C'était une journée comme les autres, cela faisait une daizaine d'années que Mifuné était avec cette Eliana, et aujourd'hui, elle avait vu des hommes armés aux environs et lui avait demandé de garder les environs de la maisonnette ou ils étaient en ce moment. Il avait les yeux mis clos et tous les sens aux aguets. Un homme arriva en courant, il se redressa et se mettait entre lui et l'habitation.
<< Qui es-tu?
Je viens porter un message à la dame des glaces. >>
La dame des glaces...l'un des nombreux surnoms que mon maître a.
<< Donne le moi, je le lui donnerai plus tard. >>
Une voie résonna alors dans ma tête, celle de mon maître.
<< Laisse le entrer, je le connais.
Mon maître vous invite à entrer...je vous en prie >>
J'attendai à l'extérieur, et une demi heure passa et il sortit, elle me demanda de rentrer, je compris à l'expression de son visage qu'il y avait un problème.
<< Je vais te laisser une semaine de repos... tu as...quelque chose de personnel à aller faire.
De quoi sagit-il?
Je viens d'apprendre une triste nouvelle, ta mère...n'est plus des nôtres. >>
Son annoce le frappa comme un coup de tonnerre. Il resta immobile, le regard vide, incapable de réaliser l'iréalisable, sa mère n'avait que 40 ans...et même si ses conditions de vie étaient dure, elle était forte.
<< Je te laisse une semaine afin que tu aille voir sa tombe et faire ce que tu pensera bon de faire. L'homme de toput à l'heure t'attend dehors, ne le fait pas attendre. >>
Il resta muet, le regard vide et sortit, par réflèxe, il pris ses sabres et suivit l'homme. Le trajet durra un peu plus d'un jour, un jour qu'il utilisa pour réfléchir à ce qu'il allait faire, et à ce questionner sur le sens des mots de son maître. Une fois arrivé, il se dirigea directement vers le petit cimetiere du village et y trouva la tombe de sa mère, à côté de celle de son père.
<< La nature nous à donné la vie, et à présent, vous y retournez... repose en paix mère. >> Ses paroles n'était qu'un souffle ténu à peine audible.
Il resta un long moment à contempler ces tombes et lorsqu'il parti enfin, il entendi l'un des villageois relater les faits: sa mère avait été tuée par des bandits locaux. Il garda un calme froid et demanda s'il savait où ils se cachaient. Il mit la journée à glaner des informations pour connaîytre l'emplacement de rfuges de ces vermine, sa colère grandissante. Lorsqu'il sut où ils crechaient, c'est avec le plus grand sang froid qu'il y alla et qu'il les éxécuta, les uns après les autres calmement, les laissant dans la peur de la mort prochaine, libérant toute sa colère contre ceux qui avaient mis un terme à la vie de sa mère. Lorsqu'il eu fini, sa colère n'avait pas disparue, bien au contraire, il repatri cependant auprès de son maître, la servire elle qui était encore vivante, la servire et la protéger. Sa volonté n'avait jamais été aussi forte même si son coeur, lui, était meurtri.