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 Tyrias Marchemonde

 
Tyrias Marchemonde Sand-g10Mer 20 Juil - 14:50
Fiche des races inventés

→ Généralité

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Tyrias Marchemonde

Surnoms :
Âge et date de naissance : 40 ans, né le 16 de Nelnurr de l'an 70
Nationalité : Pays de la Terre.
Titre de noblesse désiré : aucun
Poste vacant désiré : Aucun
Profession : Chapelain d’Émeraude



→ Descriptions

Description de la race
Les Elus sont d’anciens humains qui ont atteint, après une action particulièrement héroïque ou belle, une sorte d'état intermédiaire en l'ange et l'humain.
Ils deviennent plus sages que des hommes normaux, le temps passe sur eux sans les attendre (comme les anges), leurs facultés sont décuplées, et ils ont autour d’eux une sorte d’aura invisible de lumière, qui réchauffent l’âme des personnes proches

Description psychologique
Tyrias est bon par nature, il sert les démunis, n’hésitant pas à faire don de toutes ses richesses aux plus nécessiteux. Il inspire le respect de par sa stature et son sens de l’honneur, c’est un homme franc qui jamais ne ment.
En temps normal c’est un homme enjoué, farceur, rayonnant de bonne humeur, portant toujours un sourire sur les lèvres. Il fait bon d’avoir ce genre de personne en temps que compagnon d’aventure car il ne laisse jamais le moral de son équipe sombrer.
Mais au combat son esprit se déchaine, fini les mots bien placés, les petites remarques amusantes, lorsqu’il se bat, Tyrias est déchainé, ses yeux lance des éclairs, il hurle des litanies de haines a ses ennemis. Cependant il n’en reste pas moins un sergent exemplaire, pour lui une victoire n’en est pas une si elle a couté la vie d’un seul de ses hommes. Il subit chaque mort comme si c’était la sienne, et ne laisse jamais la dépouille d’un de ses coéquipiers sans sépulture.
Mais il n’empêche, il attend ce comportement de tout ses partenaires, et parfois cela créer des tensions, car certains ne sont pas prêt a mener une vie sans vices ni déshonneur.
Tyrias déteste les démons, il voue une sainte haine a Aile Ténébreuse pour ce qu’il a fait subir a son seigneur, depuis il parcourt les contrée de Terra pour détruire tout ses serviteurs, mais il n’attaque pas chaque démon sans réfléchir, il n’a peur d’aucun d’entre eux mais il sait que les apparences sont parfois trompeuses et qu’un démon peut être bon, il lui est parfois arrivé d’en épargner quelques uns qui avait de la bonté dans leur cœur.
Mais bon, c’est rare.
Vous l’aurez compris : Tyrias est franc, direct, il tient a son honneur plus qu’a sa vie, et a ses amis plus qu’a son Honneur.

Description physique
Un géant, une bête, voila ce qu'on pourrait dire d'une personne de sa corpulence, c'est vrai qu'avec ses 110 kilos pour 1mètre 98 il tape dans le grand modèle, pourtant c'est quelqu'un d'élégant, on oublie vite sa démesure quand il on le croise car ses manières sont celles d'un noble de sang. Il parait 10 ans de moins qu'en réalité. Ses longs cheveux lui descendent jusqu’aux omoplates et sont d’un châtain foncé. Tyrias porte une fine couronne composée d’un unique anneau de bronze piqueté d’or autour du front, cela représente sa fonction de chapelain et évite aussi que ses cheveux lui tombe sur le visage durant un combat.
Il a un grand visage ouvert a l’écoute, et de beaux yeux couleur noisettes, des yeux au regard bienveillant (en temps normal). Sa large mâchoire est perpétuellement couverte d’une légère barbe de quelques Il a une forte odeur de musc très virile, qui agresse parfois les odorats les plus fins.
Ses bras sont musculeux, du fait de son habitude a combattre au marteau de guerre.
Il porte une lourde armure de plates qui pèse prés de 30 kilos, rendant inefficientes toutes les armes légères, seules les ennemis les plus forts ou les plus nombreux peuvent passer cette effrayante protection. Cette armure est loin d’être terne, elle est ouvragée de scènes de batailles, des parchemins portant les Litanies de Bataille et de Victoires pendent un peu partout sur cette protection, de nombreuses marques de coup la parsème, rajoutant a l’impression de grandeur qu’il s’en dégage.
Il ne porte jamais de heaume, préférant un contact visuel direct avec ses ennemis et ses alliés, excepté en cas de grande bataille rangée, où il revêt un grand casque a cimier d’un blanc éclatant, agissant comme un phare dans la bataille, ralliant a lui ses hommes, et effrayant les ennemis.

Signe(s) distinctif(s)
(cicatrices, tatouages, tics...)


→ Capacités

Pouvoirs par défaut :

Les Elus sont des être de lumières par essence, ils ne souffrent pas de la chaleur, et peuvent maintenir en vie les être les plus atteints, ils ne peuvent pas les soigner (sauf s’ils ont les compétences nécessaires), ils passent seulement leur énergie vitale dans le corps de la personne souhaitée, la maintenant en vie au détriment de leur santé Ils peuvent tenir un homme qui a été égorgé en vie pendant environ 2 jours (cela dépend de l’endurance de l’Elu) s’ils ne bougent pas, passé ce délai leur force sera épuisée, et s’ils continuent, ils succomberont. Cependant, le sacrifice d’un Elu de cette manière guérit totalement les blessures du « patient ».
Les Elu sont beaucoup plus performant au combat de jour que de nuit.
Ils peuvent projeter un halo de lumière vive qui, en plus de permettre d’y voir, est très désagréable pour les démons. (Sans vraiment les blesser).
Les Elus dispose d’une endurance exacerbée par rapport aux humains lambda Pouvoir particulier : (facultatif)
-Tyrias peut émettre un flash de lumière très puissant et très bref, qui aveugle les ennemis pendant plusieurs secondes. Le problème est que ça n’aveugle pas que les ennemis, ça aveugle aussi les alliés qui le regardent.


Arme : Tyrias se bat avec un grand marteau de guerre qu'il tient a deux mains, lors d'une charge a cheval pendant une bataille rangée, il tiendra son marteau d'une seule main, pendant que l'autre portera un pavois (grand bouclier)
Familier :(facultatif) (Définition : animal lié psychologiquement à un être, ils peuvent communiqué par la pensée.)
Autre : Le marteau de Tyrias est unique, il porte le nom de Fureur, lorsqu’il se bat contre des créature du mal, il s’embrase, avec tout les avantages et inconvénients qui accompagne le feu.
Il siffle plutôt bien.


→ Votre Histoire
Tyrias est né dans un petit comté, perdu au sud du pays de la terre, bien que petit et guère riche, ce comté était respecté pour l’Ordre qu’il abritait en son sein : l’Ordre d’Emeraude.
Cet Ordre n’avait rien d’imposant, cependant il était influent car il formait les guerriers les plus tenaces et les plus fervents, des soldats d’élites dont la discipline et l’honneur n’avait d’égal que leur amour pour leur prochain. Cet Ordre était dirigé par le Seigneur Dargor, un homme a la voix posée et douce, a la prestance magnifique et a l’armure d’argent.
Issu d’une famille de notable aisée, Tyrias décidât dés son plus jeune âge, et contrairement a ses frères, de devenir chevalier. Son père en conçut une grande et lui permit de faire ses premières armes avec les meilleurs maitres.
A l’âge de dix ans, Tyrias put faire son entrée dans l’école militaire du comté, et après huit ans de formation, il entrât dans l’Ordre.
La formation militaire est toujours suivie d’une formation mentale, et durant encore deux ans, Tyrias fit des allés-retours incessants entre la bibliothèque et la caserne, affutant son esprit autant que son corps.
Vint alors le jour tant attendu de l’adoubement, en compagnie de ses camarades, Tyrias fut introduis devant Dargor et mit un pied a terre, il reçut la gifle traditionnelle, la seule injure a laquelle il ne pourrait jamais répliquer, puis on lui remit son marteau, car telle était l’arme qu’il avait choisit, comme chaque arme de Chevalier, son marteau était unique et l’aiderait à voir au travers des ténèbres qu’il rencontrerait durant sa vie.
Après avoir été adoubé, Tyrias dû suivre un Paladin durant ses missions, afin d’apprendre la voie qui serait désormais sienne. Ce fut durant cette période qu’il prit pour la première fois la vie d’un homme. Cet événement fut désagréable, mais Tyrias savait que c’était nécessaire, et il savait aussi qu’il s’agissait de la dernière épreuve, avant de faire vraiment partie de l’Ordre.
Apres cette année, Tyrias travaillât comme chevalier, il défendait les démunis, faisait office de juges et étudiait de nombreux textes.
Dix années plus tard, c’est cette même soif de savoir qui attirât l’attention du Haut Seigneur. Et après quelques délibérations, Tyrias fut nommé Chapelain, défenseur de l’Honneur et de l’âme de son peuple un Chapelain se doit d’être un modèle pour l’Ordre.
Tout se passât pour le mieux, le prestige de l’Ordre atteint en ce temps, son point culminant, de nombreuses personnes, de toutes les classes sociales venaient demander leur assistance, qu’elle soit militaire, juridique, où simplement humaine.
Mais tout cela changeât avec la venue d’Aile Ténébreuse.

Lorsqu’Aile Ténébreuse arrivât sur Terra, les Chevaliers firent tout leur possible pour contrecarrer ses plans, jouant de leur influence pour couper sa nouvelle religion en plein élans, refusant d’aider ceux qui avaient fait affaire avec le démon. Ils commencèrent alors a rechercher des alliés pour un guerre future et inévitable contre le démon, mais cette action fit prendre conscience a Aile Ténébreuse que ces petits chevaliers pourraient lui poser problème.
Il envoyât alors contre eux son plus terrible serviteur, c’était un gigantesque dragon aux écailles noires comme la suie, son nom était Naorgoth.
Bientôt les éclaireurs apportèrent a Dargor qu’un énorme dragon avançait vers le comté, et qu’il détruisait tout sur son passage, c’était une bête titanesque, longue de presque cent cinquante coudées, le plus gros dragon qu’on est jamais vu sur ces terres, et il se déplaçait vers la plus grande ville du comté a la vitesse d’un cheval au galop.
Dargor n’hésitât pas un instant, il fit rassembler tout les chevaliers et leur exposât la seule solution :
Il fallait se battre, le combat signerait leur arrêt de mort car bien que puissants, ces guerriers n’étaient pas assez nombreux pour défaire ce dragon. Mais de par leur sacrifice, les chevaliers permettraient aux innocents de fuir loin du monstre et de sa puissance meurtrière.
Le seigneur avait regardé les chevaliers se trouvant dans le Grand Hall du monastère, et il leur avait dit
-« Pour la seule fois de votre existence, je vous offre de fuir le combat, ceux qui le veulent peuvent quitter la salle et partir avec leur famille. »
Un silence de plomb s’était fait dans la pièce, tous les guerriers, impassibles, se fixaient, pour savoir qui le premier oserait fuir.
Alors que la tension était palpable, le Chapelain Michel fit un pas vers le Seigneur, et plantant son regard dans le sien, il mit son heaume de bataille.
Ce fut ensuite au tour des autres Chapelains de faire de même, et tous les Chevaliers et Paladins présents enfilèrent leurs casques. Puis comme un seul homme se dirigèrent vers les écuries.




Voici comment mourut Tyrias :


Dargor menait la charge a travers la plaine, il était monté sur un magnifique cheval blanc, et avec la lueur matinale, son armure le parait d’une magnifique aura lumineuse.
Derrière chevauchaient les cent trente guerriers de l’Ordre, jamais ils n’avaient étés réunit en si grand nombre, et la vue de cette magnifique troupe toute d’acier et d’or chargeant sur une plaine déserte aurait pu alimenter les chansons des bardes durant des siècles, seulement personne ne vit cette bataille.
Le dragon si trouvait de l’autre coté de la plaine, lorsqu’il aperçut les chevaliers il poussât un rugissement de haine si terrible qu’il fit trembler le sol.
Au même moment, les musiciens de guerre se mirent à entonner de leurs voix graves les hymnes de Triomphe.
Alors que les cavaliers avaient parcouru la moitié de la distance les séparant de leur terrible adversaire, ce dernier ouvrit une gueule immense et déversât sur les chevaliers le gigantesque brasier qui emplissait sa gorge.
La moitié des combattant périrent sous cette marée de feu, mais les autres ne ralentir pas, et bientôt ils furent au contact, Dargor portât le premier, et unique, coup a la bête : passant sur le coté de la bête, esquivant un coup de patte monstrueuse, il plantât son épée divine dans son flanc et ouvrit une gigantesque plaie sur toute la longueur du montre.
Le dragon hurlât, mais ce fut la seule balafre qu’il reçut durant ce combat, car les armes des autres chevaliers se brisaient sur ses écailles, tant elles étaient épaisses.
Les chevaliers frappaient en vain, leurs coups rebondissaient sur les écailles du monstres, leurs lances se brisaient, leurs épée se tordaient. Mais les griffes du dragon parvenaient sans aucune difficultés à passer au travers des plus épaisses armures d’acier, et rapidement les rangs des guerriers furent décimés, Tyrias lui-même fut atteint par un coup de queue de la bête, un des épieux qui garnissait le membre perforât son armures et pénétrât son poumon droit, et l’envoyât a plusieurs dizaines de pieds de là, sur un rocher, le choc l’assommât.
Cependant, alors qu’ils se faisaient massacrés, aucun chevalier ne se fuit, les chanteurs de guerres continuèrent leurs litanies jusqu'à ce que la mort les en empêches, et les Chapelain continuèrent d’insulter le dragon et d’exhorter leurs homme jusqu'à ce qu’aucun souffle ne puisse plus passer leurs lèvres.
Bientôt il ne restât plus qu’un homme debout, Dargor et son épée flamboyante tenaient encore tête au dragon, mais ses forces faiblissaient, et peu de temps après, il fut désarmé et jeté a terre. Les yeux du dragon s’enflammèrent de la joie malsaine qu’il ne prenait rien qu’à voir l’homme qui l’avait défié a terre. L’épée atterrit sur la blessure de Tyrias le tirant immédiatement de l’inconscience dans laquelle il avait été plongé.
Voyant son seigneur au bord du gouffre Tyrias sentit une nouvelle énergie couler dans ses veines, il saisit l’épée et se dirigeât vers le dragon qui tentait vainement d’arracher a Dargor des cris de douleur. Le Chapelain se vidait de son sang, mais il n’en avait cure.
Malheureusement, Tyrias ne possédait pas la force de son seigneur (en tout cas pas a l’époque) et il aurait été incapable de traverser la barrière des écailles, même avec l’arme de son maitre.
Alors il se dirigeât vers la plaie que ce dernier avait ouverte sur le flanc du monstre, et alors que Dargor trépassait dans les griffes de Naorgoth, Tyrias utilisait ses dernières forces pour enfoncer l’épée entre ses côtes.
Le cri de douleur de la bête fut telle que l’on peut encore en entendre l’écho dans les montagnes qui borde la plaine.
Le dragon eut un gigantesque soubresaut, envoyant pour la seconde fois Tyrias dans les airs, mais ce dernier n’en souffrit pas, car a ce moment là il était déjà mort.
Mais Tyrias ne se réveillât pas dans les limbes, il fut baigné dans une douce lueur qui guérit ses plaies du corps et de l’esprit, et lorsqu’il rouvrit les yeux il vit le ciel bleu de la plaine où ses compagnons avaient péri.
La bataille était finie depuis longtemps, le dragon avait disparut, tout les chevaliers avaient péris, mais malgré cela la victoire leur appartenait dans la mort, ils avaient mis en déroute le plus grand serviteur d’Aile Ténébreuse, prouvant ainsi qu’il était possible de s’opposer a lui et même de le vaincre. Tyrias ressentit une immense bouffée d’honneur d’avoir participé a cette bataille, mais immédiatement il fut submergé par la tristesse de la scène qu’il avait sous les yeux : les dépouilles de ses frères, tout ces hommes il les avait connu, parfois il ne les avait vu qu’une seule fois, parfois il avait passé plusieurs mois en leur compagnie, mais tous représentaient sa famille, sa vie, et tous étaient tombés.
Il ne pouvait tous les enterrer, ils étaient trop nombreux et il n’avait pas d’outil, cependant il creusât de ses mains nues une tombe pour Dargor, car il avait été un père pour eux tous. Après s’être recueillit à l’ endroit où gisait Dargor, Tyrias fermât les yeux de tout ses compagnons et récitât une prière de voyage pour qu’ils trouvent le chemin vers la lumière une fois dans les limbes.
Il ramassât la précieuse Épée d’Émeraude, l'emmaillotât dans un morceau de cuir et jurât sur son honneur et sa vie de ramener l'Ordre a la lumière.


Puis il partit à pied sur les traces des civils qui s’étaient échappés, cependant Tyrias n’était pas un pisteur, et il finit par se perdre.


Mais tant que la guerre fait rage, un chevalier trouvera toujours a se loger chez des paysans ayant besoin de protection ou d’une présence rassurante, et pendant plusieurs année il vagabondât, parfois il se battait contre Ailes Ténébreuse dans les troupes lui faisant encore face, mais malgré tout ses efforts, personne ne semblait pouvoir arrêter le démon, et bien souvent Tyrias dut accompagner de braves guerriers sur leur dernier chemin.
Le cœur lourd, Tyrias vit tout les royaumes libres tomber, les uns après les autres, jusqu'à ce que seul le royaume de glace se soit pas a genoux.
Mais l’espoir ne l’abandonnât jamais, il continuait a faire le bien partout où il passait, aidant du mieux qu’il pouvait les populations écrasées par le démon, leur insufflant l’espoir d’un renouveau, il faisait tout ce qui était en son pouvoir pour que ces hommes et femmes garde la tête haute, mais bientôt sa réputation grandissante de chevalier bienfaisant arrivât aux oreilles des zélotes de Zelphos, qui se mirent à le traquer, redoutant la naissance d’un nouveau mouvement de révolte.
Ils réussirent a lui tendre un piège dans un village qui était entièrement acquis a la cause du démon.
Lorsque Tyrias eut atteint le centre de la place, des dizaines de villageois surgirent des maisons, tous les habitants, les hommes, les femmes, les enfants et les vieillards, la plupart portaient des fourches, des haches, des couteaux, certains le chargeait en tenant uniquement une grosse pierre, voir même brandissaient leurs mains nues vers le ciel en hurlant le nom de leur maitre.
Tyrias eut juste le temps de sauter a bas de son cheval avant que la marée humaine ne le submerge.
Il sentait les bras de garçons dont la moustache commençait à peine à poindre s’accrocher a son armure, il sentait les fourches d’honnêtes paysan tenter de perçait les plaques qui le recouvrait, mais surtout, il sentait qu’il ne pouvait rien y faire, car tout ces gens étais des innocents, et il ne pouvait pas tuer des hommes et femmes qui auraient pu être sa famille. Il pensait que sa fin était réellement venue, qu’il mourrait des mains de ceux qu’il avait voulut protéger.
Il se laissât aller, lui qui avait guidé tant de personne sur le chemin du trépas ne savait pas a quoi s’attendre durant son passage.
Mais bientôt les cris de haine et de rage furent remplacés par des hurlements de douleur et de peur, derrière le cercle des maisons, une quinzaine de cavaliers avaient surgit du couvert des arbres, et leurs flèches mettaient a mal le groupes de paysans, qui se dispersèrent bientôt sous les coups d’épée et les projectiles.
Lorsque les cavaliers arrivèrent au niveau de Tyrias, ils se présentèrent comme faisant partie de la rebellions, ils suivaient Tyrias depuis plusieurs jours dans le but de lui proposer de se joindre au mouvement. Et ils l’avaient retrouvé au moment même où il était tombé dans le piège tendu par Zelphos et ils s’étaient précipités à son secours.

Il les suivit durant plusieurs jours, apprenant qu'il existait un mouvement de rébellion dont l'ampleur était telle qu'il pouvait espérer défaire le mal de ces terres.
Tyrias fut conduit jusqu'au Sergent Michel.
Il avait survécut lui aussi a la bataille contre le dragon, et avait rejoint la rébellions quelques semaines plus tard.
Les vieux amis partagèrent leurs souvenirs, leurs nouvelles expériences... Michel proposât a Tyrias de faire partie de la Rébellion, ils avaient besoin d'homme comme lui, qui n'était que trop peu nombreux.
Mais Tyrias refusât, il voulait ramener a la vie l'Ordre et a son invitât Michel a le rejoindre, mais ce dernier déclinât.

-"L'Ordre est mort avec Dargor mon ami, il ne pourrat pas être recréé sans l’Épée, lui dit-il avec tristesse.

Sans un mot Tyrias sortit un rouleau de cuir de sa besace, et révélât l’Épée qui y était cachée a son compagnon, en prenant soin de ne pas la toucher directement.
Sa lame verte brillait toujours de sa propre lueur interne, et éclairât l'intérieur de la tente d'une lumière bienfaisante.
Michel restât sans voix quelques instants, puis il finit par dire :

-"Tu as ma bénédiction et mes encouragements Tyrias, Mais je ne peux me joindre a toi, trop de gens compte sur moi ici, des familles dont nous sommes la seule protection, je ne peux les abandonner.
Tyrias se levât, et il prit la parole avec un sourire,

-Tu fais ton devoir Michel, puissions nous nous revoir"
Ils se donnèrent l'accolade et Tyrias quittât le campement sur un cheval que lui avait offert Michel, il devait désormais trouver des hommes et femmes d'honneur, digne de recréer avec lui l'Ordre.




→ In Real Life

Prénom :
Age :
Avez-vous fréquentez d’autres forums ? Si oui lesquels : Feleth
Comment avez-vous connu le forum ? Pur hasard, tombé dessus, et pouf, suis resté piégé ! Non je déconne, Top Forum.
Parlez nous un peu de vous (gout, loisir, métier) : J’aime le metal, les jeux de plateau, le role play (woaw ! surprise !)
Code du règlement :


→ Epreuve de confirmation
Citation :
Racontes une journée passé avec les rebelles avant de revoir Michel. Tu devras obligatoirement y intégrer un combat (contre un animal, des brigands ou même un démon si ça te chante) et une conversation d'au moins 3 répliques.
Tyrias Marchemonde Valida11

Invité

Anonymous




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