[Event] La caste des Saynis, groupe 5 : Entrée par le donjon.
Dim 10 Nov - 23:03
† Partie RP †
Alors que la plupart des aventuriers avaient déjà pénétré le château par plusieurs accès, un petit groupe s'était formé et avait traversé le monde à grande vitesse pour espérer trouver une place dans cette noble quête. Ils n'avaient ni de chef ni d'ordres à suivre pour trouver leur place.
A leur arrivée, perchés en haut d'une colline pour avoir pris un chemin différent, ils tombèrent nez-à-nez à ce qui ressemblait au Donjon qui s'élançait encore plus haut que le château. Sa porte était fragile et peut-être serait-ce une bonne idée de pénétrer à l'intérieur. L'aura magique qui se dégageait de cette tour était effroyable et confirmait bien qu'ils se trouvaient au bon endroit, là où les Saynis apparaissaient comme une menace pour les nains d'Akham.
Quand ils descendîmes, un Homme du nom de Masutatsu qui avait vu arriver au loin les deux compagnons semblait les attendre. Peut-être pourrait-il leur expliquer le but de leur intrusion à l'intérieur du château, tout comme l'avait fait le général d'Akham juste avant, et ainsi les éclairer sur les raisons de tout ce remue-ménage dans cet endroit. A leur arrivée, ils laissèrent la parole au dénommé Masutatsu, après les présentations, afin qu'il puisse leur détailler ce qu'ils avaient besoin de savoir.
† Partie HRP †
Ainsi, voilà le commencent de votre arrivée dans l'enceinte de la famille Saynis. Pour que vous puissiez faire chacun votre introduction, je vous laisse écrire les 3 premiers posts les uns après les autres librement. Je posterai après le dernier post, celui d'Anodrac, pour prendre la suite des opérations.
Rägmor
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Dim 10 Nov - 23:40
Voilà que je tombais face à une bande de p’tits gars qui semblait aussi ordonner que des poules après un jour de fête. « Hé ben, ben l’bonjour les p’tiots. J’me nomme Masutatsu, j’suis médecin et j’ai un katana, au cas où. Bon apparemment z’êtes au courant d’rien, d’toute façon c’pas grave l’explicateur était un pignouf. Alors si on z’ici s’parce que dans l’monument qui s’y trouve derrière moi, j’cause du donjon. Hé ben que qu’c’est dans l’genre louche. Not’ but est de trouver quelque chose de bien bon dans ce donjon, quelque chose sur les Saynis, l’genre de famille mystique noirâtre qui fait pas bon vent. J’pense qu’on vas y d’voir monté, donc entr’, on inspecte et on trouve. Bon moi j’suis ici parce que j’étais avec un gogol qui s’prenait pour Alastair Zelphos et une autre qui se disait « légende » ou j’sais pas quoi. Croyez ben qu’j’allais pas rester avec des fous. Donc j’vous laisse dire qui qu’vous z’êtes et c’que vous savez faire. Par contre si y’en a un qui m’dit qu’il est grand prêtre ou j’sais quoi j’lui latte les dents. » Je pense que j’avais été clair, certes mon langage était celui d’un marin, mais je restais un humain qui parlais la langue humaine. Je me retournais alors pour voir ce donjon, de loin il n’était pas très formidable. Mais de près il était bien plus imposant, en mer je n’ai pas l’habitude de voir un bâtiment depuis le bas d’une colline. Il donnait des frissons, je n’avais jamais pratiqué la magie bien que j’ai quelques bases médicales d’alchimie, mais je pouvais sentir quelque chose. Il y avait dans cet imposant et sombre tour de pierre noir quelque chose de dérangent, comme une haine viscérale. C’est comme si il était naturelle pour l’humain que j’étais de vouloir la destruction de cela, comme si c’était mon instinct de survis qui prenait le dessus. Je regardais alors ces murs sombres, sur que ça devait pué le renfermé là dedans. « Au fait, si qu’on y doit rentrer faire c’boulot c’bien parce que c’est mauvais pour j’sais pas quoi … l’empire, les nains … voyez l’bordel politique quoi. » J’avais cette fois prit le soin de faire des torches et de rajouter une longue veste couleur rouille par dessus mon kimono, c’est qu’il faisait froid chez les nains. J’avoue que je craignait un peut cette fois, pas parce que j’avais peur des jeteurs de sort, mais les trucs qui vont en hauteur c’est pas trop mon dada. J’suis fait pour la mer, déjà que la terre ça passe léger, alors la hauteur… Pensez bien ! Je sortais donc une bouteille de whisky de mon sac en cuir, arrachais le bouchon avec mes dents pour le cracher sur la porte du donjon et ainsi fourré la goulot dans ma bouche le temps de laisser passer quelques « glouglou » qui prirent fin lorsque je lançais un énorme rot de satisfaction. J’envoyais un grand sourire a mes compagnons qui semblait moins excentrique et moins politicard que les derniers. Je me frappais alors la bedaine d’un geste entraînant pour envoyé un autre rot. Je me mit alors au sérieux pour sortir les torches que j’avais préfabriqués. Je les lançais a mes coéquipiers suivis de quelques onomatopées typiquement marin. Il fallait que je fasse le choix entre prendre ma bouteille ouverte à la main et gardé la torche. Le choix fut pénible mais je laissais la bouteille bien en évidence devant la porte, au moins si le général passait il serais au courent de notre présence, de plus j’avais désormais les mains libres, l’une pour la torche, l’autre sur mon katana. Bien que je n’avais pas totalement envie de m’en servir, du katana. « Passembleu … Yehadiel, avec moi ! » Lançais je, comme un ivrogne déclare sa flamme a une prostituée. D’un geste inconscient je me grattais les fesses puis d’un coup de pied j’ouvrais violemment le porte du donjon qui tombais en ruine. Si les autres avait une stratégie elle était foutue, de toute façon il n’y avais pas quarante entrés. Ma pensée en entrant dans la tour fut a la bouteille de whisky qui devrait m’attendre posé sur le sol. Certes j’en avais d’autre dans mon sac au coté de mon matériel de médecin, mais une bouteille… c’est comme une femme.
Invité
Lun 11 Nov - 5:45
Ruby et Anodrac arrivèrent en même temps au lieu et marchèrent jusqu'au donjon. Ils rencontrèrent un homme aux allures étranges. Ce dernier leur débita rapidement un monologue sur le pourquoi du comment. Était-il supposer leur expliquer ce qu'il fallait faire? La commandante fronça les sourcils et croisa les bras sur sa poitrine. Lorsqu'il eut finit de parler, l'ombrageuse regarda son compagnon d'un air perplexe.
"Ní raibh mé a thuiscint leath an méid a dúirt sé go díreach. Inis dom go dtuigeann tú rud éigin i ngach gibberish briathartha." (Je n'ai pas comprit la moitié de ce qu'il vient de nous dire. Dis-moi que tu as comprit quelque chose dans tout ce charabia verbale.)
Elle décroisa les bras et posa un main sur sa hanche en jetant un regard vers l'homme avant de s'adresser à l'ombrageur en ombrager.
"Ná inis dom tá sé ..." (Ne me dit pas qu'il est...) commença-t-elle. "... ár teagmhála?" (... notre contact?) demanda-t-elle doucement.
La femme soupira et s'approcha de l'homme en souriant. "Tá mé Ruby Blake. Anseo Hogun Anodrac. Cad is ainm duit?" (Je suis Ruby Blake. Voici Hogún Anodrac. Quel est votre nom?) dit-elle alors à l'intention de l'étranger.
Elle n'avait rien de comprit de ce que l'homme lui avait dit. Sa façon de s'exprimer était rustique, voir une langue complètement différente. Elle n'en avait saisit que quelques mots. Quel langue parlait-il? Il suivirent leur guide jusqu'au donjon, mais ne prit pas de torche. Elle n'en avait pas besoin. Elle voyait aussi bien le jour que la nuit, mais elle le laissa les précédés. Elle ne manqua pas les gestes de Masu et roula des yeux, visiblement dégouté par le manque de civisme de leur guide.
Ruby Blake
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Lun 11 Nov - 16:02
Hogùn accompagnait Ruby jusqu'au point de rendez-vous et quand ils furent rendus, ils rencontrèrent leur contact. Aux premières allures, l'homme n'était pas très propre ni même bien imposant. Celui-ci commença par expliquer la raison de leurs présences. Il parlait avec un langage bien... bas et à première vue, il n'était pas très éduqué. C'est à se demander si tout cela n'était pas une méchante blague. Mais, Hogùn ne put s'empêcher de lancer un commentaire après une petite phrase.
« J’ai un katana, au cas où. »
-Mise agus na scáthanna ...(Et moi les ombres...)
Puis, la commandante s'adressa à Anodrac et continuèrent leur conversation en ombrager.
-Ní breathnú ar dom mar sin, nach bhfuil mé san áireamh meastachán níos focail Cailís. Ina theannta sin, tá sé ina dochtúir ... dáiríre a aimsiú nuair a cursed sé a dioplóma. (R'gard moi pas d'même, j'ai pas plus compris un esti câlice de mots. En plus, il est médecin... sérieux, il l'a trouvé où son osti diplôme.)
Puis, Ruby enchaîna avec un autre commentaire et en même temps Hogùn attrapa la torche lancée par Masutatsu. L'Ombrageur était choqué de voir un incapable, doublé d’imbécillité, être le guide pour cette requête d'aide. Mais, une chance qu'il pouvait compter sur sa sœur Ombrageuse et les ombres pour lui venir en aide.
-Cad é? Is é seo an cac ár teagmhála? Sacraimint, beidh sé bac orainn níos mó ná aon rud eile ... Ba mhaith liom tú a dhéanamh le do flashlight diabhal? A dhéanann tú é ar an asal agus níos adhmad! Faigheann sé maraíodh, tá súil agam nach dul ró-agus a shábháil!(Quoi? Cette merde est notre contact? Sacrement, il va nous gêner plus qu'autre chose... Tu veux que je fasse quoi avec ta foutue torche? Te la rentré dans le cul? Et il boit en plus! S'il se fait tuer, n'espère pas que j'aille le sauver.)
Ruby finit par faire les présentations, mais cela n'enchantait pas vraiment le forgeur d'ombre. Il finit par suivre derrière Ruby et il jeta derrière lui la torche, elle serait inutile puisqu'il était Ombrageur et qu'il pouvait voir dans le noir.
Anodrac
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Lun 11 Nov - 19:58
† Partie RP †
Contrairement à ce qu'ils pensaient, cette tour n'était pas comme les autres. D'apparence, il s'agissait bel et bien d'un donjon, mais à l'intérieur, ce qu'ils virent les laissa stupéfaits. Leurs torches éclairèrent un atelier où étaient déposés des outils, des plans et des matériaux divers.
En observant avec plus de précisions, les croquis étaient ceux de machines de guerre, de machines de travail ou encore, de machines de torture. Ce qui frappa particulièrement Masutatsu, qui était marin, c'est les matériaux à l'intérieur de l'atelier qui étaient issus de bateaux et navires de mer. Il semblerait que les Saynis démontent les navires afin de récupérer les matériaux et en faire des machines.
Le buveur de vin récupéra une lettre qui était déposée sur un coin de la table.
« A l'intention du chef des sous-sols : Donnez l'ordre de doubler le temps de travail de nos esclaves. Nous avons des invités qui foulent l'enceinte de notre château à l'heure où j'écris cette lettre et il est hors de question qu'ils découvrent nos intentions. Faites surveiller le donjon par un régiment de soldats. »
A peine eut-il terminé de lire la lettre que surgit d'un immense couloir une troupe bien armée de combattants qui s'élancèrent sans plus attendre sur les 3 compagnons. Visiblement, leur aventure commençait mal et ils avaient mis les pieds dans un endroit très important du château pour qu'il soit aussi bien gardé. Sans doute que ces guerriers leur apporteraient des informations en plus : il fallait en laisser au moins un en vie et le faire parler.
† Partie HRP †
A partir de maintenant, je répondrai après chacune de vos réponses.
Rägmor
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Lun 11 Nov - 20:52
Si les deux personnes en question semblaient très étranges, elles semblaient soudé, complices, ce qui était en soit un avantage. Une fois dans le donjon je pus admirer d’incroyable plans, je ne m’y connaissais pas vraiment en machinerie mais mon expérience dans la marine militaire pus me convaincre d’une chose certaine : cette famille préparait un très gros coup. Ce qui était excellent c’était que ses plans soit sous mes yeux. Les ingénieurs qui avait conçus ses machines devait êtres des génies, jamais je n’avais vus de tel ouvrages militaires, de tel machine de combat. L’un deux m’avais choquer, en effet sur le plan on voyant clairement quelques installation maritime ajouter sur une machine terrestre. C’était une folie, c’était impensable. Ce genre de chose ne devrait jamais arrivé, une telle arme c’était une horreur. « Morbleu ! Comment de tel instruments peuvent être nés dans l’imagination d’un mortel ? » J’étais tellement choqué par ses découvertes que j’en perdais mon accent portuaire. Je soulevais alors le plan pour le mettre devant mon visage. C’est alors qu’une lettre en tombas. Je la lus a mes camarades. J’eu juste le temps de fourré la dite lettre ainsi que le plan qui m’avais spécialement interloqué dans ma poche que neuf soldats lourdement armés accouraient vers nous. Il faudrait donc que je sorte mon sabre, certes je n’avais pas vraiment l’habitude de le sortir mais je savais ou frappé, médecine exige. Je reculais d’abord de quelques pas. La torche pointé vers les gardes. Je connaissais quelques trucs avec mon sabre, pas de quoi être un bon guerrier mais au moins de pouvoir survivre au cas où un ennemis pénétrais dans mon infirmerie. Je fléchissais alors les jambes, le iaï. Cette technique consistait à partir du sol en se propulsant avec ses jambes et en sortant le katana de son fourreau d’un geste large, ce qui blessais ainsi toutes personnes devant le combattant, voir tuait dans la plus part des cas. Je pratiquais alors le iaï. Je me propulsait à l’aide de mes jambes en avant, le sabre que je sortais de façon à faucher devant moi. « Sabudaï ! » Hurlais je lors du mouvement. Je vis devant moi un guerrier mettre la main a sa gorge pour baver une grande quantité de sang et tomber en roulant des yeux. J’avais égorgé le pauvre bougre. J’étais alors sur de moi, un grand sourire se dessinas sur ma bouche. Mais c’est alors qu’un garde m’attaqua sur le coté, je reculais en agitant mes bras, blessant ainsi sans le faire exprès un autre soldat en lui envoyant ma torche dans la figure. Je pouvais de cette façon prendre mon sabre à deux mains, mais c’est qu’il m’avais fait peur à arrivé de coté alors que je savourais bien gentiment une victoire. Je voulus alors décapité cet homme qui fonçait sur moi avec son épée bâtarde dans le but de me transformé en rillettes de saumons. Hélas j’avais mal calculé mon coup et je frappais du plat du sabre sur le casque du malheureux, cela fit un étrange bruit de cymbale, puis mon ennemis titubas avant de tombé k-o. Je m’énervais alors d’avoir été si peureux. « Hey venez donc hey morues ! V’nez donc qu’vous y tatane tellement bien la face qu’vot’ mère vous y reconnaîtras plus, sur Yehadiel j’vous l’jure ! Bande de dindonneau fris ! » J’hurlais alors frénétiquement des injures typiquement sortis de la marine d’Aile Ténébreuse, je faisait tourner mon katana au dessus de ma tête de manière machinale. J’avais tué un soldat et mit deux autres hors de combats sans les tués. Certes ce n’était pas le bilan que j’espérai mais c’était déjà pas mal pour un type qui sait pas se battre. Pour sur qu’il fallait pas m’emmerder !
Invité
Ven 15 Nov - 20:39
† Partie RP †
L'alcoolique avait visiblement développé un art de combattre qui était en parfaite harmonie avec son état d'ivresse permanente. Sans doute que sa vie en mer avait fait naître en lui des aptitudes inégalables, et qu'il a réussi, grâce à l'alcool et à son katana, à créer un style de combat impossible à anticiper.
Son lancé de torche fut néanmoins une bien mauvaise idée... Il plongea son groupe dans la noirceur, même s'il avait par la même occasion tué un combattant, et augmenta alors considérablement les chances de mourir de ses coéquipiers : qui sait si ces guerriers n'étaient pas dotés du don de nyctalopie.
Plus de temps à perdre : s'ils ne pouvaient pas en découdre avec le buveur de vin, les 6 guerriers restants s'attaqueraient à Anodrac dans l'espoir de pouvoir profiter de la pénombre... Mais peut-être n'avaient-ils pas encore pris conscience du fait que l'ombre était l'arme favorite de leur adversaire.
Rägmor
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Lun 18 Nov - 19:57
Chanson:
Ruby écouta la lecture de la lettre et céda à une soudaine envie folle d'éclater de rire. Ce rire cristlin fit écho dans la pièce, mais s'éstompa doucement alors que les soldats entrèrent dans la pièce. La jeune femme lança un regard complice et soudain la noirceur ce fut dans la pièce. Il était temps de commencer la cauchemar de ses soldats qui n'avaient toujours pas conscience du danger de deux ombrageurs. La Commandante saisit ses épées jumelles, mais ne bougea pas. Les soldats ne voyant rien regardaient autour d'eux.
"Níl ach an scáth síoraí." (Seule l'ombre est éternelle.) lança la femme à l'intention de son compagnon ombrageur.
Levant un bras vers les soldat, la jeune femme siffla pour attirer leur attention. "An bhfuil tú eagla ar an dorchadas?" (Avez-vous peur du noir?) questionna-t-elle avant d'éclater de rire à nouveau.
32 pétals de coquelicot décollèrent de ses tatouages à une vitesse hallucinante en direction de six soldats. Ceux qui ne serait pas toucher gravement ou mort dû à Tempête éphémère, ferait face à ses lames jumelles. Déjà en garde, prête à les recevoir, la jeune femme avait confiance à ses propres capacités de combat de corps à corps. Elle s'entrainait souvent pour viser précisement vers des endroits particulier. Généralement, elle tentait de couper de ses lames de petites cibles comme des feuille ou ses pétals de coquelicots. Ses soldat ne serait que plus facile à tuer puisqu'il était plus gros.
"Anodrac, beidh sé a bheith ag obair mar fhoireann. Ní raibh an ceann eile a fheiceáil sa dorchadas agus is cosúil go bhfuil an fhaisnéis a ... a ... anyways ... tá an-beag ..." (Anodrac, il va falloir travailler en équipe. L'autre ne voit pas dans le noir et semble avoir l'intelligence d'un... d'une... enfin bref... il en a très peu...) s'exclama-t-elle toujours en ombrager, langue parler seulement par les ombrageurs ou par les croyants de la culte de Coradran.
Elle aurait beaucoup de doute que ses soldats fassent partis de la culte, si cela était le cas, ils ne les auraient pas attaquer de peur de connaitre la foudre d'Eddas Coradran. Tout le monde craignait et admirait cet homme tout à la fois. Ruby et Anodrac le connaissait que trop bien, bien qu'ils n'étaient pas sans ignorer sa puissance, pour le craindre autant que les autres. Ils le respectaient, et ne feraient rien pour le mettre à dos contre eux.
Ruby Blake
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Sam 23 Nov - 20:58
† Partie RP †
Dans l'ombre de cette salle, les nains étaient des gibiers, et Ruby était une prédatrice qui s'amusait comme elle le voulait avec ses victimes. Trois soldats de plus chutèrent et décédèrent en agonisant. Désormais, ils n'était plus que trois et se rendirent bien assez compte qu'ils n'avaient plus aucune chance face à ces adversaires sortis tout droit des enfers.
Deux d'entre eux, les plus vaillants et les plus intrépides, décidèrent de tenter le tout pour le tout en chargeant droit sur Anodrac. Mais ils ne furent pas suivis par le troisième qui, lui, craignait la mort et ne voulait pas voir sa vie s'éteindre à ce moment là. Il tenta de prendre la fuite et de ne pas suivre ses deux compagnons qui allaient certainement se faire tuer. Le choix revenait au groupe de laisser fuir leur ennemi, de le rattraper pour le tuer ou bien pour cueillir des informations.
Par ailleurs, le groupe découvrira bien assez tôt que sous son armure imposante et face à la lumière, ce fuyard était un nain, ce qui pouvait amener à se poser plusieurs questions sur sa présence ici.
Rägmor
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Dim 24 Nov - 23:04
Hogùn qui était rentré en dernier se mit à explorer les lieux avec les yeux. En premier lieu, il vit les plans, les outils et d'autres sortent de matériaux. Puis, il vit dans la pénombre des lieux des machines de guerre et Masutatsu commença la lecture d'une lettre retrouver sur le bureau. Par la suite, l'alcoolique lança un commentaire qui démontrait qu'il était frustré et bouleversé de cette invention. Hogùn répliqua dans sa langue :
-Is iad na daoine ach go maith ag marú. Tá sé ag iarraidh ach cumhacht. (Les gens sont juste bon pour s'entretuer. Il ne désire que le pouvoir.)
Puis, une dizaine de guerriers arrivèrent d'un immense couloir, ils étaient bien équipé et en colère. Le premier à se faire engager fut Masutatsu, celui-ci se débattait avec des mouvements aléatoires. Il utilisa même sa torche pour se défendre, ce qui apporta la noirceur dans la pièce qui était très peu éclairée. Puis, six gardes foncèrent vers Anodrac, l'Ombrageur avait un grand sourire aux lèvres. Il était prêt à les recevoir, un mur et le tour étaient joués. Mais tout d'un coup, Ruby utilisa le fait qu'il avait toute l'attention sur Hogùn pour faire une attaque subtile, en quelques mouvements elle avait réussi à éliminer trois d'entre eux. Puis, elle en profita pour dire à son coéquipier qu'il fallait travailler en équipe s'ils voulaient s'en sortir vivant de tous ceci.
-Ná bíodh imní ort, beidh mé a chlúdach do ais! (T'inquiète pas, je couvre tes arrières!) Répondit-il?
Néanmoins, l'un des trois derniers décida de prendre la fuite, tandis que les deux autres chargeaient vers Hogùn avec leurs dernières lueurs d'espoir. Un espoir qu'Anodrac allait vite éteindre, il ne voulait pas perdre plus de temps avec ces imbéciles et encore moins gaspiller son énergie. Dans un mouvement rapide, il utilisa ses mains pour faire un "X" en partant d'en bas. Puis, sans avoir le temps de réagir, deux murs d'ombres sortirent en oblique du sol et écrabouillèrent le haut du corps des deux nains.
-Heimdall! Faigh dom an teifeach, agus tugann sé dom beo. (Heimdall! Va me chercher ce fuyard et rapporte-le-moi en vie.) Demanda Hogùn.
C'est à ce moment qu'une créature sombre sortit de l'ombre et se mit à pourchasser le nain. En quelques secondes, le loup l'avait poussé au sol. Heimdall lui saisit la jambe et le tira jusqu'aux autres, le nain poussait des cries de peur. Pendant ce temps, Anodrac avait claqué des doigts et fit disparaître ses murs, au moment de la disparition les deux corps aplatis tombèrent au sol se vidant de leurs sangs. L'Ombrageur fit deux pas vers l'avant et son loup déposa sa proie au pied de son maître, c'est à ce moment qu'Anodrac laissa la parole à Masutatsu.
En même temps, il se tourna la tête vers Ruby et dit :
"Níl ach an scáth síoraí." (Seule l'ombre est éternelle.)
Anodrac
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Ven 29 Nov - 19:45
† Partie RP †
« Pitié ! Pitié ! Dit le nain à terre en s'agitant. Ne m'faites pas d'mal ! J'viens d'arriver récemment dans le régiment, moi ! »
Il vit Masutatsu s'approcher de lui. Il avait un arrière-goût amer dans sa gorge quand il se rappela de quelle cruelle manière cet homme s'était débarrassé de deux de ses compagnons. Il voulut prendre ses jambes à son cou pour éviter d'avoir à se confronter à lui, mais les ombres d'Anodrac le retenaient fermement au sol. Tout ce qu'il pouvait faire, c'était espérer qu'on lui laisse la vie sauve et se retenir de se pisser dessus.
« J'ai une famille, des enfants, une femme ! Hurla-t-il. Ils habitent tous à Arkham, et j'al'rrive à peine à les fail're viv'lre avec mon petit salai'lre. C'est pas de ma faute si je suis là, c'est le génél'ral ! J'vais tout vous expliquer si vous m'laissez la vie sauve !»
Puis il retira son casque pour avoir un peu plus d'air. Ces trois aventuriers étaient féroces, ambitieux comme jamais à l'idée de percer des secrets que ce nain pourraient leur révéler.
Rägmor
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Sam 30 Nov - 22:57
Je pus admirer avec fascination comment mes deux compagnons ont combattus les soldats, j’étais étonner de me trouvé face à des mages qui pratiquait une très étrange magie et qui parlait une langue tout aussi étrange. Je me mit d’abord en quête de ma torche que je rallumais. Puis je scrutais un moment les recoins très sombres de la pièce, je craignais de voir surgir la bête du garçon vêtu sombrement. Heureusement pour moi celle ci ne viens pas. « Bon pour l’commencer j’vous d’mendrais ben de parlé dans la langue humaine s’iou plais. Pas qu’j’aime pas vot’ patois, quoi que, mais j’y pige pas grand chose, et sul’tout que comme l’avais dit le pignouf, faut s’serrer les genoux… ou les avants bras … J’sais plus. On s’en tape, parler ma langue et c’tout. » Je me dirigeais alors vers le nain qui était à terre et qui gémissais de peur. Et vus l’odeur que son pantalon envoyait vers mes narines j’aurais parié qu’il c’était tout bonnement fait dessus. Mais peut importe, je le prit par le cou pour le mettre en position assis face à moi. Il pleurais. Je n’aime pas vraiment voir les gens pleuré, cela me rappelle les malades et les blessés qui sont condamné à mourir malgré tout les soins que je leur apporte. Je finis par détourné le regard pour tomber sur une lanterne posé au sol, elle ne lui manquais que la flamme pour s’allumer, ce que j’avais en ma possession. Dans un hélant fougueux suite à ma découverte je me dirigeais vers cette lanterne pour l’allumé. Pendant l’action je lanças un regard très appuyé vers les deux autres. Ils n’avaient certainement pas intérêt à s’occuper du garnement avant moi. C’étaient le genre de mercenaire qui tuais l’enfant devant la mère et la mère devant l’enfant. Et ça je le détestais plus que tout, ce gars n’était pas de notre camp, mais il chialait et certainement que ce qu’il disais à propos de son malheur était vrais. Je posait la lanterne à coté de moi pour regardé de nouveau le nain. « Nain, ne me crains pas ma colère, c’n’est pas toi que je veut mais ton maître ou d’moins l’haut du donjon, s’rait déjà ben. » Dis je en riant de ma voix d’alcoolique. Je me mit alors en quête d’une des bouteilles de whisky qui se trouvais dans ma sacoche, des qu’elle fut dans ma main, la seconde qui suivais elle était entre mes lèvres. Après quelques gorgés je pus lancé un puissant rot à la face de mon prisonnier. « Bon gamin, t’vas m’dire tout c’qué t’sais sur c’te famille pour laquelle tu bosse et tout c’que tu sais sur l’donjon dans l’quel mes amis et moi on s’prépare à vidé. Si tu veut une garantis j’peut ben t’dire qu’on toucheras pas à ta personne si t’y balance tout, et qu’même qu’t’auras l’droit de vidé la pièce pour tes gosses une fois qu’on s’ras partis. Mais si ben sur tu r’fuse d’causer j’te laisse à mes deux amis, et j’finis l’boulot. Parce que j’suis médecin, donc j’sais comment faire pour qu’t’y est ben mal. Dans ton interet dit nous tout. » Je n’avais certainement pas l’envis de laissé ce pauvre bougre apeuré se faire laminer la figure par qui que se soit, moi y compris. Et si l’un des deux zozios osaient s’en prendre fortement à lui croyez moi que j’oublierais pas ça d’si tôt. Je me remit debout pour boire une nouvelle gorgés, cela me revigoras pleinement. J’inspectais un peut les dégâts du regard, laissant au garde le temps de reprendre son souffle et de calmé ses sanglots. Je remarquais alors qu’une des bouteilles de mon sac c’était brisée, laissant le flot de liquide se répandre sur une partis de mon kimono don la seule poche que comportais ce vêtement. Détruisant ainsi le plan militaire que j’avais eu plus tôt. Ce n’étais pas une mauvaise chose selon moi, ce genre de machines ne devrait jamais tombé au mains de n’importe quel puissance, ce serait une boucheries. Je me mit d’ailleurs en tête de brûler les plans à mon retour. J’étais peut être d’une marine militaire, mais j’étais quand même médecin, surtout que ce genre de plan peut facilement se retourner un jour contre moi, et j’avais tout sauf envi d’être coulé par un de ces machins là. Je sortais de ma réflexion pour porter mon attention sur les prochains mots du prisonnier.
Invité
Dim 8 Déc - 18:02
† Partie RP †
Le nain, de nature visiblement honnête, répondit sans plus tarder. Il était encore suffisamment jeune pour avoir une conscience de ses actes et de ce que sa vie risquait.
« J'sais pas g'lrand chose, j'vous l'jure. Tout allait bien dans la milice d'Akham, jusqu'au joul'r où on a eu ce nouveau génél'ral, ya quelques années... Ya des choses bizal'rres qu'ont commencé à s'pl'roduil're. Pouis l'récemment, ya eu ce souci avec les Saynis, et le génél'ral a décidé de nous envoyer pl'rotéger ce donjon en nous disant de pas poser d'questions et d'obéir aux ol'd'lres, sinon, il nous menaçait de nous tuer. J'sais pas ce qui se passe entl're le génél'ral et les Saynis, mai-... »
Puis le nain commença à étouffer. Une magie noire et puissante venait de l'attaquer au niveau de la gorge afin de l'empêcher de parler. Son cou se broya en milles morceaux et la pression remonta jusqu'à la tête qui la fit éclater dans toute la salle, ses occupants compris.
Un long couloir sombre donnait accès à ce qui pouvait ressembler à une salle de manœuvres où étaient disposés des manettes de couleur. En face de ces manettes, il y avait une immense fenêtre d'où l'on pouvait voir des machine reliées, accrochées entre elles, et pouvant même être déplacées. Peut-être qu'en actionnant les leviers, les aventuriers pourraient voir quel effet cela aurait sur ces machines.
Rägmor
Partie IRL Crédit avatar : Double compte : Non Vitesse de réponse : Une semaine maximum