La bruit qu’Arius avait entendus était celui d’un rongeur … Sans aucun doute. Mais on avait bien prêté l’oreille on avait pus entendre un bruit de neige. Comme un pas, ou un poing dans la neige.  Arius s’aplatis d’un seul coup de tout son long sur la neige, provoquant un fracas énorme de d’armure, de cliquetis.  Il se glissât le plus discrètement qu’il pus jusque derrière lui, pour voir un petit rat blanc qui grattais la neige.
Dans cette position Arius n’étais pas en force pour se battre, mais il avait compris que ce qui se passait là était un cache-cache et qu’il devait trouver «  se putain de merdeux de lycan » comme il aimait se dire mentalement, dans le  but de prendre son or et peut être d’obtenir des information intéressante de sa part, tout en respectant les principes de l’Aurore.
 
Le Siphilien prit d’un mouvement lent son marteau de guerre qui se trouvais dans son dos. Il rampas un peut de la manière la plus discrète possible. La neige rentrais sous ses peaux, et la nuit tombais de plus en plus, il ferait bientôt nuit noir. Arius espérait une aurore boréal, qui sont fréquente en cette saison, pour pouvoir s’y repérer une fois la nuit tomber.
La technique qu’il utilisait elle était souvent utilisée par les chasseurs de la région. Les peaux que l’ont portais effaçaient les marques quand on se traînaient et surtout elles étouffaient tout les bruits, mais en cas d’attaque il ne serrais pas à son avantage.
Son cœur battais la chamade, il avait peur de ce qui allait trouver, un énorme lycan sous forme de loup en recherche de chair humaine ? Ou un jeune lycan perdu ?
Toute façon tout ce qui se mettait en travers du chemin du Siphilien devait le payer. Et Arius détestait les lycans.
Il rampas encore jusqu'à voir un spectacle dont il se souviendras toujours. Un lycan sous forme hybride qui s’en allais d’un pas discret et furtif.
 
Arius du réfléchir à ce qu’il devait faire. Le lycan était imposant. Le laisser s’en aller ?  Ou bien demander ce qu’il souhaite ? Selon les précepte de l’Aurore il ne pouvais l’attaquer sans aucune raison. Il fallait donc ruser si Arius voulait avoir ce qu’il souhaitais. Arius se levât donc d’un coup sec, comme quand un lion bondit sur sa proie. Il levât la main qui tenait le marteau de guerre et de l’autre bras il pointas l’animal. Le Siphilien se campât fermement sur ses jambes. Il était là dans une position impressionnante. Arius savait que le premier aperçus était toujours celui qui comptait le plus. Il était là sur ses deux mètres et quelques, en armure, les peaux de loup autour de lui était légèrement enneiger et son casque d’acier bien planté sur le crâne. Sa barbe était secoué au grès du vent du soleil couchant. Le soleil qui d’ailleurs était dans son dos lui donnait un air de conquérant, de chevalier du ciel, de barbare farouche.
« Ô créature infeste .. Lycan de malheur, bête immonde, chien galeux ! Regarde moi dans les yeux ! Regarde le regard du vainqueur ! »
Il était évident que sont regard était presque invisible avec le contre-jour. Mais sa bouche qui se voulait un sourire de conquête se transformât en un rictus horriblement laid et inhumain, typiquement siphilien. Ses yeux était fou, une certaine lueur que l’ont ne trouve que chez les êtres corrompus brûlait de tout feux dans ses petits yeux légèrement plissés.
 
Alors que le lycan se retournait pour voir qui pouvais être l’interlocuteur qui lui parlais ainsi.
Arius eu un rire guttural qui semblait venir du fond des ages. Un rire démoniaque, un rire puissant qui semblait se transformer en cris de guerre.
Le Siphilien murmuras quelques insulte dans sa langue natal envers le lycan. Dans sa bouche cela ressemblait as des crachats, des mots vomis par ses lèvres gercés.

[HRP : Je t’est laisser me planter une flèche une première fois. Je te laisse me toucher la deuxième fois à l’épaule, alors que j’ai dit qu’Arius levait légèrement la tête de son abris pour te voir au loin. Et je te laisse corriger ton problème de fléche. Un lycan n’est pas invincible, j’ai normalement le pouvoir et le droit de te faire chuter, de plus Arius connaît très bien les glaces, et donc glisser rapidement dessus pour lui ce n’est pas un problème. La prochaine fois ma messagerie t’est ouverte pour tout commentaire. Pas la peine de régler un minuscule problème publiquement. D’autant que cela m’énerve énormément. Cordialement.]

Le choc de la flèche fit retomber Arius en arrière. Heureusement sa cotte de maille stoppas largement la flèche. Son armure avait produit un tintement puissant au moment ou la flèche avait frapper le buste du Siphilien.  Comment osait elle répondre ? Pourquoi fallait il que cette race est toujours le dernier mot ?! Non ne suivrais pas ses conseils. Arius serait fier de tenir la bête a se merci, marteau levé prêt a frapper, mais laissant la vie à cet être. Il ne voulait pas montrer a cette sale femelle qu’elle était plus puissant que lui. C’était pourtant physiquement le cas, un lycan une fois transformé est très dangereux. Mais Arius sauras se montrer digne.
Il se plaquât donc contre le rocher. La menace du lycan était sévère, elle risquais de se transformé si Arius répliquais. C’est un avec un sourire de dément, puis un rire dément, un rire qui se transformât en cris de joie qu’Arius lançât :
« Viens donc me chercher sale clébard ! Viens chercher ton maître que je te mette la laisse ! Soumet toi ! »
Arius n’entendais pas la lycan, il se replias dans un creux de rocher, accroupis, prêt à bondir tel un fauve, ou tel un siphilien à la chasse. Marteau en main.
Il avait peur, peur de mourir. Mais la rage l’emportais sur la peur. Une rage infernale venues des gènes mêmes du siphilien. Il se battrais, il ne tuerais pas ! Mais il se battrais ! Il donnerais un combat épique ! Un combat digne de tout l’or qu’il avait gagner depuis des années déjà.
Il faisait froid comme il fait souvent froid dans la Toundra, mais Arius était habituer. C’est alors que lorsqu’il se recroquevillait dans le creux de son rocher, il remarquas qu’au loin non seulement la nuit tombais, mais aussi qu’une tempête se levait, au loin le ciel était sombre. Et apparemment il neigeais abondamment.  La tempête serais ici dans environs une heure. Il fallait faire durer le combat. Le froid lui serais favorable, la neige lui serais favorable. C’était son élément. Et surtout la nuit qui tombais apportais le froid, un froid puissant. Le lycan serais désavantager, mais encore fallait il faire durer le plaisir une heure encore.