(ABANDONNÉE) À la dérive. [pv: Aeryn Avalaisoun]

Au loin, à la dérive sur un morceau de la coque d'un bateau en bois, il y avait Hogùn Anodrac inconscient et blesser. Ses blessures avaient déjà commencé à coaguler, il était blessé à la tête, quelques coupures aux bras et aux jambes. Les vêtements presque déchirés et tout son corps étaient hors de l'eau. Mais que s’est-il passé?

Hogùn était perdu dans ses pensés, il se reposait dans la couchette du bateau et attendait qu'on vient le chercher en cas d'attaque. L'Ombrageur avait accepté la demande d'un capitaine, il voulait un homme de plus au cas ou il se ferait attaquer par n'importe quel prédateur hostile. Hogùn s'ennuyait et détestait le fait qu'il y eût peu de zones d'ombre. Le voyage devait durer une semaine pour être précis, mais malheureusement à ça troisième journée, le voyage prit une tournure dès plus désagréable. Hogùn se trouvait sur le pont et admirait la vue, le ciel était recouvert par les nuages, aucun rayon désagréable n’était sur lui et un p'tit orage se préparait. Pour vraie, Hogùn appréciait ce beau temps.

Tout d'un coup, le bateau avait tremblé et savait arrêter d'un coup sec. Hogùn agrippa rapidement les cordages et il garda ainsi son équilibre. Tous les membres du navire se précipitaient sur le pont et tous couraient comme des poules pas de tête. Le capitaine tira un coup de feu avec son pistolet en l'air, il avait l'attention de tout le monde et donnaient ses directives. Mais avant qu'il soit fini, des tentacules géants émergeaient de la mer et l'une d'entre elles agrippa le capitaine pour le faire disparaître dans l'océan.

Les tentacules attaquaient les unes après les autres le bateau qui résistait avec difficulté. Le forgeur d'ombre ne pouvait rien faire, il était sans voix et sans stratégie face à un monstre de ce genre. Les tentacules détruisaient le bateau avec une telle facilité. L'Ombrageur se décida enfin à bouger, il courait de gauche à droite pour éviter ces tentacules et se couvrait le visage à l'aide de son avant-bras pour se protéger contre les débris. Il reçut quelques coupures sur le corps, mais rien de bien grave.

Ce chaos durait depuis deux minutes et il touchait bientôt à sa fin. Deux grands tentacules surgis de l'océan et celles-ci étaient bien plus gros que les autres. Et d'un coup sec, ces deux immenses bras tombèrent sur le bateau qui fut détruit en trois parties. Hogùn avait été projeté loin et haut dans les airs et durant son vol plané, il fut heurté par un objet dur. L'Ombrageur avait perdu connaissance et tombait rapidement, il tomba sur le dos et sur un morceau de ce qui restait de la coque. L'Ombrageur parti à la dérive.

Je nageais tranquillement dans l'archipel de la Muerta. Il y faisait tellement plus chaud que dans les pays glaciales que j'avais visité quelques jours auparavant que je profitais largement de ma nage dans cet ensemble d'îles toutes plus belles les une les autres. Peut-être plus tard j'irais trouver une maison tranquille pourvu d'une bibliothèque pour lire un peu au bord de la plage, un peu de lecture ne me fera pas de mal.
Mon sac de voyage sur le dos, je nageai donc au fin fond de l'océan et vagabondais comme souvent entre les îles plus ou moins éloignées. L'eau était divinement douce et je souriais, dévoilant mes dents blanches. J'aimais tant ma vie.
je pensai soudain que si je voulais voler un livre aujourd'hui, il me faudrait des vêtements secs et pour le moment, c'était impossible puisque je transportais mes vêtements dans mon sac, sous l'océan. Alors je gagnais la surface et me mis en quête d'une île avec une plage tranquille où mes affaires pourraient sécher au calme, sans qu'il n'y au aucun risque que quelqu'un ne me les vols. Je reparais bientôt une terre à l'horizon et m'y rendis lentement. Aller sur une île ne voulait pas signifier ne pas profiter de l'eau autant qu'il m'en ai possible. Après tout, j'aime l'eau, je ne suis pas une sirène pour rien.
Arrivée sur la plage, je pris un corps humain et étendis mes vêtements sur la plage avant de rapidement regagner l'océan. J'avais déposé mes affaires au soleil et comme je ne voyais actuellement personne, j’espérais que personne ne me les volerais puis repartis nager au loin, sans accorder la moindre attention à l'île. Il faudrait juste qu'elle ne soit pas hors de vue pour que je puisse la retrouver plus tard.
Je nageais donc depuis un moment lorsque j'aperçu quelque chose flotter sur l'eau. Je m'approchais et découvris un homme évanouis sur une planche de bois peinte. Surement les restes d'un bateau attaqué par je ne sais quel monstre. Curieuse, je m'avançais au point de le toucher et lorsque je fus véritablement certaine qu'il était inconscient, je le fouillais doucement. Rien, pas d'argent, pas de livre. Il n'avait absolument rien d'intéressant. Il avait surement perdu ce qu'il possédait dans le naufrage. Flûte ! moi qui espérait gagnait un peu d'argent.
Tout à coup, une pensée s'offrit à moi; Et s'il me remerciait de le sauver ? Evidemment, pour cela, il me faudrait le sauver mais cela devait être possible. Comment pourrait-il donc me remercier ? Était-il riche ? Ce serait bien mais ces vêtements étaient trop sombres, trop peu flamboyant pour un riche n'est ce pas ? Enfin, c'était toujours beau de rêver.
J'attrapais alors le morceau de bateau et le tirais en direction de la plage où j'avais laissé mes affaires. Pourvu qu'elles y soient encore.

L’Ombrageur était encore inconscient lorsque la sirène avait commencé à le fouiller. Il était perdu dans ces rêves, il voyait encore le monstre aux tentacules géants et les corps de l’équipage qui se faisait dévorer. Hogùn avait fini par ouvrir les yeux à cause du changement de direction de l’épave. L’image de ce qu’il voyait restait floue, après quelques clignotements, la vue commençait à s’éclaircir. Il tourna lentement la tête de gauche à droite, il y avait que la mer. Il décida de vérifier l’état de son corps. Il crispa les muscles de ses jambes pour sentir ses pieds et ses jambes. Par la suite ses mains et jusque-là tout était intact. Il déplaça ses mains pour vérifier le reste, il y avait quelques coupures, mais rien de grave.

Lentement et avec difficulté, Hogùn se tourna sur le ventre pour ainsi lever la tête et voir où il se trouvait. Mais il n'y avait rien, pas d’île, pas de bateau et pas d’oiseau. Puis au loin, il y avait une île devant, l’ombrageur retrouvait l'espoir. Mais après quelques secondes, il commença à douter et il dit :

-Mais pourquoi je me dirige vers cette putain d’île? Ya quelques choses qui clochent, mais c'est quoi?

L’Ombrageur regardait de gauche à droite pour voir dans quelle direction le courant se dirigeait, lui qui était face à l’île, le courant devait pousser le reste de la coque vers la gauche. Mais il y avait quelques choses qui clochaient et cette chose l’envoyait vers cette île. Hogùn décida de regarder à la seule et dernière place qui n’avait pas encore regardé. Au début, il ne voyait rien, puis tout d’un coup il vue des mouvements dans l’eau et cela ressemblait beaucoup à une queue de poisson. Ses yeux devenaient grands ouverts et il se tourna vers l’avant. Il s’approcha doucement vers l’avant et il compta jusqu’à trois, une fois à trois il plongea la tête dans l’eau pour voir ce qu’il y avait en dessous de lui. À sa grande surprise, il y avait une sirène qui la déplaçait vers cette île. Mais à cause du courant et de l’effet de surprise Hogùn tomba à l’eau et percuta la sirène, pour finir l’Ombrageur s’enfonçait dans les profondeurs de l’océan avec pour image une sirène.

je nageais toujours en direction de l'île lorsque je sentis l'embarcation bouger. L'humanoïde devait s'être réveillait. Je jetais un coup d'oeil et découvris en effet un homme plus ou moins éveillé se demandant où il était d'après son regard interrogateur. Je sortis de l'eau pour mieux le voir, mais je dus être trop discrète car il ne me vit pas,

"Mais pourquoi je me dirige vers cette putain d’île? Y a quelque chose qui cloche, mais c'est quoi ?"

Je ris silencieusement en retournant dans l'eau. Il était amusant, j'avais bien fait de le sauver. Finalement, il prit conscience de ma présence et, voulant m'apercevoir plus clairement certainement, tomba à l'eau. Je le vis passais par dessus bord et couler tout au fond de la mer. Il me fallait le sauver, je n'allais tout de même pas le laisser se noyer tout de même. Il était amusant après tout et surtout, peut-être était-il riche.
C'est ainsi que je partis à sa rescusse et le ramenais à la surface. Heureusement, l'île nétait plus très loin. Dans moins d'une minute, s'il ne tentait pas une nouvelle fois de mettre fin à sa vie, nous y serions.
Cependant, j'avais perdu de vue la morceau de bois : il me faudrait le porter jusqu'à la plage. Pourvu qu'il ne bouge pas !
Je ne regardais même pas s'il était conscient ou non et lui demandais, sachant pertinemment qu'il m'était possible de parler à un mur :

"Vous allez bien ?"

Hogùn se laissa traîner par le collet, il avait la tête sous l'eau et il s'en foutait. Depuis qu'il était Ombrageur, il n'était plus obligé de respirer. Il avait les bras croiser pour montrer sa frustration et il resta calme pour arriver le plus vite possible à l'île. Mais il était dur de rester frustrer avec cette agréable sensation d'eau froide qui parcourait son corps. En plus, l'eau l'avait complètement réveillé, il était reposé et même avec ses quelques blessures légères, il était en forme.

Puis il entendit la sirène lui poser une question.

"Vous allez bien?"

Alors l'Ombrageur répondit sous l'eau :

-blup blupb lbububp.....

Hogùn s'arrêta quelques secondes, il avait encore sa tête dans l'eau comment pourrait-elle comprendre? Il finit par gonflé son ventre pour le ramener à surface et recommença ça réponse.

-Ça va, ça va, mais j’irais mieux dès que j'aurais mis pied terre. Sinon, je profite de la vue et de la mer, mais une p'tite question! Pourquoi es-tu venue me sauver? Tu ne vas pas me manger quand même?

Hogùn laissa répondre Aeryn et continua avec la question suivante.

-On arrive bientôt? J'ai comment dire hâte d'être au sec.

Puis après ses quelques échanges d'information, Hogùn ne pue s'empêcher de repensé au monstre qu'il l'avait attaqué. Mais qu'elle était cette créature qui avait à la fois mangé et capturé des membres de l'équipage. Hogùn regarda la sirène et se demandait si elle aurait la réponse à cette question. Il préférait attendre d'avoir atteint l'île en premier. Il ne voulait pas l'effrayer, surtout qu'il avait un taxi gratuit. Rendu proche de l'île, Hogùn agrippa délicatement la main de la sirène, pour lui indiquer qu'elle pouvait le lâcher et qu'il allait continuer comme un grand.

-Merci, mais je vais continuer tout seul maintenant. Dites-moi ma p'tite dame! Comment allez-vous faire pour me suivre sur l'île?

Hogùn marcha sur l'île le premier, il regarda à gauche et à droite et il vit un coin d'ombre. Il commença son déplacement en direction de ce lieu et une fois rendu à destination, il glissa sa main dans l'ombre et il en ressortit de nouveaux vêtements secs, tous empilés et placer à côté de lui. Hogùn commença à se déshabiller pour se changer.

L'humain, toujours la tête sous l'eau malgré le fait que je le portasses et de ce fait, il me répondit sous l'eau, sans se rendre compte qu'il n'était toujours pas à la surface. Sa phrase fut incompréhensible et il se rendit enfin compte qu'il était toujours sous l'eau. Comment était-il possible pour un humain de ne pas s'en rendre compte plus tôt ? Il leur faut bien respirer ? Peut-être n'est-il pas humain mais alors, quel est-il ? Il y ressemble pourtant. Il faudra que je lui demande mais j'attendrais d'arriver sur la terre ferme, comme cela je pourrais en même temps demander s'il est riche ou non et auquel cas, nous verrons bien ce qui se passera.
L'humanoïde non-humain gonfle son ventre et remonte finalement à la surface pour pouvoir s'exprimer :

"Ça va, ça va, mais j’irais mieux dès que j'aurais mis pied terre. Sinon, je profite de la vue et de la mer, mais une p'tite question! Pourquoi es-tu venue me sauver? Tu ne vas pas me manger quand même?"

Je lui jette un regard un peu sombre : je n'aimais pas que l'on me tutoie lorsque l'on ne me connait pas. C'est une question de respect de vouvoyer et également de bonne éducation. Visiblement, cet homme avait eu une mauvaise éducation pour ne pas vouvoyer sa sauveuse mais je répond tout de même plus ou moins de bonne grâce.

"On arrive bientôt? J'ai comment dire hâte d'être au sec."

Je répondis d'un ton sec et tranchant que nous n'étions plus très loin et qu'il n'avait qu'à regarder autour de lui pour savoir. N'avait-il pas dit précédemment qu'il profitais de la vue sur la mer ? En était-il véritablement certain pour demander si nous étions bientôt arrivé ? Ne pouvait-il donc pas le voir tout seul ?
Je luttais à présent pour ne pas le lâcher le le laisser couler ; l'appas du gain me poussait cependant à le sauver, il me poussait à espérer que cet humain-non-humain soit riche et me récompense à ma juste valeur.
J'atteins finalement la plage et lâche l'humain-non-humain qui se lève et marche légèrement en disant :

"Merci, mais je vais continuer tout seul maintenant. Dites-moi ma p'tite dame! Comment allez-vous faire pour me suivre sur l'île?"

"Et mon argent alors ?" dis-je sans réfléchir.

Il ne comptait donc pas me récompenser ? C'était pourtant ce que toute personne bien élevé devait faire, c'était ce que me répétait toujours maman. Et je l'ai tué un peu pour cela d'ailleurs, et pour toute cette bonne éducation qu'elle voulait m'inculper. J'en avais marre, je voulais être libre et de ce fait, je me suis rebellée ; je suis devenue folle, aliéné, dépendante de mes crises. J'avais voulu être libre, je m'étais moi même rendu esclave de ma folie. Et voilà qu'elle reprenait alors que cela faisait pourtant vingt quatre heure que je n'avais eu aucune crise. Vingt quatre heure ! C'était si rarement qu'il y avait autant de temps qui passait entre deux crises. C'était surement pour cela qu'une nouvelle me prit à ce moment là. Moi qui était pleine de bonnes intentions ce jour là. Je voulais sauver à l'origine, pour gagner de l'argent certes mais c'était sauver tout de même. A présent que je ne me contrôlais plus, à présent que la crise avait pris le contrôle de mon corps, je voulais le tuer. J'espérais ne pas le faire, je voulais me retenir mais c'était impossible pour le moment de reprendre le contrôle, je savais que je ne me calmerais pas avant quelques heures mais je voulais tout de même ne pas toucher à ce type. Je voulais vraiment gagner de l'"argent pour l'avoir sauvé.
C'était trop beau. Mais c'est si beau de rêver alors pourquoi ne le pourrais-je pas ?

Regardant de l'intérieur de moi-même sans pouvoir intervenir sur mes gestes, je me vis sauter sur l'humain-non-humain en prenant mon aspect d'humaine. Evidemment, je n'avais pas eu le temps d'aller cherche mes vêtements un peu plus loin sur la plage et encore moins de les enfiler ce qui faisait que j'étais totalement nue. je tentais de l'étrangler et en moi-même, je me félicitais d'avoir oublier mes armes avec mes vêtements. C'était une chance pour lui !
Il lui faudrait pourtant se défendre rapidement où j'allais vraiment le tuer à force de serrer de toute mes forces sur sa gorge.
Pourquoi les humanoïdes doivent-ils avoir un point faible aussi visible et facile à utiliser pour les adversaire ?

"et mon argent alors ?" dit-elle sans réfléchir.

Hogùn n'avait pas entendu la sirène demander pour de l'argent en raison du sauvetage. Il était présentement tors nu et allait saisir les vêtements secs qu'il avait fait apparaître avec sa capacité des ombres. Mais à sa grande surprise, la sirène lui sauta dessus, Hogùn avait un petit sourire en coin et dit:

— Tu vas vite en affaire, on se conn...

Hogùn n'avait pas eu le temps de finir sa phrase que la sirène avait commencée son étranglement. Aucun air ne rentrait donc il était difficile de parler, même que L'Ombrageur se demandait ce qui se passait. La sirène l'avait sauvé et maintenant elle voulait le tuer, il arriva à cette conclusion, elle voulait le manger. Hogùn sentait toujours une étreinte sur son cou, toute fois il resta calme et regarda dans les profondeurs des yeux de la femme poisson qui était toute nue. Au final, le regard d'Hogùn se déplaça lentement vers le bas et admira l'une des merveilles de la nature. Hogùn était un Ombrageur, il n'était plus obligé de respirer, manger et dormir. Alors, ce que faisait la sirène pour essayer de tuer le forgeur d'ombre, elle le faisait pour rien.

Hogùn affichait à présent un sourire et laissa ces désirs le guider. Il leva ses deux mains et saisit la ferme poitrine de la sirène, ils s'étaient doux et moelleux. Cette sensation stimula l'énergie d'Hogùn, d'une main rapide, la main droite, il passa au-dessus du bras gauche qui l'étranglait et par en dessous du bras droit. Il leva la paume de la main qui avait zigzagué pour qu'elle soit perpendiculaire au sol, de son autre main, il rejoignit l'autre main pour les coller l'une à l'autre. L'Ombrageur plia le pied gauche et donna une pousser pour pivoter sur le côté droit, en même temps il poussa de sa main gauche sa main droite et fit basculer la sirène.

Étant sur le côté, Hogùn se libéra et agrippa la main droite de la sirène et la tira vers lui. Elle était maintenant sur le ventre sur le sol, rapidement Hogùn embarqua sur elle. Il avait un genou sur son dos et l'autre son équilibre au sol. Il garda toujours une ferme pogne, avec sa main droite, le pouce de la main droite. La main de Hogùn l'avait agrippé le pouce pour qu'il pointe le ciel et pouvait ainsi le basculer vers l'arrière et ainsi garder un moyen de pression si elle faisait un geste hostile. Pour finir avec sa main libre, la gauche, il mit une pression avec son coude sur son cou la tête en direction du côté droite.

— bon, bon, bon, je dois dire que j'ai vraiment apprécié cette superbe ballade et que dire de la vue. Mais je ne me laisserais pas faire si facilement et surtout... par une femme... ravissante avec de belles courbes... Néanmoins, j'ai eu une putain de mauvaise semaine. Alors, ne viens pas faire chier! Pourquoi est-ce que tu m'as sauvé? Pourquoi est-ce que tu veux me tuer? ET POURQUOI ES-TU TOUTE NUE? Bordel et elle sent bonne en plus!

"Tu vas vite en affaire, on se conn..."

Je rigolais intérieurement malgré la situation, il s'imaginais vraiment des chose celui là, non, ce que je voulais, ou plus exactement ce que ma folie voulait, c'était le tuer. Rien d'autre. Il allait mourir dans quelques minutes après que je l'ai étranglé, c'était obligé.
Je n'avais plus repensé à tout à l'heure... Il n'avait pourtant pas eu le besoin de respirer sous l'eau alors peut-être que l'étrangler ne lui ferais bien. Si c'était le cas, cela m'arrangerais bien car ce n'était pas en tuant que je pourrais gagner mon argent. Il allait bien me remercier tout de même. Je l'avais sauvé après tout. Il avait intérêt à me payer; S'il en ressortait vivant, il saurait au moins à quoi s'en tenir avec moi.
Je ne me doutais alors pas non plus qu'il pouvait se défendre tout seul.
Tout à coup, il plaqua ses mains sur ma poitrine, ce que je n'appréciais pas le moins du monde. Puis en quelques mouvements rapides, il renversa totalement la situation. Je basculais, il se libérait et soudain, il était sur moi. Je ne pouvais rien faire, j'étais à sa merci.
Mon corps du alors penser que si je n'étranglais plus personne, c'était que la personne était morte car je pu reprendre le contrôle. La crise avait été rapide pour une fois. Ce ne serait pas tout les jours comme ça.

"Bon, bon, bon, je dois dire que j'ai vraiment apprécié cette superbe ballade et que dire de la vue. Mais je ne me laisserais pas faire si facilement et surtout... par une femme... ravissante avec de belles courbes... Néanmoins, j'ai eu une putain de mauvaise semaine. Alors, ne viens pas faire chier! Pourquoi est-ce que tu m'as sauvé? Pourquoi est-ce que tu veux me tuer? ET POURQUOI ES-TU TOUTE NUE? Bordel et elle sent bonne en plus!"

Je le regardais, les yeux ronds. Ils ne comptait vraiment pas me remercier matériellement de l'avoir secouru. Si cela ne valait même pas le coup de sauver quelqu'un, je ne le referais plus !
Je le giflais finalement avant de répondre :

"Je suis nue tout simplement parce que je n'ai pas eu le temps de m'habiller ! Et je suis désolée d'avoir voulu vous tuer, je ne l'ais pas fait exprès, c'est... difficile à expliquer. Et de toute façon vous n'avez pas à le savoir. Si je vous ais sauvé, c'est tout simplement parce que j'espèrais que les gens bien élevé remerciaient leur sauveurs, et notamment les remerciaient matériellement. Avec de l'argent par exemple mais si vous avez de l'or, j'accepte aussi. Vous me lâchez maintenant ?!"

Je tentais en vain de le repousser et de me dégager pour aller chercher mes vêtements qui n'étaient que quelques mètres plus loin même si on ne les voyait pas d'ici. Je n'allais tout de même pas rester nue devant cet inconnu !

Vue que je n'ais aucune nouvelle d'elle et du fait que ça dernière connexion remonte au 31 Juillet de cette années. J'abandonne le RP!

Merci de le déplacer dans les archives