mis à part cela, il parvenait à garder un niveau lui évitant d’être constamment aux portes de la mort, et c’était déjà un grand pas en avant. Un mode de vie dont il était heureux. Sauvetage de demoiselles et messieurs par-ci, petits jeux de son cru par-là, et ce souvent avec les personnes sauvées. Il mettait même à disposition sa connaissance de sa recette pour faire un petit commerce. Histoire d’avoir de quoi se nourrir, se loger, et entreposer quelques trophées ici et là. Ses meurtres se voulaient de plus en plus spectaculaires, de plus en plus élaborés, demandant de plus en plus de temps de préparation – Certains d’entre eux l’avaient plus marqué que d’autres, mais ce sera pour une autre fois.
Et là, une question pourrait, si vous êtes un minimum curieux – Ou un peu dégourdi – vous avoir traversé l’esprit. Je ne me permets pas de juger votre capacité de compréhension ou de logique, cependant je vais tout de même écrire cette question pour vous. Juste au cas où, ce n’est pas personnel. Comment Zalde a-t-il pu agir ainsi tout en restant impuni ? Comment personne n’a-t-il pu remarquer tout cela ? Pour commencer, l’elfe se baladait un peu à gauche et à droite, sans jamais se faire réellement remarquer. Il profitait aussi du fait que les disparitions inexpliquées de gens n’étaient pas si rares que cela. Mais ce n’était bien sûr pas suffisant.
En réalité, il doit son salut à la Confrérie des Brumes. Non pas qu’elle s’occupe de cacher ses actes et supprimer ses traces dans son dos, non, loin de là. Ce qu’elle lui permet, c’est de pouvoir se cacher au QG et se faire oublier, ou de se déplacer pour divers objectifs. Ces objectifs de missions lui prenant régulièrement du temps, l’empêchant de fait de se concentrer sur autre chose, espaçant donc les méfaits qu’il se délecte de produire. Bref, l’idée d’un job prenant, dont les récompenses à ses yeux ne sont pas forcément celles que tout le monde verraient. Son recrutement aura été somme toute classique, et pas réellement intéressant. Petit Zalde reçoit une lettre anonyme, lui donnant rendez-vous à un lieu et une heure donnée. Quelqu’un lui rentre dedans, lui laisse un message expliquant rapidement que son petit commerce était intéressant, au vu du nombre de clients, et qu’ils voudraient l’aider à se développer. Pas par bonté de cœur, bien entendu, il faudrait qu’il rentre au service de la Confrérie. Et les étapes suivantes, quelques jeux de piste pour retrouver un contact prudent, quelques rencontres avec certains membres cachant bien leur identité, jusqu’à son intégration.
Dans la vraie vie Âge : 21 ans. Comment avez-vous connu le forum ? Fouille hasardeuse. Avez-vous déjà fréquenté d'autre forum, si oui lesquels ?Pas mal d’autres, comme beaucoup j’suppose. Lesquels, par contre, c’est trop demander à mon petit cerveau ça. Vos passions : Ecriture, jeux vidéo. Et combinaison des deux. Que pensez-vous de Terra Mystica ? Avez-vous des suggestions pour l'améliorer ? Parfois un peu fouillis, il faut avouer, mais à part cela... Avez-vous rencontré des problèmes pour remplir votre fiche? Pas vraiment, non. J'ai fait le tout assez court, et sautant un peu du coq à l'âne, de manière à pouvoir mieux exprimer cela en RP par exemple. S'il faut modifier, je suis bien entendu prêt à le faire.
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| | Zalde
Partie IRLCrédit avatar : NintendoDouble compte : NopeVitesse de réponse : Aléatoire
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