Mar 13 Aoû - 18:09 | | | | Après mon arrivée, ils m'ont installé avec d'autre personne dans un campement éloigne du camp principal, sans doute n'avaient ils pas confiance en nous pour le moment, alors qu'ils avaient dit qu'ils reviendraient bientôt cela faisait plusieurs heures que nous attendions blottis près du feu, certains montraient des signes d'impatience, d'autres tentaient de lancé une conversation, et d'autres encore essayait simplement de voir à quoi je ressemblais sous ma capuche.
La nuit venait de tomber quand plusieurs hommes armées suivies de femmes vinrent nous apporter à manger, en s'excusant du temps que cela prenait. Les plus forts d'entre nous, se levaient pour se plaindre tandis que les autres, eux, se dirigeaient vers le potage qu'ils nous avaient apporté. Lorsque le calme revint parmi nous et que la neige avait cessé de tomber, les membres de cette communauté improvisée tentèrent de faire passer le temps en chantant, ne pouvant supporter tout ce tapage, je me décidais de me promener. Lorsque je me suis éloigné, les chants ont cessé pour faire place au murmure, sans doute quelqu'un avait vu mon visage et qu'il le rapportait aux autres, mais j'étais sans doute parano pour penser cela.
Le temps passa, et je marchais toujours sans perdre le camp du regard, mes bottes et le bas de mon pantalon était trempé, mais la seule chose qui me trottinait dans la tête, était de savoir quand pourrais-je revoir mes parents ? Et quand rejoindrais-je enfin la rébellion ? La fatigue étant plus forte que moi, je décidais donc de retourner au camp, en chemin, je vis des gardes, probablement en patrouilles, et aussi la rencontre d'une louve, elle s'éloigna instantanément lorsqu'elle sentit ma présence, moi qui voulais l'observer c'est râpée. Enfin arrivé au feu de camp, j'aperçus qu'il ne restait plus personne sauf un nain, qui n'était pas parmi nous à l'origine.Il était temps, ça doit faire une heure que je t'attends. Ne sachant que dire, je ne dis rien, et l'observais de long en large, bien que comme tout nain, il était plus large que long.Tu comptes rester là, sans rien dire ? Ou bien, je dois venir te chercher par la peau du cul ? Ni l'un, ni l'autre, je ne voudrais vous forcez à sauter pour atteindre mon fessier. Alors que je préparais mes affaires qui se trouvaient au sol, je ne pus m'empêcher de remarquer que le visage du nain avait soudain viré au rouge. Peut-être avais-je été trop loin ?, et que je l'avais contrarié, mais il était trop tard, le mal était fait.Comment oses-tu ? Et moi qui pensais que tu aurais la gentillesse de ta mère. Hahaha, cela dit, je dois avouer que je ne m'y attendais pas. Il connait donc ma mère, devrais-je le questionné ?, non, je préfère attendre il en parlera sans doute de lui-même. Je lui fis signe que j'étais prêt, et nous commençâmes à marcher. Pourquoi fallait-il que j'aille me promener, je suis épuisé, et lui il ne cesse de parler.Savais-tu que les chiens qui vivaient par ici avaient... La ferme, mais je m'en fous de ce que tu dis.... Enfin, ils mangent plus certes, mais ils...
Tu es un nain, parle moi d'arme, de guerre, mais pas de chien.Hé oh tu écoutes ce que je te dis ? Je l'ignorais moi, et maintenant que je le sais je vois ces animaux différemment, tu sais ? Non, désolé mais je suis fatigué, donc je marche en dormant, s'il savait, mais je serais heureux de vous écoutez quand je serais en forme. Mouais, disons que c'est la fatigue, de toute façon, nous y sommes presque. Presque où ? C'est vrai que je ne me suis même pas interrogé sur le lieu où nous allions. Dans ta tente, si vous attendiez là-bas, c'est parce que vous êtes nombreux à nous avoir rejoint en même temps. Donc il nous fallait du temps pour trouver une place et du matériel. Et moi qui pensais qu'ils statuaient sur nous depuis ce matin, je pensais vraiment qu'ils vérifiaient que nous n'étions pas une quelconque menace.Et il fallait que nous questionnions tes parents pour vérifier l'authenticité de ton histoire. D'ailleurs, c'est moi qui en étais chargé et c'est pour cela que je t'ai attendu au feu, je voulais t'annoncer que tu ne nous avais pas menti. Ça, je le savais déjà que je ne vous avais pas menti, vous n'avez rien d'autre à m'apprendre et puis je au moins savoir si mes parents vont bien ? Ola, calme tes ardeurs mon ptit, tes parents ? Bien sur qu'ils vont bien, et ton oncle aussi d'ailleurs, pourquoi les traiterions-nous mal alors qu'ils sont dans notre camp ? Ah nous y voila, t'as petite maison pour l'avenir. Évidement, qu'ils vont bien, je dois avouer que sur ce coup, je n'ai pas été très malin. Enfin bon, passons. Alors c'est ici que je vais vivre pour le moment ?Mais avant d'entrer, je veux que tu répondes à cette question. Que penses-tu d'Aile Ténébreuse et de c'est sbires ? J'enlève ma capuche, et je vois le nain sourire, comprenant où je voulais en venir.Je le hais lui, et s'est démons, il m'arrive encore de cauchemardé sur celui qui m'a fait c'est cicatrices. Pensez-vous, maître nain, que je puisse oublier ça ou l'Aube rouge, j'y étais, les morts qui jonchaient les rues, le ciel obscur et cette sensation d'être constamment traqué. Qu'est-ce qui m'arrive ? Je pleure ?, non, je ne dois pas pleurer, je suis fort maintenant. Chaque démon que je croiserais, je le tuerais, sans remords, je ne leur laisserais pas ce plaisir.Je rapporterais ta réponse à mes supérieurs, et je pense que cela leur conviendra, car comme je te l'ai déjà dit, nous connaissons tes parents, nous leur faisons confiance, et te questionner n'était qu'une simple formalité. Va te reposer maintenant et tiens toi prêt, car dans une semaine, tu passeras un petit test. Il s'éloigne, enfin, je pouvais me reposer. En entrant dans la tente, je constatais qu'ils y avaient installé une petite table et une chaise, et un futon, on pouvait facilement se tenir debout à l'intérieur, mais par contre, on ne pouvait y entrer qu'a quatre, grand maximum. Poser près du futon, se trouvait Isaac, ma lance. Je m'allongeais dans les draps avec Isaac à mes côtés, avant de m'assoupir.Une semaine plus tard Le temps ne s'était toujours réchauffer, la neige tombait toujours depuis une semaine, mais le vent avait cessé de souffler ces bourrasques glacials.Courir, viser, tirer. Courir, viser, trier. Depuis une semaine déjà je m'exerce de cette manière, pour rejoindre les rebelles, ils veulent savoir ce dont je suis capable, et c'est aujourd'hui le grand jour. Je ne pouvais savoir ce qu'il m'attendait mais en tout cas, j'étais prêt. Isaac, sur le dos, mon corps n'était pas épuisé par l'utilisation de mes dons et par-dessus tout j'allais enfin revoir mes parents.Bon, petit, tu vas affronter une personne qui à participer à plusieurs batailles, il manie la lance bien mieux que toi. Il s'agit de ton père... Mon père ? Mais vous êtes sérieux? Et oui, c'est même lui, qui s'est proposé, tu devrais être fier. Ne te tracasse pas ce n'est pas un combat à mort, il s'agit juste de voir de quoi tu es capable. On plongeait dans le surréalisme, affronté mon père, si je m'attendais à ça, dans un sens tant mieux, je pourrais ainsi lui montrer à quel point je suis devenu bon.L'arène était circulaire, d'environ deux mètres, voire deux et demi de profondeur et d'un diamètre de 10 mètres, creusée à même le sol, les parois sont soutenues par des palissades en bois. Une foule s'amassait autour de celle-ci, ils sont déjà prêts à voir le combat.L'ambiance est lourde, je me jette dans l'arène, mon père m'y attend déjà, il n'a pas changé, je regarde autour de moi, je recherche le regard de ma mère, elle n'est pas là, mais mon oncle est présent. Mon père me fait un clin d'œil. Le combat commence.Je fais une esquive à droite, la lance frôle mon flanc. Je donne un coup d'estoc, il l'esquive avec une roulade à droite, puis attaque avec un coup circulaire de gauche à droite, je me couche au sol de justesse, roule sur le côté, me redresse, et contre du long de ma lance, la frappe horizontale de mon père. Celui-ci me sourit, lorsqu'il vit que j'avais du mal. Je le repoussais, et frappai de l'arrière de ma lance, esquiva une attaque qu'il ne fit pas avant de sentir quelque chose me toucher à la jambe.Arrgh... J e sentais le sang coulé le long de ma cuisse, c'était une entaille peu profonde mais assez longue pour ne pas se refermer seul, mon père ne cessa pas pour autant son assaut, et c'est par miracle que j'arrivais à esquivé et contré, sans bougé. En repoussant la dernière attaque de mon père, j'eus le champ libre pour lui faire perdre l'équilibre, les quatre fers en l'air, je voulais placer ma lame contre son coup, mais il fut plus rapide et me donna un coup dans la poitrine avec le revers de sa lance, avant de se relever d'un geste fluide. Ma jambe me faisait souffrir à cause du froid mais je devais continuer.Une bonne dizaine de minute s'était écoulée depuis le début du combat, et je dois dire que j'avais pris chère, mais j'avais une carte dans ma manche que je ne voulais pas vraiment jouer et mon père savait très bien à quoi je pensais car il ne me laissa aucun répit, je ne pouvais pas lâcher ne serait-ce qu'une de mes mains de la lance sous peine de la perdre au moindre coup, mais je devais la tenter. Suivant le regard, j'esquivai rapidement ces attaques de face, et contrai deux frappe de gauche, je devais m'assurer que j'étais bien au centre de l'arène.C'est parti, je donnais un coup puissant le faisant reculer d'un pas, suivi d'un autre, je devais calculer la distance entre moi et le mur, il me frappe je recule d'un pas. Le tout pour le tout, je saute tenant ma lance de ma main gauche, mon père obligé de reculer, dévie mon attaque et m'enfonce sa lance dans mon flanc droit.Touché ! Moi aussi ! Ma main droite vint ce posé sur le torse de mon père, celui-ci n'eut pas le temps de reculer que ma main se mit à briller et d'un coup d'un seul, il fut projeté contre les palissades, celle-ci craqua sous le choc et une petite quantité de terre s'écrasa sur mon père. Je n'ai pas eu le temps de voir la fin que mes yeux se troublaient déjà, l'entaille à mon flanc s'était élargie durant l'action et la douleur me fit perdre connaissance.Trois jours plus tard Ma mère avait fait du bon travail, certes cela me faisait de nouvelle cicatrice, mais celles-là, je n'avais pas honte de les montrer, encore faut-il trouver une occasion de montrer mon flanc et ma cuisse, mais je trouverais bien comment. Mon père avait hélas remporté le duel, il, c'était relevé quelque seconde, quand moi, je me suis évanoui, avant de retomber à cause du choc, je dois dire que je suis relativement fier de moi, mais tout est relatif, Ivashor, avait estimé que je fonçais bien trop tête baissée mais il affirma aussi qu'il lui arrivait d'agir de la sorte, mais avec une once de talent supplémentaire. Pour certains, lors du combat contre mon père, j'ai triché, mais mon père et Ivashor sont le premier clamer que chaque talent qu'un homme possède doit servir au combat, certes ça fait trop, chevaleresque, comme paroles mais les mauvaises langues se turent peu de temps après.Je pouvais toujours me mouvoir, mais je ne devais pas trop forcé pour les prochains jours, et c'est justement là qu'Ivashor me prévint que je devais passer un autre test pour mes aptitudes magique. Enfin, c'était juste pour savoir quelle était ma limite, qui d'ailleurs, je l'ignorais moi-même, je me sentais en forme grâce au soin de ma mère donc je demandais au nain, si je pouvais les passer le plus tôt possible.Le plus tôt ?, dans ce cas tu passeras demain en matinée, ça te va ? Heu... Ben oui, c'est même parfait. Et bien déjà ça de régler, je te laisse te reposer et on se revoit demain. Cette nuit, je n'arrivais pas, à trouver le sommeil, c'est surement dû à l'excitation, car, demain, se serait fini et je ferais partie des rebelles. Je me ressassais certains souvenirs, quand j'aperçus les premiers rayons du soleil au travers de ma tente, mais en réalité, c'était tout autre chose. Un homme entra, avec à la main un bâton qui produisait une lumière vive et aveuglante.Lève-toi, nous devons y aller. Aller où ? Nous devons te poser quelques questions. Alors ne fait pas ta tête de mule et suis-nous. E n écoutant le son de sa voix, je pouvais percevoir comme une légère impatience. Je me décidais donc d'écouter et de le suivre sans poser de question. Après avoir marché une bonne trentaine de minutes, nous arrivions à une grande tente que je n'avais jamais vu, il m'installa une chaise et je dus attendre.La température était bonne, bien que l'endroit sente le renfermer, l'atmosphère y était sereine. L'individu, entra avec d'autre personne, dont je n'avais jamais vu le visage.Es-tu Evrann, fils de Vaernn et Danayel ? Oui. Es-tu bien un Esper ? Oui du coté de ma mère. Dans ce cas, quelle capacité maîtrises-tu ? À vrai dire, je l'ignore. Je sais juste expulser tout corps, c'est ce que ma mère m'avait expliqué, mais je n'ai jamais cherché à en savoir plus. À quoi rimaient toutes ces questions, pourquoi attendait-il le hochement de tête de ceux qui se trouvaient derrière lui.As-tu vécu, l'Aube rouge ? Évidemment, demandez à mes parents ? C'est déjà fait, nous voulons juste confirmation, pourquoi t'es-tu séparé de tes parents lorsque tu as entendu du bruit ? J'étais jeune et curieux, je le regrette maintenant et je pense que je ne ferais sans doute pas deux fois la même erreur. Le démon qui t'a attaqué, à quoi ressemblait-il ? Il avait le teint grisâtre, les yeux qui viraient au jaune, des crocs et des griffes acérées, d'ailleurs mon visage en à fait les frais. Lui as tu parler ? Oui, je lui ai dit que je rejoignais des amis. Si je lui ai dit ça, c'était pour couvrir mes parents, car je me méfiais de lui. Et pourquoi n'as-tu pas crié lorsque tu as su qui il était?, ton père aurait pu le tuer avant qu'il ne te défigure. Je ne sais pas, je ne pensais pas vraiment... J'étais terrifié. Où voulait-il en venir ? Avant de m'en rendre compte, je pleurais, pourquoi est-ce qu'à chaque fois que l'on parle de cette histoire, je dois pleuré ? Calme-toi, c'est juste un petit interrogatoire. Et toi, Sathein, arrête d'élever la voix, cela à du être éprouvant pour lui. Dit l'un des hommes que je ne connaissais pas. Dit moi à présent, comment ton oncle et toi, avez survécu à la prise d'Aard ? Mon oncle, était dans les champs à ce moment, il entendit des cris qui venaient du village. Au loin flottait la bannière d'Aile Ténébreuse, après l'avoir vue, nous nous, dépêchions de prendre le plus d'affaire, avant de quitter la ferme. Mon oncle avait des contacts pour nous permettre de rejoindre la terre. De là, nous avons été jusqu'à un petit village portuaire, et avons troqué certaines de nos affaires pour que des marins nous emmènent jusqu'à vous. Sathein ?, c'est bon pour moi. Son oncle nous a raconté la même histoire à quelques détails près. Et vous vous en pensez quoi ? Fit un homme au fond de la tente, dont je ne pouvais voir son visage. Si tu dis que c'est suffisant Galaad, on te croit. Galaad ? Cet homme, c'est Galaad ? Je dois voir son visage.- Sathein ! Tu t'occupes de lui, fais lui passer le test puis, nous verrons de quoi il en retourne, et petit, félicitation pour ton combat. De... De rien. Galaad en personne vient de me féliciter. J'y crois pas.Bon gamin, suis-moi, nous allons voir l'étendue de tes pouvoirs. Tout le monde sauf Sathein était parti, je me levais mais le stresse de cet interrogatoire m'avait rendu fébrile, et je n'arrivais pas à mettre une jambe devant l'autre sans trembler, et ça, Sathein l'avait remarqué.Ça va aller, gamin, tu veux te reposer ? Non, ça ira, je vais t'en foutre des gamins, je dois juste me reprendre. Je fis quelque pas maladroit, mais je récupérais déjà la possession de mes mouvements, je suivis donc Sathein à l'extérieur, le soleil, c'était levé depuis le temps où j'étais dans la tente, mais le froid répondait aussi à l'appel, décidément, je n'y serais jamais habitué. Nous allons commencer, par un exercice de précision, tu vois les bûches qui sont disposées là-bas ? Et bien, tu dois les faire tomber, tu en es capable ? Oui, je pense. Il se moque de moi, c'est enfantin son truc. Je tendais la main droite vers l'avant, tout en me concentrant, un orbe commença à se former, je pris appui sur ma jambe droite et je lance l'orbe. Poc ! fit la bûche en volant dans les aire Du premier coup, aller je continue, je refais la même chose et en trois orbes, je fis voler trois autres bûches. Mais le froid avait raison de moi, mes doigts commençaient à geler, si bien que le prochain lancer échouât, les deux seconds, eux, touchèrent leurs cibles de justesse, la septième bûche ne voulait pas tomber et je perdis deux lancers avant de la toucher. Les trois dernières me posaient moins de problème, puisque le soleil ayant refait surface la chaleur me permis de me dégourdir les doigts et ainsi toucher, mes cibles.10 bûches en 13 lancers, c'est pas mal, surtout à la vitesse que tu les lances mais je pense que tu pourrais faire mieux. C'est à cause du froid, je n'y peux rien. Le froid comme tu dis, n'attendras pas la fin de ton combat avant de se manifester. Je dois avouer, qu'avec le froid je ne savais pas que ce serait aussi compliqué, mais faisons comme si de rien n'était.Maintenant, je veux voir combien de temps tu peux tenir en utilisant t'as magie. Ma mère m'a dit que ce n'était pas de la magie. j'ignore pourquoi mais j'aime le contredire En effet, mais comme je ne connais pas vraiment les Espers, je ne sais pas comment appeler vos pouvoirs. Donc maintenant fais toi plaisir et utilise tout ce que tu as et préviens moi quand tu seras épuisé, ce serait bête de te laisser mourir. Je me concentrais, et une série d'orbes vola en l'air, suivit d'une autre, et d'une autre, c'est après quinze minutes d'usages abusifs de mes pouvoirs, que je commençais à ployer et puis ce fut le vide.À mon réveil, je me trouvais dans ma tente, Isaac contre moi, comme quoi depuis mon arrivée je passais mon temps évanoui. L'air sentait l'alcool lorsque je remarquais qu'Ivashor et Sathein, se tenaient au-dessus de moi.Bienvenu parmi les rebelles, firent-ils en cœur.
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| | Evrann Arnvald
Partie IRLCrédit avatar : Arno Dorian by yangngi (retouché par Evrann)Double compte : Vitesse de réponse : Principalement le Week-end
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