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 Farah Tamciel

 
Farah Tamciel Sand-g10Ven 3 Mai - 16:52
Farah Tamciel

Qualité : Persévérante, franche, loyale, appliquée, vive, habile.
Défauts : Sanguine, peut être un peu farouche, timide, réservée, un peu rude parfois
Information
Surnom //
Âge : 24
Nationalité : Glace
Profession : Médecin-Chirurgien
Camp : Rebéllion
Noblesse : //
Croyance : Yehadiel
Famille : //
Mort : Oui, j'accepte la mort de mon personnage
Race
Clamerian
Caractère

Farah est au premier abord une femme réservée, peut être même un peu mystérieuse. En effet, elle ne se mêle pas d'elle même aux groupes et n'aspire pas à la popularité. Elle n'éprouve pas l'envie d'être sur le devant de la scène, et les personnes légèrement m'as tu vu l'agace quelques peu. Cependant, lorsqu'elle donne son amitié à quelqu'un, elle lui est entièrement loyale et dévouée, n'hésitant pas à l'aider si il en éprouve le besoin. Il pourra mettra sa confiance en elle, elle ne le trahira pas. Mais si par contre elle est trompée par celui qu'elle croyait ami, son esprit revanchard prendra le pas sur le reste. La vengeance chez elle est un plat qui se mange froid, mais elle accorde aussi son pardon. Etant une clemerian, elle a toujours en elle ce côté animal et sauvage qui peut resurgir en certains moments, comme lorsqu'elle doit faire face à un danger. Elle ne rechigne pas à se défendre, elle et ses opinions, mais elle ne prend pas de risques inconsidérés si c'est perdu d'avance. Sanguine, elle peut passer du calme à la fureur rapidement si on s'attaque aux sujets sensibles.

Physique
Forme humaine :
Farah est une femme mince de taille moyenne. Les traits de son visage sont fins et ses lèvres sont souvent recouvertes d'une teinte rose orangée. La carnation laiteuse de sa peau contraste avec l'émeraude de ses yeux profonds et pétillants. Ses cheveux sont très longs, lui allant jusqu'au bas du dos. Bouclés et d'un roux flamboyant, ils ont de légers reflets rouge lorsque le soleil vient s'y prendre. Elle porte généralement une longue robe turquoise, cintrée à la taille et une tiare de cuir ornée d'une perle de nacre. Lorsqu'elle opère, elle met une robe de travail foncée ainsi qu'un tablier blanc.
Enfin, pour affronter le rude climat de Silena, elle porte un long manteau en fourrure d'ours polaire d'un blanc éclatant. Elle rabat l'imposante capuche lorsqu'il neige.

Forme de chien :
Son pelage est foisonnant, doux et bien entendu roux sur le dessus, et blanc au niveau de son ventre. Sa queue s'entortillent en un espèce de grand tir bouchon recouvert de poils orangés. Son museau est de taille moyenne et son imposante fourrure donne à sa tête un aspect très rond. Ses yeux sont de jade également, bien qu'un peu moins prononcés que sous sa forme humaine.
Capacités
Armes : Pour le moment, rien que ses crocs. Elle n'est pas formée pour le moment à l'utilisation d'une arme.
Pouvoirs : Peut se transformer en chien
Familier : //
Artefact : //
Autre : //
Histoire

Histoire Cela faisait maintenant deux mois qu'un froid plus intense que d'habitude hantait la vallée. Les forêts qui bordaient les villages n'étaient plus que de longues rangées d'aiguilles givrées. Les torrents, d'ordinaire si indomptables, s'étaient figés dans un sommeil qui semblait éternel.

Assise sur une vieille chaise de bois brute, une femme observait le paysage blanc. Chaudement emmitouflée dans un manteau de fourrure d'ours brun, ses yeux d'un ocre vif ne cessaient de papillonner d'un arbre à l'autre, traquant le moindre mouvement pouvant trahir la présence de vie.
Sa chevelure lui recouvrait les épaules et le dos, si bien qu'on aurait dit qu'elle portait une cape. D'un roux profond, le soleil, tout aussi radieux que glacial, donnait l'impression que ses cheveux étaient sur le point de s'embraser.

Un craquement retentit derrière elle, la faisant sursauter. D'un mouvement, elle tourna la tête

- Tu m'as fait peur.

Un homme massif se tenait dans l'encadrement de la porte de la maison. Il avait une farouche tignasse brune sur la tête, et des yeux d'un vert prononcé. Lui aussi portait un long manteau de fourrure diverses et fronça les sourcils.

-Tu ne devrais pas rester dehors, Isora, dans ton état.

Sa voix était rauque et son expression était légèrement soucieuse.

Isora soupira en jetant un dernier coup d’œil à la nature environnante puis se résigna à se lever. Une fois debout, les formes de son manteau trahissaient les formes rondes d'un ventre qui protège un enfant à naître.

- Tu t'inquiètes trop. Lorsque l'enfant viendra, je devrais rester des jours et des jours enfermée. Je peux bien profiter des derniers jours qu'il reste.

Rejoignant son mari, elle passa à côté de lui en soupirant une nouvelle fois.

-Il faudra bientôt remplir nos réserves, Grent. Moi et le bébé en avons assez de ne manger que de la soupe de légumes.

Elle disparut dans la maison et Grent se retrouva seul, sur le pas de la porte. Semblant hésiter un instant, il finit par lancer d'une voix forte

-Je vais chasser. Sois prudente.

Il claqua la porte et fit quelques pas avant de s'arrêter à quelques mètres de la maison. Il serra légèrement les poings lorsqu'une bourrasque gelée vint s'engouffrer sous son manteau. Lorsqu'il les desserra, ses doigts s'étaient recouvert de poils couleur terre et commencer peu à peu à se ratatiner sur eux même. Son corps entier se recouvrit d'un épais pelage et bientôt, son nez un peu empatté se transforma en un long museau.

Il était maintenant à quatre pattes et le Grent humain d'il y a quelques secondes n'existait plus. Un chien se dégagea du manteau de fourrures qui traînait à présent sur le sol dur. Il avait le poil hirsute et marron foncé, et sa taille imposante lui donnait plus l'air d'un grizzli que d'un chien.
Il s'élança à travers les arbres et ne revenus que plusieurs après, la gueule pleine de divers cadavres de gibiers.

Cela faisait près de quinze ans qu'Isora partageait sa vie avec un clamerian, et elle avait fini par accepter le côté sauvage que son mari présentait quelques fois. Bien sûr, comme chaque existence, la leurs n'avait pas toujours été facile. La vie pouvait être très rude à Silena mais ce n'était pas la neige ou le blizzard qui les avaient tant préoccuper. Des années durant ils avaient espéré un enfant, et lorsque le temps qui s'écoule déroba les dernières gouttes d'espoir de leurs yeux, les dieux décidèrent d'entendre leurs prières.

Malgré l'angoisse constante de Grent, Isora se sentait sereine et sa grossesse se passa paisiblement. Le jour de la naissance ne tarda pas à arriver, apportant son lot d’inquiétudes et de douleurs, mais aussi bien sur son lot de bonheurs. La mère et l'enfant se portaient à merveille et on baptisa la petite Farah. Les mêmes prunelles émeraude que son père brûlaient dans son regard et les quelques petits cheveux parsemés sur sa tête laissaient penser qu'elle aurait la chevelure de feu de sa mère.

Les trois premières années de sa vie passèrent à une vitesse folle, gravant dans la mémoire de ses parents les images de ses premiers pas dans le monde. La nature de Farah resta un mystère durant les premiers mois, mais très vite, les doutes furent dissipés par les réactions de la petite lorsque des aboiements d'une meute de chiens de traîneaux se faisaient entendre. Elle n'avait pas encore conscience de ses pouvoirs de métamorphose, mais Grent était certain que sa fille était une clamerian.

L'instinct étant inné, c'est vers l'âge de quatre ans que la confirmation se fit voir. Ils avaient laissé une enfant dans sa chambre, et s'était un jeune chiot qu'ils avaient retrouvé. Le pelage touffu et aussi roux que ses cheveux, elle avait l'air d'une peluche animée.
Les métamorphoses suivantes furent aussi hasardeuses qu'incontrôlées et quelques années d'apprentissage et de conseils avisés de son père, permirent à Farah de prendre pleine possession de son pouvoir.

Son éducation se déroule néanmoins normalement, à l'école du village, avec les autres enfants. Farah, de nature un peu réservée, préféraient avoir un ou deux amis proches plutôt qu'une multitude de connaissances. Elle se montrait concentrée et studieuse, mais elle attendait avec impatience la fin des cours pour pouvoir se défouler autours de la maison. En effet, de part sa nature, elle avait besoin de beaucoup se dépenser et adorer courir en forme canine dans la neige tombant à grands flocons, le vent flattant ses flancs roux et sa langue sortant de ses babines.

Les années et les hivers se succédant avaient peu à peu faner la beauté de sa mère et épuiser les articulations de son père. Farah avait vingt ans, à présent et il était temps pour elle de prendre son envol. Bien sûr, elle n'abandonnerai pas ses parents, elle reviendrait les voir aussi souvent qu'elle le pourrait, mais pour elle il était temps de partir.

Elle arpenta la route d'Him'néa puis, après plusieurs haltes dans des auberges sur le chemin, arriva enfin à la capitale. Him'néa n'avait rien à voir avec son village natal. Beaucoup plus vive et colorée, la ville s’étendait dans une multitudes de rues. La place du marché lui sembla immense et Farah ne put s'empêcher de traîner devant les étales, envoûtée par les parfums et les couleurs.
Des marchands égosillaient à répéter que leurs poisson était le plus frais, les tanneurs exposaient leurs plus belles fourrures et étales proposant des fruits venus d'ailleurs étaient littéralement pris d'assaut.
Farah avait une petite quantité d'or, pouvant lui payer l'auberge et le souper durant un peu plus d'une semaine. Cependant, elle ne tarda pas à commencer à chercher ce pour quoi elle était là : Trouver un maître. Les lances et les lames n'étaient pas sa vocation, elle se sentait guider vers une voie où elle pourrait venir en aide. Isora lui avait parlé de sa grand mère, grande herboriste et médecin traditionnel reconnue dans le village et Farah avait senti que c'est sur les pas de son aïeule qu'elle marcherait.

Elle passa sa première nuit à Him'néa dans une charmante petite auberge qu'elle avait trouvé au détours d'une ruelle, située dans un quartier où se trouve de nombreuses tanneries. De sa fenêtre, elle avait une vue d'ensemble sur les maisons serrées les unes contre les autres, sur les mélanges de fumée et de vapeur d'eau qui s'élevaient en volutes dans les airs. Le murmure de la ville ne laissait place au silence que lorsque le crépuscule annonçait le règne proche de la nuit. L'aube, lui, réveillait la ville et son bourdonnement.

Levée tôt, elle se retrouva vite à nouveau à arpenter les rues où flottaient une odeur de cuir. Les trois premiers jours ne furent guère très concluants. Les maîtres avaient soit déjà des apprentis, soit ils n'avaient pas envie de s’embarrasser d'un élève.
Pourtant, au matin du quatrième jour, Farah poussa la lourde porte de sapin d'une maisonnette, coincée entre deux bâtiments plus grands. Un simple écriteau de bois accroché sur la porte indiquait « Premiers soins. Médecine ». L'intérieur était sombre et sentait un peu le moisis. Tout semblait si vieux qu'on aurait cru que plus personne ne vivait ici.
Un bruit de pas se fit entendre et un vieil homme, voûté, apparut d'une pièce voisine. Il avait les cheveux gris, longs, attachés en une natte dans son dos. Ses petits yeux ronds et noirs, lui donnait l'air d'un aigle au regard perçant. Son habit était très simple, bien que surmonter d'un tablier qui devait un jour être blanc, tâché de sang. Il jaugea Farah du regard un moment, sans qu'elle ose prendre la parole, puis finit par prendre la parole. Sa voix était morne et semblait sur le point de s'éteindre.

- Je ne fais pas de consultation aujourd'hui, repassez demain.

Farah s'inclina respectueusement.

- Je ne viens pas pour vous demander des soins, je suis là car j'espère trouver un maître qui saura m'enseigner l'art de la médecine.

A nouveau, il l'observa un long moment

-Je n'ai pas eu d'élève depuis longtemps...je ne saurais certainement plus comment faire pour être pédagogue.

- Je serais une élève assidue et persévérante ! Vous n'aurez pas à répéter les choses, et je saurais comprendre vos explications !

Une fois de plus, un silence prit sa place jusqu'à ce que le vieillard fasse volt face pour retourner dans la pièce d'où il est venu. Farah sentait déjà un nouvel échec arrivé mais à sa grande surprise, il lâcha un petit

-Je t'attends demain, une heure plus tôt que maintenant.

Farah se répandit en remerciement et s'inclina si bas que sa longue chevelure flamboyante racla le sol.

Son apprentissage commença mais ne fut pas tel qu'elle l'avait d'abord imaginé. L'homme n'était pas herboriste, mais véritablement chirurgien. Le temps et l'âge lui avaient apporté connaissances et sagesse, mais sa capacité a enseigné n'était plus de toute jeunesse. Les journées étaient longues et dures, et très difficiles au début. Mais elle réussi à tenir bon et finalement, au bout de deux ans, elle savait à peu près tout faire.

Elle n'avait jamais osé révélé sa nature à son maître, de peur que celui ci la chasse, mais par moment, il faisait des sous entendus laissant deviner qu'il savait. Elle se contentait de faire comme si elle n'avait rien entendu. Attachée à lui, elle décida de ne pas partir fonder sa propre échoppe de soins et rester auprès de lui pour l'aider avec ses patients. Ils savaient tous deux que le temps où la mort prendrait l'homme par la main était proche et il lui fit promettre qu'elle garderait la maison et ne fermerait pas le cabinet. Il avait consacré sa vie entière aux autres et n'avait pas d'enfant. Farah accepta, et lorsque les yeux de son maître se furent clos pour la dernière fois, elle garda en elle toute la tristesse de cette perte. Elle lui avait promis de ne pas se noyer dans le chagrin et de garder l'endroit ouvert.
Cependant, même si elle restait profondément attachés aux souvenirs de son maître, elle dut se résoudre à faire un grand ménage et un peu de tri dans le bric à brac qu'il avait accumulé.

Deux autres années passèrent, et Farah tenait à présent seule ce qui était devenue une petite clinique de chirurgie. Elle n'avait pas encore de solide réputation au sein de la ville et n'avait pas encore pris le temps de faire des rencontres et de liés des amitiés. Mais maintenant qu'elle était à l'aube de ses 24 ans, il était pour elle de se faire une vraie place dans la capitale et dans le monde.


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