Arius avait décider de faire se voyage d’une manière riche.
Le Siphilien avait donc acheter pour l’occasion un carrosse dit « des neiges ».
Ces carrosses sont bien différent des diligences habituelles. Les cheveux utiliser doivent être des chevaux de Silena, ils sont rapide et robuste et habitué au froid, ont dit qu’il ne pas plus d’une semaine en terre de feu. Leurs poils sont épaix et leur muscles proéminents.
L’attelage quand à lui n’est pas seulement en cuir mais en fine chaîne cuivre, le cuivre rouille moins vite que l’acier. La bâtiment quand à lui est en bois de pins des forets qui borde la Toundra, ses pins sont très léger mais ferme. L’extérieur du bâtiment est recouvert d’une sorte de peinture marron à l’odeur des plantes fumer par les peuples de Feu. L’extérieur est entouré de fourrure épaisse pour préserver le passager. Contrairement aux autres carrosse ceux là ne possède pas de fenêtres, les froids les ferait exploser. Les roux sont en acier, en or et en cuivre, elles sont très fines et cloutés.
Arius avait donc louer cet engins pour se rendre sur sa terre natal. Pour lui son peuple n’était que des barbares brutaux et stupide. Arius se souvenait de son enfance, le voyage était long il c’était donc procurer un ouvrage écrit par un Rav, des prêtres d’une religion étrange, qui avait vécus pendant plusieurs années pour du commerce auprès des siphiliens.
« Notes du Rav Ashadon Aron Yitzak :
Les Siphiliens sont un peuples qui sont physiquement comparable aux humains, bien que leur musculature et leur taille ainsi que leur pilosité les rapproches plus des ours et des grand singes. Leur système politique est simple, l’Olaf est leur roi qui dirige tout sans assemblée, sans règles à respecter. Les Guern sont d’anciens guerrier accomplis et qui se sont fait remarquer pour des actes de bravoures, ils sont les stratèges militaire des siphiliens, bien que leur arts de la guerre ne soit qu’à l’état préhistorique bien que du commerce avec nous Rav et les Nains leur est apporter des armes puissantes. Le Dörht est un prêtre, leur religion se base autour de Siphile qui serait la première siphilienne, elles aurais selon les siphiliens engendrés des centaines d’enfants et massacrés tout les pères. Pour les humains de la région Siphile évoque une folle dangereuse qui se prostituait, au risques et périls des clients, du moins c’est ce que racontes les livres de la région. Le langage Siphilien est proche de celui des humains bien que certains bruits dont le mot « Grhdurwrtü-kftsojhgt » qui signifierais « Hache de guerre » sont imprononçables pour les humains. »
Hélas pour Arius, les notes de ce Rav Yitzak parlait peut des usages de sont peuple.
Après trois jours de courses à travers les Glaces, la diligence arrivait aux bords de la Toundra. Un village de pierre de Marnes de pierre volcaniques était planté en pleins milieux de la neige, comme si il avait poussé tel un cactus dans le désert. En retrais des maisons, se trouvait un enclos de bois ou broutais sur une colline de Taïga quelques Yacks.
Au fond de cette petite cité se trouvait un bâtiment de pierre sombre plus grand que les autres d’ou pendant des drapeau gelées par le froid, en se rapprochant on pouvais constaté qu’il s’agissait d’un sorte de manoir nordique, dont les étages supérieur était en bois et le toit en chaume. La diligence circulât dans le village qui n’en était pas tout à fait uns, le sol plat et les maisons identiques trompais l’œil, c’était en effet une vrais petite ville qui s’étendais devant le carrosse. Les gens dans la rue regardait la diligence avec méfiance certain posait une main sur leur armes d’autres suivait carrément l’engin.
Quand la caravane fut devant le manoir qui ressemblais de plus prêt tout comte fait à un petit château.
Le cochet ouvrit la porte à Arius Tomore comme un serviteur l’aurais fait de son seigneur.
Arius Isisglass Goldaf e Tomore’Olaf en sortis en armure, avec sur ses épaules un riche vêtement empruntés pour l’occasion.
Des lourdes portes de fer du château sortir trois personnes, deux vieux hommes et vielles femmes. Quelques gardes lourdement armés se mire alors à leur cotés pour les protégés en cas d’hostilité de la part de l’étrange visiteur.
Arius enlevas son casque de fer. Et ses yeux fin et perfide fixèrent la foule qui s’était accumulés autour du carosse.
« Je suis Arius Isisglass Goldaf e Tomore’Olaf fils de Goldaf Arius Orno e Tomore’Olaf et de Isis Tarurna e Fertun. Je celui qui fut renvoyer, celui devrait un jour revenir, aux prix d’une vie pour Siphile, celui qui doit être l’Olaf. L’Olaf gué Olifius. Le Roi doit gouverné.
Je viens ici pour prendre ce que l’ont me doit. » , Arius criât cette phrase d’une voix sourde comme si elle venait des profondeurs de la terre.
La foule reconnaissant la tignasse rousse d’Arius et le type physique d’un sihilien, applaudit les quelques mots, il en fallait peut pour convaincre des gens simples, du moment qu’on était de leur peuple. Un énorme siphilien qui devait facilement faire autour de 2 mètres 80, commenças à dire « Oui je le reconnais c’est le petit Arius ! » Puis toute la foule reconnaissants ou faisant de reconnaître Arius commentas, chahutas, applaudis, bavardait, c’est un vrais bazars, d’autant plus que d’autres personnes arrivait de touts les cotés de la ville au sons de la même rumeur, « Le nouveau roi est là. » ou encore « Arius est revenus ».
L’un des hommes qui était sortis du petit château, levât la main pour calmé la foule, celle-ci au geste de l’homme, stoppât bêtement et simplement toute discutions.
Le vieil homme n’était ni plus nies moins que le Dörht, le prêtre. Il était habillé selon la coutume de pagne rouge, pour le sang de Siphile et d’un long manteau blanc pour la neige. Son crâne de vieillard était couvert d’une sorte de toque en fourrure blanche d’ou pendait nombreux bijoux de valeurs.
D’une de ses mains squelettiques il caressât sa barbe rude et blanche.
« Si tu es Arius Isisglass Goldaf e Tomore’Olaf, le fils de notre bien aimé Goldaf l’Olaf. Té la sther furtana siou resonn. Que la paix soit sur lui. Tu à commis un acte horrible quand jeune, tu à oser uriner sur une statue de la vénérable et très sainte Siphile. Tant que l’acte n’a pas été réparer tu ne peut prétendre à cette fonction ultime ! »
La foule jetât alors un regard interrogatif vers Arius, cette qui voyait en ce jeune homme riche et plains de charisme un renouveaux pour eux.
Le prétendent jetât alors un sac en lin au pied du Dörht, le sac s’ouvrit au sol il contenait la tête d’un homme qu’Arius avait récupéré après sa condamnation à mort pour avoir voler de l’or à un bourgeois.
« Voici là vie que j’ai prise de mes mains et qui est mon don envers Siphile pour racheter mes péchés. Ayant dépasser les 20 ans, je suis donc Olaf. Il ne me manque que l’accord de mon père. Je serais aussi le Seigneur des terres qui sont allégent à notre peuple. »
Arius dit cela en se tournant vers la foule débordait dans les rues. Il y avait au moins plus de 2000 personnes.
Le prétendent levas alors le poing, qui se fit voir par les personnes au fond. A partir de ce geste, la population scandât le nom de son futur Olaf. “ ARIUS ! ARIUS ! ARIUS ! ARIUS ! ARIUS !”.
Le père qui avait était ronger par l’age ne pus que levé faiblement la main vers Arius en signe de bénédiction.
Le vieux Dörht ne pus qu’a contre cœur prendre la fine couronne d’or blanc sur la tête du vielle infirme et la déposer sur le crâne chevelu d’Arius.
La cérémonie, qui n’en était pas vraiment une ne durât donc pas plus d’une heure. Pendant laquelle Arius ne pensais qu’à réformer, ou plus tôt créé le système économique de ses nouvelles terres.
Quand son titre lui fut remis officiellement, le siphilien jetât un coup d’œil sur sa chevalière ou était présent le signe de l’Aurore. Le désormais célèbre sourire perfide d’Arius se dessinât sur ses lèvres.