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| Dim 2 Mar - 1:09 | | | | Owlydh Sythandra
Patiente, sereine, aimable, amicale, bon public, curieuse, très habile de ses mains, marchandeuse. Loyale envers ceux qui gagne sa confiance. Très bonne mémoire olfactive. Sent toujours bon le jasmin.
Légèrement susceptible, un peu timide et méfiante en présence d'inconnus, rancunière, parfois impulsive, n'a pas sa langue dans sa poche quand elle est en confiance. Maladroite quand elle fait autre chose que de la couture.
Peut s'emporter si elle est témoin d'une injustice qu'elle se sent capable de réparer ou si quelqu'un s'en prend à une personne qu'elle affectionne.
Information Surnom l'Aiguille Âge : 27 ans Nationalité : Terre Profession : Couturière (sur commande principalement, se déplace souvent) Camp : Plus ou moins neutre : l'allégeance va où son intérêt réside - et vers ceux qui lui permettent de ne pas mourir ... Noblesse : Aucun Croyance : Nature Famille : Aucune actuellement ...
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Race Être de Floraison (liée au Jasmin rosé). - Description race:
Chaque famille d'Êtres de Floraison est liée à une espèce de fleur différente. Cela implique que leur peau possède l'odeur et la douceur de la fleur, et les yeux, les cheveux et la queue en possèdent la couleur. À la pointe de la queue pousse en tout temps une feuille provenant de l'espèce de fleur en question. Le cœur de cette race est pur et bat toujours rapidement. Ils aiment enrouler leur queue mobile et préhensile autour de leur corps ou leurs jambes lorsqu'ils dorment, ou autour de la personne qu'ils enlacent. Les cheveux de cette race restent toujours secs et soyeux, même lorsque mouillés. Comme pour une fleur, sur tout leur corps, l'eau se contente de perler. Ils ont les oreilles pointues et mobiles (selon les émotions ressenties ou les bruits alentour). Ils possèdent des ongles pointus et 4 canines pointues d'environ 1,5 cm de longueur. Ils sont toujours sveltes et très légers. Les Êtres de Floraison ne transpirent jamais et adorent le miel. Ils possèdent la même longévité qu'un humain.
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Caractère Cerner complètement Sythandra n'est pas chose aisé car de par sa nature elle est multiple et complexe. Savoir démêler ce qui est Sythandra de ce qui est Koïa peut être une tâche qui frôle l'impossibilité ... Mais il est indubitable que l'harmonie des deux êtres forme un tout pour le moins original et intéressant ...
Sythandra est une jeune femme au naturel poli et amical : le sourire est constant mais point trop marqué, les yeux sont pétillants de malice , et les mouvements gracieux du corps expriment sans cesse la jovialité et la passion de l'être de floraison. Si elle semble papillonner avec ferveur entre les étals des marchés ou dans la nature, c'est une travailleuse déterminée et surtout d'un calme olympien que l'on peut observer lorsqu'elle s'attelle à un ouvrage de couture.
Son Âme-liée lui apporte une curiosité qui paraît ne jamais pouvoir être satisfaite, ainsi qu'un babillage extrêmement prolixe pour peu qu'elle se sente en confiance (ce qui souvent l'aide à marchander avec les vendeurs qu'elle connaît). Koïa donne aussi à sa moitié un côté parfois trop impulsif et suffisamment susceptible pour qu'elle en devienne rancunière. Elle oublie rarement ceux qui lui ont fait du mal d'une quelconque façon (bien qu'elle se souvienne surtout de l'odeur de la personne que de son visage ...). Elle ne supporte pas qu'on se moque d'elle, ni même qu'on se serve d'elle.
Dans le même genre d'idée, si on sait s'en faire une amie il y a de forte chance que ce soit à vie. Loyale envers toux ceux qui gagnent sa confiance, elle peut parfois s'oublier au profit de ceux qu'elle affectionne, sans toutefois se mettre en danger. Il lui arrive quelque fois de perdre patience et de s'échauffer lorsqu'elle est témoin d'une injustice - surtout si elle se sent capable d'y remédier ou si cela touche une de ses connaissances - et elle prend à cœur de toujours défendre les siens, quitte à se mettre dans des situations ... compliquées ... et dont elle espère se dépêtrer par la parole.
Il est bon aussi de préciser que si elle est très habile de ses mains quand il s'agit de coudre et de créer de beaux atours, Sythandra se révèle être d'une consternante maladresse le reste du temps ... Et si vous devez lui adresser une critique, pensez à vérifier qu'elle n'a pas faim avant : sa susceptibilité est proportionnelle au vide dans son estomac ...
Physique Sa naissance étant lié au jasmin rosé, Sythandra arbore une belle chevelure blanche au reflets rosés (parfois dorés avec le soleil), tressée finement, et ses iris s'illuminent de cette même teinte. La queue de l'être de floraison est, de fait, elle aussi blanche et rosée, se terminant par une belle et vivace feuille de jasmin. Ses oreilles remuant assez souvent, ses bijoux s'entrechoquent délicatement en un savant tintement agréable pour les mélomanes. Quant à ceux qui ont le nez délicat, ils pourront se délecter du parfum de jasmin qui affleure sans cesse sur la peau de la jeune femme.
Sythandra est à peine plus petite que la moyenne, et sa carrure est assez banale, mais toutefois plaisante. Son corps de femme est bien en chair sans être trop généreux, svelte tout en étant assez musclé, délicat sans être vraiment fragile. Comme on dit, la nature est bien faite ... Aimant les belles toilettes colorées sans pour autant aller à l'extravagance et encore moins à la vulgarité, Sythandra sait allier élégance et simplicité. Le plus souvent, elle évolue dans une robe (ou en vérité, plusieurs robes déclinées à partir d'un même modèle) cintrée et finement ajustée, mélangeant les verts de la forêt au jaune-orangé du soleil couchant, brodée ça et là de motifs floraux aux fils blancs et rosés et agrémentés de perles. Ses pieds et ses chevilles sont cachés dans des bottines en cuir ocre sans fioriture. Elle porte aussi presque tout le temps une sorte de large bandeau de cuir vert dans le cheveux.
Notons également qu'elle est l'heureuse détentrice de quelques tatouages, le seul visible de tout un chacun étant celui qu'elle arbore sur la joue gauche. Autre précision notoire : sa queue est constamment cachée sous ses vêtements.
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Capacités Armes : Aucune, à moins qu'un set de couture bien fourni puisse être considéré comme une panoplie d'armes ... Pouvoirs : Main verte : De par son lien puissant avec la nature, Sythandra peut naturellement donner un coup de pouce à la nature. Cependant elle ne crée pas : elle ne sait qu'aider ce qui existe déjà à pousser plus vite et mieux, il faut donc qu'il y ait au moins une graine, un bulbe ... A noter qu'elle est plus efficace avec les fleurs qu'avec les autres plantes. Talents d'aiguille : Sythandra a élevé la création de vêtements au rang d'art. Elle peut fabriquer n'importe quel habits avec n'importe quel matériau, s'inspirant très souvent de la nature elle-même. Ses ouvrages sont toujours délicats mais possèdent tous une solidité étonnante (toutefois tributaire de la solidité naturel du matériau, cela s'entend). Compréhension animale : Sa condition d'être de floraison fait que Sythandra peut comprendre la plupart des animaux (du moins ceux qui sont issus de la nature), parfois avec difficulté selon son état émotionnel, celui de son Âme-liée ou encore l'animosité de l'animal en question. Familier : Pas de familier mais une Âme-liée comme tous les Être de Floraison. Koïa est une femelle Tapoyos qui partage la vie et les émotions de Sythandra depuis la naissance de cette dernière. D'un naturel impulsif, joueur et curieux, le caractère susceptible de Koïa est tempéré par le calme et la douceur de Sythandra. A l'inverse, l'animal aide la jeune femme, par son tempérament aventureux, à passer outre sa relative timidité. Notons que Koïa a la sale habitude de "goûter" toute chose - inanimée, animée ou même vivante - qu'elle ne connaît pas ... Au mieux, la chose en question sera recouverte de bave ... Au pire ... heu ... vous êtes vacciné contre le tétanos ? Non ? Ah ... - Description Tapoyos:
Les Tapoyos sont semblables à des chiens-loups, mais restent petits toute leur vie (20 à 30 ans en temps normal, ici il s'agit d'une Âme-liée donc son espérance de vie est celle de Sythandra). Ils vivent en meute mais sont très attachant. Si l'un d'eux s'attache a vous, vous ne pourrez vous en défaire, ils sont le plus souvent familiers, mais peuvent aussi servir d'animaux de compagnie, ils ne sont pas très exigeants et sont très indépendants. Mais garde à vous si vous vous en prenez à ses animaux adorables, leurs bouches peuvent se dilater et leurs dents sont très très coupantes : ils sont pareils à des Piranhas.
- Note sur l'Âme-liée:
Les Âmes-liées, comme le nom l'indique, ont l'âme liée l'un à l'autre. Si l'un meurt, l'autre aussi, si l'un revit, l'autre aussi... Dans le même ordre d'idée, ils passent presque tout leur temps ensemble et se sentent inconfortables lorsque l'autre est absent pendant plus d'une journée. De plus, tous ce que ressent l'un est ressenti par l'autre, qu'il s'agisse d'émotions ou de sensations physiques. Artefact : Afin de pouvoir pratiquer son métier au service du plus grand nombre, et étant donné qu'elle préfère se déplacer chez le commanditaires pour prendre les mesures, Sythandra s'est procuré une aquasphère et une aérosphère, toutes deux montées sur une boucle d'oreille. Elle porte donc, en plus d'une parure de boucles aux pierres rouges, une perle blanchâtre, comme nuageuse, à l'oreille gauche (l'aérosphère), et une perle bleue avec d'étranges reflets verts à l'oreille droite (l'aquasphère). Autre : Sythandra ne quitte jamais (même pour dormir, c'est pratique en oreiller) sa sacoche en cuir vert. Celle-ci contient notamment un set de couture bien fourni, un carnet de croquis, avec reliure en cuir ocre, dans lequel elle consigne toutes ses créations, un autre carnet, avec couverture en bois très fin et souple celui-ci, contenant une quantité difficilement quantifiable de coupons de tissus portant tous une petite note manuscrite (avec leurs caractéristique comme la qualité, le prix, l'endroit où on peut en trouver ...), et un dernier carnet, tout simple, sens reliure, pour noter ses idées, ses pensées ... On peut aussi, en fouillant bien, trouver quelques fusains bien emballés dans un papier de soie blanc, des graines diverses en vrac et, enfin, un petit diptyque en bois cachant un portrait de sa mère et un de son père. Parfois elle y glisse une ou deux tenue de rechange, selon où elle voyage, la majeure partie de ses affaires restant chez la dame elfe qui l'a prise sous son aile. |
Histoire Seulement le début d'une aventure An 87, septième jour de Nàdrillä. Forêt de Drayame, non loin de la frontière avec Flore. A l'heure matinale où les fleurs automnales commencent à sortir de leur torpeur et où la faune s'agite déjà joyeusement dans les sous-bois, des cris de femmes rebondirent sur les troncs massifs. Si l'on songeait alors à tendre l'oreille, on pourrait peut être suivre la piste auditive jusqu'à un grand monticule mousseux surmonté d'un large buisson de jasmin. Le promeneur hasardeux pourrait hélas tourner en rond des heures durant avant de pouvoir découvrir l'entrée de ce logis au sein du quel vivait, en harmonie avec la nature, une famille d'Êtres de Floraison. Et cette famille était sur le point de s'agrandir ... Jusqu'alors vivaient en ce lieu quatre Êtres de Floraison liés au jasmin rosé qu'ils entretenaient au sommet de leur tanière : un couple formé depuis des décennies et leur deux fils, dont l'un partirait bientôt pour marcher sur son propre chemin. La mère se tenait ce matin dans un bassin d'eau claire, son gros ventre rond témoignant de son état. Le frère aîné s'occupait de son cadet tandis que le père était au dehors pour collecter des fruits juteux et de la rosée bien fraîche pour sa bien-aimée. Cette dernière était en travail depuis maintenant une heure, épaulée par une Être de Floraison dont les cheveux violacés trahissait sa liaison avec les belles violettes que l'on trouve parfois aux bords des chemins ... La femme était âgées, tout comme le chat roux qui l'accompagnait ... Quant à l'hermine qui était l'Âme-liée de la parturiente, ressentant les douleurs de l'accouchement, elle s'accrochait à la tunique de son alter-égo ... Mais la torture du moment ne dura point longtemps et rapidement l'eau limpide accueillit une petite fille blanche et rosée, dont le doux parfum emplie la pièce au point de surpasser doucereusement les effluves de sa propre famille, roulée en boule, la petite queue enroulée autour du petit corps, encore lié à sa mère par le cordon ombilical que la sage-femme se pressa de couper, afin de sortir l'enfant de l'eau et de lui faire prendre sa première respiration. Aux cris d'une mère donnant la vie succédèrent ceux d'une nouvelle créature découvrant le monde : Sythandra Owlydh était à présent forme de chair et de sang, et tandis que l'amie de la famille déposait la fille sur la poitrine de la mère, une autre créature fit son apparition ... Une créatures des plus étranges, de celles qui cachent sous leur apparence aimable un caractère qui l'est moins ... Souriant à sa fille, l'Être de Floraison maternelle tendit la main vers la nouvelle Âme-liée afin que celle-ci vienne se blottir contre celle avec qui elle grandira. Une être de floraison et une Tapoyos ... quel drôle de mélange cela va-t-il engendrer ? Drôle de mélange effectivement, mais qui grandit plutôt bien ! Le duo fut, depuis les premiers pas de l'enfant, terriblement joueur et particulièrement efficace dans l'art de faire des bêtises ... Si la petite fille démontrait une grande timidité devant ceux qu'elle rencontrait pour la première fois, le soutient de son Âme-liée faisait d'elle un vrai moulin à parole dès lors qu'elle était en terrain connu. L'enfant était intarissable sur ses nombreuses aventures dans la nature, bavarde comme pas deux au sujet de ses amis et des animaux qu'elle apprenait à comprendre, prolixe quant à son avenir à chaque fois qu'on lui demandait ce qu'elle fera quand viendra l'âge de quitter le cocon familial, à l'instar de ses frères, dont le plus jeune la quitta au lendemain de son dixième anniversaire. Seule à présent avec ses parents, Sythandra fut dès lors invitée à s'assagir et sa mère l'amena auprès d'une ancienne Être de Floraison : la jeune fille devint élève et appris tout ce qu'elle sait aujourd'hui sur l'art de la couture. Pendant trois longues et belles années, Sythandra partagea donc son temps entre son foyer et l'enseignement de la vieille femme. Durant son temps libre, elle s'attacha également à mieux comprendre la nature, le mécanisme des floraisons, les particularités de chaque espèce ... C'est ainsi qu'elle se rendit compte que si elle arrivait de plus en plus à saisir les pensées des créatures naturelles, celles des créatures magiques lui étaient fermées. De même, elle appris que les fleurs demandaient une attention constante et minutieuse alors que les arbres ne demandaient qu'à grandir seuls, toujours plus haut ... Et puis la dame mourut et s'en retourna à la terre nourricière. A présent âgée de treize ans, la jeune Sythandra avait déjà acquis un certain talent, mais elle voulait encore se perfectionner. Et quoi de mieux que la nature elle-même pour vous donner les meilleures leçons ? Aussi, et ce jusqu'à sa dix-huitième année, elle passa dès lors chaque journée à observer avec rigueur et patience les être vivants qui l'entouraient. Elle apprit beaucoup avec les araignées tisseuses. Elle nota consciencieusement chaque caractéristique de tout ce qui dans la nature pouvait être utilisé dans la confection d'habits de toutes sortes. Elle retint progressivement les différences de douceur, de longueur, d'odeur, de qualité ... des pelages de chaque créatures à fourrure déambulant sur Terre, à Drayame ou à Flore, qu'elles soient de passage ou sur leur territoire ... Elle essaya différents bois avant de trouver le meilleur pour les aiguilles. Elle traqua méthodiquement les nids de vers à soie pour dégoter les fils les plus beaux et les plus solides ... Bref, elle appris à mettre à profit le meilleur de la nature sans lui causer d'injure, tout en s'exerçant à son art pour toujours faire de meilleurs ouvrages. Toute cette concentration parvenait même à rendre immobile l'instable Koïa. Les lieux de vie de Sythandra L'année 105 arriva et avec elle les dix-huit automnes de Sythandra. Après avoir dignement fêté cet événement avec les siens, la jeune Être de Floraison devenue adulte rassembla ses affaires (contenues dans sa seule sacoche) et fit ses adieux à sa famille, avant de poser les pieds sur son propre chemin. Chemin qui la conduisit chez les elfes, du moins, chez l'une d'entre eux. Une femme sage et simple qui était connue du peuple de Sythandra comme une protectrice de la nature, mais, et c'était le but de la jeune aventurière, comme une brodeuse excellente. Avec sa verve aimable, l'Être de Floraison convainquit l'elfe de la prendre à son service, en pratiquant un échange de bons procédés : l'elfe enseigna à Sythandra tout ce qu'elle savait tandis que la jeune femme aida son mentor à comprendre les fleurs et à embellir sa maisonnée. Et puis Sythandra fut prête. C'est ainsi que l'elfe le déclara : la jeune femme n'avait plus rien à apprendre et son art ne demandait qu'à s'exprimer de part le monde. Un monde par ailleurs déchiré par la guerre, cadeau du fameux Aile Ténébreuse qui commençait à inquiéter la nation elfique. La dame elfe était une femme généreuse, et fière de son élève elle décida de lui offrir une paire de boucles d'oreilles spéciales qui lui seraient fort utiles dans son futur métier : une aquasphère et une aérosphère, toutes deux solidement montées sur de belles arabesques en argent. Elle lui fit aussi cadeau d'un set de couture, avec de belles aiguilles en acier de toutes tailles, deux enfiles-aiguilles ciselés et quelques fils d'or, d'argent et de soie précieuse. Âgée alors de vingt-trois ans, et tandis que les troupes du seigneur démon marchaient sur Terre, Sythandra se lançait enfin dans son aventure personnelle, devenant dès lors une Être de Floraison parfaitement indépendante, non sans avoir un pied à terre et une protectrice de choix, la dame elfe lui ayant promis de toujours lui garder une place dans sa demeure. Sythandra y revient par ailleurs toujours après chaque voyage, s'y sentant comme chez elle et parfaitement à l'aise pour travailler. Ainsi donc, en l'an 110, Sythandra et sa joyeuse Koïa commencèrent leur vie active, la jeune femme créant pour les belles dames et les riches messieurs des différentes nations de ce monde, prenant soin de toujours rester discrète pour ne surtout pas attirer l'attention sur elle. Sa nature paisible et pacifique l'y aidèrent beaucoup, son talent également. Les gens utiles sont des gens qui restent en vie plus facilement que les autres ... Sythandra put ainsi voyager sans être inquiétée, non sans s'inquiéter elle-même pour les siens : alors qu'elle venait de fêter son anniversaire en s'offrant de beaux tissus qu'elle était impatiente de montrer à son amie, elle appris que Terre venait de capituler ... et que les troupes du démon marchaient vers Drayame ! Sans toutefois paniquer, elle regagnât au plus vite le domaine des elfes et demanda humblement à la dame elfe de protéger sa famille, ce que l'elfe accepta, ayant de la place chez elle et aucune autre bouche à nourrir. Quelques mois plus tard, les elfes durent plier devant Aile Ténébreuse ... Depuis lors, Sythandra n'a pas cessé son activité, bien au contraire. Mais elle sait qu'elle doit toujours se méfier et faire attention à qui elle offre sa confiance. Son Âme-liée, devenue au fil du temps une belle Tapoyo adulte, est sa plus grande alliée lors de ses voyages. Et surtout, elle a du apprendre à faire semblant de vouer sa loyauté au seigneur démon ... Pour une créature de la nature honnête, c'est toute une aventure ! - Citation :
- Raconte-moi un voyage où les choses auraient presque mal tournées, mais heureusement tout ce serait réglé sans trop de mal
L'aventure commence ici ... Dans la réalité
Âge : Presque 28 ans (et pas toutes mes dents) Avez-vous déjà fréquenté d'autres forums, si oui lesquels ? Avec plus de 10 ans de pratique, ça tient plus sur mes mains ^^ Vos passions : Geeker, écrire, lire, imaginer ... Votre avis sur le forum? Mis à part la présentation originale qui déroute quelque peu au début, je le trouve très intéressant et attrayant (par contre, le wiki comporte des lacunes parfois problématiques pour certaines races, genre l'absence de taille moyenne pour les êtres de floraison ^^). Comment avez vous connu le forum? Par Ionos Selherand à qui j'ai "donné" une leçon de chasse ^^ Phrase fétiche : Tu peux pas test ... Crédit avatar : Ventsombre (image de Neverwinter Night modifiée par mes soins)
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| | Andromaque Ardhanarîshvar
Partie IRLCrédit avatar : Tilda Swinton, retouchée par moiDouble compte : HelyanwëVitesse de réponse : de rapide à longue
| | Lun 3 Mar - 16:23 | | | | ¤ Famille Owlydh, Êtres de Floraison liés au Jasmin rose Vivent tous soit à Drayame soit à Flore (me contacter si envie de jouer un membre de la famille)¤ Dame elfe protectrice et mentor de Sythandra (et son vieux domestique humain) Vit dans une demeure forestière à quelques minutes de marche de la Cité des Arbres des elfes (me contacter si envie d'incarner ce personnage ou même son domestique ^^)
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| | Andromaque Ardhanarîshvar
Partie IRLCrédit avatar : Tilda Swinton, retouchée par moiDouble compte : HelyanwëVitesse de réponse : de rapide à longue
| | Lun 3 Mar - 16:38 | | | | ¤ Du miel et des abeilles pour une fleur de jasmin (RP libre)Lieu : Duché de Sholat (Montagnes - Sola) Date : An 114, début du mois de Kelrenn (Printemps)¤ Une aventure inattendue (Épreuve de validation)Lieu : Sen'tsura (Terre) Date : An 113, en été¤ Un morceau de sucre aide la médecine à couler (PV Brimen Filinaliel)Lieu : Drayame (Terre) Date : An 114, mi-Mellinià
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| | Andromaque Ardhanarîshvar
Partie IRLCrédit avatar : Tilda Swinton, retouchée par moiDouble compte : HelyanwëVitesse de réponse : de rapide à longue
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