Terra Mystica

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 Leuffa Shteinguell

 
Leuffa Shteinguell Sand-g10Lun 26 Aoû - 10:23
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Leuffa Shteinguell

 Qualités - défauts : Indépendante - pingre – perspicace - arrogante – déterminée – sadique – sensuelle – calculatrice – dévouée – sans scrupules – sait profiter des petits plaisirs de la vie – cynique.
Information
Surnom  Madame
Âge : 40 ans
Nationalité : Terre
Profession : Propriétaire de maison close
Camp : Partisan d'AT
Noblesse : Aucun
Croyance : Culte des ancêtres
Famille : aucune (si on parle de personnages joueurs), sinon un frère cadet résidant dans le territoire de la Montagne (Monts de l'Ungrid)
Race
Gnolle
Ah, les gnolls... une bien étrange race, qui pourrait très bien illustrer ce que serait devenus les hommes si ils n'avaient pas su oublier leurs querelles et élever leurs demeures vers les cieux. Pourtant, ils sont loin de l'étiquette de bêtes immondes que l'on voudrait leur apposer parce qu'ils nous ressemblent par trop. Mais comment les décrire objectivement ?
D'un point de vue strictement anatomique, un gnoll ressemble à un croisement entre un humain et un canidé : généralement de très grande taille bien qu'ils soient pour la plupart voûtés (entre deux mètres et deux mètres dix), ces humanoïdes à la solide constitution sont pourvus de deux bras tors terminés par de courtes griffes vestigielles, d'une paire de pattes arquées prolongées elles aussi par des griffes et des coussinets, mais surtout arborent une tête indéniablement canine à la mâchoire puissante et aux oreilles rondes ou pointues. La couleur de la courte toison recouvrant leur corps varie d'un individu à l'autre, allant du noir d'encre au beige doré... mais il semble que les spécimens arborant un blanc de neige ou un poil roux soient particulièrement rares et respectables.
Bien que semblant patauds au premier abord à cause de leur torse sur-développé et de leur démarche de marin ivre, ils s'avèrent cependant preste dans leurs gestes et même capable d'égaler la vitesse d'un cheval au galop sur de courtes distances. Ceci, couplé à leur odorat digne de limiers et à leur excellent ouïe, en font des chasseurs-nés.
Plusieurs faits poussent en outre à classer les gnolls parmi les espèces intelligentes et même sociables. Pour commencer, et malgré leur réputation de pilleurs sans foi ni loi, ils s'avèrent être des artisans capables dans le domaine de l'os, du cuir et du fer qui valent bien des travaux de main d'homme. Ensuite, on peut remarquer qu'outre la langue commune qu'ils parlent pour des raisons liées au « troc », ils possèdent leur propre langue élaborée à partir de grognements, de claquements de langue ou de mâchoires accompagnés de gestes et de mimiques couvrant une vaste palette d'expressions et de sentiments. Enfin, la société gnolle est certes articulée selon un principe d'individu alpha (plus fort et intelligent que les autres) ayant pouvoir de vie et de mort sur tous ses sujets, mais il est à remarquer que parmi ceux-ci les individus les mieux lotis ne sont pas forcément les plus puissants physiquement mais ceux détenant un savoir ou une technique particulière. Dans cet esprit, l'âge et le sexe de l'individu importent peu par rapport à sa « férocité » et son esprit d'initiative, si bien qu'il n'y a rien d'extraordinaire à ce qu'une femelle occupe un poste clé dans un clan ou même en soit la dirigeante... mais gardez à l'esprit que si tel est le cas, c'est vraisemblablement parce qu'elle a éliminé les autres prétendants d'une façon ou d'une autre.
Mis à part les originaux étant partis chercher fortune en solitaire ou en groupes de bandits, les gnolls vivent généralement en clans regroupant entre vingt et quarante individus (le maximum recensé étant d'une soixantaine) vivant en semi-nomades sur le territoire de la Terre. Quelques groupes auraient été rencontrés sur celui de la Montagne et de la Glace, mais cette information demeure sujette à caution. Formant des clans ne formant un front uni qu'en temps de guerre majeure contre une autre race, les gnolls se déplacent de zone de chasse en point d'eau selon la saison, alternant pillage occasionnel, troc, vie de chasseur-cueilleurs voire contrats groupés de mercenariat. Ironiquement, les chamans de ce peuple ont une grande réputation parmi les populations rurales reculées pour leurs connaissances en herboristerie et en divination, ce qui entraîne parfois à des arrangements entre les différentes communautés.
Il est difficile de déterminer si ces individus disposent de pouvoirs magiques ou si les gnolls sont même sensibles aux courants de magie, car aucune source n'en fait mention. Les guérisseurs des rares clans pacifiques évoquent simplement une communion avec la nature... mais surtout avec leurs ancêtres morts honorablement, qui les conseillerait et leur transmettraient leur savoir, vivant à leurs côtés. Le clan doit serrer les rangs face à ce monde hostile.
Question plus épineuse : qu'est-ce qu'un gnoll pense d'un humain ? En général, face à un individu qu'il ne connais pas, le premier réflexe d'un de ces homme-bêtes sera de le considérer pour ce qu'il est : un être physiquement inférieur qu'il est possible de dominer pour en faire un bon esclave. Aussi n'est-il pas surprenant dans ces cas-là de les voir sourire avec arrogance ou dédain, voire vous ignorer purement et simplement. L'amitié d'un gnoll se paye, et son courroux encore davantage.
Mais qu'est-ce qui rend ces « homme-bêtes » si impressionnant pour les races ayant une carrure inférieure à celle d'un minotaure ou d'un centaure ? D'abord à cause de la sauvagerie qui a fait leur réputation en tant que mercenaires : que ce soit à tirs vicieux d'arbalètes, de coups de piques ou à griffes nues, un gnoll qui ne bat pas en retraite à cause du nombre ne lâchera son adversaire qu'une fois celui-ci réduit à l'état de boule de chair à vif dont il aura complaisamment croqué une partie. Mais ce qui a véritablement établi leur sinistre réputation est le fait que même les plus braves guerriers prient pour ne pas tomber vivant entre les mains d'un clan et subir leurs « séances de discipline » dont la cruauté et la perversion dépasse l'imagination, et ce jusqu'à ce qu'ils ne soient plus que des coquilles vides ne ressentant plus qu'à la terreur de déplaire à leurs nouveaux maîtres.
L'humble auteur de ces lignes tient néanmoins à préciser que si cette dernière coutume ne peut être considérée comme commune à tous les clans et races de gnoll, il n'en demeure pas moins qu'il s'agit sans conteste de la plus répandue, la plus ancrée dans leur façon de penser et qu'ils ont besoin régulièrement de renouveler leurs stocks d'esclaves ne fut-ce que pour des démonstrations de richesse envers leurs congénères. Il est donc fortement recommandé de n'approcher d'un regroupement de ces êtres (et en particulier si il ne s'agit que d'un petit groupe de maraudeurs) qu'avec la plus grande prudence ou avec un guide ayant déjà eu affaire à eux.
Caractère

La première chose à savoir à propos de Leuffa, c'est qu'elle estime ne rien devoir à personne. Oh, bien sûr elle est une partenaire très fiable en affaire tant que vous ne tentez pas de l'arnaquer grossièrement (puisque dans le milieu où elle évolue la parole donnée vaut souvent davantage qu'un contrat signé de son propre sang) et elle sait éprouver de la reconnaissance envers ceux qui lui ont apporté du soutien dans les temps de besoin, mais elle tire avant tout une grande fierté du fait qu'elle soit parvenue là où elle en est à la seule force du poignet : par exemple, le seul mérite qu'elle attribue à ses parents est de l'avoir mise au monde, et elle n'accorde à son clan d'origine que le bénéfice de lui avoir montré que le monde se divisait entre ceux qui portaient le collier d'esclave et ceux qui tiennent l’extrémité de la laisse. N'escomptez donc pas la voir cracher au bassiner ou rendre service à quelqu'un pour régler la dette d'un ami ou d'un proche sauf si cela sert ses intérêts. Son premier soucis ira toujours vers sa survie puis vers celle de la « famille » qu'elle s'est laborieusement forgé.
Cela ne signifie pas pour autant que la gnollesse est un être froid et dépourvu de sentiments. Au contraire, il existe un certain nombre de situations qui lui fouettent les sangs au point que ses employés doivent parfois la stopper pour empêcher tout débordement : lorsqu'on la menace directement ou non, lorsqu'un client tente de s'en aller sans payer et sans qu'elle l'ait voulut, lorsque l'une de ses proies ou de ses employés s'acharne à lui tenir tête malgré ses « bons soins »... et plus généralement quand on lui rabat trop les oreilles des haut-faits des rebelles, pour qui elle voue une haine aussi absolue que pernicieuse.
Enfin, il convient d'émettre une remarque quant à la soi-disant propension à la violence gratuite qu'on lui attribue : Leuffa peut certes se montrer cruelle, injuste et avoir une nette préférence pour les châtiments corporels les plus humiliants, elle ne le fait jamais sans bonne raison (ne fut-ce que celle de joindre l'utile à l'agréable) et ne supporte que peu que l'on critique ses méthodes tant que le résultat est là pour prouver qu'elles fonctionnent.

Physique
 Selon les canons de sa propre race, Leuffa  Shteinguell ne saurait être considérée comme une beauté : bien qu'elle soit de taille respectable (1m90 des coussinets des pieds à la racine des cheveux) et que sous sa douce fourrure brune tachetée de noir soient visibles les délicats entrelacs d'une musculature aussi sèche que vigoureuse, il lui manque trop de viande pour être pleinement désirable... sans parler de l'absence d'un certain petit détail anatomique propre aux représentants alpha de son espèce. Pour le commun des humanoïdes, elle apparaît cependant comme une femelle solidement bâtie sans être caricaturale, avec deux bras noueux terminés par de courtes mais solides griffes, de longues pattes arquées reposant sur des coussinets (les mauvaises langues diront que si les gnolls en ont de telles c'est parce qu'ils ont pour habitude de plier genou devant n'importe qui, mais il ne s'agit bien évidemment que de perfides médisances), et une poitrine assez mafflue pour damner un saint. Sur ses épaules est en outre juchée une jolie tête canine aux grandes oreilles triangulaire, au museau noir, au sourire plein de dents accentué des prunelles d'un vert profond provocant, le tout surmonté par une crête de cheveux d'un noir profond.
Pour ce qui est de la vêture, cela dépendra surtout de la situation et de son humeur, puisqu'elle peut porter aussi indifféremment un négligé qu'une robe de prix à froufrous ou une armure de cuir bouilli. On remarquera cependant qu'elle ne paraît jamais sans son fouet ainsi qu'une quantité appréciable de bijoux aux oreilles et aux poignets.
Capacités
Armes : dague, fouet, griffes, crocs
Pouvoirs : aucun
Familier : aucun
Artefact : aucun
Autre : aucun
Histoire

Histoire Il était une fois (car il était toujours une fois), il y a quatre décennies de cela  dans un petit vallon boisé situé au fin fond de Terre, un grand village gnoll comme il n'en existe plus de nos jours : fort d'une cinquantaine de guerriers pour une population totale de plus de quatre-vingt individus, vu des collines voisines il avait la forme d'un patchwork de cuir et de tissus joyeusement entrelacé autour du cours d'eau large mais boueux qui creusait le fond de la vallée depuis des lustres, résonnant aussi bien du crissement de la lame que l'on aiguise que du rire des enfants s'ébattant. Au sommet de la plus haute des proéminences, la silhouette d'un castel en ruine plongeait dans la pénombre pendant la moitié de la journée ceux qui n'en avaient pas besoin, et qui poussaient pourtant les hurlements les plus puissants. Ce village, qui n'avait pas de nom précis, était un véritable havre de paix pour les gnolls : le gibier et l'eau s'y trouvaient en abondance, aucun clan ne se trouvait suffisamment proche ou puissant pour venir contester l'emplacement... et les seuls humains présents dans la région avaient préféré s'installer plus loin dans les plaines, si bien qu'à part quelques villages de paysans et une poignée de caravanes qui leur fournissait régulièrement des esclaves de bonne qualité qui leur permettaient de cultiver des champs en terrasse, ils n'avaient jamais eu maille à partir avec cette race si prompte à s'emporter.
Leuffa y naquit au printemps de l'an 73 de l'actuel calendrier impérial. Première fille et surtout dernière enfant en vie de la famille Shtenguell au moment où elle ouvrit les yeux, il lui fallut attendre de faire ses premiers pas sur deux pattes pour se rendre compte à quel point elle était privilégiée : ayant échappé de peu à la dernière vague de peste rouge qui avait entassé des cadavres dans toute la région pendant deux longues années, elle se trouvait en outre être la descendante d'une chasseresse et du dresseur officiel de Ranulf, le chef de clan. Cette position extrêmement enviable pour quelqu'un n'ayant normalement pas la carrure pour un statut aussi élevé dans la société gnolle, due uniquement à un savoir-faire transmis patiemment de père en fils, permit à son père qu'ils ne manquent jamais de viande sous leur yourte et de respect en-dehors.
Lorsqu'ils la forgèrent pour lui donner les armes adéquate à sa survie, elle appris d'eux des choses très différentes. De sa mère, elle appris la patience, la minutie, l'audace, le jeu du couteau et le maniement de l'aiguille. De son père, elle appris à feindre la compassion, à réprimer son excitation, à dompter des bêtes variées, à sourire en voyant une mère donner son propre bébé en pâture aux chiens pour que la douleur s'arrête et à ouvrir une gorge en la lacérant de son fouet. Et de son oncle, elle apprit trop tard que douze printemps était peut-être un peu tôt pour perdre son cotillon.
Ce détail mis à part, elle grandit comme toutes les gnollesses ayant eu la chance rare de vivre dans un semblant de village et dans des conditions aussi confortables : elle apprit à survivre, elle chassa, elle se battit, elle aima, elle haït... et elle prit finalement la fonction de son père lorsque celui-ci eut la tête broyée par une monstrueuse bête à corne venue du Nord en même temps qu'un convoi d'humains à la peau brûlée. La vie de tous les jours n'était pas toujours drôle, mais c'était un prix bien léger à payer pour vivre blottie au milieu de ses semblables, respectée et atteindre l'âge canonique de 37 ans.

Il était une fois (même si il s'agit rarement d'une seule fois) un petite baronnie humaine sise non loi du centre des Plaines Mystiques. Gouverné par le vieux et sage baron Nicodemus, il n'était constitué que d'une pléiade de petits villages d'agriculteurs, de mineurs ou de bûcherons assemblés à moins d'une journée de cheval du château nobiliaire. Homme de paix et de lettres, il était apprécié de ses sujets et n'avait jamais cherché querelle à personne, son caractère conciliant étant tel qu'il n'avait jamais réellement sévit contre le village gnoll dont il pouvait difficilement ignorer l'existence... tout au plus avait-il fait pendre haut et court les rares individus à avoir voulu s'essayer au brigandage en solitaire  ou qui n'avaient pas été assez rapides pour s'éclipser après une tentative de pillage.
Comme il est d'usage, le vieux Nicodemus avait un fils, et comme il est d'usage celui-ci trouvait que son père mettait trop de temps à mourir. De ce fait, lorsqu'en 110 le démon connu sous le nom d'Aile Ténébreuse commença sa campagne victorieuse contre l'ensemble des royaumes de la Terre, celui-ci y vit une opportunité. Malgré ses tendances pacifiques, le vieux roi avait fait le choix de ne pas se rendre et même de tenter de former avec ses pairs un semblant de front uni contre les envahisseurs, et ce malgré les différents immémoriaux qui les opposaient.
A la recherche du moindre renfort possible, il envoya donc la vipère qu'il abritait en son sein sous bonne escorte pour négocier avec les homme-bêtes, arguant que ceux-ci ne verraient pas d'un bon œil que des démons envahissent les terres où il les avaient laissé tranquilles jusqu'ici.
Si alliance il y eut, ce ne fut cependant pas celle à laquelle on pouvait s'attendre. Le sourire aux babines et la hache à l'épaule, tous les gnolls en âge de porter une arme suivirent le sang-bleu et se présentèrent aux portes de la cité seigneurial en tant que mercenaires grassement rémunérés par la chancellerie royale. Reconnaissant, et malgré l'avis de ses généraux, Nicodemus fit donner un petit banquet en l'honneur de ses invités incongrus, lesquels le remercièrent de son hospitalité en se levant pendant la nuit pour l'égorger en même temps que sa garde rapprochée. Le nobliau avait-il voulu suivre voulu reprendre le projet de guerre de son père à son compte après s'être débarrassé de lui, ou avait-il voulu échanger le château et ses terres environnantes au démon contre la promesse d'avoir la vie sauve ? On ne le saura probablement jamais, car les gnolls avaient vu plus loin que le bout de leur truffe et étaient parvenus dans la confusion à barricader la quasi-intégralité de la garnison de la ville dans ses baraquements avant d'y mettre le feu, se rendant ainsi maîtres de la cité en un tour de main. De fait, lorsque l'armée d'Aile Ténébreuse parvint quelques temps plus tard à la ville de feu Nicodemus, il trouva les homme-bêtes confortablement installés en train de ripailler tandis que la population enfermée à l'intérieur des murs d'enceinte priait pour ne pas être la suivante à être convoquée au château. Ils lui offrirent sans remord le contrôle de la ville contre la certitude qu'il ne toucherait pas à leur village au prix d'un serment de vassalité en bonne et due forme et d'une conscription régulière.

L'histoire aurait pu s'arrêter là, mais si tout était aussi simple il n'y aurait jamais d'Histoire.
Comme de bien entendu, Leuffa avait participé à la traîtrise, et elle considérait comme son chef-d’œuvre le travail d'éducation qu'elle avait mené sur le prince jusqu'à ce qu'il ne soit plus qu'un gentil toutou avide de plaire, enchaîné aux pied du trône qu'il avait tant convoité... mais pour tout dire, avançant en âge, elle commençait à se demander si il valait mieux pour elle de s'installer définitivement et de fonder une famille, ou d'opter pour une alternative. Elle décida de se laisser le temps de la réflexion et d'attendre un quelconque signe des ancêtres en participant à la suite de la campagne démoniaque contre les peuples libres de la région de la Terre.
Mais un an plus tard, lorsque la campagne fut terminée, elle s'aperçut qu'elle n'avait plus nulle part où aller : des groupes rebelles éparpillés, dans une tentative dérisoire de prendre les troupes d'Aile Ténébreuse à revers, avaient traversé au galop l'ancien fief de Nicodemus... en prenant toutefois le temps de faire payer aux gnolls leur traîtrise, réduisant en cendre leur paisible hameau et crucifiant tous ceux qui n'étaient pas morts l'arme à la main. Les survivants, écœurés, s'étaient dispersés avec les tripes tordues par une haine sans borne pour les monstres qui avaient causé leur malheur. La plupart partirent en croisade personnelle, mais Leuffa décida de se battre avec les armes qu'elle maîtrisait le mieux. C'est pourquoi, avec tout son solde de soldat et l'argent qu'elle put rassembler, elle ouvrit un bordel modeste au cœur de Sen'tsura qu'elle étoffa, aménagea, rendit célèbre pour qu'il devienne ce pour quoi il avait été vraiment conçu. Un piège à rebelles.


Citation :
Tu apprends que l'un de tes clients est un rebelle, qui plus est mauvais payeur et/ou client à problèmes... Raconte ta réaction et ce fameux « piège » mis en place envers cette faction.

Dans la réalité

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Avez-vous déjà fréquenté d'autres forums, si oui lesquels ?  Tir na Bealtaine, Warforum jdr, Metal-Earth, Yuimen... on parle des forums passés ou présents ? La liste est quand même longue.
Vos passions : Littérature variée, écriture, archéologie antique, armes anciennes... comment ça, je ne suis pas dans le bon siècle ?
Votre avis sur le forum?   Je pense qu'il n'y a pas grand-chose à dire, à part que ce forum a tout pour plaire : une esthétique sympathique, des mécanismes de jeu simples mais efficaces, un background travaillé mais qui évolue en même temps que le rp des joueurs... il reste à savoir si la communauté est aussi tordue que l'on me l'a décrite, mais sinon je me sens déjà comme chez moi.

Comment avez vous connu le forum?   *Regarde Alaric avec insistance*
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Leuffa Shteinguell Sand-g10Ven 21 Fév - 6:31
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Aventures passées et en cours

 
Pour que Justice ne soit pas un vain mot:
(conclu)

(rp interrompu avec Carnauthaur dans Sen'tsura, fiche introuvable)

(event de Ragmor dans Foam, fiche introuvable car interrompu)

L'ultime bataille:

Affaires au milieu de la tourmente:
( rp en cours avec Harald Wallah)

La famille s'agrandit:
(rp en cours avec Alaric)

Offres-moi tes services !:
(rp en cours avec Zhaitan)

On ne parle pas du gnoll fight club !:
(rp en cours avec Resbourbe)

La forge:
(rp en cours avec Enilos, Anodrac, Roxo et Jo'shua. Conclu)


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