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 Kaori Hasegawa, péripapétitiene

 
Kaori Hasegawa, péripapétitiene Sand-g10Mer 1 Fév - 23:04
Fiche des sang-mêlés

→ Généralité

Kaori Hasegawa, péripapétitiene Beo

Kaori Hasegawa
Surnoms : Benihime
Âge et date de naissance : 19 ans, Le 14 Nadrilla 93^^
Nationalité : Feu
Situation: (Noble, habitant, vagabond) Vagabonde
Poste vacant désiré : (facultatif) Nope
Profession : (facultatif) Péripapétitienne, messieurs
Pour qui êtes vous : [/color] Au plus offrant, donc neutre
J’accepte d’être la cible d’un contrat assassina quelconque : (Oui, non, oui à partir du moment où... A noter, que vous ne pourrez tuer personne si vous répondez non, et que si vous êtes la cible d'un contrat vous pourrez vous défendre et gagner!) Oui
Races originelles: Mère : Humaine
Père : Incube (inconnu)


→ Descriptions

Description psychologique
« Quand tu dis que la beauté est celle du cœur, elle dit « Non non non y’a que les moches qui disent ca »
Femme vénale par excellence, Kaori n’a pas choisi sa profession par hasard. Fille de paysans, elle s’est rapidement rendu compte que si elle voulait obtenir une vie faite de luxe et d’oisiveté comme beaucoup en rêve, il lui faudrait faire don de son corps qui, fort heureusement pour elle, est taillé pour l’emploi. Kaori sait très exactement ce qu’elle doit faire pour son propre bien, au dépit de son intégrité ou du respect de sa personne. C’est une discipline de fer qui pourrait presque forcer l’admiration si elle n’était pas, pour cela, prête à vendre père et mère.
L’essence de sa vie est sans âme sœur
Malgré ce que l’on pourrait penser, Kaori est loin, très loin même, de se brader au premier venu. Pleine de confiance en elle, elle jongle avec ses clients avec une habilité et une aisance déconcertante. Elle part du principe simple qu’elle a tout à gagner à appâter des poissons de plus en plus gros et fait fit des convenances. Les hommes qui la touchent ne s’approprient que son corps, son outil de travail et ce pour seulement quelques instants. L’amour… Disons qu’il n’est pas encore arrivé et que, au vue de la vie qu’elle mène, elle a eu plus souvent la preuve qu’il n’était qu’une illusion. Pour autant, s’il « frappe à sa porte », elle reconnaitra son existence de bonne grâce. Promis.
Elle relève les défis avec Charme et éclat
Partie de rien, Kaori a su se placer entre les bras d’hommes d’influence, qu’ils soient de la Rébellion ou de l’Empire. La jolie jeune fille à la chevelure flamboyante n’a toujours appartenu qu’à une seule faction : la sienne. Malgré tout, si on la pait suffisamment bien, il se peut qu’une fois sa tache terminée, elle laisse sa victime dans un sommeil profond et béat, sans protection. Elle ne fermera pas la porte en partant et dans ces conditions, un incident est si vite arrivé. Néanmoins, contrairement à ce que laissent entendre certaines rumeurs (on la surnomme Benihime, la Princesse Ecarlate... Quand à savoir si c’est pour sa chevelure ardente ou pour les sorts tragiques de certains de ses clients… Toujours est-il que ce surnom la fait sourire), elle n’a jamais versé le sang elle même. Elle n’a d’ailleurs, jamais manié d’arme, bien qu’appartenant à l’une des races les plus faibles de ce monde. Par principe, par dégout ou par lâcheté ? Elle répondra simplement que dans la Nature, il y a des oiseaux chanteurs et des oiseaux chasseurs.

Description physique
"Vaccinée contre les beaux parleurs, c’est la bimbo et sa dégaine fait malheur"
Kaori est une jolie demoiselle aux traits délicats et à la silhouette gracile. Elle prend méticuleusement soin de son outil de travail, logique. Sa peau est donc régulièrement soignée grâce à de nombreux onguents et crèmes de beauté, tels que du lait pour le corps à base de graisse de Shakcha de la foret de Drayame. De plus, travaillant le plus souvent à l'ombre ou même la nuit, son teint se rapproche plus de celui des vampires que celui des humains. Le fait de ne plus s’exténuer aux travaux de la ferme et de vivre telle une vraie citadine ont redonné à ses mains leur douceur originelle et ses ongles ne sont plus jamais couverts de terre et de poussière. Ses longs cheveux roux, brillants et doux comme un caresse, ne passent pas inaperçus lorsque la belle se balade dans la rue. Dire que tout le monde se retourne sur son passage serait certes légèrement exagéré mais pas si loin de la vérité. Disons que ... 76% de la gente masculine se retourne sur son passage, il faut savoir rester humble et réaliste, parfois. Et les regards en coin le sont principalement parce que la jeune fille a gardé les habitudes d'une fille du Feu, c'est à dire se couvrir dans les limites de la bienséance. Ses nombreuses (et très chères) robes en soie, en peau ou en tissus précieux ont tendance à mouler ses formes avantageusement. On verra rarement Kaori porter de grands manteaux en fourrure ou des gilets informes. Elle a une réputation à tenir, tout de même!


Signe(s) distinctif(s)

C’est une chimère qui incarne le désir
Kaori est reconnaissable de loin, de par sa présence, sa longue chevelure indécente et ses tenues osées, véritables appels scandaleux. Sinon, elle a deux tatouages. Une fée sur le bras gauche dont elle tait la signification et, les chanceux s’étant attribué ses services peuvent admirer une patte de loup sur le haut de sa fesse droite, hommage à son Familier, le jaloux Beowulf (« Le loup intelligent »).
Fait étonnant, Kaori est une demoiselle pleine de manie. Par exemple, lorsqu’elle est agacée, elle se griffe les paumes des mains, poings serrés. En effet, elle ne peut pas, la plupart du temps, se permettre de perdre patience avec un client, tout spécialement si celui-ci peut décider de sa vie ou de sa mort. Non pas qu’elle en ait particulièrement peur car de toute façon, son loup veille activement à sa protection mais si ce genre de désagréments arrive, elle sait qu’elle sera pourchassée et elle préfère vivre tranquillement sa petite vie de catin plutôt que d’échapper sans cesse aux sbires de ses victimes. Autre exemple : lorsqu’elle est angoissée, elle ne cesse de triturer une de ses mèches écarlates.


→ Capacités
Pouvoirs par défaut : Aura inexpliquée auprès de la gente masculine, vie légèrement plus longue que la moyenne

Les sangs-mêlés sont les descendants de deux races différentes. Et en tant que tels, ils peuvent posséder deux pouvoirs de chacun des parents, soit un total de quatre. Pas un de plus. Si l'un des parents n'a qu'un seul pouvoir et que l'autre en a trois, il ne peut prendre trois pouvoir de celui ci pour arriver jusqu'à quatre. Cependant, si certains pouvoirs ne lui plaisent pas, il peut bien évidemment ne pas les choisir, ou n'avoir que deux caractéristiques d'un de ses parents si il le souhaite.

Pouvoir particulier : (facultatif) (si votre personnage est un guerrier expérimenté qui maitrise parfaitement une ou plusieurs armes il n’a le droit qu’à un seul pouvoir pour un souci d’égalité. Il pourra en gagner d’autre ainsi que des artefacts magiques au fur et à mesure.Cependant cela reste soumis à réserve.)

Arme : (facultatif) Sa prestance, son discernement et son loup sont ses seules armes.
Familier : (facultatif) Beowulf est un loup de 4 ans qu’elle a recueilli alors qu’il n’était qu’un louveteau abandonné à un mort certaine dans la foret. Il est son seul véritable ami et son dévoué protecteur. Ils ont ont relation fusionnelle et ne se quittent jamais. Beowulf est même présent lorsque la belle travaille. Ça pourrait paraitre malsain mais après tout, un loup ne juge pas une humaine. Il se révèle particulièrement jaloux et excessivement protecteur envers Kaori, affichant toujours un air féroce s’ils ne sont pas que tous les deux. Quiconque oserait porter la main sur la jeune femme se retrouverait alors en très mauvaise posture face à un monstre de croc et de sauvagerie vraiment, mais alors vraiment pas content. La rouquine a prit l’habitude de l’appeler affectueusement « le seul mâle de ma vie »
Autre : (facultatif)



→ Votre Histoire

L’histoire de la jeune Kaori Hasegawa n’est connue de personne, pas même d’elle même. Disons qu’elle ignore certain détails, encore aujourd’hui. Peut-être que sa vie aurait été bien différente de celle qu’elle mène actuellement si ses parents n’avaient pas commis des erreurs décisives.
Il faut savoir que l’enfance de la flamboyante catin fut… Disons aussi idyllique qu’il était possible d’avoir lorsqu’on vit dans le désert, dans un hameau perdu ou tout le monde se connait depuis une petite dizaine de génération. Mais pour raconter correctement cette histoire, il faut remonter à des jours antérieurs à la naissance de Kaori. Comme beaucoup d’autres personnes avant eux et après eux, les parents de la rouquine tombèrent amoureux l’un de l’autre. Histoire banale.
Le père, Jon, était fils de paysans et avait reprit la ferme de son père, ou il élevait du bétail pour avoir de quoi subsister par ces températures arides. Ca n’était pas tous les jours faciles mais il était en mesure de nourrir sa famille et c’était tout ce qui lui importait. La mère de Kaori, Ariana, était la douce et angélique fille du prêtre du village. Elevée dans le respect de la religion, elle accordait une grande importance à « vivre dans la lumière » comme elle l’expliquait si souvent aux trois beaux enfants qu’elle eut de son mariage avec Jon. L’ainé était un garçon, une bénédiction, nommé Harod. Un adorable bambin blond comme les blés, de la même teinte dorée que sa mère. Un autre garçon naquit, un an après. On l’appela Azufel en l’honneur de son pieux grand-père. Encore un blondinet, mais cette fois, il se rapprochait plus de la couleur sablée de son gaillard de père. Et finalement, un jour, ce fut à une magnifique petite tète auburn de voir le jour. Vous vous doutez bien de ce qu’il allait suivre. Mais étonnamment, le lien entre le passage au village d’un étranger charismatique et la chevelure inhabituelle de la petite Hasegawa ne se fit pas tout de suite. Elle vécut des années heureuses, auprès de parents aimants et protégée par deux grands frères attentionnés. Puis, un jour, un enchainement malheureux d’événements vint faire basculer cette jolie harmonie.
L’été de ses 15 ans, Kaori et sa famille durent faire face à une sécheresse impitoyable qui dura de nombreux mois. Les bêtes mourraient les unes après les autres, assoiffées, sans qu’on ne puisse rien y faire. Ce fut le début d’une période de disette pour Jon et les siens, ainsi que pour l’ensemble du village. Kaori et ses frères découvrirent ce qu’était que la faim, celle qui dure et dont on ne connait pas la fin. Et comme d’habitude, lorsque les temps sont mauvais, le cœur des hommes à tendance à se fissurer, à se décrépir. Le malheur et la peur, ainsi que la colère, prirent le pas dans le cœur de Jon, qui se referma peu à peu sur lui même et s’éloigna de ses proches. Il devint aigri, fatigué par une vie de dur labeur et rendu fou par une chaleur incessante. Ariana s’en rendait compte, évidement, mais ne pouvait rien y faire. Elle seule connaissait le secret autour de la naissance de Kaori et avait vécut durant des années dans la peur qu’un jour, le pot aux roses soit révélé et que Jon la chasse, elle et sa batarde de fille qui devenait peu à peu une jeune femme ravissante. Ne jetez pas la pierre à cette pauvre Ariana, elle qui était si respectueuse des écrits divins, si pieuse, fut victime du charme irrésistible d’un Incube dont elle ignorait jusqu’au nom. Elle avait fauté et ne pouvait croire qu’elle avait trahit son mari. Un choix s’imposa alors à elle : tout révéler immédiatement à Jon et prendre le risque de tout perdre, ou se taire pour veiller sur ses enfants et tenter de racheter ses péchés en ne fautant plus jamais à l’avenir.
Et pendant 13 longues années, son choix se révélera excellent. Puis tout bascula à cause d’une remarque d’un des amis de Jon qui, un jour où ils buvaient plus que de raisonnable, s’étonna de la différence flagrante qu’il y avait entre les rejetons Hasegawa. Les deux garçons étaient maintenant presque des hommes, portraits crachés de leurs parents, mais Kaori… Kaori avait cette beauté singulière, avec son teint diaphane et ses mèches rouges, d’une « fille d’ailleurs ». Tout le monde autour de la table insinua en riant multitudes de choses, se moquant gentiment de Jon. En effet, personne ne pouvait décemment penser qu’Ariana, une femme bien sous touts rapports, pouvait avoir jeté l’opprobre sur les siens. Mais malheureusement, cette bête remarque ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd et le doute se mit à croitre, dans l’esprit de Jon. De plus en plus suspicieux, il finit par être convaincu qu’on l’avait trahit et son attitude par rapport à sa femme et sa fille changea du tout au tout. De père et mari aimant, il tourna en un rustre personnage, les dédaignant, se moquant d’elles tant qu’il pouvait et incitant ses enfants à lui, ses garçons, à faire de même. Le plus jeune, encore naïf, suivit l’exemple de son père et commença à marquer une différence très nette entre les hommes et les femmes, qui malheureusement le suivra toute sa vie et ne le rendra pas plus heureux. Mais Harod, qui avait maintenant tout juste 18 ans, ne comprenait pas ce revirement de situation et continua à aimer sa mère et sa sœur, les protégeant comme il pouvait de l’influence néfaste du maitre de maison.
Mais le jour qui changea à jamais la vision de Kaori, qui ne comprenait pas pourquoi elle était soudainement traitée ainsi, ce fut le jour ou Jon cessa totalement de la considérer comme a chair de sa chair. On l’a déjà précisé, la jeune Kaori se révélait belle comme un cœur en grandissant et elle avait cette aura qui, vous l’aurez deviné, venait de son réel géniteur et la rendait « spéciale » aux yeux des autres. Les garçons du village étaient tous intrigués par cette petite qui semblait touchée par une certaine grâce. Ce qui était amusant, c’est qu’on attribuait cette élégance naturelle à sa mère, qui elle aussi était très jolie. On appelait Kaori la « digne fille d’Ariana ». Ce qui ne ravit pas vraiment Jon, qui s’obstinait à maltraiter, à humilier et rabaisser la rouquine qui elle, subissait en silence. En effet, quand vous êtes un enfant, vous obéissez à vos parents, quoi qu’il arrive. Et la jeune fille chérissait encore dans son cœur, les souvenirs d’une vie plus joyeuse. Oui mais voila, un jour vint ou l’enfant n’en fut plus une et ou son père commença à la regarder différemment. Une nuit, alors qu’elle dormait profondément, Jon s’introduit dans la chambre de Kaori et tenta de faire quelque chose d’impardonnable. Fort heureusement pour la jeune fille, ses cris de terreur réveillèrent toute la maisonnée et son frère, Harod, trouva assez de courage en lui pour confronter son père, laissant à sa sœur le temps de s’enfuir de chez elle.
A la rue, sans argent et sans nourriture, on n’aurait pas donné cher de la peau de la rouquine. Pourtant, Kaori trouva elle aussi le courage en elle de se relever de cette expérience traumatisante et décida de vivre. De vivre la tête haute, assumant sans vraiment en avoir la certitude, un pouvoir qui était à la fois un fardeau et un don du ciel. Elle entreprit un voyage vers la ville d’influence la plus proche, ou elle vécut d’abord de la charité des hommes. En effet, elle s’était rendu compte que dans la majorité des cas, la gente masculine accédait à ses moindres requêtes. Evidement, parfois, son charme était impuissant face à des hommes assurés, malins ou amoureux mais grâce au ciel, ces spécimens étaient plutôt rares et elle se débrouillait pour vivre aux crochets des simples d’esprit. N’allez pas penser que cette idée la ravissait. Kaori s’étant fait la promesse de ne plus jamais dépendre de quelqu’un qui pourrait la blesser comme Jon l’avait fait. C’est pourquoi elle voulait changer cette situation le plus rapidement possible. Elle errait sur les routes, allant de villes en villes, ne sachant pas trop quoi chercher. Un jour, alors qu’elle traversait une foret si dense qu’elle n’en voyait pas le bout, elle tomba sur le cadavre d’une magnifique louve blanche, au bord de la route. La mort de la créature était inconnue, surement heurtée par un chariot ou bien attaquée par une bête plus agressive qu’elle. Toujours est-il qu’à coté de sa mère gisait sa réplique parfaite, un louveteau immaculé, frigorifié et apeuré. Difficile pour la jeune rouquine de ne pas faire le lien avec sa propre vie. Prise de pitié, elle prit le louveteau dans ses bras, même s’il se débattait par instinct. A force de caresse, de nourriture qu’elle partageait avec lui, Kaori parvint à apprivoiser l’animal, qui la suivait partout comme un chiot silencieux. Elle l’appela Beowulf, « le loup intelligent », comme le nom du héros d’une fable que sa mère avait l’habitude de lui raconter avant de dormir.
Heureuse de partager sa vie avec un compagnon, la jeune fille commença à se reprendre en main. Elle se dirigea vers Sent’sura, ou elle avait décidé de s’installer quelques temps. Elle trouva d’abord un travail de serveuse dans une taverne. La paie était insignifiante, les lieux délabrés et la clientèle laissait à désirer niveau hygiène de vie mais au moins, elle pouvait habiter dans une chambre de bonne au dessus de la taverne et le patron avait accepté qu’elle garde son loup avec elle. Kaori resta là, à travailler quelques temps avant d’envisager la prostitution comme un moyen de gagner sa vie. Elle avait prit l’habitude de repousser les avances peu romantiques des clients de la taverne d’un revers de main, n’ayant pas oublié l’épisode avec son père. Mais un jour, son patron fit faillite et ferma sa taverne. Kaori se retrouva donc une nouvelle fois à la rue. N’ayant pas d’autre choix pour nourrir Beowulf et elle même, elle reconsidéra les propositions qu’on lui faisait et un jour, le garçon d’une riche famille lui proposa une coquette somme en échange de ses services. Il ne fallut pas longtemps à la jeune fille pour accepter. Certes elle n’était pas enchantée et avait toujours peur des hommes (merci papa !) mais les temps étaient rudes et Kaori n’allait pas gentiment de mourir de faim, tout de même. C’est ainsi qu’elle changea radicalement de mode de vie et commença à gagner suffisamment d’argent pour vivre correctement, avec toujours Beowulf à ses cotés pour veiller sur elle.
Parfois elle se laisse faire, rêvant de passion
Mais elle remet le masque, se laissant dévêtir




→ In real life
Prénom : Sara
Age : 18 ans
Avez-vous fréquenté d’autres forums ? Si oui lesquels : Oui, de nombreux et variés. Le dernier en date s’appelait Isei Gakuen et c’était il y a quelques mois de cela dooonc…
Comment avez-vous connu le forum ? Les Top-sites sont mes potes
Parlez nous un peu de vous (gout, loisir, métier) : Bon alors… je viens d’avoir mon bac L, actuellement, je vis en Angleterre pour 9 mois (jusqu’en Juin ♥) ou j’apprends… Tintintin tiiiin : à parler anglais couramment. Je vis dans une résidence avec 200 jeunes de tout pleins de pays différents, ce qui occupe pas mal mais quand on vit les uns sur les autres H24, on a parfois besoin de décompresser un peu dans son coin, raison pour laquelle je reprends le RP. Sinon, je suis une fan de séries, de films et de littérature. L’année prochaine, j’envisage de commencer un BTS Audiovisuel section Montage. Et puis je fais beaucoup la féte en attendant ♥
Code du règlement :


→ Epreuve de confirmation
Citation :
Raconte nous ce qui s'est passé après son premier client.
Kaori Hasegawa, péripapétitiene Valida11

Invité

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