Tarkas à la chance d'être né d'une espèce assez « royale »cependant sa mentalitée s'en vois pas mal acceptée. Comme tous ceux de son espèce, notre jeune homme aime être apprécié et regardé, chose dans laquelle, parmi les sien, il pourrait instinctivement exceller mais qui, parmi les deux pattes, peux le rendre parfois un peu ridicule, brutal voir bête ; selon les circonstances. Affaire de point de vus qui ne seras pas facile. Affichant la fierté et la détermination de son espèce, tarkas est en plus à tendance dominatrice, une tendance découlant de sa détermination sans faille et de sa fierté malgré son vécu, assez forte. Bien que son passé lui ait forgé une fierté plus fine, moins absolue ; capable de s'adapter aux situations diverses. Ayant un penchant pour tout ce qui lui paraît grandiose et certainement pas ce qui est clinquant... L'honneur, la force, les talents de chasse et de combattant. Ce genre de choses... D'ailleurs, ses forts penchant lui permirent de beaucoup s'investir dans sa vie d'esclave de combat, poussé par sa forte détermination et son envie de devenir le meilleur, de maîtriser cet immonde corps qui restait néanmoins emprunt de la force de sa forme d'origine.

Tout ceci est cependant mit en balance par une belle forme de générosité, emprunte de fidélité et d'empathie. Il n'était pas le plus réservé de sa portée pour rien. Un bon exemple de sa bonté pourrait être dans son refus de tuer si ce n'est pour ce repaître. Une façon de faire qui lui valus dans l'arène une réputation sanguinaire ; n'hésitant pas à dévorer ses victimes lorsqu'il avait un peu trop faim et gagnait un combat. Enfin bref, du coup Tarkas pourrais assez facilement s'attirer la sympathie d'autrui si tenté qu'on lui en donne l'occasion malgré quelques habitudes brutes et repoussantes vis-à-vis des standards des deux pattes. Cela pourrait ceci dit être vite rayé par une tendance à l'ingérence de ses colères assez flagrante ! Malgré une capacité disciplinaire ainsi que la faculté de l'imposer à ses semblables de manière assez efficace, limite farouche. Autoritaire du coup, mais j'insiste sur ce sujet, absolument pas méchant. Impossible ? Pourtant je vous l'assure, son sens de la responsabilité le pousse à s'impliquer à fond dans tout ce qu'il entreprend. Jaugeant ses actes avec une parcimonie toute relatives, c'est qu'il ne serait pas bien jugé que de faire du mal aux autres sans justification plausible.

Son côté animal est donc bien préservé et d'ailleurs, ses bouderies infantiles comme ses délires juvéniles n'en sont que de plus belles preuves, tel un chiot ou un jeune chient qui s'amuserait avec une chaussette ou partirai la queue entre les pattes, fautif d'une grosse grosse bêtise et, bien que pouvant déprimer avec une grande facilitée ; il n'est pas à oublié que sa fidélité est et restera sans la moindre faille. D'une mentalité si proche des extrêmes et changements du tout au tout, ce détail est bien celui qui serait incapable de changer, comme inscrit au plus profond de ses gênes. Sa meute, sa famille, qu'importe le reste. Qu'importe lui-même d'ailleurs aussi. En tous les cas, s'il est accompagné, tarkas est, tel le bon membre de meute, doté d'une confiance inébranlable, d'une énergie sans limite mais aussi d'un optimisme d'autant plus emballant. Et oui, il est courageux, et ce même courage l'à souvent aider et l'aideras encore, à vaincre ses peurs, se dépasser, faire preuve de témérité aussi, malheureusement. Franc et droit, sans ambiguïtés, les mauvaises surprises sont rare avec lui tant il est équilibré normalement pour l'un des siens, simple dans son comportement. Mais son côté assez naïf sur les bords ne le met pas à l'abri des manigances dont-il peut être victime. Et pourtant, les coups du destin ne le déstabilisent pas. Il n'est pas le nombril du monde est en à toute confiance, il n'était pas un alpha dans sa portée et n'en as pas la prétention... Même si son besoin de respect semble de plus en plus important.

Ambitieux malgré-tout, créatif aussi, courant après le succès et, inconsciemment, derrière le prestige social. Idéaliste, Tarkas n'aime pas faire dans la demi mesure ; bourrin dans l'âme, parfois intolérant. Imbu de sa personnalité, il use mal de sa volonté et de son sens de la puissance et va jusqu'à la démesure et l'ostentation. Exubérant comme pas un, Tarkas est un grand passionné et le dévouement qu'il montre pour une tâche qu'il à choisi est exemplaire. Si la stabilité est le signe fixe du jeune homme, la fermeté et la générosité sont ses principales qualités.

Aime : S’amuser, se battre, manger ! La vie en groupe, aussi, surtout. ;
N'aime pas : Les bras brillants et les corps étincelants (armes et armures)

Histoire An 102/103... Date imprécise.

Tout commença, il n'y a pas si longtemps au nord est, dans une contrée, comme on en trouve plus, dans le monde d'aujourd'hui. Là était l'étendue naturelle la plus vaste et surnaturelle, sa forêt gargantuesque connue à des lieues à la ronde regorgeant d'espèces plus rare les une que les autres et d'arbres plus majestueux que nulle part ailleurs. S'étalant sur plusieurs milliers d'hectare de plaines et grimpant sur les flancs de deux splendides montagnes. Une nature paisible et prospère. Car cet équilibre était préservé par le plus grand et dernier royaume des protecteurs de la forêt : Grrroundwarf. Place forte de Bwourfougue, grand chef des meutes forestières. Le plus puissant et le dernier des seigneurs des protecteurs. Ne doutant point de l'avenir de son royaume qui avait par bien des siècles résister à l'expansionnisme des autres races égocentrique-ment nommées intelligentes. Ahhh... Grrroundwarf... La splendeur d'un royaume naturel parcouru par ses sombres protecteurs par dizaine de milliers et dont le refuge se trouvait être aussi splendide que les plus somptueuses des demeures draconiques et néanmoins méconnus des autres peuples. Nous vivions au sein de la terre et de la roche, dans une caverne se trouvant au creux ou se rejoignait les deux montagnes sur laquelle notre domaine s'étendait et partait en vastes étendues souterraines qu'aucun des miens n'auraient jamais pus creuser mais dont nous avions hérité de nos anciennes amitiés. Combien d'humains nous auraient volés sans quoi... S'ils avaient eu connaissances des émeraudes, des rubis et saphir, de la rivière d'or dont les dragons nous avaient fait cadeau pour décoration d'une demeure éternelle et presque divine dont ils étaient aussi les créateurs.

Cette splendeur éclatante ne pouvait cependant pas être éternelle et une maladie s'empara de notre douce foret. Et lorsque la maladie ronge, le malheur n'est pas loin. J'étais un jeune sot à l'époque, tout juste capable de manger moi-même une viande déjà tuée. Les ombres qui hantaient maintenant notre demeure n'eurent de cesse de grandir et lorsque Bwourfougue déglutit, Grrroundwarf s'embrasa. D'épais nuages de fumées envahirent les plaines et calcinèrent les arbres. La lune éclatante rendait à ce spectacle la touche de macabre qu'il y manquait. C'est là que les deux-pattes ont eu fait leur entrée ; ils sortirent d'au travers des flammes. Convoitaient-ils l'or ? En avaient-ils eu entendu parler ? Et comment pouvaient-ils embraser un tel territoire sans que nous n'ayons pus les voir ? Comment avaient-ils pus rendre malade même notre glorieux chef, le plus grand et solide de tous ceux de notre espèce, lui qui ne mesurait pas moins de deux mètres vingt au garrot et sur qui aucune magie n'avait d'emprise ! La hampes des lances pourfendirent les premiers des nôtres, pris au dépourvus. Mais lorsque vinrent les lames des sabres, les crocs les agrippèrent, les griffes tranchèrent dans les armures de fourrure et de plates. La bataille avait alors bel et bien commencée. Une lutte acharnée entre le virus que représentaient ses animaux à deux pattes et nous... Et alors que nous commencions à gagner, une pluie de bois et de fer tomba du ciel. Ce que, je l'appri plus tard, vous appeliez flèche, la pire lâcheté dont puissent faire preuve des combattants !

Moi... Hé bien.. J'étais caché, dans un renfoncement à l'entrée de la caverne. Je n'étais pas plus loin, car ceux de ma portée, bien plus courageux, regardaient avec l'envie des plus braves chasseurs et des plus grands protecteurs. « Allons-y ! » suggéra avec entrain la plus vieille du lot, la seule femelle et la plus vigoureuse du groupe, de très loin. Tous semblèrent approuvés, tous sauf moi. Même celui qu'avais faillit crevé, l'aveugle. Je vous donnerais bien leurs noms des Gwarf par ci, Bwarf par la... Vous seriez vite perdu et malgré tout ce ne serait pas une retranscription exacte. Enfin bref, lui-même surenchérit : « Même sans les voir leur puanteure m'aideras à leur arracher les pattes ! Hahaha ! » L'enthousiasme de la jeunesse. Je sortais mon museau de derrière la rocailleuse structure ; moi-même je commençai à être motivé au combat ! Des gémissements retentirent à cet instant alors qu'une lance avaient embroché de part en part l'un de mes frères. Imaginez ma peur. L'horreur des yeux injectés de sang, ses orifices se mirent à dégouliner de cette même substance carmin. Je me recroquevillais et ne vis que du coin de l'oeil ma soeur qui mordait vigoureusement la main du crétin d'humain. Son cri témoignant du fait qu'elle venait de lui être arrachée. Quelques secondes passèrent, on me mordit et je pleurais comme jamais plus après... Un moment me fut nécessaire avant de rouvrir mes mirettes pour voir celle qui avait la gueule en sang me relâcher : « Crétin de lâche, ait au moins la décence de fuir avec nous ! » Fuir ? Avais-je bien entendu ? Ils étaient finalement devenus raisonnables. Ouf.. Mais il était déjà trop tard, bien que la bataille face rage dehors et que plus de deux jambes soient tombées ; ils étaient si nombreux qu'il en grouillait déjà de partout et avant même que j'eus pu répondre à ma soeur celle-ci se faisait entailler le flanc d'une hache. Encore consciente elle s'écroula, mortellement blessée néanmoins. Gémissant de douleur, j'abrégeas ses souffrances d'un réflexe que je ne me serais pas connu. On dit chez nous, que nous n'oublions jamais notre première proie... Je n'oublierais jamais son regard confiant et à la fois, qui me remerciait.

Est-ce que je venais de recevoir sa confiance et sa vigueur ? A mon tour je fondis sur les ennemis déjà dans l'entrée. Le dernier royaume Lupin. La race des grands loups et de leurs grandes demeures s'éteignit probablement ce jour. Le hurlement de désespoir retentit alors dans toute la caverne ; tel un hérisson percé d'une demi centaine de lance, Bwourfougue ce releva sur le champ de bataille. Non... Ils n'étaient pas nés ceux qui déferaient le dernier grand royaume de notre race ! Un rugissement sortis du plus profond de ses entrailles et la bête, le haut-loup se métamorphosa en deux pattes. Employant le pouvoir ancestral, cette malédiction dont nous ne voulions pas et qui accabla les nôtres des pires guerres avec les bipèdes. Cartel qu'il existe des Orcs, des Elfes, de ses pitoyables humains et autres capable de devenir hybride et loups ; nous sommes victimes de cette même malédiction. Les nombreux hivers décimèrent les nôtres dans les temps d'avant et nous faisions alors de nombreuses razzias sur les villes des hommes. C'est alors que nous fûment maudits... Et que notre espèce commença a subir les affres de la lune. Plus capable de jamais la contempler... Un beau jour cependant, la malédiction revêta une forme plus magique... Et cette malédiction devint un pouvoir qui nous avait tant traumatisés de part les conséquence,celles avec la lune que nous ne désirions plus l'utiliser. Notre puissant chef sonna le signal du renouement et les plus braves des nôtres ce métamorphosèrent chacun leur tour. Je ne pus que constater, avant de m'effondrer dans l'inconscience, ayant percuté un monticule rocheux.

Le grand royaume de Grrroundwarf, à mon réveil, sa vision me terrifia. Le feu avait tout emporté, seuls les cadavres de la grotte restaient, des deux jambes à la peau ocre, certains cornus, d'autres pourvus d'oreilles en pointe, tous si différents. Et tant des miens... notre royaume n'était plus, ni nos assaillants, y avait-il eu d'autres survivants ? Pas parmi les arbres en tout cas. C'est alors que je m'aperçus du pire des drames ; je n'étais plus sous ma forme de loup, mais sous la forme métamorphosée maximale. ? Un ridicule humanoïde à deux pattes ! Les forces à l'oeuvre ici avaient-elles influées ? Avais-je forcé le destin durant la bataille dont je n'avais plus qu'un souvenir fugace et imprécis ? Ma réaction ? La panique, la tristesse et la rage tout d'abord et puis, l'acceptation. Incapable de maîtriser ses métamorphoses. Je résidais sur cette désolation jusqu'à ce qu'il m'apparaisse vital de partir d'ici... Chercher les miens, apprendre à me métamorphoser et ... Si dans le pire des cas tous ceux de mon espèce étaient morts, les venger, au péril de ma vie.

Je quitta du coup La désolation de « Bwourf », En m’y rendant, j’avais réalisé une chose… Les visions de mon passées étaient bien surfaite, une belle forêt, rasée, un village d’humain non loin de là, prospérant à cultiver des terres et élever du bétail que nous devions chasser en surnombre et une caverne… Certes grande, splendide, mais l’odeur des miens n’allait pas jusqu’au fond. Non, le grand royaume de mon enfance revêtait ce côté surfait, plaqué-or par mon bon souvenir. Les restes d’ossements, si peu… De l’herbe avait repoussée ici et là, haut par endroits, j’en avais mâcher un peu avant, comme dit plus haut, de partir de là.. Dire que nous n’étions probablement, pas plus d’une petite vingtaine d’adultes… Enorme pour une meute de loup, loin d’un royaume, même d’une ville. Je vécu toute une vie de loup, une dizaine d'année sous cette forme et m'éloigna rapidement de mes objectifs, naïf, j'avais été fait prisonnier par un marchand d'esclave, puis vendu par un de ses exploitant de combattant. Durant dix longues années j'appris à combattre et y fut contraint. Le lâche de la portée que j'étais changea radicalement durant ses années.

An 112, la guerre froide.

L'activité de mon « propriétaire » perdit peut-être en rapport à cette guerre, tout son impact, pauvre et a la rue, nous fument alors tous libérés. Voilà, aujourd'hui, je suis libre, sans connaissance de vos mondes, perdu... Mais je l'espère, bien moins naïf malgré mon inexpérience !

(c) idées et textes de moi, toute reproduction sans ma permission préalable est interdite x^x -> wulfou@hotmail.fr !

Citation :

Raconte ta capture par le marchand d'esclave.