Aime prendre soin des autres - Maladroit par moments - Toujours à la recherche de nouvelles plantes à récolter pour ses potions - Maladroit malgré lui - Diplomate - Aime soigner et développer son don - Déteste les manipulateurs/trices et les mensonges
Mon histoire... Rien de glorieux, juste un homme qui vie et profite de ce qu'il peut, mais laissez-moi vous la raconter
Tout commença dans la maison de ma famille. Non pas que je m'en souvienne, mais c'est logique non? Bref... Je suis née sous le regard de mes parents. La grande aventure de la vie était en marche pour moi, si j'avais su ce qui m'attendait, je serrais venu au monde plus vite.
Je dois dire que mes parents sont des gens gentils, c'est normal me direz-vous. Ma grande soeur m'a toujours protégé alors que j'étais sans défense face aux autres garçons, c'était drôle de voir une fille faire peur aux garçons.
Le bon vieux temps... Bon je ne suis pas vieux quand même... Si? Bon...
Les membres de ma famille sont médecins et des fabricants de potions de père en fils depuis des générations... Sûrement quelque chose en rapport avec le fait d'aider ou je ne sais quoi, je me suis jamais demandé faut dire aussi. Mais c'était sympa d'apprendre ce que mon père et mon grand-père savaient sur le corps humain et tout ce qui touchait aux secrets des potions "magiques" selon eux.
je n'ai jamais été dupe, je savais très bien que les potions n'ont rien de magique, juste que l'on met des ingrédients et ça donne des effets suivants ce que l'on met. Mais ça me faisait rire quand ma famille tentait de me le faire croire.
Petit à petit, je sentais en moi quelque chose changer, je ne saurais jamais dire quoi mais je connais le résultat:
Un beau jour, je me baladais tout seul alors que j'avais que 10 ans, c'est fort hein? Je m'égare pardon, je disais que je me baladais dans la rue, puis j'ai vu un petit oiseau par terre.
Comme tout enfant, je vais voir, et je remarque qu'il est blessé. Il n'arrivait même plus à voler, sans doute une aile cassée, je le prends délicatement pour voir comment il va, c'est que le bestiau voulait pas se laisser faire donc j'ai dû le tenir comme il faut pour qu'il ne tombe pas et se fasse mal.
Puis, je sais pas comment ça c'est passé, mais d'un coup, l'oiseau s'est mis à bouger de plus en plus pour finalement voir que sa blessure se soignait toute seule.
Voilà que je sentais une fatigue venir en moi, comme si je faisais quelque chose d'épuisant pour cet oiseau. Quand soudain, il se mit à battre des ailes alors qu'il n'y arrivait pas au début... C'est étrange non? Ah! pardon je continue mon histoire. Bon, l'oiseau se débattait farouchement, je l'ai relâché et il a volé directement, comme s'il n'avait jamais rien eu.
Je peux vous dire qu'après ça, j'ai vite compris que ne je n'avais ce petit truc en plus que les autres, je sais pas quoi mais peu importe.
Et puis je me suis entrainé sur des animaux de plus en plus gros, et je peux vous dire que plus je faisais grandir ce "don", plus j'aimais cela.
Puis finalement, j'ai tenté sur des humains, et j'ai réussi. Je commençais bien à saisir comment mon "don" marchait et en plus, j'ai appris à "enregistrer" le corps de la personne que je soignais.
Un petit plus pas désagréable j'ai envie de dire. Très vite, j'avais compris mon futur métier, je voulais devenir médecin pour soigner des tas de personnes et les rendre heureuses... Et ma famille se fit un plaisir de m'instruire tout ce qu'un médecin se devait de savoir.
Un rêve magnifique je peux dire, ok! je m'excuse, je reprends. Bon, je disais que je voulais devenir médecin, mais le chemin allait être long, très long, après tout je n'étais qu'un enfant encore. Donc, j'ai commencé à étudier au maximum et le plus sérieusement pour pouvoir vivre mon désir. Ma famille me soutenait bien entendu.
Et vint l'adolescence, cette période où les hommes se découvrent des nouvelles choses, comme les filles par exemple. Bon, durant cette phase de changement, je n'ai pas échappé à la règle d'ailleurs: Quelques boutons, mes lunettes fétiches, les hormones en plein chantier, mon regard qui se pose sur les filles. Autant dire que j'étais en pleine transformation, mais je gardais cette envie de devenir médecin pour aider les gens.
C'est durant mon apprentissage que j'ai eu ma première petite amie, c'était génial mais elle a dû partir pour certaines raisons, tant pis. Je voulais pas non plus perdre de vue mon but, l'apprentissage d'abord et le coeur après pourquoi pas. Le temps passait et je commençais à déjà mieux saisir comment utiliser mon "don", j'ai mis des étapes pour mieux pouvoir maitriser ce que je pouvais faire précisément.
Enfin vint le jour où mon père me dit que j'étais enfin apte à devenir médecin et que j'étais la fierté de la famille. Un rêve devenu réalité.
Entre-temps, je pris en main le cabinet médical de la famille pour reprendre en main les affaires de famille, j'avais trouvé là un plaisir incroyable. Petit à petit, je prenais mes marques dans ce métier, et je faisais une utilisation de mon pouvoir prudemment mais j'en tirais une grande satisfaction à voir des enfants sourires quand je leur fais un tour de magie pour soigner les bobos et les petites maladies, les enfants me nommèrent "le magicien".
La vie était géniale, je vivais ma vie comme il fallait, j'aidais les gens, j'améliorais ma compréhension de mon pouvoir et j'ai pu en voir jusqu'où je pouvais aller pour le moment.
Tout commença un jour alors que je faisais mon travail comme toujours, puis j'ai appris qu'il y avait une personne avec une maladie mortelle et qu'elle était en phase terminal. Il fallait que je fasse quelque chose! Même si jusqu'à maintenant, je n'avais jamais tenté de faire une telle chose, guérir une brulure, c'était à m'a portée mais une chose aussi importante, je n'étais pas sûr mais je devais le faire.
Alors que je me rendais chez elle, j'allai dans sa chambre pour voir comment cet homme allait. Je voyais bien qu'il lui restait pas beaucoup de temps à vivre, alors je me devais de tenter ma chance, après tout ce "don" est un cadeau et je me dois d'en faire usage pour sauver des vies.
L'homme me regarda en me disant qu'il était prêt à mourir, il sentait la fin venir qu'il me disait. Je lui répondis que j'étais là pour le sauver de ce qu'il le tuait à petit feu. Je posai mes mains sur sa tête sous son regard curieux, et c'est là que le début de mon pouvoir commençait.
Tout d'abord la première étape pour faire agir mon pouvoir pour que je puisse commencer la guérison, ce cancer était vraiment dur à guérir donc il fallait que passe à l'étape 2, là je sentais que je devais vraiment me concentrer pour pouvoir le guérir mais cette tumeur était horriblement dure à guérir.
Je me plongeais entièrement dans mon esprit pour me vouer entièrement à ce que je faisais, guérir cet homme aux portes de la mort. J'oubliais complètement le monde qui était autour de moi, tout ce qui comptait était de le soigner.
J'avais atteint l'étape 3. je sentais le cancer, il était là, très résistant mais ma détermination était encore plus forte, peu à peu je sentais que je pouvais surpasser ce mal qui le rongeait. Lorsque j'ouvris les yeux je vis un homme qui me regardait, il me dit qu'il avait senti ce que j'avais fait et que j'étais un ange qui l'avait sauvé.
Mais, je sentis le contrecoup d'une telle concentration; J'avais l'impression que toutes mes forces étaient parties au point d'être proche de l'évanouissement.
Il m'a fallu au moins un quart d'heure sans bouger pour pouvoir me lever et rentrer dans la maison de ma famille directement pour prendre du repos après une telle chose aussi intense.
Le lendemain, alors que je retournais au travail pour trouver une excuse au fait d'être rentré chez mes parents sans même prévenir, les gens me regardaient comme si j'étais une sorte de personne importante même si leurs regards étaient assez discrets je dois l'avouer.
Les gens venaient à mon cabinet et ils me parlèrent de ce que j'avais fait mais je leur répondis que je n'avais fait que passer un coup d'éponge sur son front, mais certains insistèrent mais moi aussi en leur disant que je n'étais qu'un médecin tout ce qu'il y a de banal. Heureusement qu'ils finirent par laisser tomber, sinon j'aurais été mal. Mais on me donna quand même le surnom "le miracle ambulant".
Entre-temps, je me pris une maison qui était juste à côté de mon cabinet, c'était pratique pour me rendre et montrer mon indépendance. Ma famille ne pouvait qu'être fier de moi et m'encourager dans mes projets.
Maintenant que je m'en souviens, il y a journée qui m'est resté en mémoire et qui m'a fait prendre conscience de ma condition d'être presque comme un simple humain au point d'en être aussi fragile.
Un beau jour, alors que j'étais parti faire un tour en pleine campagne pour me changer les idées après avoir bossé à 200%.
Après avoir fait un tour chez des amis de ma famille, j'avais décidé de faire un tour par la forêt du coin qu'on disait hantée alors que la nuit tombait.
Le vent se levait, et je vis une personne qui était allongée sur le bord du chemin dans la forêt, immédiatement, je courus pour voir si cette personne allait bien.
Lorsque j'étais proche, je pouvais voir que c'était une femme magnifique qui ne bougeait pas du tout.
Je pris ma veste et la recouvris pour éviter qu'elle prenne froid, puis je pris sa main pour savoir quel mal la touchait mais je sentais que je ne pourrais pas la guérir comme cela. Je devais trouver un abri.
Alors que je sondais son corps pour mieux comprendre comment la soigner, elle ouvrit la parole en me disant que sa maison n'était pas loin d'ici et que je devais l'emmener pour éviter la tempête qui se levait.
Je lui répondis que je la porterais et qu'elle suffit de me dire la direction de sa maison avant de subir l'orage qui se pointait. Après quelques minutes de marche, nous trouvâmes enfin cette maison isolée de toutes routes ou chemins.
Elle avait l'air d'être vieille mais à travers les fenêtres, je pouvais déjà voir de la lumière, alors que j'ouvris la porte, une odeur de nourriture me frappa les narines et m'ouvrit l'appétit.
Mais, ce n'était pas le moment de penser à manger, il y avait un lit que je m'empressai de la déposer pour voir ce qu'elle avait chez elle.
Bon, il y avait une table, quelques babioles un peu partout mais rien de vraiment utile pour moi qui m'aiderais. Alors que j'avais le dos tourné, je sentis une étrange présence dans mon dos qui me fit sentir un frisson comme jamais.
Je sentis des mains se poser sur mes épaules alors que je n'arrivais pas à bouger, comme si j'étais paralysé. Avec toute la volonté que je pouvais faire, je me tournai pour voir que cette femme que j'avais portée ici, était en face de moi à me regarder avec un sourire et un regard... Qui me fit fondre sans que je puisse réagir, immédiatement je voulais lui demander si elle allait bien mais je n'avais même pas commencé à parler qu'elle m'embrassa fougueusement.
Je sentais ma volonté faiblir de plus en plus alors que je n'arrivais plus à penser clairement, après je pouvais entendre sa voix qui me disait que ce soir, j'allais être son plat principal.
En voilà une chose étrange alors que mes mains touchaient son bras sans que je puisse me contrôler, je sondais à nouveau son corps pour mieux comprendre pendant qu'elle me couvrait de baisers. Au bout d'un temps, j'ai senti en elle qu'elle n'était pas une simple femme ordinaire, oui...
Il y avait quelque chose en elle de spécial, en même temps, je découvris un mal en elle sous la forme d'une sorte de faim ou de besoin vital, rien de précis mais au moins, je savais qu'elle n'était pas humaine.
Après, mes souvenirs étaient flous, mais en même temps je savais qu'elle abusait de moi pour obtenir quelque chose de moi que je pensais savoir quoi déjà. Mais comme je sentais qu'elle était atteinte d'un mal, je me devais de la soigner même si je risque ma vie.
Alors j'utilisais mon pouvoir, ce mal qui la touchait était fort, très fort, utiliser mon pouvoir à ce moment-là était ardu.
Oui parce qu'elle faisait ce qu'un homme aime si vous voyez ce que je veux dire... Oui je sais que c'est un moment important bon je reprends.
Je disais donc qu'elle faisait son affaire alors que moi, je tentais de pouvoir la soigner. Ce mal qui était en elle, je le sentais, mais j'avais beau utiliser les deux premières étapes, rien n'y faisait, il me restait uniquement l'étape que j'avais utilisée une seule fois.
À nouveau, j'oubliais le monde autour de moi, la concentration la plus intense, la seule volonté de soigner. Je sentis son corps s'immobiliser et se tendre durant l'action de mon pouvoir, je n'avais jamais senti une telle force vitale chez un être humain alors que mon esprit sombrait dans les ténèbres alors que je sentais mon pouvoir agir.
Lorsque j'ouvris les yeux, je voyais la lumière du soleil comme si les rayons du soleil étaient justes là pour me dire que j'étais en vie. Une voix se fit entendre, je savais immédiatement que c'était cette femme, elle me dit que j'étais surprenant, que j'avais guéri ce qui la rongeait et moi-même j'avais survécu alors que bon nombre de personnes étaient mortes avant moi.
Merci mon pouvoir de m'avoir sauvé...
Eh! Ce n'est pas ma faute si je donne mon avis.
Bref, elle me raconta tout cela alors que je n'avais pas encore retrouvé toutes mes forces. J'avais des tas de questions sur elle mais elle ne me laissa pas le temps de parler, elle me racontait que de nombreuses personnes auraient besoin de moi pour les sauver car j'étais une lueur d'espoir pour les gens comme elle.
Je pouvais enfin lui répondre que c'était normal pour moi vu que c'était mon travail de faire cela même si je le cachais, j'étais heureux comme ça. Elle me dit qu'elle avait la haine envers les simples humains pour détester les êtres comme elles.
Personnellement, je n'ai aucune haine envers les humains car je me considère comme eux sauf avec un truc en plus...
Ok! Je continue.
Toute cette histoire était assez particulière pour moi, mais elle prit le temps de bien écouter pour saisir ce qu'elle disait. Après quelques heures à discuter comme ça, je la remerciai d'avoir pu parler ainsi avec elle et je lui souhaitai bonne chance et que si elle avait le moindre problème, je serais disponible à mon cabinet.
Il y a bien un jour où j'ai usé de mon don pour priver la vie d'une personne pour en sauver une autre.
Je m'en souviens comme si c'était hier... Un soir, après avoir travaillé comme jamais et avoir fermé mon cabinet, je m'accordais une balade dans les rues. Je me baissais pour enlever une saleté sur ma chaussure, et j'entendis d'un coup un cri mais pas cri ordinaire mais un cri de peur. Automatiquement, je me mis à courir pour savoir de quoi il s'agissait, je vis un homme armé d'un couteau le brandit sur une femme sur le point de le recevoir.
Je me mis à hurler en lui disant de ne pas faire ça, sauf que l'homme se dirigea vers moi et planta sa lame dans mon ventre sans aucune forme de discussion. Je m'effondrai sans pouvoir réagir mais c'était une tactique, car je savais que de front, je n'avais pas la moindre chance face à un tel homme. Il me fixa quelques secondes et retourna vers la femme qui tenta de fuir mais l'agresseur la rattrapa directement. Merci mon don qui régénéra ma blessure directement, je me relevai sans sourciller et bondit sur le dos de cet homme, je touchai tout de suite sa gorge et usai de mon don pour lui couper net ses artères et sa gorge en un instant.
Son corps tomba sur le sol en se tenant la gorge sans faire attention du fait que j'étais sur son dos. Il était mort, j'avais tué pour sauver une vie. Je me sentais pas spécialement coupable mais ça m'avait fait un peu bizarre de tuer un homme... Je suppose que c'est un peu pareil pour tous.
La femme me remercia et me donna un peu d'argent et la garantie de parler de moi pour l'avoir sauvé. J'aimais pas vraiment qu'on parle de moi mais finalement, je n'avais pas le choix.
Depuis, je travaille en entendant les échos de la guerre mais je ne souhaite pas m'y investir... Du moins pour le moment, car je sais qu'un jour, des gens voudront de mon aide et que j'use de mon "don" pour la faire basculer en leur faveur, mais comme je suis souvent en voyage pour soigner et aider les gens, il est parfois dur de me trouver même si je retourne par moments, à mon cabinet pour prendre des nouvelles.
Je me fis une réputation un peu partout malgré mon envie de me faire discret, fallait croire que mon don n'était pas si banal et je suis sûr que je mon pouvoir n'est pas au maximum. Enfin voilà, je suis Kazuya Takeda et je suis heureux de vous soigner pour vous faire continuer à vivre.
- Citation :
- Raconte en détail le soin d'un client. Tu devras décrire les sensations de Kazuya lorsqu'il utilise son pouvoir ainsi que la réaction du client.