Epreuve de Namie

Citation :

Raconte le jour ou tu revenais du marché et où tu as appris la mort de ton père

Ce matin là, Maman vint me dire que je pouvait aller au marché si je voulais. Elle me donna quelques sous et elle retourna dans la cuisine. Moi évidemment je n'allait pas refuser d'aller au marché, j'aimait tellement ça. Je pris mon panier, mit mes plus belle chaussures, j'ouvrit la porte et je sortit en faisant un grand sourire à ma mère. En passant dans ma rue, je dit bonjour aux voisins. Je me dirigea vers chez eux pour leur demander:

-Bonjour Madame Körles
-Bonjour Namie, comment va ta mère
-Bien madame, est ce que Alice peut venir avec moi au marché
-Et bien, ne bouge pas je vais lui demander si elle veut venir avec toi

Alice était leur fille. Et en même temps c'était ma seule amie. Elle était gentille et elle adorait les animaux.

-Bonjour Namie
-Bonjour Alice, alors prête pour le marché
-Oui allons y

Et voilà nous étions parties pour le marché. Alice ce mit à chantonner une chansons que nous apprenions à l'école. Elle chantait drôlement bien. Puis en un rien de temps, nous étions au marché. Dans notre petite ville, tous le monde nous connaissait. Nous allions devant chaque stand et nous disions bonjour au vendeur et aux vendeuse. Quelque fois, ils nous donnaient un fruit ou du pain. Tous le monde souriait en nous voyant passez. Puis après avoir traverser tout le marché, ce qui n'était pas une mince affaire, nous arrivâmes devant l'école. Des camarades de notre classe y était et en particulier, les méchants de l'école.Trois d'entre eux se levèrent et vinrent vers nous. Ils commencèrent à nous insulté. Mais contrairement à Alice, je n'était pas du genre à me laisser faire. Je leur répondit:

-Vous savez quoi, moi je pense que si vous nous embêter c'est parce que vous êtes jaloux
-Répète ça petite peste
-Vous êtes jaloux et surtout toi, la peste tue pas, moi

Et là quand je vit leur tête je m'approcha d'Alice et je dit:

-A trois ont court...
-un...
-deux...
- TROIS!!!!!!!

Nous partirent en courant comme deux personne tourneboulés. Ils nous couraient après mais Alice et moi avions l'avantage d'avoir les gens du village avec nous. Nous demandâmes aux bouchers de les bloquer, à la dame aux fruits de les disputés et la poissonière accepta de nous cacher pour qu'ils ne nous voient pas. Par la suite, elle fût gentille avec nous. Elle nous donna deux beau poissons chacune. Le boucher un poulet qu'il coupa en deux et la dame au fruit nous dit de choisir tous les fruits et légumes que nous voulions, sans trop en abusez. Alors Alice et moi nous avions chacune un beau panier plein de bonnes choses à manger. Avant de rentrer, nous nous dirigeâmes vers la forêt. Arriver dans cette belle forêt, nous firent un bouquet de fleur, chacune, pour les offrir à nos mères. Alice pris des marguerite et des fleurs que l'on appelait fleur soleil, quand à moi je pris des violettes et des pâquerettes. Nous nous décidèrent à rentrer chez nous, la nuit commençant à tomber. Nous sortirent de la forêt et nous avançâmes vers nos maisons respective. Je dit au revoir à Alice et je me dirigea vers ma maison. Arriver à quelque pas de chez moi, j'aperçu ma mère à la porte, je lui fit coucou de la main mais elle ne me répondit pas. Elle pleurait et deux hommes se tenait devant elle. Peut être que mon Papa était rentré à la maison. Mais apparemment non. J'entendit un petit bout de leur conversation:

-Madames, nous sommes désolé pour votre mari, veiller accepter nos excuse et notre respect pour la mort de votre mari

Mon,.. mon pè,... mon père est... mon père est mort !
A cet instant précis mon cœur cessa de battre. Mon regard devint inerte et inexpressif. En marchant je me dirigea vers ma maison. En entrant je vit ma mère, pleurant comme la pluie, tombant dehors. Je m'installa à ces cotés et la pris dans mes bras. Elle posa sa tête contre moi et peut être les battements de mon cœur ou bien le fait d'être avec moi à ces cotés mais elle fini par se calmer. Quelques minutes passèrent et ma maman s'endormit, calmement. Je fit en sorte de l'allonger et je pris une couverture pour la déposer sur son corps endormit.J'éteint toutes les bougies tout en en gardant une allumée pour ensuite me dirigée dans ma chambre. Quand j'ouvrit la porte, Lucifer, mon chat adoré, était sur mon lit. Il vint se coller contre mes jambes, en ronronnant. Je le pris dans mes bras et je m'assis sur mon lit. Il me regardait de ces yeux vert. Ensuite je me mise en pyjama. Je m'installa dans mon lit et Lucifer me rejoint. Mes dernière paroles avant de dormir furent

Pourquoi t'es-je appelé Lucifer ?

Je ne devait pas m'attendre à une réponse mais dans c'est yeux, la réponse me vient. "Lucifer" était le nom d'un loup aux yeux verts qui avait été tué cause de plusieurs attaques. Après avoir eu cette réponse, je m'endormie, paisible.