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 Druss Legendär

 
Druss Legendär Sand-g10Ven 7 Juin - 19:17
Legandär Druss

Une force colossale, un esprit troublé, une arme aux proportions aberrantes et un sens de l'orientation déplorable, Druss est un terrifiant guerrier en armure noire possédant néanmoins un bon fond...

Information
Surnom Le Maudit
Âge : 23 ans
Nationalité : Glace
Profession : Mercenaire itinérant
Camp : neutre
Noblesse :
Croyance : Nayris
Famille : Mère décédée, père encore en vie à Cadrak, garde de nuit. Soeur décédée.
Mort : Oui
Race
Humain
Caractère

Druss possède le caractère rude et franc propre aux habitants de Cadrak dont il est originaire. Les politesses ressemblent pour lui à des pertes de temps et de salive, et il ne comprend pas que l'ont puisse faire autant de détours avant d'annoncer une mauvaise nouvelle. Cela dit, ce grand guerrier possède un bon fond, car même si il peut paraitre impertinent ou brutal, il n'agira jamais dans le but d'offenser quelqu'un gratuitement, ou en tout cas jamais volontairement.
Druss n'aime pas les endroits ou il y a trop de monde, mis à part les champs de bataille bien entendu, et préférera dormir à la belle étoile, si possible, plutôt que de se retrouver dans une taverne bondée. Et c'est d'ailleurs ce qui nous amène au point le plus important de son caractère : la raison pour laquelle on l'appel le Maudit. Mais aussi la raison pour laquelle il préfère éviter les foules.
En effet, dû à une bien étrange malédiction, il est soumit à des crises hallucinogènes accompagnées de démence passagère. Ce qui peut le pousser à se montrer violent envers des personnes, des animaux ou des objets que ses hallucination auront transformés en d'horribles monstres.
Bien heureusement, il connait par cœurs les herbes à ramasser et comment les préparer pour obtenir un remède efficace contre ses crises. A prendre d'urgence dés qu'il commence à percevoir quelque chose d'anormal.
Incroyablement féroce et violent au combat, il semble aussi calme et impassible qu'une montagne lorsqu'il se repose, comme si toute cette rage guerrière était solidement cadenassée en lui, ne se réveillant qu'au combat.

Physique
Druss mesure un mètre quatre-vingt dix pour quatre-vingt quinze kilos, et encore, sans son armure. Il es musclé, très musclé bien-sûr, ne serait-ce que pour pouvoir logiquement soulever son arme. Et pour ce qui est de pouvoir la manier correctement, cela demeure un mystère pour ceux qui l'ont vu combattre.
Il a le teint gris, contrairement au pâle ravissant de certaines personnes à la peau plus raffinées, et semblerait presque malade tant cette couleur est terne. reflétant plutôt bien la lumière et les couleurs vives, sa peau change légèrement de tinte au gré du climat et de la météo.
Bien sûr, il possède son lot de cicatrice, comme tout bon guerrier qui se respecte, et chacune possède une histoire qu'il connait par cœur. Pas forcément agréable à regarder pour les partisans de la beauté pure, ses cicatrices font pourtant partie de son charme.
Il est toujours vêtu de noir : de ses vêtements jusqu'à son armure en passant par ses bottes, il complète le tout de sa grande cape déchirée. D'ailleurs, il ne la garde pas pour se donner un côté terrifiant, mais parce qu'elle est le souvenir de sa sœur.
Capacités
Armes : Son épée collosale ainsi qu'une dague.
Pouvoirs :
Familier :
Artefact :
Autre : Sa force et sa férocité sont à la mesure de son épée. Et certaines rumeurs prétendent qu'il s'agit la d'un pouvoirs surnaturel plutôt que du fruit d'un rude entrainement... Mais rien n'est moins sûr.
Histoire

Histoire Druss est née à Cadrak, entre les murs gris et froids des forts battus par les tempêtes de neiges et rongés par le givre. Son père était un soldat de la garde de nuit, faisant des rondes régulières ou prenant des postes fixes selon le besoin.
Sa mère, elle était morte emportée par la maladie alors qu'il n'avait que trois ans, victimes de la fièvre comme beaucoup de personnes à la santé fragile ou déclinante sous le rude climat des Glaces.
L'occupation principale de Druss, depuis ses huit ans, était de pratiquer l'épée avec le maître d'arme du fort dans lequel servait son père, ces deux derniers étant bons amis depuis longtemps. Et dés le début, le jeune garçon avait fait preuve d'une force et d'une endurance peu communes, en maniant déjà des armes légère destinées aux adultes. Décidant de ne pas laisser un tel talent se perdre, le maître d'arme demanda la permission à son père de continuer de l'entrainer pour en faire le plus féroce défenseur de Cadrak afin de prendre la succession de son père et peut être même monter en grade. Bien entendu il accepta, et le tout jeune épéiste continua son entrainement avec beaucoup de zèle, appréciant beaucoup la satisfaction d'avoir un but, des perspectives d'avenir et des rêves... Et plus les années passaient, plus Druss avait du mal à trouver des armes trop lourdes pour lui, sensation dont il ne pouvait plus se passer. Ainsi, à l'âge de seize ans, il commençait déjà à se lacer un petit peu de son épée large de cavalerie qu'il maniait pourtant très bien. Mais sous l'insistance du maitre d'arme, il continua tout de même de s'entrainer avec cette épée, n'hésitant pas à soulever des poids plus lourd en dehors de l'entrainement afin de devenir toujours plus fort.
Puis le jour de ses vingt ans, son père et son maître d'arme lui offrirent une épée forgée sur-mesure par le meilleurs forgerons qu'il aient pu trouvé. Et il avaient du s'y mettre tout les trois pour la transporter jusqu'ici. Druss éclata de joie en voyant cette arme, si simple, si massive et pourtant si bien travaillé ; il était ému et impatient à la fois. Et lorsqu'il tenta de la soulever pour la première fois, ce ne fut pas sans mal, mais il parvint tout de même à faire quelques mouvements, ce qui laissa béat son père, le maître d'arme et le forgeron qui l'observaient d'un œil grave. Si sa force était telle qu'elle était maintenant, il ferait bientôt des miracles en s'entrainant sérieusement, il pourrait même être envoyé en renforts à l'armée rebelle. Les rêves de grandeur des deux hommes prenaient de l’ampleur tandis que le jeune homme souriait, peu conscient de tout cela, cherchant juste à devenir toujours plus fort.
Le jour de ses vingt-deux ans, Druss décida de partir en dehors des remparts de la ville fortifiée, après une dispute avec son père qui voulait le faire partir chez les rebelles pour les aider à reprendre les terres d'Aile Ténébreuse. Mais lui ne s'en souciait pas : la guerre l’indifférait, jugeant que de toutes manière, son issue n'aurait pas d'influence sur lui.
Et c'est ainsi qu'il s'aventura dans les plaines enneigées, vastes étendues parsemées d'animaux féroces en quête de sang chaud.
Druss affronta un ours, deux loups géants et une panthère des neiges, son épée ne leur laissant aucune chance, sa force et son endurance lui permettant de se battre même dans ces conditions extrêmes.
Et il continua ainsi, le sang de ses victimes attirants toujours plus de prédateurs : il sentait monter en lui quelque chose d'inconnu, un plaisir et une frénésie nouvelle qui le grisait et lui faisait oublier fatigue et douleurs... Il était née pour combattre.
Mais au bout d'un moment, alors que ses jambes tremblaient de fatigue et que son corps commençait à perdre de sa chaleur, il décida de faire demi-tour, peut être un peu trop tard, car il avait voulu tester ses limites, et il ne lui resta plus suffisamment de force pour arriver jusqu'en ville, il s'écroula de fatigue.

Il se réveilla bien plus tard dans une chambre qu'il ne connaissait pas, les lacérations de griffes et de crocs sur son corps avaient été soignées et bandées avec soin. Il se redressa et fut pris d'un léger vertige, sans doute avait il un peu de fièvre. Dans le coin gauche de la pièce se tenait une fille en bure noire que Druss voyait légèrement floue, transparente. Mettant cela sur le compte de son état, le jeune homme s'éclaircit la gorge et demanda :

-Qui es tu ?

Un petit rire lointain se fit entendre, comme provenant de dehors, et la fille tourna la tête vers lui : montrant un visage sans âge, féminin, plutôt joli et étrangement sinistre. Elle leva alors le bras et pointa doucement le jeune homme.

-Je t'ai vu... Tu aimes tuer... Oui, tu y prends beaucoup... De plaisir.

Druss fronça les sourcils et se redressa un peu plus dans son lit, cette fille le mettait mal à l'aise, surtout depuis qu'elle avait mis le doigt sur ce sentiment nouveau qu'il ne savait pas expliqué lui même.

-Et alors...? On me remerciera pour avoir tuer ses bêtes féroces, pour leur viande et la sécurité que leur mort offre aux voyageurs. De plus, elles m'ont attaquées à vue !

Il haussa un instant les sourcils et détourna légèrement le regard, venait il de se justifier devant une femme ? Pourquoi devait il expliquer son geste alors qu'il était d'utilité publique. Il était un héros d'avoir accompli cela.
Le même rire, puis la fille rabattit la capuche de sa bure, laissant apparaitre sa chevelures étrangement violette.

-Hi hi hi... Les vrais héros surmontent leurs peurs pour venir à bout des créatures qui les menaces... Toi Druss, tu es allé les chercher en sachant que tu trouverais du plaisir dans leur sang et dans leur mort, tu es né pour le combat, né pour tuer, né pour apporter la mort à tes ennemis...

-Non !! Je suis un humain ! Pas un monstre ou autres démons !

Il avait crié, ce qui ne perturba pas une seule seconde la fille en face de lui qui s'approcha tandis qu'il l’observait en fronçant les sourcils, méfiant.
Puis elle déposa un baisé sur son front, le jeune homme cligna des yeux et lorsqu'il les rouvrit, elle n'était plus la...
Peut être avait il plus de fièvre que ce qu'il pensait. Mais une voix résonna dans la pièce, comme si elle provenait des murs eux même.

-Druss... Divertis moi...

Puis les murs se mirent à onduler, ce qui fit montée une angoisse inexplicable dans la poitrine du jeune homme. Il transpirait. Puis soudain, un bruit à la porte, il se leva d'un bond de son lit. Une étrange fumée blanchâtre rampait sur le sol, puis la porte s'ouvrit doucement, grinçant d'une manière qui effrayé Druss, sans savoir pourquoi. Puis une chose horrible, à tête d'insecte et au corps carbonisé rentra dans la pièce, tenant entre ses mains une bassine de sang dans laquelle flottait une main fraichement coupée. Le jeune guerrier, poussé par une démence incroyable, attrapa la gorge de l'abomination et fit un violent mouliné du bras pour l'envoyer contre le mur.
Puis soudain, un voile noir lui tomba devant les yeux, il faillit perdre l'équilibre, et quand il put retrouver ses esprits, il vit le cadavre d'une jeune fille adossé au mur, l'arrière du crane éclaté, la nuque brisée... Ses cheveux blonds tachés de sang. Elle tenait entre ses mains une bassine d'eau chaude encore fumante dans laquelle flottait une éponge. Elle devait avoir dix ans tout au plus.

Druss s'était habillé, la tête vide, se dépêchant de mettre ses habits, son armures et ses harnais. Puis il courut à travers la ville en direction de l'endroit ou il s'était évanouit, à une demi lieue à peine des portes. La bas, il retrouva son épée, plantée dans la neige. En effet, personne ne se serait encombré d'un tel monstre d'acier en s'occupant d'un blessé. Et inexplicablement, lorsque le jeune s'en approcha, il remarqua qu’une poupée de chiffon était attachée à la garde de son arme. Une petite poupée bien cousue avec des yeux en bouton de chemise et des cheveux en morceaux de laine... Violets.
Il l'arracha alors de son arme, brisant la fine ficelle qui la maintenait et la serra dans sa main, serrant aussi les mâchoires.

-Nayris...


Plus tard, Druss alla voir des médecins, des sorciers puis des alchimistes... Mais aucun ne trouva de remède à ses crises de folie. Il avait dors et déjà été banni de Cadrak, bien mince punition pour avoir tué une enfant, mais il agissait sous l'effet de la folie et ne pouvait donc pas être tenu pour responsable de ses actes.
Un beau jour, alors que Druss avait déjà atteint ses vingt-trois ans, louant ses services au plus offrants pour vivre, et alors qu'il cheminait en direction d'Him'néa en espérant y trouver plus de travail, il croisa un étrange bonhomme assis sur le bord de la route enneigée, celui-ci marmonnait en tenant sur ses genoux une poupée de porcelaine qu'il se hâta de cacher en voyant le jeune homme arriver. Puis il leva un visage de cadavre fraichement déterré vers lui et tenta un sourire.

-O-oui... Qu'est ce qu'un simple voyageur peut faire pour vous ?

Sans même s'en apercevoir, Druss s'était arrêté pour fixer l'homme. Il était drôlement habillé, comme un genre de prêtre, peut être prêchait il sa divinité sur sa route ?

-Tu m’indiffères prêtre. Mais montre moi la poupée que tu caches.

Le prêtre haussa les sourcils et se pinça les lèvres, anxieux. Puis, d'une main tremblante il reposa la poupée de porcelaine sur ses genoux. Le jeune homme s'accroupit pour l'examiner de plus prêt et fronça les sourcils en sortant sa propre poupée de chiffon. Les même cheveux, le même sourire, la même allure... Le prêtre sembla reprendre des couleurs alors et sourit.

-Oh ! Alors, oui, vous aussi ! Quelle est charmante, vous ne l'avez pas faites avec vos gros doigts n'est ce pas ? On dirait le travail d'une enfant tant il est délic-urgl...

Druss avait saisit le prêtre à la gorge et l'avait soulevé de terre. Sa poupée avait chut dans la neige, sa robe de dentelle ne se mouillant même pas tant la neige était froide. Et le jeune homme observait le prêtre d'un air menaçant.

-Si tu es un prêtre de Nayris, tu dois savoir comment lever sa malédiction.

Le bonhomme se débattit et s'agita, respirant avec peine.

-Non voyons je... Je ne suis pas prêtre je... Juste un vieil adepte.

La poigne du jeune homme se resserra et ses yeux exprimait se firent plus menaçant encore.

-Parle.

Puis il lâcha le bonhomme qui tomba dans la neige sur le dos, et Druss le menaça de sa terrifiante épée.
Le gringalet tremblait de peur, il toussait, blême. C'était un miracle qu'il est put voyager aussi loin dans les Glaces.

-D'accord, d'accord... Je... Je vais vous donner une recette connues des disciples de Nayris... Car c'est bien d'une de ses malédictions que vous souffrez n'est ce pas ?

Il avait prononcé cette dernière phrase avec des étoiles dans les yeux, comme excité, impatient comme un môme devant un cadeau d'anniversaire.
Druss tendit simplement la main, toujours menaçant, et le bonhomme lui remit un vieux parchemin.

-Merci.

Il le glissa dans une de ses sacoches et fixa le gringalet, qu'allait il faire de lui ? Ses yeux exprimaient une intense jubilation, son sourire était horrible.

-Vous savez, si la déesse vous a reconnu, vous devriez le prendre comme une bénédiction ! C'est un honneur pour vous !! Et ce serait un honneur pour moi ! Je le mérite, MOI !

N'y tenant plus, Druss planta son épée dans la poitrine de l'adorateur de Nayris avec un grognement agacé. Faisant exploser ses organes interne sous la masse d'aciers qui le découpa presque en deux.

-Passe lui le bonjour de ma part...


Et c'est depuis ce jour que Druss parcourt librement les terres de ce monde, partant à la découvertes de nouvelles contrées tout en louant ses services pour gagner sa vie, prenant son exile comme une seconde chance de devenir plus fort et de trouver un nouvel objectif.


Citation :
Raconte comment tu as reçu la plus grosse et mortelle de tes cicatrices.

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