Les Oiseaux de Feu. (Terminé) | |
| Mar 23 Juil - 15:36 | | | | Le Lord s'arrêta aux écuries du fort et mit un pied à terre, tandis que les uniques serviteurs du château venaient le réceptionner et prendre en charge son palefroi.
Ce jour là, les deux tiers des effectifs de Turusfal avait été envoyé au Nord, pour soutenir la construction de la Barricade. Seuls quelques gardes étaient à leur poste.
Er 'tan était rentré de l'Adhès depuis peu. Le chevalier avait complètement changé, il ne se reconnaissait pas même lui-même. Il traversa la cours du fort en faisant claquer ses lourdes bottes sur les pavés, puis se dirigea vers la salle des cartes où l'attendaient le Seigneur Liche.
En vue de l'accomplissement des volontés de la Déesse, les Lieutenants du Culte avaient décidé de résoudre les mystères qui tournaient autour de certains artéfacts à détruire. L'un d'entre eux intriguait le Lord. La prophétie parlait des Phénix et l'un de ces derniers devrait trouver le repos éternel. Er 'tan se demandait comment un tel prodige pourrait être possible. Le chevalier Revenant avait longtemps réfléchit à ce sujet, mais ses connaissances du monde n'étaient pas assez large pour trouver la solution lui-même. Il avait cependant une idée dont il voulait en parler à son fidèle ami, le Seigneur Liche.
Er 'tan gravit les marches qui menait à la salle des cartes, un bruit sourd de botte frappant les escaliers d'ébènes annonçant son entrée. Il passa l'une des entrées de la salle, celle-ci étant gardée par deux prétoriens, puis se dirigea vers la plat-forme surélevée au fond de la pièce. Le grand nécromancien était là et le fixait de son regard osseux et vide. Er 'tan s'avança vers Magrant Malnoir puis déclara :
« Mes salutations Liche, je vois que tous se porte pour le mieux en nos terres.. l'heure de la délivrance est proche frère. Il est temps pour nous de nous consacrer à une énigme déterminante pour notre victoire .. Avez-vous entendu parler des phénix frères ?.. ces oiseaux capables de cracher une éruption solaire .. »
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| | Mer 24 Juil - 14:56 | | | | Pour bien servir la Déesse aimée de tous, ses fidèles Lieutenants étaient prêts à sacrifier leurs âmes et à abandonner l’état de vivant. Ainsi ils accomplirent maints exploits et ont endurés d’âpres souffrances pour obtenir le pouvoir et la puissance nécessaire pour leurs quêtes.
Ainsi Magrant Malnoir avait préparé le rituel maudit de la transformation. Sacrifiant sa chaire et son âme aux esprits des Limbes, il était parvenus à survivre au changement et devenir le premier Liche de Terra, et par la même occasion le plus puissant nécromancien. Mais la bien-aimée Nayris avait été clémente : elle lui avait donné le pouvoir de reprendre forme humaine et de recouvrer un charisme rare et précieux.
Mais le pouvoir devait être partagé avec tous les frères qui servent la vraie déesse aimée de tous. Aussi son attention s’était tournée vers son fidèle allié, le baron Er’ Tan. Ce jeune homme faisait preuve d’une grande persévérance et d’un talent remarquable. Il serait dommage que toute cette bonne volonté soit dissipée par la funeste fatalité des mortels.
Aussi après avoir fait de nombreuses recherches, il était parvenu à découvrir un autre stade de transformation : Le Revenant. Aussi étant sûr que la déesse aimée de tous allait lui conférer ce don pour ses loyaux services, il l’envoya dans l’Adhès, ou’ son destin l’attendait. Néanmoins il était parvenus à passer les épreuves de la divine et à abattre l’hérétique.
Ainsi il l’attendait patiemment dans sa salle, prêt à lui tenir conseil et l’éclairer sur leurs quêtes. Aussi après une attente qui aurait énervé un mortel, mais non un mort, il se releva enfin lorsqu’il entendît le bruit de pas sur le sol. Le Baron était de retour.
« _ Salut à vous, Baron. Je vois que vous êtes parvenus à sauver notre déesse aimée de tous. Et je vois aussi qu’elle vous a amplement récompensé pour vos exploits. Tant mieux … car les choses avancent sur ces terres, et la guerre approche à grand pas. »
Puis il le fixa de son regard vide mais brûlant de puissance magique :
« _ Les Phénix … Oui … Dans le passé, j’ai tenté d’en capture des spécimens pour mes recherches au nom de Nayris, mais ces animaux étaient si rares, et surtout puissants. On dit que ces créatures ailées étaient immortelles. Mais je ne crois pas cela, car la seule vraie immortalité viens des dons de la déesse aimée de tous ! »
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| | Magrant Malnoir
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| | Mer 24 Juil - 15:56 | | | | La Liche salua à son tour et fit un compte rendu complet du territoire dont il s'était chargé en l'absence du Lord. Magrant était un Nécromancien relativement puissant, Er 'tan ne doutait pas une seconde de sa crédibilité et savait qu'il pouvait lui faire confiance à tout moment.
Après que le jeune-homme ait questionné son compagnon sur le sujet des Phénix, ce dernier lui déclara :
« _ Les Phénix … Oui … Dans le passé, j’ai tenté d’en capturer des spécimens pour mes recherches au nom de Nayris, mais ces animaux étaient si rares, et surtout puissants. On dit que ces créatures ailées étaient immortelles. Mais je ne crois pas cela, car la seule vraie immortalité viens des dons de la déesse aimée de tous ! »
Ainsi Magrant pensait à peu prêt comme lui. Er 'tan lui non plus ne croyait pas à l'immortalité naturelle. Les fidèles de Nayris restaient cependant une exception. Le Lord posa son heaume sur la grande table de la Salle des Cartes, puis retira ses armes de leurs fourreaux et fit de même, de façon à s'alléger. Après quoi, il passa ses mains dans son dos et se mit à marcher lentement autour de la table.
« J'ai moi-même pu me consacrer à l'étude de ces entités donc l'existence reste encore floue. J'ai une thèse à vous soumettre Liche, je pense en effet que l'étendu de votre savoir et de votre culture permettront de résoudre cette énigme qui nous bloque depuis un certains temps. »
Er 'tan marqua une pause puis sortit un parchemin de l'intérieur de son armure :
« Vous aurez remarqué que l'intérêt que je porte pour ces oiseaux de malheur provient de cette phrase étrange, citée dans la prophétie. »
Le Lord montra la phrase au Nécromancien, puis le regarda d'un air dubitatif.
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| | Mer 24 Juil - 19:54 | | | | Magrant se pencha et regarda attentivement la phrase que lui présentait le Revenant. Oui ... Lui aussi s'était penché sur cette question qui obsédait certains Adorateurs de la déesse aimée de tous. Il est clair qu'il fallait se débarrasser du phénix, cette créature millénaire, mais le problème était de percé le secret blasphématoire de son immortalité.
Le seigneur Liche tapota de ses doigts squelettiques pointus contre la table de marbre, y laissant une fine trace de gèle. Le nécromancien poussa un soupir, et une buée épaisse surgit de sa bouche sans lèvres. Le froid ... cette sensation persistante était en contradiction avec le thème de leur sujet .
" _ Nous devons en effet tuer cet être, car son immortalité n'est que factice et mensongère. Il n'existe de vraie immortalité que celle accordée par la déesse aimée de tous . Je pense que cette créature doit caché un certain secret. J'ai longtemps pensé que si nous parvenions à éteindre sa flamme et à le garder dans un état de mort, nous parviendrons à ôter la vie à un Phénix. Ainsi le monde sera débarrassé de ce blasphème à notre cause. Avez-vous des propositions ?
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| | Magrant Malnoir
Partie IRLCrédit avatar : Double compte : Lucius Van Horrificus / Al-Mansur El-DahabiVitesse de réponse : Aléatoire
| | Mer 24 Juil - 23:27 | | | | La Liche affirma tout haut ce que pensait Er 'tan tout bas. Le Phénix devait effectivement être éliminés et ce définitivement. Magrant pensait l'oiseau abritait certains secrets et selon lui, si l'on parvenait à éteindre sa flamme et à le garder dans un état de mort, il serait possible de lui ôter définitivement la vie. Er 'tan passa une main sur son menton, ce que disait la Liche était intéressant, c'était effectivement une option dont il n'avait pas pensé. Er 'tan fut surpris par l'intelligence de son grand ami. Cependant, lui-même avait une version qu'il voulait dévoiler à Magrant et ce dernier conclut justement en lui demandant des propositions :
« C'est une excellente idée, Liche, nous devrions charger nos apothicaires de traiter la chose. J'ai moi-même effectivement, une idée à exposer. »
Er 'tan continua de marcher autour de la table en fixa le sol, puis s'immobilisa et fixa le Nécromancien :
« En parcourant certains ouvrages, j'ai pu apprendre que le Phénix, lorsqu'il sent son heure venir, se réfugie dans son nid et y met le feu. Ainsi la créature s'immolerait elle-même. »
Er 'tan marqua une pause en plongeant son regard vert dans celui du nécromant. Un sourire démoniaque se forma sur son visage :
« Et si l'oiseau ne parvenait pas à son nid ? Et si ce dernier n'aurait pas le temps de s'immoler .. ? »
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| | Jeu 25 Juil - 0:12 | | | | Arius se tenais en haut d’un pic rocheux. Le pic n’étais pas très haut, environs 3 mètres de hauteurs. Il attendait, le vent soufflait sur son visage usé par le froid, ses cheveux virevoltant a la brise, sa barbe suivait le mouvement. Il inspira une grande bouffer d’air, un sourire se dessinât sur son visage rugueux. Urus son singe s’amusait a jeter des cailloux sur de pauvre dindons perdus et sauvages. Le Roi des Siphiliens se retourna pour se diriger de l’autre coté du pic rocailleux. Les mort-vivants grouillaient aux sols comme des cafards. Arius regardas Urus, son singe, qui sautas sur un arbre, pour peut à peut s'approcher des fenêtres du bâtiment sombre qui trônait sur le sombre territoire comme un aigle sur sa falaise. Le siphilien ne prit pas le temps de réfléchir et suivit son singe, utilisant le même procéder pour approcher le châtelet, sautant de l'arbre le plus proche à la fenêtre la moins bien ferrer. Le saut était réussis de justesse, un centimètre de plus et l'Olaf servait de jouet aux cadavres animer. Devant lui trônais les deux personnes qu'Arius cherchait, alors que singe le suivait, il commença rapidement a parler de peut d'être interrompus par la force. Il en avait fait du chemin pour venir, mais maintenant il était remplis par l’énergie bénéfique de l’Aurore. On l’avais déranger en pleins banquet pour annoncer la terrible nouvelle, Arius avait décider de faire le chemin seul depuis les Glaces, le déplacement n’avais pas coûter très cher, beaucoup de marchands des Glaces devait de l’argent à Arius ainsi de tout le voyage le siphilien n’avait payer qu’un seul repas, celui du premier soir. Les informateurs des Rebelles avaient aussi dû informer le seigneur des terres des siphiliens. Une seule information avait retenue l’attention d’Arius Tomore, on voulait tué un phénix. On voulait tué l’une des créatures les plus respectable de toute les terres de tout les univers. Le Seigneur se dressait de tout son haut au dessus des deux hommes, l’un empestait de loin, un mort ? Que sait on des ses personnes là ? « Excusez moi d’intervenir si … peut poliment dans votre discutions qui était très passionnante, mais je me permet de … commenter le chose. Oh ! J’oublie ! Je suis Arius Tomore, l’Olaf, le Roi des siphiliens, le seigneur des Glaces. Voir même le comptable, le banquier où enc… Ecouter comme la musique du vent entre les arbres est belle ! Ecouter le doux chants mortem des branches qui craques de l’alizée qui siffle doucement entre les feuilles de la vie… C’est beau, n’est ce pas ? » Arius sembla prêté l’oreille quelques secondes, en effet le vent produisait un léger sifflement qui semblait être une comptine oublier venu du plus profond des ages. « Mais je ne suis pas là pour ça. Je connais vos opinions, je m’en moque. Mais je ne me moque pas de la beauté des choses, ce que la nature nous offre, ce qui est fort, ce que mère siphile nous a appris à connaître. Un phénix est un animal que chaque êtres respecte, on dit même que Zelphos lui même les respectes, alors ne soyer pas pire que le mal. Ne soyer pas le bourreau de l’infamie. Soyer libre. Ne tuer pas de phénix, je vous le demande. S'il vous plais. »
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| | Mer 31 Juil - 20:27 | | | | Alors que le Seigneur Liche et le Baron Revenant discutaient vivement sur les méthodes possibles pour neutraliser les oiseaux de feu, un bruit soudain et inattendu attira leurs attentions. Aussi surprenant et invraisemblable que cela puisse paraître, un homme colossal de plusieurs mètres de haut et en armure lourde surgit par la fenêtre. Magrant fixa ses orbites creuses sur l’intrus, son crâne ne laissant afficher aucune expression. Pourtant son esprit tentait de s’adapter à cette singulière et inexplicable situation. Les Mortes Terres, territoire du Baron Er’ Tan, étaient gardées par des légions entières de créatures mortes-vivantes qui surveillaient sans répit chaque parcelle de ce territoire infesté. De plus, l’accès au fort était particulièrement difficiles, et les murs étaient lisses et offraient très peu de prises. Sans oublier les gardes qui surveillaient les murs, prêts à abattre tout intrus par une volée de flèches meurtrières. Que cet être massif parvienne à passer par la fenêtre relevait du miracle le plus improbable. Il se demandait sincèrement comment un être si lourd parvint à sauter vers la fenêtre, et encore moins comment il est passé inaperçue. Il était tellement absorbé par ses pensées qu’il l’ignora presque, laissant le soin au Baron pour le surveiller. Des paroles du barbu, il ne retint que l’essentiel. En général, ce pauvre type, qui se proclamait roi, tentait de raisonner les deux seigneurs. Comment pouvait-il être au courant de leurs plans alors qu’il venait à peine quelques minutes seulement d’en parler ? Cet être lisait-il l’avenir et tentait de les arrêter ? Très peu probable, mais tout peut arriver sur ces terres … Le chevalier Revenant aussi semblait sceptique vis-à-vis de cette situation. Sentant que cet homme ne partirait pas sans les avoir convaincus, il décida de lui couper toute retraite. Faisant appel à ses pouvoirs nécromantiques, décuplés par son état de Liche, Magrant Malnoir lança un appel psychique aux morts-vivants qui rodaient près du fort. Aussitôt une plainte lugubre se fit entendre dehors, murmure d’une peur sans nom. Ensuite des bruits de pas rompirent le silence qui s’était installé. Les morts commençaient à encercler le fort pour couper toute retraite au Siphilien. Ce dernier allait connaître un sort bien triste, à moins que le destin n’on décide autrement …
« _ Vous êtes bien fou pour oser pénétrer cette terre, bien que je ne sache comment vous-y êtes parvenus. En tout cas, vous avez commis une grave erreur. Nous servons la déesse Nayris, et pour la libérer nous sommes prêts à tout. Roi des Siphiliens, il y’a une fin à tout. L’amour, la vie et même le temps. Je pense que la votre est proche, à moins que vous vous montrer convaincant pour garder votre vie sauve ? »
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| | Magrant Malnoir
Partie IRLCrédit avatar : Double compte : Lucius Van Horrificus / Al-Mansur El-DahabiVitesse de réponse : Aléatoire
| | Jeu 1 Aoû - 11:54 | | | | Er 'tan attendait patiemment la réponse de son ami, lorsqu'un événement prodigieux vint capter son attention en direction de la fenêtre qui donnait sur la cour. Un géant était assis sur le rebord de celle-ci et s'apprêtait à pénétrer dans la pièce. Le chevalier posa une main sur l'un de ses glaives, tous en observant le spectacle du géant qui s'introduisait dans la pièce. Médusé. La Liche fut la première à intervenir et interpella aussitôt l’intrus :
« _ Vous êtes bien fou pour oser pénétrer cette terre, bien que je ne sache comment vous-y êtes parvenus. En tout cas, vous avez commis une grave erreur. Nous servons la déesse Nayris, et pour la libérer nous sommes prêts à tout. Roi des Siphiliens, il y’a une fin à tout. L’amour, la vie et même le temps. Je pense que la votre est proche, à moins que vous vous montrer convaincant pour garder votre vie sauve ? »
Le Lord songea un moment et compris comment un tel prodige avait été possible. Ce matin, il avait exceptionnellement dégarnis le fort de ses sentinelles, les envoyant dans le nord pour s'occuper de travaux de fortification. D'une voix rauque et lente, le Lord interpella à son tour l'individu qui s'était introduit dans la Salle des Cartes, Nayris semblait avoir prit à nouveau possession d'Er 'tan :
« Comment .. es-tu .. au courant .. de tous cela ? Parles étranger. »
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| | Sam 3 Aoû - 15:52 | | | | « Quel accueil, vous êtes bien énerver pour un type qui sent la décomposition … M’enfin passons, je suis ici en paix. Pas besoin d’ameuter toute la garnison d’Aile Ténébreuse ni tous les revenant de cette terre. » Arius prit son marteau d’arme qu’il avait coincé dans les sangles de cuir de son dos. Il le portais désormais face, de façon a ce que la tête du marteau soit posé sur le sol. Avec plus d’attention, la personne qui sentais le cadavre avait l’air d’être justement un cadavre… C’était vraiment, vraiment dégueulasse. « Hum, oui, donc, hum… Comment je suis au courant ? Oh…Je suis au courant de pleins de choses… Surtout quand on veut tuer un phénix ! Dites moi nom d’un Shomtru, qu’est qui peut bien vous amener a commettre un tel acte ? Les Phénix sont le symbole de l’immortalité, de l’espoir … Et de pleins d’autres connerie qui redonne joie aux gens ! Vous seriez les premiers , je crois, à faire une chose pareil ! On dit que même Zelphos ne l’a pas fait ! M’enfin ça c’est sûrement une légende bonne femme, mais bref ! Comment et pourquoi ? J’appelle a votre humanité … ou votre … euh … enfin a votre raison ! S’il vous plaie ne tués pas ses bêtes. » Arius n’étais pas sur d’avoir été très convainquant, en tout il ne s’étais pas énerver malgré les menaces de truc qui puait, c’était déjà un miracle … Pendant se temps son singe grimpais un peut partout et observait la salle d’un air craintif, que pouvait se demander se singe, et de qu’est ce qui pouvait donc l’énerver ainsi ? Peut être que la présence de la mort était là… Il faut dire que ses gens n’étais pas rassurant. Arius n’avait pas peur, ou du moins il n’avais pas du tout l’air d’avoir peur. En fait il semblait qu’il se moquais de l’endroit et des personnes présentes, ce qui lui importait c’était de répandre l’idéologie de l’Aurore, et de montré la liberté au monde entier. Utopique, hein ? Surtout ici bas…
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| | Lun 5 Aoû - 21:09 | | | | - Spoiler:
Arius , tout d'abord , je te signale que je suis comme un squelette, sans chaire et donc aucune odeur, seulement de la fraîcheur, car je suis glacé. Ensuite, je te prie de surveiller un peu ta façon de parler, truc puant et autre, c'est pas polis. J'aurais pus te traiter de gros barbu ou autre, mais non. Cordialement !
Par un ordre psychique, les morts-vivants s’étaient rassemblés autour du fort, coupant toute retraite au colosse. Il était coincé, toutes les routes autour du fort étaient envahies par les zombies, squelettes et autres horreurs. Le nécromancien regarda intensément le Siphilien. Un roi avec un tel caractère … sa race doit surement être faible mentalement, à peine supérieurs à des animaux ou des barbares. Il se trouvait cerner, en territoire ennemi, sans aucune chance de fuite, et il continuait à se montrer arrogant et trop fier. Du caractère donc, mais aussi de la folie. Les deux morts-vivants se tenaient droits devant le géant. Er’Tan tenait fermement les pommeaux de ses glaives, et Magrant celui de son épée ainsi que son sceptre. Un rire sépulcral sortit du fond de la gorge de la Liche. Un rire glaçant, qui faisait effet sur ses ennemis comme un sort. La nuit sembla plus sombre, la lumière moins brillante, le froid plus intense. Le nécromancien laissa son regard plein de savoir et de malveillance jauger les forces et les faiblesses d’Arius. Un doigt impérial fut tendu vers le colosse. La puissance magique qui animait l’être qu’était le Liche semblait presque s’être concentrée sur cet unique doigt accusateur, telle une lance prête à percer sa poitrine. Et il parla. Et sa voix semblait venir d’âges sombres, du fond des abysses. Et on auraient pus dire que les mortels tremblaient devant cette voix pleine de malveillance pure, et que seul sa nature permit à Arius d’ignorer le ton affolant que provoquait sa voix. « _ Vous ne comprenez pas, Arius … Vous avez beau parler de grandeur, de pitié, d’humanité … vous n’êtes au fond qu’un pauvre ignorant. Les choses bougent sur Terra. Vous parlez de protéger les phénix, mais vous ne pouvez rien faire pour arrêter le futur massacre qui aura lieu. La guerre avance, l’avènement de la déesse est proche. Nul ne peut s’opposer à la mort. Embrassez la mort, Roi des Siphiliens. Embrassez le pouvoir de la mort, ou embrassez votre propre destruction ! »
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| | Magrant Malnoir
Partie IRLCrédit avatar : Double compte : Lucius Van Horrificus / Al-Mansur El-DahabiVitesse de réponse : Aléatoire
| | Mar 6 Aoû - 2:15 | | | | « Quel accueil, vous êtes bien énerver pour un type qui sent la décomposition … »
Effectivement .. le bougre n'y allait pas par quatre chemins. Magrant le répugnait et il le disait clairement, sans peur et sans reproche. Le géant qui s'affirmait être un Siphilien parlait tout à son aise, ce qui ne manqua pas de faire sourire le Lord, conscient qu'il allait trop loin.
"Pas besoin d’ameuter toute la garnison d’Aile Ténébreuse ni tous les revenant de cette terre. »
Après avoir répondu à la Liche, il rétorqua à la question du Baron prenant au fur et à mesure un regard d'ensemble. Il s'appuyait à présent contre le lourd marteau à deux mains qui était jusqu'à présent resté caché derrière lui.
« Hum, oui, donc, hum… Comment je suis au courant ? Oh…Je suis au courant de pleins de choses… »
Er 'tan croisa les bras et fixa le Siphilien d'un air amusé. Etait-il vraiment sérieux ? Cet individu était pourvu d'un courage formidable, le Lord en était conscient. Le chevalier ne comprenait toujours pas comment cet être aussi massif s'était introduit jusqu'au fort de Turusfal. En effet, bien que la vigilance ait été réduite ce jour-ci, les Mortes-Terres demeuraient toujours un lieux hostile et les patrouilles étaient régulières. Sans parler des pièges ..
Par la suite le géant expliqua qu'il était venu ici dans l'espoir de convaincre le Revenant et la Liche de ne pas abattre l'un des Oiseaux de Feu. Er 'tan resta pétrifié sur le coup. Comment cet étranger était-il au courant de leurs intentions et de leurs identités ? Cela semblait relever du prodige. Dans son discours, le dénommé Arius s'avéra tantôt plaisantin, tantôt justicier. Il suppliait les morts-vivants de ne pas tuer l'être qui lui était le plus cher. Le Phénix.
Alors qu'un épais sourire s'affichait sur le visage du Lord, la température de la pièce baissa d'un cran. Tel un blizzard tombant des cieux, un rire glacé sortit de la bouche de Magrant qui fixait le Géant droit dans les yeux. La Liche pointa son doigt gelé vers l'être barbue qui demeurait toujours appuyé sur son marteau, puis déclara d'une voix aux allures de tempête :
« _ Vous ne comprenez pas, Arius … Vous avez beau parler de grandeur, de pitié, d’humanité … vous n’êtes au fond qu’un pauvre ignorant. Les choses bougent sur Terra. Vous parlez de protéger les phénix, mais vous ne pouvez rien faire pour arrêter le futur massacre qui aura lieu. La guerre avance, l’avènement de la déesse est proche. Nul ne peut s’opposer à la mort. Embrassez la mort, Roi des Siphiliens. Embrassez le pouvoir de la mort, ou embrassez votre propre destruction ! »
La situation était résumée et le Géant avait mit la Liche en colère. Le casque du Lord était déjà visé sur sa tête. Ses glaives en mains, il s'avança vers l’intrus et s'arrêta à trois mètres de ce dernier, avant de déclarer d'une voix déformée par son lourd heaume d'ochilarque :
« Dites-moi étranger .. Que me répondriez-vous, si je vous dit que nous allons nous rendre en Terre des Phénix et que nous allons y abattre un Oiseau de Feu ? Mais aussi que la réalisation de cette sainte action, permettra de fonder un nouvel ordre qui détruira les fondations de ce monde, prit en étau par l'ambition et la duplicité des vivants de votre espèce ?
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| | Mar 6 Aoû - 12:27 | | | | Arius regardas les deux personnes qui se trouvaient devant lui. Puis il éclata d’un rire franc. « Hahahahahaha ! Hihi ! Hohohoho ! Hé... Héhé... M’enfin bon. Seigneur … euh … Mort-vivant ? Oui je crois … Et bien cher seigneur Mort-vivant, je n’est pas encore l’honneur d’apprendre votre nom, mais m’uarf ! Pas besoin de me faire de grand discours, ou quoi que se soit, et pas non plus besoin de rameuté la garnison, elle s’entend d’ici. Vous comprenez des cadavres animés sa fait quand même du bouquant .. ! M’enfin bref, donc si vous voulez m’occire, par Siphile ne prenez pas ses cure-dents ! » Le Seigneur des Glaces désigna d’un large geste les deux glaives. « Moi je viens pas vous foutre mon marteau, j’viens parler, j’viens pas non plus danser Kamyubaba, mais voilà quoi. D’autant plus qu’on se les gèles ici, sans vouloir être impoli. » Le petit singe d’Arius commençait a grimper aux murs pour chercher l’air chaud qui montais. Une fois le petit monologue du plus humain des deux, celui avec les glaives, Arius répondit d’un air diplomate, c’était désormais l’économiste qui parlait. « Je sais que vous voulez abattre un Phénix, le pourquoi, ce n’est pas le sujet actuel. Ce qui importe, ici, c’est de savoir si vous êtes obligé de passer par cette étape, que je vous déconseille, car la civilisation que vous souhaiter détruire, les Phénix étaient là avant. Ils ne sont pas responsable de ce qui vous rend si misanthrope. Je vous le redemande, aller tué une autre espèce, tient pourquoi vous ne tué pas Aile Ténébreuse ? Il n’y a pas mieux que lui si vous voulez détruire une civilisation ! Je vous en pris, réitéré votre demande. »
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| | Ven 9 Aoû - 11:06 | | | | Magrant secoua un peu la tête. Étrange personnage… voilà un roi plutôt original. Enfin bref. Après avoir indiqué le nom de chacun d’eux au Siphilien lors de la conversation, il se permit de répondre (avec calme ) à la demande du colosse :
« _ Roi Arius, vous vous trompez dans biens des choses. Tout d’abord, nous ne voulons pas détruire toute une civilisation, non. Ce qui nous intéresse c’est de trucider un seul et unique phénix. La tâche est ardue, mais nécessaire pour briser un des sceaux. Nous n’avons pas vraiment le choix. En parvenant à tuer cette créature, nous pourrions nous rapprocher de notre grand but. La civilisation des Phénix est antique, mais je ne vois aucun inconvénient si nous en supprimions un. Au contraire, nous lui épargnerons l’amère souffrance de la vie. Quant à abattre Aile Ténébreuse, c’est une tâche particulièrement délicate et extrêmement difficile, qui je le crains dépasse nos compétences actuelles. Vous comprenez don que cette option est, du moins pour le moment, invalide. »
Azrael, son chat de compagnie parlant, sauta soudain devant le singe en feulant, toutes griffes de hors. Le singe l’agaçait et il voulait le chasser de la chambre avant qu’il ne se mette à faire n’importe quoi. Magrant lui laissa son compagnon ajouter quelques choses ( un discours, une menace ? ) au roi. Mais l’issue semblait claire : Si Arius persistait à vouloir les empêcher d’agir, ils devront le capturer, et l’enfermer afin d’éviter qu’il ne mette des battants dans les roues. C’était, peut être, le moyen le moins « sanglant » pour éviter des problèmes à l’avenir. Mais il y’avait tant de façons de faire taire un gêneur …
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| | Magrant Malnoir
Partie IRLCrédit avatar : Double compte : Lucius Van Horrificus / Al-Mansur El-DahabiVitesse de réponse : Aléatoire
| | Jeu 15 Aoû - 14:28 | | | | Le géant venait d'éclater d'un long rire à s'en tordre les cotes. Visiblement la situation ne l'inquiétait pas tant que ça, ce qui surprenait Er 'tan. Le dénommé Arius semblait regorger d'énergie et aimer la vie, à tel point qu'il ne s'était apparemment posé aucunes questions quant au périple qu'il venait d'entreprendre dans un territoire aussi reculé de la civilisation.
Le Siphilien était déterminé à défendre la cause des Oiseaux de Feux, il était impassible et incitait les Adorateurs à s'orienter vers une autre cible, comme le Démon. Il se justifiait également d'être venu avec des intentions pacifiques lorsque le Baron avait dégainé ses armes. Le Lord le fixait sans cesse, cet être ne comprenait visiblement pas la situation. Les Adorateurs n’entreprenaient pas de telles horreurs pour s'amuser, mais pour accomplir la volonté d'une entité jugée redoutable. Bientôt Er 'tan comprit qu'il ne servirait à rien de discuter plus longtemps. Le bougre était aussi borné qu'eux, cela ne pouvait déboucher sur un accord commun.
Magrant prit à son tour la parole et aussi surprenant que cela puisse paraître, expliqua dans le calme à Arius le pourquoi du comment, n'hésitant pas à dévoiler au Géant pourquoi le Phénix allait mourir. Cette déclaration convaincu définitivement Er 'tan d'une chose. Le Siphilien qui leur faisait face n'allait certainement pas sortir d'ici, il en savait désormais trop et représentait une menace quant à l'accomplissement de la quête. Er 'tan pointa à son tour l'une de ses arme en direction d'Arius et déclara d'un ton ferme :
« En voilà assez .. l'heure tourne Siphilien et ce monde est trop petit pour que chacun y trouve sa place. Vos intentions sont nobles, je me reconnais dans le passé .. mais les temps ont changé, nous ne pouvons plus faire n'importe quoi. Jetez donc le bélier qui vous sert de masse d'arme et apprêtez-vous à nous suivre. Nous descendons aux oubliettes, Ha ha ha ha ha. » Déclara le Lord qui s'avançait vers le Géant en posture offensive.
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| | Jeu 15 Aoû - 15:35 | | | | Arius fut prit d’un rire plus grand. Un rire incroyablement fou, aucune personne en bonne santé mentale aurait pus produire un tel son. « Ton ami le cadavre m’avais convaincus, j’allais vous laisser sur la promesse de n’en tué qu’un seul et unique spécimen. Mais tu sort tes cures dents, sans même attendre une réponse de ma part. Maître Liche je n’est rien contre vous, retenez votre ami. Je ne voudrais pas lui faire de mal. » C’était trop tard… Tant pis, ce petit humain allait apprendre la diplomatie. La prochaine fois il attendrait la réplique d’autrui. Arius d’un geste rapide et sans effort, souleva la lourde masse d’arme qu’aucun humain n’aurais pus porter avec tant de faciliter. « Haha, viens dont m’emprisonner si tu le peut, petit homme. » Arius fit de grands mouvements avec son marteau, balayant d’un geste fluide dans la direction de l’assaillant. Un rictus de folie se dessinait sur son visage, comme une large cicatrice béante. Ses yeux étaient flamboyants, la lueur de la folie et du fanatisme brillait dans ses yeux clair des glaces. Il était évident que l’humain ne faisait pas le poids face a ce géant sur armé et combatif. Arius se mit soudains a se rapprocher vivement de l’attaquant, parant quelques coup d’épée avec faciliter, il projetas le plat de la masse sur son ennemis. La vermine fut envoyer quelques mètres plus loin. Le siphilien ne prit pas le temps de regarder l’ampleur des dégâts, peut être étaient ils important ? Peut être pas du tout. L’homme en face de lui se trouvais désormais devant les escaliers. Arius analysa quelques secondes la situation, il n’avais pas l’avantage du nombre ni du terrain. Mais il avait la force et la connaissance, ce qui était déjà un énorme bonus. Il ne se laisserait pas emprisonner si facilement. On attache pas le roi des siphiliens comme un vulgaire manant.
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| | Jeu 15 Aoû - 16:57 | | | | Les choses devenaient plus sérieuses ! Alors qu’il venait de convaincre en quelque sorte le géant sur leurs intentions, Le Baron des Mortes-Terres dégaina ses glaives et avança vers le roi en le menaçant. Très courageux de sa part, mais Arius semblait beaucoup plus sûr de lui.
Magrant ignorait quelle folie ou quelle incroyable idée passa par la tête du géant, mais il fut clair que ce dernier allait prendre l’initiative du combat. Aussitôt le Siphilien leva son énorme masse d’armes et frappa avec le Revenant, l’envoyant tomber dans les escaliers. Un coup puissant qui aurait pu tué un mortel normal, ou du moins lui brisé nombre d’os. Mais il était sûr que Er’Tan était toujours « vivant », étant un chevalier Revenant béni de Nayris.
N’attendant pas que le roi relève son arme, le nécromancien pointa d’un geste vif et rapide son index vers son visage. Un éclair mauve fusa dans n crépitement, traversant telle une flèche la distance qui les séparaient avant de terminer sa course dans une explosion sur la joue gauche de sa cible. Le monstrueux ennemi ne fut guère grièvement blessé, néanmoins la douleur devait être horrible, et sa barbe prenait feu !
Car oui, un seigneur Liche pense toujours à la meilleure solution pour déstabiliser son adversaire, et quoi de meilleure que de lui faire roussir les poils devant ses yeux ! Puis de ses manches surgirent des araignées noires et velues, dans les pattes longues et graciles se mouvaient d’une répugnante façon. Les araignées étaient très vulnérables, mais particulièrement venimeuses. Il doutait néanmoins que leur venin puisse avoir un véritable effet sur ce colosse. Mais qu’importe, le vrai but de l’invocation de cette marée était de détourner l’intention du roi des Siphiliens et ainsi laisser du temps à Er’Tan pour se relever et préparer un assaut.
La lutte allait être serrée !
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| | Magrant Malnoir
Partie IRLCrédit avatar : Double compte : Lucius Van Horrificus / Al-Mansur El-DahabiVitesse de réponse : Aléatoire
| | Dim 18 Aoû - 1:13 | | | | Alors qu'il s’avançait vers le Géant, ce dernier fut prit d'un rire stupéfiant et quitta soudainement sa position pour se ruer à son tour sur Er 'tan. Un rictus se forma sur les lèvres du chevalier qui abattit ses glaives en direction des genoux de son rival. Cependant, Arius eût le temps de parer l'attaque du Baron, destinée à lui briser ses genoux, en contrant l'offensive grâce à sa lourde masse à deux mains. Le Roi des Siphiliens contre-attaqua par la suite en effectuant un tour à 360°C, de façon à donner l'élan suffisant à son marteau pour écarter son adversaire. Le Lord manquant d'agilité à cause de sa lourde armure, n'eût pas le temps de s'écarter et reçu la face lisse de l'arme de plein fouet. Er 'tan fut projeté à plusieurs mètres de son rival, avant de dégringoler dans l'escalier d'ébène et de se retrouver au plus bas niveau. Allongé sur le dos et dégarnit de ses glaives, il fixa le plafond en jurant. Si son plastron d'Ochilarque noir avait amorti une partie de la frappe, son corps de non-mort le faisait souffrir et l'incitait à croire qu'il avait plusieurs os fracturés. Le Lord se rendit compte à quel point sa témérité lui jouait des tours, ce n'était pas la première fois que son courage aveugle le pénalisait au combat.
Les yeux toujours rivés vers les poutres qui soutenaient les étages supérieurs, il entendit les quelques bruits de luttes qui parvenaient depuis la Salle des Cartes. Magrant combattait seul contre le Géant. Er 'tan tenta de se remettre sur pied en prenant appui avec son poignet droit, mais au moment même où celui-ci toucha le sol, une vive douleur lui traversa le bras. Son poignet était fracturé. Il utilisa son autre bras pour se remettre sur pied, puis s'attaqua à l'escalier en gravissant les marches une-par-une.
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| | Mar 8 Oct - 18:23 | | | | Après quelques heures de luttes acharnés, alors que le marteau volait, frappait, cognait, que les morts vivants grimpais peut à peut les escaliers, que le mage harcelait Arius. Le Roi des siphiliens mit pied à terre. Il ne pouvait plus résister, le combat était perdus d’avance. On vit le grand marteau d’arme chuter au sol. Ceci dans un bruit de fracas épouvantable –oui c’est un marteau d’arme qui fait la taille de ta tête ô toi lecteur, donc hein ! Sauf si bien sur tu possède une déformation… Mais bon- Le Roi tombait, il chutais, les genoux à terre. A cet instant les hordes arrêtèrent d’affluer. Le Roi des Siphiliens était vaincus. L’instant semblait se figer, le nombre avait eu raison du seigneur. « Je.. me … Raaaah ! Vous êtes vraiment énervant ! Vous avez brûlé ma pilosité facial ! » Criais le siphilien, reprennent un léger semblant d’humour. Cela était plus tôt risquer vus la situation, mais quitte a se rendre autant de pas non plus s’uriner dessus. « C’est bon ! Voilà, voilà ! Messieurs avez gagner ce combat. Mettez moi vos foutus chaînes qu’on en parle plus. Mais ne touchez plus a ma barbe, elle est déjà bien foutue ! » Ceci fit, Arius restas donc une semaine sous goele, le temps que son banquier amène la sommes demander, histoire de tout régler. C’est qu’ils ne s’étaient pas gêner les scelleras ! Deux mois de salaire partis en une seul signature, que c’était laid. Pour vous dire le seigneur siphilien en eu même les larmes au yeux, pleurant pour de bon. Certains diront, c’est la fatigue, d’autre le semaine en prison. Non ! C’était simplement l’argent, l’argent partis dans les mains d’autres. On connaissait Arius aussi radin qu’un nain, mais croyons, chers lecteurs, que cette fois ci le niveau était presque battus, puisque celui ci avait même pensé sérieusement a resté encore emprisonné plus tôt que de payer une tel somme. Si bien qu’une retenus qui aurait du durer trois jours s’étendit en une semaine. Mais une fois la sommes coquette payé, notre amis Arius repartirais pour de nouvelles aventures dans les glaces. D’ailleurs son banquier profitas pour lui apprendre que certains évenements arriveront d’ici peut, la politique de Terra était aussi importante que l'avarice d’Arius Tomore.
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| | Ven 11 Oct - 23:54 | | | | Alors qu'il gravissait les marches, Er 'tan leva une main vers le plafond de granit et ferma le poing, avant de rabaisser celle-ci dans un mouvement mécanique. A l’extérieure, les acolytes avaient réceptionné l'appel télépathique de leur maître. Une multitude d'hommes creux se traînaient à présent vers l'entrée du fort, certains s'engageaient dans les escaliers.
La colonne morbide progressa lentement vers la Salle des Cartes, sur les talons du Lord qui en tête gravissait les dernières marche. Alors qu'il approchait vers la-dite pièce, des flashs illuminaient les parois de la cage sombre, la bataille faisait rage entre Magrant et le géant. Er 'tan surgit à l'entrée de la pièce et déploya ses deux glaives, avant de se placer sur le côté, laissant le champ libre aux morts-vivants qui se ruèrent sur le Siphilien. La bataille se prolongea un moment, avant de se solder par la défaite d'Arius, qui sous les vagues incessantes des cadavres ambulants, dût s'avouer vaincu, préférant la franchise à la mort.
Ce dernier sans attendre, afficha sa déception quant au sort de la Liche qui avait enflammé sa barbe. Le bougre semblait effectivement prendre à cœur sa pilosité et plutôt que de la voir brûler davantage, demanda grâce à acceptant de se tenir prisonnier. Le Lord qui ne connaissait plus cette règle du combat depuis un moment, s’apprêta à envoyer ses acolytes terminer le travail, profondément irrité par l'intrusion musclé de l'homme des Glaces, avant de revenir brusquement sur sa décision. En effet, le dénommé Arius, membre incontesté de l'Aurore et Roi d'une nation toute entière, représentait une cible de choix pour des individus en quête de fortune. Le Lord et la Liche conclurent de tenir Arius captif et de l'échanger contre une rançon qui profiterait au Culte de Nayris.
C'est ainsi que le géant qui s'attendait probablement à être libéré d'une tout autre façon, se vit contraint de payer lui-même sa libération.
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