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[Rp délire]Massacrons nous dans la taverne ♥ [pv Elio, Syd (s'il veut squatter) et Haz] | |
| Lun 13 Aoû - 15:26 | | | | [parce qu'ennui et que y en a un qui a envi de taper des bourrés xD] Alyna, sagement assise dans une taverne à rêvasser, sirotait tranquillement une chope de bière et observait les gens assis à faire de même. Elle avait la capuche tirée sur les yeux, perdue dans ses pensées. La taverne était toujours agitée, des hommes soules s’écroulaient ivres morts, d’autres jouaient aux cartes en riant fort l'air déjà bien imbibé d’alcool. D’autres encore chantaient gaiement des chansons qui faisaient rougir violemment les oreilles d’Alyna.
Un groupe de joueurs de cartes semblait commencer à s’échauffer, tssc les humains ne pouvaient décidément pas s’empêcher de boire jusqu’à en devenir ridicule. Le groupe qui s’échauffait semblait proche d’en venir aux mains. Mais l’orage éclata d’un autre endroit, totalement inattendu. Un groupe de chanteurs en avait bousculé un autre et faillirent se battre, mais un type calma les autres et la taverne se calma totalement jusqu’à ce qu’un homme passablement éméché, vînt s’asseoir à côté d’Alyna. Non content de puer le phoque avarié, il sentait aussi l'alcool à trois mètres.-Salut poupée. -Dégage gros lard -_-' L’homme en resta abasourdit et leva un bras pour la frapper. Alyna était dans une taverne de campagne, donc absolument personne pour la reconnaitre ni la chasser à vie de l’endroit. Elle pouvait donc laisser court, cette fois, à sa sauvagerie. Elle sourit et leva un bras qui bloqua celui de l’homme qui s’apprêtait à la frappée, elle leva les yeux vers lui une lueur sauvage dans son regard.-J’ai dit dégage, autrement dit tu lèves tes fesses et les pousses de ma table… Tout de suite.L’homme hésita et préféra ne pas contredire la lycan, il se leva et alla s’asseoir sagement plus loin, mais les joueurs de cartes finirent par en venir vraiment aux mains et bousculer d’autres personnes. Le son montait, tout comme l’excitation d’Alyna qui sentait son « loup » qui voulait sortir pour s’amuser. Elle frémit légèrement et se passa la langue sur les lèvres, attendant un prétexte pour débuter les hostilités.
Elle se doutait que cela n’allait pas tarder et qu’elle ne pourrait juguler son loup qu’en l’empêchant de faire un bain de sang, après tout elle devait parfois laisser libre cours à ses instincts. Même si pour cela elle devait devenir tout autre, passer de la chasseuse calme et calculatrice à la tueuse sanguinaire. Ho si bien sûr son loup savait aussi parfaitement rester patient et chasser puisque c’était « lui » qui chassait les lapins et autres gibiers. Mais pour l’assassinat c’était elle, sa partie calme, qui calculait les options, les actions, tout. Mais pour les combats de taverne qui ne nécessitaient que vivacité et force brute, c’était « lui ». Suffisait de prendre une chaise, forme hybride en gardant le capuchon et PAN sur la tête pour fracasser quelques crânes. Rien de plus simple !
Elle calma cependant son instinct pour ne pas faire de mort et parce que pour le moment elle n’était pas impliquée dans la bagarre qui n’allait pas tarder à éclater.
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| | Alyna Minami
Partie IRLCrédit avatar : http://wall.alphacoders.com/big.php?i=419589Double compte : Ilidwën/Yahiro/AlreaVitesse de réponse : En week-end ou le mercredi
| | Lun 13 Aoû - 19:31 | | | | - 'chier...
Promenant son regard sur la dispositions des tables de la taverne, il fixa les tables une à une, essayant de faire disparaître leurs occupant du regard. Raté. Damned. On obtenait jamais de super pouvoirs quand on en avait besoin. Toutes les tables étant occupées, il lui restait donc deux choix. Le bar, ou une table DEJA prise. Il avisa l'homme accroché à son siège par les pieds dont la tête flottait dans le vide à raz du sol, à quelques millimètres d'une flaque verdâtre. Son voisin riait tout seul sans aucune raison. Et le reste ne semblait pas plus gai. Une table donc.
Problème suivant, laquelle. Il avisa une petite table un chouillat écartée occupée par une seule personne. Il s'en approcha donc lestement, essayant de s'y installer dans la plus grande discrétion du monde. Il lança un bref regard vers l'inconnu et retint un juron avec peine. Une femme. Forcément. Sentant son 6ème sens s'agiter (enfin son septième pour l'occasion), il choisit de l'ignorer, attendant qu'on daigne le servir. Un petit homme grassouillet arrivé rapidement avec un sourire commercial.
- Qu'est-ce que ce sera mon petit ?
Il ne releva pas le qualificatif, jugeant que les campagnards étaient toujours un peu familiaux. Surtout les marchands. Il se contenta donc de répondre :
- Un lait de chèvre.
... d'une voix neutre. Alors que le personnage haussait un sourcil et ouvrait la bouche pour commenter la boisson, l'orphelin inclina légèrement la tête, laissant une fraction de seconde ses yeux étinceler d'une lueur argentée menaçante.
- Très... très bien ! Je vous apporte ça !
Il soupira, s'adossant à sa chaise sous laquelle s'était réfugié Griev, son chien-loup, une brave bête de plusieurs dizaines de kilos dont les crocs et les griffes n'étaient pas émoussées par son âge avancé... Même si le pauvre animal manquait parfois un peu de souffle. Un homme derrière lui posa sa main sur son épaule. Il leva la tête, penchant légèrement sa chaise en arrière et scruta son front sans réagir outre mesure.
- Y a pas beaucoup de gamin de ton âge qui se baladent avec un louveteau. (Griev grogna un avertissement). Je serais curieux de connaître ton nom, minus.
Tendu, il hésita. Il s'était rasé dans la matinée, effectivement. Ce qui lui valait sans doute ces adjectifs de puérilité. Et donc le fait qu'il ne correspondait pas TOUT A FAIT à l'affiche déjà très approximative qu'on avait fait de sa personne et qui était placardée à l'entrée du bâtiment. Cependant, il fallait admettre que les gamins avec des "chiots" manquaient cruellement aux zones rurales. Et urbaine. Il posa sa main sur celle de l'inconnu, lui adressant un sourire renversé.
- La curiosité fait beaucoup de veuves ces temps-ci. Tout comme l'indiscrétion. Je m'en écarte donc autant que possible et vous devriez faire de même.
Griev monta le ton d'un cran, sortant habilement de sous la chaise, s'allongeant juste à côté pour être libre de ses mouvements.
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| | Lun 13 Aoû - 22:43 | | | | Une douce mélodie chatouillant mon oreille, une caresse olfactive s'incrustant dans mon nez, la joie de vivre qui se mêle a la joie de boire. A qu'es qu'on est bien quand on est dans un bar. Non pas que je sois homme a aimer me trimballer dans un établissement de beuverie incessante mais étrangement c'est dans de tels endroits que l'on reçoit le plus de chaleur humaine: peut être a cause du nectar servis par le tavernier me direz vous. Il y en a qui chante, d'autre qui danse et d'autre qui.... Et bien comme cet énergumène non loin de moi: après avoir raconté sa vie son anatomie secrète a la main, il enquilla les verres en tout genre pour au final s'endormir dans ce qui ressemble a du vomit. Ce n'est pas très charmant mais il a au moins connu la joie de vivre et pendant qu'il passe son temps dans une taverne il n'est pas homme a détruire mère nature.
Je n'avais pas d’envie particulière pour me balader dans une taverne ce soir, je revenais d'une balade en forêt. Ce fut bien plus qu'une balade puisque j'y avais passé la journée entière: mais ça s'explique facilement vu que je me suis endormis a regarder un cour d'eau éclabousser une jeune fleur qui essayait de se faire une place dans la mousse de la roche. Pour moi c'était un décor somptueux avant que je ne sombre dans les bras de Morphée. Le réveil fut brutal néanmoins: ma main vînt a la rencontre de ma joue avec une extrême violence, surement un rêve des plus agités. Mais une fois sortit de ma torpeur je pu chercher un refuge plus propice a une nuit douce et calme. C'est donc ainsi que je tomba sur cette auberge. Oui je sais je change l'appellation de cet établissement sans cesse: un coup c'est une taverne, une autre fois un bar et maintenant une auberge... Mais cela n'a pas d'importance alors laissez de tels détails a la porte et venez vous amusez!
Moi c'est ce que je fis en commandant une assiette d'une viande blanche accompagné de pomme cuit dans a four a bois. Au départ j'étais seul a ma table, mais la joie que respire le quartier vînt a ma rencontre. Un vrai défilé si je puis dire même: une fille de petite vertu passa me caresser la cuisse, réclamant un peu d'argent contre un peu de plaisir corporel. N'étant pas un fanatique des jeux de jambes je déclina son offre ce qui me valut un juron que je n'oserais répéter. Ensuite ce fut un petit homme qui se faufilait dans les ombres avant de pointer un couteau sous ma gorge: il en avait après ma bourse mais le bout de mon katana sur son ventre ainsi que ma demande douce d'éviter toute erreur inutile le fit prendre la conversation avec moi. A ce qui parait le métier d'assassin ne rapporte plus assez, je vous avais parlez un peu plus tôt d'un homme blottit dans son vomis et bien c'est celui là même: a croire que d'ouvrir son cœur cela lui fit passer une douce soirée. Et pour finir un groupe de personne dans la fleur de l'âge demanda pour s'assoir a ma table pour déguster un plat tout comme moi.
La discussion n'était pas très animé selon moi: nous avions le droit a un discours sur les mouvements politiques, puis un autre sur comment réaliser une nappe en coton pourpre.. Je ne veux pas vieillir!! Je ne veux pas devenir ennuyeux!! Non mais sans déconner, je ne suis pas gens a critiquer les sujets, les passions des autres mais on frise la caricature là. Le seul moment où mon sourire pointa le bout de ses lèvres se fut quand on aborda la façon de faire pousser une orchidée. Une fleur si pure et douce...
L'ennuie commençait a me prendre de plus en plus la tête, alors pour éviter que mes cheveux s'enlisent dans la sauce de mon assiette je quitta ma tablé pour aller vers le bar.
-Si vous pouviez me donner une choppe avec un doigt d'alcool de patate, un trait de citron ainsi que de l'eau pétillante je vous en serais reconnaissant.
J'avais accompagné ma phrase d'un sourire large; dans le visage du barman je vis une expression de stupéfaction. Devant lui se tenait un homme a l'allure douce et qui tranche complètement avec le reste de la clientèle et pourtant c'est ce même homme qui demande de l'alcool? Mais diantre! Il est bon de ce rincer le gosier avec un peu de breuvage fort!
Je sortis d'une poche une feuille de papier fin et souple ainsi qu'une herbe a la couleur brune mais a l'odeur forte. Alors en récupérant le verre de l'homme encore stupéfait j’ajoutai:
-J'espère que vous m'autorisez a allumer cette friandise que je m'accorde? -Le client est roi alors fait comme tu le sens mon gars..
Le remerciant d'un sourire je lui tournai le dos pour faire face a la sale qui était immense. Léchant un coin de ma feuille je scrutais chaque personne qui séjournais dans le bar et deux me paraissait "hors contexte". Refermant les coins je pu admirer une femme cacher sous une cape qui coupait son visage en deux, elle était accompagné a sa table d'un homme a l'apparence jeune buvant un verre de lait. Plaçant la "cigarette" entre mes lèvres je pris mon verre et rejoignis la tablé.
-J'espère ne pas vous dérangez si je me pose ici?*Je pencha ma tête pour allumer ma création avec la flamme de la bougie*Si ma fumée vous dérange je prendrais soin de ranger ma "clope"
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| | Mar 14 Aoû - 0:12 | | | | Alyna venait de voir approcher un jeune garçon et un loup, tous deux s’assirent sans rien demander, enfin le loup, ou plutôt le chien-loup, s’assit sous la chaise du jeune homme, puis finit par en sortir quand un homme vint chercher des crosses à son voisin. L’homme sembla ne pas vouloir abandonner et voulut s’attaquer à « l’enfant », mais son regard croisa celui d’Alyna et il aperçut une canine de celle-ci, il recula et s’éloigna sans chercher plus loin à se battre.
Dans le groupe des joueurs de cartes le ton montait et les visages devenaient rouges. Les crocs d’Alyna avaient à nouveau disparu, mais elle attendait impatiemment qu’éclate une bagarre générale.
Une troisième personne approcha et demanda à s’asseoir, Alyna haussa les épaules pour toute réponse, puis se concentra pour calmer son instinct d’aller flanquer sans raison une rouste aux joueurs de cartes. Elle fit un compromis avec elle-même. Trois chances si la bagarre venait vers eux, ils auraient trois chances.
Elle vit avec amusement un des joueurs de cartes repousser un qui se mêlait de la bagarre, un autre s’interposer et le ton montait encore, faisant naitre un sourire amusé sur les lèvres d’Alyna, ces humains-là, du type brigands, géant, débiles, étaient vraiment très bêtes.
Elle ne perçut pas l’autre espèce de gros imbécile qui s’assit à leur table, ragaillardi par la présence des deux compagnons provisoires de la table. L’homme aviné passa un bras autour des épaules de la lycan qui sentait son loup bouillir de l’affront.
-Pourquoi eux ont le droit et pas moi, hein dit poupée, ils ont quoi de plus que moi pour être à ta table ? Peut-être qu’ils t’ont payé, tu vas te taper les deux . Espèce de petite garce. -Ôte tes mains de mon épaule tout de suite. -Houuuu tu fais peur petite catin, pourquoi tu veux des caresses plus directes ?
Lui il est mort. Déjà deux chances de passer, le loup s’impatientait et bouillait de rage que la partie humaine d’Alyna accepte de supporter cet affront. Le troisième affront vint quand il posa sa main sur la cuisse d’Alyna, il avait osé la toucher !
Elle laissa son instinct parler et son « discours » fut bref. Elle repoussa son bras, le coude se fêla contre le mur à cause de la vitesse et la force du coup. L’autre coup, un coup de talon, qui partit ensuite fut pour sa rotule, coup qui déboita la rotule de l’homme. Le dernier fut un coup de coude dans la mâchoire, les dents de l’homme s’entre choquèrent et il tomba en arrière, à moitié sonné.
Mais alors qu’elle allait l’assommer vraiment une choppe vint s’écraser sur le mur, faisant dégouliner de la bière sur le jeune garçon à sa table et en partie sur Alyna qui se tourna vers la provenance de la chose, la bagarre qui avait commencé entre les joueurs de cartes et les autres et qui se propageait lentement à toute la taverne.
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| | Alyna Minami
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| | Mar 14 Aoû - 1:55 | | | | Il avait adressé un regard légèrement courroucé à la jeune femme. Comme prévu, elle commençait déjà à le contrarier. Ce n'était pas comme si il avait besoin d'aide face à un gaillard pareil. Surtout pas. Et ce genre de mésaventure allait lui en causer de nouvelle si la rumeur se répandait. Aidé par... ça...
Il pianota sur la table. Griev avait posé sa tête sur sa cuisse et attendait patiemment que quelque chose arrive. Ce qui, au vu de ses oreilles dressées ne saurait tarder. Il lapa encore quelques gorgée de son lait de chèvres qui décidément lui paraissait étrange. Qu'importe. Un clampin s'installa à côté de lui. Il empestait. Griev ajouta un gémissement qui en disait long sur ses pensées. Tout en l'écoutant parler, Elio s'écarta quelque peu.
- ... Tu déranges et ton truc pue à mort.
Il se passa la main dans les cheveux et entrepris de se masser le nez et les yeux. Ses oreilles bourdonnaient. Les discutions autour de lui se mélangeaient étrangement. Le bruit montant le dérangeait de plus en plus. Agaçant. Semblant soudain remarquer son état, son compagnon lui lança un regard inquiet. Un autre clampin s'assit à leur table avant de se prendre une rouste plutôt sèche. Lorsque la choppe de bière vint l'arroser allègrement, il éclata, écrasant son lait de chèvre du poing. Les éclats lui entaillèrent la peau mais il n'y prêta aucune attention. Dans le mouvement, il s'était levé et, se retournant, avait hurlé :
- VOS GUEULES, MERDE !
Un silence s'installa alors que les regards se fixèrent sur lui. Il vacilla, perdant soudainement l'équilibre sans comprendre pourquoi. Se rattrapant in extremis à sa chaise, il constata que le barda avait déjà repris. Sa main droite s'agitait de plus en plus, frappant à présent le bois de chaque doigt avec une force rageuse. Griev sentait venir la suite des évènements et tira ses oreilles en arrière, poussant de léger gémissements inquiets, indécis quant à la marche à suivre. A la surface de la peau de son compagnon humain, de légères étincelles crépitaient innocemment...
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| | Mar 14 Aoû - 17:13 | | | | "Du rhum des femmes et de la bière non de dieu!"
Une chanson de marin que reprenait en canon la taverne. Enfin presque toute la taverne: deux tables faisaient les rebelles. Je ne sais pas si c'est une bonne chose de ne pas faire comme tout le monde mais au final les deux tables deviennent rasoir. Dans le coin gauche nous avons les vieux qui débâtent encore de la pluie et du beau temps. Dans le coin droit c'est les étrangers aussi froid qu'un iceberg. Qui remportera le trophée de l’ennui le plus profond?
Je ne saurais répondre a la question. Quand j'ai posé ma requête pour m'asseoir avec les derniers je me suis pris un mur de la part de l'homme au cabot. Il me prenait de haut avec son air d'enfant gâte a qui on a dérobé un jouet. De plus il enquille en affirmant que ce bout de papier trônant sur mes lèvres pu la mort... C'est vrai qu'il a pas tort mais si il en prenait un peu il serait plus joyeux!
-Désolé messire, je m'en vais de ce pas éteindre cette gêne...
Je ne suis pas ici pour chercher la coulée de sang alors c'est tout naturellement que je pris une dernière inspiration emplis d'herbe avant d'écraser le bout de ma "cigarette" contre la table pour l'éteindre. Au même moment un homme plutôt rustre et simple d'esprit prenait les devants avec la demoiselle encore caché. Je n'entendis pas leur échange, puis je n'ai pas envie.d'écouter l'échange brute demandant a combien.ce monte la "passe".
Cela n'empêche que la.petite femme enchaina le pauvre idiot de coup. Nous étions, avec le jeune homme, estomaque de voir la violence avec laquelle le simplet avec embrassé le sol. Je n'aurais vraiment pas aimé être a sa place. Mais quelle idée ai-je eu de changer de camarade? Mes petits vieux commencent a me manquer je vous avouerais. Pour couronner le tout une choppe s'écrasa sur l'assomme pour éclabousser la femme ainsi que.son.acolyte pas très accueillant.
Ce dernier pris même la mouche en écrasant du poing son verre avant de maugréer un juron. Il est vraiment sans gène ma parole et en.plus de ça je me retrouve couvert du lait qui restait.
- C'est très fâcheux tout ça, me voilà tout suintant de lactose. Une lessive va être de rigueur!
Mes compères ne prêtèrent aucune attention a mon exclamation. Préférant tout deux scruter la taverne qui essayait de se donner de l'amour, a moins que ce ne soit des bleus que les clients cherchent a ce faire. Que le monde est devenu triste tout de même. Toute cette violence ne donnera jamais rien.de bon. C'est cette même violence qui traumatise la nature, j'en suis si navre de voir la déchéance de l'homme. Un jour nous verrons un dragon couvert de plaque de métal, crachant son feu destructeur pour punir l'humanité qui pollue son.monde, son arrivé entrainera des cataclysme sans précédant et sa colère sera mortelle... Je crois que je viens de faire un remake d'un.scenario déjà proposé mais je ne me souviens plus lequel.
Enfin bon, l’ennui commençait a repointer le bout de son nez pour moi. Regardant avec nostalgie mes vieux. Je leur accordai un sourire triste. Le remords de les avoir quitté me prenait a l'estomac alors pour oublier je fis comme toute l'humanité: je noyai mon désespoir dans l'alcool. Alors d'un mouvement lent je saisi mon verre pour le porter a ma bouche, me délectant de ma commande a la fraicheur infinie. Je n'avais plus envie de m'attarder a ma table alors je partis a la recherche d'un nouveau point de chute quand je vis la seule touche de nature de ce lieu de débauche. Sur un mur trônait une plante vivace et grimpante; elle prenait un pan de mur. Enfin je me sentais heureux, la décadence de l'homme n'est peut être pas pour tout de suite.
Mon cœur fut a nouveau remplis de joie, ce sentiment raviva un fier sourire et me fis lâcher mon verre. J'admirais la plante, faisant abstraction du chahut environnant.
-Va voir ailleurs si j'y suis enfant de catin!*Un homme fut lancer par dessus une table, atteignant avec fracas le mur soutenant la plante qui tomba sur le sol*
Dites moi que je rêve où il vient de saccager la seule chose qui avait un soupçon d'importance a mes yeux? J'espère avoir eu une grosse hallucination tout de même. Je frottai mes yeux du revers de la main et regarda a nouveau la scène. C'était pas un rêve ni une chimère mais bien deux alcooliques qui venaient de détruire une magnifique Clématite, il y en a pour une bourse pleine sur le sol a présent. Quand je pense que cette plante sers dans des préparations d'éradication des Canis Lupus; es que vous vous rendez compte du pouvoir de cette plante?!
Moi sa me donne les larmes aux yeux, je suis même entrain de verser une lame de tristesse. Maugréant quelques excuses pour les simples d'esprits qui viennent de saccager un bout de nature. Il était maintenant l'heure de remettre les pendules a l'heure. Je pris ma liqueur a pleine main pour la boire d'un trait et me diriger vers l'alcoolique encore debout.
-Tu viens de casser une plante là je me trompe? -Qu'es que tu raconte toi... -Au mur il y avait une plante, tu l'as cassé n'es pas?*Je m'adressais a lui avec un sourire qui cachais ma rage, en plus d'être alcoolique c'est un, excusez moi du terme, con* -Qu'es que ça peut me foutre a moi, j'en ai rien a faire des plantes!
Il y eu une phrase de trop là. Je commençait a bouillir a l'intérieur de moi, je n'avais plus qu'une envie: faire de lui un arbre en arrachant sa colonne vertébrale et en l'arrosant de mon urine. Le problème c'est que ça ne va pas être très propre tout cela. Espérant une rédemption de sa part j'essayai une dernière fois:
-Tu vois mon ami, la nature est là pour être respecter alors il faut en prendre soin -Mais tu commence a me faire chier toi, la nature je lui pisse dessus moi! -Argument non valide, tu m'excusera par avance de la suite des évènements...
Il était trop tard a présent. Je me sentais prendre quelque centimètre; mes os commencèrent a craquer de plus en plus dans un effroyable bruit, ma pilosité prit du volume, mon visage s'allongea et des canines poussèrent pour devenir aussi tranchante qu'une épée. Mes mains pourvus de griffes arrachèrent mon haut que je balança sur une table non loin. Et oui, je venais de me transformer en loup, prenant ma forme animal devant les spectateurs. Tavernier prépare les terrines va y avoir de la nourriture a emporter...
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| | Mar 14 Aoû - 21:24 | | | | [Dsl petit poste ^^] Ils sont mooooooooorts. À peine le loup allait-il se déchainer à nouveau que le voisin d’Alyna frappa sur la table, la faisant sursauter, réclamant le calme, qui dura… dix secondes. Puis du coin de l’œil elle vit l’autre voisin, celui qui avait l’air super méga zen, aller vers deux hommes qui avaient renversé un pot de fleurs. Elle observa l’homme échanger quelques mots avant de se métamorphoser en un loup humanoïde. Et lâcha un sifflement admiratif et amusé, qui se stoppa net quand elle reçut une bouteille presque en pleine tête.
Elle attrapa la première chose à portée de main à savoir… un poulet qui passait par là et regarda la bestiole avec de grands yeux et rit puis le lança sur le premier type venu. L’emplumé fit un carnage et lacéra quelques visages en fit tomber plusieurs qui se prirent les pieds dedans. Alyna éclata de rire en voyant comment un simple petit poulet pouvait être redoutable, on méconnaissait souvent les ravages de cette petite bestiole, plus dangereux même, à ce qu’il paraît, qu’un dragonnet ! Mais valant moins de gloires à tuer. (Laridé du poulet!)
Elle craqua ses doigts et prit une chaise pour aller assommer les imbéciles qui l’avaient dérangé dans sa si belle journée, surveillant du coin de l’œil que le loup humanoïde ne détruise pas tout, prête à le calmer d’un bon coup de chaise sur le coin de la figure s’il faisait trop de dégâts et tuait trop de monde. Du coup elle assomma quelques soûlards sans ménagement.
Elle regardait aussi si l’autre à la table se jetait dans la mêlée, le surveillant aussi pour qu’il ne fasse pas de mort. Le but n’étant pas de massacrer tout le monde, mais d’assommer ceux qui fichaient le bazar, ainsi les choses se calmeraient d’elle mêmes, elle le savait d’expérience.
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| | Alyna Minami
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| | Mer 15 Aoû - 2:12 | | | | La suite des évènements, il n'aurait su les décrire avec exactitude. Son esprit s'embrouilla subitement. Il eu vaguement conscience de tendre les mains devant lui et de relâcher toute la rage qu'il contenait en un seul coup. La magie qui s'était accumulée autour de lui s'embrasa subitement, provoquant une explosion plus effrayante que dangereuse puisque les flammes argentées ne trouvèrent aucune substance magique pour s'alimenter. Sauf que la montée de chaleur permis d'en allumer de vrais, notamment sur quelques vêtements et des poutres. La panique gagna beaucoup de monde et acheva de semer le chaos dans la pièce.
Encore un peu sonné mais néanmoins dégrisé par les brûlures qu'il venait de s'infliger, il repris ses esprits à temps pour esquiver un édenté qui lui fonçait dessus en hurlant "sorcier". Salto arrière en souplesse sur la table qui bascula, frappant l'assaillant au menton avec force et l'envoyant directement au tapis. Un objet non identifié vola dans sa direction. Il tendis la main pour l'attraper. Mais le manqua de peu, se prenant la choppe de bière en plein visage, vacillant.
- Griev... Je vais te me les latter...
L'animal aboya joyeusement, heureux de revoir son compagnon dans son état normal, puis esquiva lestement un homme qui s'écrasa lamentablement sur la chaise, déjà sonné. Elio, quant à lui, était déjà partis. Le premier qu'il croisa s'écroula en se tenant l'entrejambe. Le second fut moins chanceux puisqu'il reçu un doigt dans l'oeil, quelques traces de dents ensanglantés et une entaille sur l'abdomen avant de s'écraser parmi d'autres sur des débris de chaise. Le troisième, enfin, eu le bras droit brisé. Il essuya le sang qui tombait de son front et l'aveuglait partiellement, se redressant au milieu des quelques centimètres de paix qu'il venait d'instaurer avec sauvagerie, léchant ses blessures.
A quelques pas de lui, une créature bestiale et canine provoquait un massacre. Il croisa son regard - et en profita pour lui adresser toute l'indifférence du monde en une fraction de seconde - puis réorienta ses sens sur les actions, plus proches, de deux éméchés qui se rapprochaient dangereusement de lui dans leur lutte effrénée.
- Griev, sort voir un inst...
Il s'interrompit en entendant le grondement étouffé de l'animal. Faisant volte face, il vit un couteau danser à quelques centimètres de son visage alors que son propriétaire se débattait avec le chien. Il reconnu le visage du personnage comme étant celui qui l'avait menacé un instant plus tôt. Sans l'ombre d'une hésitation, il bondit et lui déchira l'artère à coups de dents avant de se relever à la hâte pour constater qu'il était nez-à-nez avec la jeune femme dont il avait partagé la table. Il grogna en signe d'avertissement, tout le corps tendu.
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| | Mer 15 Aoû - 12:32 | | | | J'errais sur le sentier, je ne trouvais absolument aucun divertissement en cette soirée. Il me restait un peu d'herbe et de quoi me payer deux ou trois pintes bien rempie. Mais cela ne suffirait pas il fallait trouver un endroit plein de charme, comme j'aime, vraiment "atypique". En passant devant cette taverne, je ressenti mon 6eme sens, celui de l'appel de la débauche ( oui oui ça existe!) Le vacarme s'entendait depuis l'extérieur, la musique, le fracas de chaise, de grand rire alcoolisé, des hurlements de douleur. Je ne tarda pas à pénétrer l'enceinte de la taverne. L'établissement était tout ce qui convenait pour cette petite soirée. Petit, une lumière ni éblouissante ni trop faible, la disposition des tables, original, bien que ce fut à un moment déjà animé lorsque j'entrai. Plus personne n'était assis à sa table tranquillement à part une ou deux exceptions. Tout le monde se foutait sur la gueule donc bon, l’agencement des tables n'avait en fait aucune importance surtout à ce moment là.
Je ne voulais m’encombrer, après avoir marché des jours entiers il me fallait un endroit ou me détendre et vite, ça irait pour se soir! La fatigue me collait aux pattes et l’agacement aussi, j'étais pressé d'être attablé. Deux choses me frappèrent dès mon entrée; des loups! Dont un lycan surement. Vraiment étrange d'en voir autant réunis au même endroit. Cela ne me dérangeais pas j'aimais les choses ayant un côté surnaturel de toute façon, j'ai côtoyais souvent des choses encore plus horribles qu'un simple croisement d’espèce me disais-je. Flûte au bec, j’entrai en jouant pour me présenter mais il y avait tellement d'agitation que personne ne remarqua le bruit de ma flûte. Ceci se rajouta à mon agacement. Les hostilités avaient envahies tout le bar, je put me frayer un chemin entre les ivrognes bastonneurs, et monter sur une des seules tables encore debout, je mis ces mains de part et d'autres de ma bouche et hurla à toute l'assemblé.
"Héé vous là! Quelqu'un à du papier? pour rouler une clope! J'ai perdu ma pipe l'autre jour...enfin voilà je fais tâter mon herbe les gars soyez sympa! J'ai pas fumé depuis deux jours!"
A peine avait-je finit ma phrase qu'un pauvre type, un vieux marin échoué ici depuis des années vu l'allure qu'il avait, petit gros, jambe de bois, barbe avec des morceaux dedans ( o.O son casse-croûte..) venait de lui jeter sa chope dans la figure, j’eus le réflexe de bouger la tête, je sentis le verre me frôler la joue. Je fixa un instant l'homme qui était bouche bée devant moi. Moi qui avait l'air plus nonchalant que réactif mais qui parvint à avoir encore des réflexes convenables en cette heure si tardive.
Je lui envoya mon pied en pleine figure, l'homme fut déséquilibré et tomba au sol, je sautais de la table pour être au dessus du marin, lui arracher sa jambe de bois d'un coup et continuer de le regarder avec un sourire sadique. La teinte maléfique qu'arborait mes cheveux et mes yeux commençait à apparaitre. Je le sentais, comme quand je me laisse trop emporter par "ça". Un état second, sans aucune explication, je ne savais ni l'origine de ces maux ni la cause mais ce qui était sur c'est que ça pouvait arriver, surtout se soir. Tout ce sang commençait à faire bouillir le mien. J'agitais mon nouveau trophée avec zèle, d'autre ivrogne chargèrent. Les coups de jambes de bois fusaient sur le crânes bien vide de ces arsouilles. Vraiment, je ne voulais pas entrer dans la partie aussi vite mais je ne pouvais plus m'arrêter une fois commencer. Une seule chose me taraudais encore l'esprit, mon herbe. Ma précieuse herbe. Obnubilé par elle en cette soirée, depuis des heures j'avais essayer de trouver quelqu'un pour m'aider, harceler chaque passant susceptible d'avoir une tête à fumer mais personne ne voulu me porter secours. Personne ne céda à ma requête et en plus d'avoir subit les railleries de quelques alcooliques je commençais à m'impatienter et à être vraiment à cran. Je ne voulais pas me battre moi-même se soir, j'aime bien juste observer la situation mais ici, en ce lieu ce n'était pas qu'une simple bagarre de taverne, il y'avait quelque chose de spécial, une animosité qui régnait, une sensation indescriptible mais la mort planait au dessus de l'endroit, quelqu'un ou bien quelque chose pourrait changer la donne s'il s'en donnait la peine pensais-je. Je voulais participer ce soir, quelque fois faire un peu de sport permet de se défouler et j'en avais besoin! Je continuais de fracasser des tessons sur la tête de chaque vieux dégueulasse m'approchant de trop près arborant un léger sourire sadique.
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| | Jeu 16 Aoû - 12:49 | | | | Connaissez-vous le bruit d'un crâne qui se fissure au point de se briser en un millier de morceau dans une tête? Mais si je vous parle de ce bruit aiguë qui sors de la bouche du pauvre homme qui subit ce supplice. Accompagné par des mouvements inutiles pour se sortir d'affaire. Chaque seconde qui passe est un pas de plus vers la mort dans une situation pareille: la pression exercée sur les tempes provoque un afflue sanguin cherchant a s'échapper le plus vite possible par n'importe où. Les cris de l'innocent se perdant dans le craquement immonde de sa boîte crânienne. Et bien c'est ce qui est entrain de ce passer.
Je ne me contrôlais plus, la bête était sortit pour faire une boucherie rien de plus mais cette sensation me procurais une joie malsaine. Ma transformation bien que douloureuse pour moi avait rendu ma cible aussi immobile qu'une statue. En un rien de temps il eu dessaoulé de tout ce qu'il avait ingurgité. C'était une bête, un animal sauvage et particulièrement meurtrier qu'il avait sous les yeux et moi je ne voulais qu'une chose: me servir de lui comme d'un nachos. Je fonçais sur lui en rien de temps avec cette bestialité ayant ressurgis. Quand ma main, ou plutôt ma patte vînt ce saisir de son crâne il ressemblait a un insecte effrayé suppliant tout les saints du monde de lui venir en aide. Sans aucun état d'âme et avec une envie morbide j’appuyai avec toute ma force sur son crâne jusqu’à en faire un magnifique feu d’artifice uni-couleur. Sa voix ce perdait dans le vacarme de l'endroit ayant succombé a l'anarchie.
Puis un "crac" sonna la fin de ce destructeur de nature. A nouveau je ressentis cette joie malsaine m'envahir pour me donner des frissons dans tout le corps. Je lâchai le corps sans vie de l'insecte qui chuta sur le sol; je posai une patte dessus pour remettre ma fourrure en place dans un geste ample mes griffes passèrent au dessus de mon crâne n'ayant plus rien d'humain avant de secouer la tête. J'avais besoin d'encore un peu de sang: d'un peu de corps a balancer dans la fosse commune du cimetière le plus proche. Mais après mon spectacle sanglant j'étais aussi devenu une cible:
-Sus a la bête! J'offre un an de consommation gratuite a celui qui fait de sa fourrure des pantoufles!!
Qu'es que je vous disais: j'étais devenu la cible de tout les alcooliques du coin. C'est un peu paradoxal vous ne trouvez pas? L'animal laissant la rage guider son corps et cherchant a semer uniquement le carnage gagne une armée d'alcoolique comme souffre douleur. Je me retournais lentement pour voir si le tavernier eu réussi a toucher quelque personne: je ne m'étais pas trompé puisqu'il y avait une dizaine de personne le regard rivé sur moi, cassant la bouteille la plus proche pour en faire une arme. C'est partis pour une danse macabre: je vous prierais de bien suivre la cadence, je n'ai pas envie de me répéter a cause des retardataires.
Premièrement on laisse son comparse approché: un premier alcoolique se rua sur moi, tesson de bouteille en avant cherchant a me charcuter le flanc gauche. Il me suffit d'un simple pas de côté pour esquiver son attaque sans réel but si ce n'est occuper mon attention puisque le second imbibé me pris par l'arrière dans un coup allant de haut en bas avec la même arme. Mon écart m'avait permis d'encrer mes pattes dans le parquet alors dans un léger effort de ma part je bondis en avant pour faire face au troisième cloporte tétanisé par la peur qui en lâchât sa bouteille. Le quatrième reçus un coup de jambe de bois qui venait d'un tierce que je n'avais pas encore croisé, mais grâce a lui mon quatrième protagoniste fut réduit au silence dans une chute par terre. La suite est sans grande importance puisque ce n'est qu'un ballet d'esquive de ma part pour me mettre en jambe. Nous allons donc passer a l'étape numéro deux de notre danse.
Dans un second temps: prenez les devants sans hésiter. Quand je retomba sur le sol lors de ma dernière esquive je me retrouvais derrière le numéro 10. Un maigrelet qui arrive a peine a tenir la bouteille dans sa main, s'en est pathétique. J'attrapai fermement son bras encore tendu du coup qu'il voulut me porter pour ensuite l'entrainer dans un demi-cercle sur le côté pour le faire voler comme un oiseau. Je repris appuis sur mes pattes et partis comme un éclair me fondre sous l'ombre de l'oiseau de fortune avant de réapparaitre devant numéro 1 et de lui enfoncer ma jambe dans le thorax avec une violence qui fit craquer quelques côtes pour l'envoyer dans un mur non loin. A partir de là il y a beaucoup moins de chance pour que le reste de la troupe vienne vous cherchez des poux c'est pourquoi il y a la partie numéro trois.
Dans cette ultime partie vous mettrez une touche d'art dans vos pas. Numéro 1 ayant chuté il y a peu je vînt l'attraper par la cheville pour l'envoyer sur le reste de la troupe en me dissimulant derrière dans un bond presque félin. En retombant sur le sol je lançai mes griffes a la recherche de mollets: tranchant ceux de numéro 6 et 7 qui hurlèrent. Enfin le sang coulait: je pris un instant pour regarder autour de moi et voir le tierce qui m’eus aider frapper encore et encore avec son arme de fortune. De retour a mon spectacle je sautai a la gorge de numéro 5 pour planter mes crocs dans sa nuque et faire jaillir l'hémoglobine. Une joie démoniaque me remplis le corps quand le gout cuivré vînt a la rencontre de mes papilles gustatives. Je lâchai ma proie qui tenta vainement de se sauver et me retournai pour regarder les 5 alcooliques restants. Je pris la peine de faire monter le suspense en marchant lentement vers eux: grosse erreur de ma part puisque du coup ils prirent la fuite sans payer leurs notes.
J'espère que vous avez tous suivis car j'ai d'autre chats a fouetter. Il fallait que je remercie l'homme ayant participer a mon ballet. La rage faisant toujours bouillir mon sang je ne pu reprendre ma forme humaine mais quand je fut assez proche de lui il ne prit même pas la peine d'avoir peur:
-Je vous pris d'accepter mes remerciements pour votre aide avec cette jambe de bois si je puis vous offrir un peu de cette cigarette comme signe de respect....*Lui tendis la cigarette qui trônait depuis le début de sa transformation derrière son oreille*
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| | Sam 18 Aoû - 11:42 | | | | Au détour d’un pivot, après avoir assommé plusieurs hommes ivres, elle se retrouva en face de son voisin de table, celui au loup, ils se retrouvèrent nez à nez et le garçon lui manifesta de l’hostilité en grondant d’un air menaçant, comme un avertissement. Pour toute réponse à son grognement elle lui fit un grand sourire et pivota sur le côté pour envoyer sa chaise dans la figure d’un type voulant l’attraper pour lui casser la figure. Elle ne frappait pas assez fort pour briser des crânes, mais pas assez doucement pour que les hommes continuent de rester debout.
Au bout d’un moment plus personne ne voulait l’approcher et on lança un appel pour abattre l’homme qui s’était transformé en loup, il se débarrassa de ses adversaires, en tuant trois et Alyna lâcha un grondement de mécontentement. Pourquoi tuer quand on pouvait blesser fortement au point de rendre les types assommés pour deux jours ? Bref .
Distraite par l’appel qui avait sonné concernant le lycan sous sa forme hybride, elle ne vit pas un homme armé d’une hache intermédiaire approcher par-derrière. Elle se retourna à la dernière seconde et para avec la chaise qui se fendit joliment, mais elle réussit à ne pas se faire blesser. La lycan recula pour s’éloigner de l’homme, lâchant les restes de sa chaise.
-T’as démoli la tête de celui qui voulait juste un peu de plaisir avec toi poupée, je vais te farcir avec des pommes comme un troll farcit un elfe ! ( Le troll du chaos!)
Alyna sourit plus qu’amusée et attendit que l’homme abaisse sa hache, elle pivota sur le côté, cueillant le poignet de l’homme d’une main, paume vers le haut, le poing de l’homme posé sur sa paume, elle leva son autre bras et le raidit, puis abattit la tranche de sa main sur le bras de l’homme dont les os se brisèrent sans mal. Elle lui prit la hache, retira le tranchant de la hache et le lança vers les poutres du plafond où il resta planté, enfin avec la hampe de la hache elle cogna la tempe de l’homme qui fonçait vers elle en meuglant comme un bœuf. Il s’effondra comme un sac à patates. Elle lâcha le manche de la hache, n'en ayant plus l'utilité.
Elle tourna les yeux vers le début d’incendie, ne voulant quand même pas détruire le bâtiment et tendit une main vers les flammes qui s’éteignirent sans mal en tombant sous son contrôle. Puis elle avisa de la situation avant le prochain mouvement. Il ne restait plus grand monde pour continuer à se battre et ceux qui n’étaient pas motivés pour se battre au départ et avaient gagné en colère, étaient parti se rasseoir devant le carnage des trois, non des quatre personnes qui étaient intervenu pour se défouler. Restait le patron qui beuglait d’abattre le lycan et quelques autres qui approchaient de l’homme au loup. Bon et bien elle connaissait son dernier mouvement. Elle sourit sauvagement et prit sa forme hybride, oreilles apparaissant sous sa capuche, puis une queue qu’elle garda dissimulée par son manteau. Elle bondit, attrapant une chaise au passage et se retrouva sur le comptoir devant le patron de la taverne.
-Je ne supporte pas que l’on discrimine ainsi les nains (vous verrez pourquoi les nains 8D), elfes, hommes ou même lycan devant moi.
Elle abattit son tabouret sur le crâne du tavernier qui s’écroula, comme une masse, assommé (Et maintenant c'est mon ancêtre gurdil. Puis elle se tourna vers les derniers combattants et surtout le lycan hybride.
-Hé le loup, je comprends ta colère pour la plante, mais ne massacre pas le reste, enfin si mais sans les tuer.
Elle sourit aux trois hommes présents et qui se battaient, puis balança son pied dans la figure du premier type qui avait osé se relever malgré sa première bosse, il s’écroula à nouveau et elle s’assit sur le comptoir pour observer la suite de la bagarre. Son loup repu de bagarre s’était calmé et elle avait repris le contrôle de son instinct. Restaient une vingtaine d’adversaire et une trentaine gisait là.
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| | Alyna Minami
Partie IRLCrédit avatar : http://wall.alphacoders.com/big.php?i=419589Double compte : Ilidwën/Yahiro/AlreaVitesse de réponse : En week-end ou le mercredi
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