| |  Jeu 19 Juil - 18:07 |  | | | | Le boulet enflammé composé de poix et d'autres éléments inflammable s'éleva bien haut dans les airs et s'écrasa sur les murs de la petite forteresse de Sardath. Ses défenseur furent obligés de baisser leur tête ou se garer pour éviter d'être asperger par le feu liquide qui explosèrent à l'impact et ensuite répliquer à coup de mousquet ou d'arbalète ceux qui étaient assez fou pour approcher le mur de 6 mètre qui était la seule défense entre les les habitant de ce village et ceux de dehors.
Pourquoi ce village est attaquer ? Cela Brimstone lui même l'ignorait exactement. Il c'est retrouver du coté des assiégés complètement par hasard. Il y était censé faire étape une nuit et repartir le lendemain mais quand il était sur le point de partir il vis que le village était en état de siège et qu'il était incapable de sortir. Un bon quart d'heure plus tard une première boule de feu envoyer par un trébuchet s'écrasa sur une maison suivis de beaucoup d'autres.
Brimstone s'efforça d'aider les habitant à éteindre les incendie ce fut grâce à cela qu'il entendit une rumeur sur un conflit opposant le chef de ce village à un seigneur qui habitait non loin d'ici. Selon ce qu'on disait le chef de Sardath avait refuser de payer une dime à ce seigneur prétextant que Sardath faisait partis de son fief. Visiblement ce conflit était un conflit de territoire. Il est vrais que depuis qu'Aile Ténébreuse avait pris le pouvoir les différentes villes et pays hormis ceux qui résistaient étaient contraint de payer une dime ce qui avait tendance à exacerber les tension entre voisins.
Toujours est t'il que quand le Golâm était monter au mur pour voir ce qui se passait à l'extérieur avec sa longue vue il se rendit compte que le seigneur local y avait mis les moyens. En calculant bien le Golâm estima que le seigneur avait déployer entre 700 et 800 hommes d'armes et cavaliers et non humains pour beaucoup. Le village ne dsposait quand à lui entre 250 et 300 habitants et encore il était certain que la moitiez des habitant étaient non combattante soit femme, enfants et vieillard.
Encore heureux que les assiégeant n'avaient que trois trébuchet à dispositions. Les feux étaient rapidement circoncit mais les bombes enflammés n'étaient pas les seuls à tomber. Il y avait aussi des rocher et il volait bas ceux là. Pour le moment les défenseurs arrivait à gérer la défense du mur et Brimstone vis qu'une bande de mercenaires étaient dans la même galère que lui et essayaient de s'organiser après avoir vu que ceux d'en face semblaient déterminer à les massacrer sans pitier ni faire de tris entre habitants et voyageurs de passages.
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 | | | Ven 20 Juil - 5:13 | | | | | Au royaume des rêves... Un massacre... le massacre de l'auberge par les orques de Mykull et ses alliés des fléaux. J'étais aux côtés de l'Assemblée Corinthienne... - Hey tu veux d'la viande? Bin y en a plein par icitte... AAAAHHH!!! - Laissez-nous sortir les femmes! Nous acceptons de jeter les armes... ... Je me réveillai et je vis Granyte au-dessus de moi... pour réaliser le carnage, puis manquai de m'évanouir à nouveau... RÉVEIL - ON EST ATTAQUÉS!!! CRASSH!!!!! Une boule de feu venait de défoncer le toit au-dessus de moi pour aboutir sur le plancher et défoncer tout sur son passage, je me protégeai le visage contre les éclats de bois. Je roulai sur moi-même, j'étais déjà en tenue de combat heureusement que je ne m'en départissais jamais, puis me mis debout pour aggriper mon bouclier et me l'enfiler sur le dos. Puis je mis mon casque et rangeai ma claymore. Je me laissai glisser par le trou béant laissé par le boulet et arrivai au rez-de-chaussée. Je parvins vers la sortie en défonçant la porte, afin entre autres qu'une pauvre vieillarde puisse sortir de l'auberge en proie aux flammes. Une fois dehors, je trottai de mon mieux vers l'écurie qui n'avait pas encore été touchée. C'était le chaos dans les rues, ça criait de tout partout, tout cramait... Arrivé à l'écurie je trouvai mon cheval que je me dépêchai d'atteler et sceller, puis l'armurer, pour ensuite y ranger mes petites affaires sur la scelle, je le montai en vitesse et nous filâmes vers l'extérieur. Puis je tentai de voir ce qui se passait... les murs, j'élançai ma monture vers les murs! ... Arrivé au mur, je descendis puis montai l'escalier et tombai nez à nez avec un golem de pierres... j'eus le réflexe de porter la main à ma claymore, je l'extirpai à moitié puis je me rendis subitement compte que les assaillants n'étaient pas rendus au mur et que le golem ne semblait pas attaquer les vigiles... Je rengainai ma claymore. - Navré... dis-je d'une voix rauque et grave Puis je regardai ce qui s'en venait et poussai un juron. - Par les abysses de... de... FAIT CHIER!!!... J'ai oublié! Je tournai la tête vers le golem, en espérant qu'il comprenne ce que je lui dis. - On ne peut les vaincre... on doit faire sortir les plus faibles pour les emmener en lieu sûr, ce village est perdu. Tu peux m'aider? Si on arrive à tenir assez longtemps, on pourra les sauver pendant qu'ils tentent une sortie. Je redescendis pour sauter sur mon cheval, puis exhibai ma lance de guerre en y déployant mon fanion de l'ours noir enragé vu de profil sur vert foncé. Une bande de mercenaires s'était rassemblés, et je tentai de repérer le chef. - Croyez-vous qu'on puisse tenir le temps que les villageois puissent s'enfuir?
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| | | Ven 20 Juil - 13:18 | | | | | Brimstone en était à ses observation quand il fut surpris par un mercenaire héberger dans le village assez nerveux qui faillis l'attaquer mais se ravisa vite en se rendant compte que le Golâm n'était pas agressif. Il lui fit ses excuses et poussa un juron en voyant ceux d'en face. Brimstone vis que cet homme semblait être un guerrier expérimenté quoique prompt à dégainer. Il était assez nerveux mais au moins il était plus du genre à penser aux autres qu'à lui même néanmoins il était en proie à une certaine panique. Il parla d'évacuer le village et il sauta sur un cheval en bas pour voir le chef du groupe de mercenaires.
Évacuer le village risquait d'être assez difficile. Quand Brimstone regarda sur sa lorgnette il vis qu'une partie des troupes c'était déployer pour encercler le village. Un passage en force risquait d'être assez délicat car l'ennemi disposait de deux troupes de cavalerie. La première était composé d'Humains à cheval lourdement amuré et l'autre cavalerie semblait composé d'Hobogobelin monter sur Worg (une créature croisé entre le loup et le chacal) plus légèrement protéger mais plus nombreux et mobile. Les non humains était certainement des mercenaires engagés sur le tas. Brimstone vis même des troll et des ogres dans le lot des guerriers à pieds ou des sapeurs s'occupant des trébuchets.
Brimstone redescendit des créneaux et se dirigea vers la troupe de mercenaires qui discutaient. Leur chef parlait à celui qui avait bien faillis attaquer le Golâm.
- Non ! Une sortie en force serait suicidaire. Ceux qui nous assiège ont déployer des troupes de cavaliers mobile pour barrer tout point de replis. Notre seul salut est justement de rester ici et défendre les murs. C'est d'ailleurs pour cela que nous avons été engager et nous avons de quoi les recevoir. Dit le chef mercenaire confiant. Un nomé Praag ancien capitaine d'armé reconvertis dans le mercenariat. Ses hommes était d'ailleur en train de préparer du materiel pour repousser un siege dont une imposante bombarde et plein de boulets.
Alors que Brimstone marchait il fut aborder par un habitant du village qui lui demanda de le suivre. Le mercenaire aussi d'ailleurs ainsi que d'autres étrangers sachant tenir une arme.
- On dirait bien qu'on va proposer du travail et qu'il sera cher payer. Dit le Golâm un peu haut.
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| | | Ven 20 Juil - 23:15 | | | | | - Non ! Une sortie en force serait suicidaire. Ceux qui nous assiège ont déployer des troupes de cavaliers mobile pour barrer tout point de replis. Notre seul salut est justement de rester ici et défendre les murs. C'est d'ailleurs pour cela que nous avons été engager et nous avons de quoi les recevoir. Dit le chef mercenaire confiant. Un nomé Praag ancien capitaine d'armé reconvertis dans le mercenariat. Ses hommes était d'ailleur en train de préparer du materiel pour repousser un siege dont une imposante bombarde et plein de boulets.
C'était de la folie, nous étions une poignée face à une véritable armée, aussi cher que l'on puisse me payer, je ne vais pas crever ici, ce n'est pas vrai...FLASH BACK On nous attaque! Les fléaux étaient à la porte de la Tour, la Garde de Tydel faiblissait. Byfrost tenait la porte du mieux qu'il pouvait, Jill décochait flèche après flèche du haut de la tour où nous étions. Chaque fois que j'approchais la meurtrière, Modius ne cessait de me jeter des sortilèges pour me projeter à l'arrière de la tour ou me jeter au sol, sans toutefois me blesser, la magie débordait de ce marchand corrompu... Puis subitement, on se mis à crier victoire! Nous les avions repoussés! FLASH BACK On pouvait les vaincre ici. Je le crois, en tout cas. Mais il fallait que les villageois se calment. - On dirait bien qu'on va proposer du travail et qu'il sera cher payer. Dit le Golâm un peu haut. - Mouais, mais ça ne servira à rien si tout le village y reste. Faites comme bon vous semble, je vais rassembler les villageois pour les mettre à l'abri, on se retrouve au front dès que j'ai terminé! YAAHH!!! Fis-je en élançant ma monture vers l'avant. Je déployai haut et fort ma bannière d'ours noir. En parcourant le long du pied du mur vers la place forte, je clamai aux villageois en peur: - Villageois de Sardath, ne cédez pas à la panique! Retrouvez-vous tous à la forteresse de Sardath allez vous dissimuler derrière les murs dans la salle de trône du bourgmestre! Prenez tout ce qui est nécessaire et suivez-moi! SUIVEZ-MOI et je vous mènerai en lieu sûr! Certains me lancèrent des roches pensant que j'étais un assaillant, mais voyant que je ne répliquais pas, ils finirent par comprendre que j'étais de leur côté. Les plus désespérés me suivirent. La peur et le désespoir se lisait sur leur visage comme je l'avais vu tant de fois par le passé. Cela me prit bien du temps, je parcouru les rues et allées de Sardath afin de mener les villageois vers la forteresse, pendant que les engins de morts des assaillants faisaient pleuvoir la mort sur Sardath.
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| | | Sam 21 Juil - 11:57 | | | | | Contrairement à ce que ce mercenaire pensait les habitants de Sardath semblaient calme et même assez organisés. Ceux qui étaient trop faible pour aider (enfants trop jeunes, Vieillard trop faible et femmes enceintes) étaient rapidement conduits vers le seul bâtiment fortifier du village qui était un temple d'une divinité et qui visiblement allait servir d'hôpital.
Le reste de la population en état d'aider restèrent sur place et à défaut de combattre aidaient du mieux qui peuvent en éteignant rapidement les incendies causés par les projectiles enflammés ou en s'improvisant messager ou brancardier afin d'aider les blessés.
Finalement l'appel du mercenaire attira essentiellement les étranger de passages qui paniqués par la situation suivirent le mercenaire jusqu'à l'abri le trouillomètre à zéro. Une fois ses derniers à l'abri il fut abordé par un homme agé qui lui recommanda d'aller au centre ville.
Brimstone fut conduit vers le centre ville avec une vingtaine de personnes vers le centre du village qui était le moins exposés par les tirs de trébuchets. Un gros hommes les attendait encadrés par des gardes habiller en milicien. C'était le bourgmestre et ce dernier leur promis une bourse de 40 pièces d'or pour ceux qui aiderait à la défense de ce village. Attiré par l'appât du gain la majorité acceptèrent. D'autres étaient moins motivés mais ils n'avaient pas vraiment le choix. Brimstone quand à lui resta stoïque. Il accepta la bourse par principe et sachant qu'il aurait peu de chance de partir.
Curieusement on pria le Golâm d'attendre après le départ des autres hommes d'armes. Visiblement le Bourgmestre voulait lui parler en privé. Il vis arriver le mercenaire à la bannière à l'ours qui avait raté la petite réunion.
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| | | Mar 24 Juil - 6:21 | | | | | Ça y était, tout le monde était rassemblé à la forteresse. Mais cela fut chose fort aisée, ce village n'en était guère à son premier siège et tous semblaient prêts à se précipiter à la place forte. L'un des derniers vieillards que j'eusse escorté me recommanda de me rendre à la place centrale. Je n'ai pas vraiment eu le temps de réfléchir, ainsi j'élancai ma monture vers la place centrale.
Arrivé sur place, la bande de mercenaires ainsi que la milice s'était rassemblé. Le bourgmestre semblait payer le prix fort à tout homme désirant combattre à leurs côtés, à ce que je pus comprendre. C'était là une somme fort considérable.
Les mercenaires quittaient tous au moment où j'arrivais, seul le golem resta auprès du bourgmestre. Je tentai alors de comprendre ce qui se tramait.
Les autres mercenaires se mirent en place sur les fortifications, les artilleurs gagnèrent les catapultes, les archers sur le mur, les cavaliers proches des entrées...
Je restai à proximité du bourgmestre et du golem afin de comprendre ce qui se passait ici...
J'examinai le golem de plus près... étrange créature, je n'en avais vu qu'une seule fois en fer comme ceci, mais celui-ci avait également des parties en bois, peut-être était-ce un hybride, si nous sortons tous deux de ce trou à rat, j'aimerais bien l'examiner davantage...
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| | | Mar 24 Juil - 13:36 | | | | | - Vous êtes la créature artificielle vivant à Santoma ? Demanda le Bourgmestre.
- Hum oui enfin je ne vis pas directement là bas. Disons que j'y ai fait une longue étape et m'y suis fait quelques relations. Répondit Brimstone assez étonné qu'il soit connus malgré le fait que le Village de Santoma et celui de Sardath soit éloigné d'une petite centaine de kilomètres même si c'était situer dans le même territoire.
- J'ai un travail particulier à vous confier et votre présence ici est finalement une bénédiction en ce qui concerne la défense de ce lieu. Répondit le Bourgmestre.
- Hum je vois vous voulez que je me charge la construction de nouveau soldat. Hum vu le contexte actuel cela risque de ne pas être facile. Déjà la construction disons par exemple d'un gardien au gantelets me prendrait au moins entre 2 à 6 heures si on m'embête pas trop. Outre cela je suis cher. Bon je sait que vu la situation je veux bien bosser pour vous mais une fois le siège passé je vous donnerais la note et elle sera un peu plus salé que la solde que vous payer aux autres mercenaires. Dit le Golâm.
- En fait ce n'est pas vraiment pour cela que j'ai besoin de vous. Même si cela pourrait nous aider. Vous êtes celons certaine de mes relation intéressé par le travail sur les autres créatures artificielle et vous étudier sérieusement leur fonctionnement. Dans une des granges de mon bourg il y as trois créatures qui sont hum dans votre genre et qui peuvent être utile une fois remis en route.
- Hum montrez moi ! Demanda Brimstone sa curiosité tiqué par ses paroles.
Le groupe se mis en route mais un des garde vis Black Bear.
- Hey vous ! Que faite vous ici ? Demanda t'il.
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| | | Mar 31 Juil - 7:38 | | | | | Visiblement, le capitaine avait donné ses ordres à tout le monde et voilà qu'un garde me parla d'une grande politesse qui se tint à peu près à ces mots:
- Hey vous ! Que faite vous ici ?
En voilà une question, une boule de feu passa au-dessus de ma tête et vint s'écraser sur la fontaine qui tenait lieu de place principale de Sardath.
- Boah rien, vous savez où je peux trouver la taverne?
- Où avais-je la tête, je t'offre un verre!... Ah c'est vrai, elle partie en fumée, alors fais-moi plaisir, la cavalerie va tenter une sortie en douce à la porte est afin d'aller détruire les mignons bilboquets de ceux d'en face. Alors file vers cette allée, c'est tout droit au fond, attends le signal, fonce et ne parle pas aux inconnus, pigé?
- Ça sera pas long tout de même, maman tient à ce que je sois rentré avant le dîner, YAAHH!!!
Fis-je en élançant mon destrier dans l'allée que le garde m'indiqua, où le régiment de mercenaires à cheval attendait afin d'effectuer une sortie en douce. La plupart semblaient assez aguerris, mais il y avait bien des mômes en bas âge. Je les regardai rapidement sans trop m'y attarder. Une vie de chien est une vie de chien, c'est pas mes oignons, malgré leurs regards craintifs.
On attendait... on attendait que la masse ennemie soit distancée des catapultes, massée vers les murs, avant de charger où ainsi la voie sera libre, et on pourra aisément prendre les armes de siège et prendre l'infanterie à revers...
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| | | Mar 31 Juil - 15:23 | | | | | Les assiégeants adverse n'avaient pas terminer totalement leur déploiement ce qui laissait à Black Bear et les 19 autres cavalier une marge de manœuvre étroite pour sortir en douce du village fortifier mais certainement pas de la zone de bataille. Tout au mieux cela lui permettra à lui et aux autres cavalier de ce réfugier dans un bois bon loin via la porte sud du village.
Vu que cette cavalerie était totalement improvisé et composés de gens plus ou moins habituer à combattre à cheval on délégua un chef de groupe et Black Bear fut rapidement choisit car il avait surtout la tête de l'emploi. Restait maintenant à ce qu'il fasse ses preuves et qu'il ramènes ses gars en un seul morceaux.
Vu que l'objectif étaient les engins de sièges on donna au mercenaires chacun un tonnelet dont le contenus était composer d'un mélange de poix, de poudre à canon et de clous. On donna également une torche et un briquet à amadou afin d'allumer les mèche situer sur les tonnelets ainsi qu'un conseil précisant que la mèche brulera pendant 7 à 10 secondes avant que la bombe explose.
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Pendant ce temps Brimstone contempla ce qu'on lui montrait.
- Très intéressant ! S'exclama t'il.
Il y avait en effet trois golem mécanique qui étaient en train de prendre la rouille et la poussière. Visiblement ils avaient été créer pour des travaux agricoles ou de terrassement mais ils étaient formidablement blindés et robuste. Néanmoins il leur fallait des réparations et que leurs chaudières interne soient alimenter à nouveau en combustible et en eau. Sans compter qu'il fallait vérifier leur catalyseur magique qui les faisaient fonctionner.
Brimstone après avoir négocier son prix se mis au travail tandis que dehors on ouvris les portes pour que Black Bear et les autres cavaliers puissent sortir du village.
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| | | Ven 3 Aoû - 22:29 | | | | | Visiblement, j'étais au beau milieu d'une compagnie de jeunes cavaliers qui en étaient plus ou moins à leurs premières armes. Je ne trouvai aucun officier, ni sous-officier parmi eux. Nous étions une vingtaine. Je levai ma bannière bien haut et tous me regardèrent, comme s'ils cherchaient des réponses, car je crois bien que c'était le cas. Moi j'avais perdu tout espoir en la vie... eux, ils en avaient besoin.
- Je ne prétendrai pas que je suis heureux de me trouver ici en ce jour, car j'ai perdu la foi il y a de cela bien longtemps. Mais vous, vous êtes encore jeunes, vous avez tant de combats à mener, de choses à vivre, de femmes à aimer, et c'est aujourd'hui que vous entrez sur un champs de bataille, vous vous en souviendrez toute votre vie comme étant votre baptême de sang, et au-delà de cette marée humaine, ce qui vous attend, c'est votre avenir! Après cette bataille, vous serez tous devenus des hommes! Nous avons une chance de foncer dans les bois et prendre les équipements de siège à revers! Nous disposerons de cinq secondes pour nous éloigner assez, lorsque j'en aurai donner le signal alors si votre cheval meurt, vous mourrez avec, compris? Sortez vos arcs, vos javelots et tout ce que vous pouvez utiliser pour les tenir en respect le plus loin possible.
Les archers envoyèrent une volée au peloton d'infanterie situé le plus proche de la porte est. C'est à ce moment que je sonnai la charge et nous fonçâmes à plus ou moins cent pas du peloton d'infanterie qui venait tout juste de recevoir la volée de flèches et nous nous mîmes à tirer flèches et carreaux, et lancer des javelots de part et d'autres afin de se frayer un chemin jusqu'au petit bois. Je guidai la compagnie dans les petits bois, reconnaissant les anciens chemins, les pistes de gibier, jusqu'au camp désert des envahisseurs. Nous le contournâmes pour arriver à proximité des armes de siège.
Je levai la bannière le plus haut possible, tous les soldats avaient quitté pour le mur, les armes de siège étaient disons le plus à découvert possible... restait ceux les maneouvrants, quelques gardes et éclaireurs ici et là, puis les officiers plus haut.
Puis je sonnai la charge, nous envoyâmes une autre salve de flèches et de javelots sur les gardes. Ils s'organisèrent pour reformer les rangs et charger, ce qui nous laissa le temps d'envoyer une autre vollée. Ils montaient des ouargues.
- Ça y est, voilà qu'ils sont moins que nous. Préparez-vous à charger!
J'installai la bannière dans son étui puis pris mon fléau et le fit tournoyer. Les autres cavaliers, qui avaient à présent tuer plusieurs soldats ennemis avec leurs projectiles avaient gagné confiance en eux. Ils me suivirent et nous fonçâmes vers la dix ou quinzaine de cavaliers ouargues ennemis chargés de protéger les catapultes et charrier les projectiles rapidement...
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| | | Sam 4 Aoû - 21:11 | | | | | Brimstone de son coté c'était mis au travail. Les bombardement semblait avoir cessé et c'était tant mieux. Refaire fonctionner des golems de rouages n'était pas aussi facile que cela en avait l'air. Outre cela c'était la première fois qu'il travaillait sur de grand Golem. Jusqu'ici il c'était toujours cantonné aux golems de petite tailles, donc ses grosses machines ont certainement bien plus difficile à entretenir. Cela explique certainement le fait qu'ils aient été remiser dans ce bâtiment.
Le premier Golem semblait être en assez bon état. Il fallait nettoyer sa chaudière ainsi que certaines pièces vitale à son bon fonctionnement.
Pour les deux autres ce fut bien plus complexe. Le deuxième avait l'air en bon état mais des pièces manquaient ou étaient cassé. En plus son cristal catalyseur qui faisait office de cerveaux rudimentaire était cassé. Sans lui ce golem ne fonctionnait pas. Le troisième était dans un état pire que le deuxième mais son cerveau semblait en état de marche.
Après un temps de réflexion Brimstone décida de réparer le deuxième Golem en utilisant les pièces du troisième mais il lui fallait de la main d'œuvre et elle devait travailler vite. Il donna quelques ordres afin que le bourgmestre puisse réquisitionner des gens pas trop manche avec des outils et des porteur d'eau. Par chance on lui mis à disposition le forgeron du village et son apprentis ainsi que plusieurs habitant prêt à lui ramener ce qui lui fallait en eau et en charbon alors qu'on se battais dehors. Soudain une explosion provenant hors de la ville le fit redresser la tête. Qu'es ce qui pouvait bien se passer dehors ?
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| | | Jeu 9 Aoû - 4:52 | | | | | Le choc fut terrible entre les deux bandes de cavaliers. Je contre-chargeai le chef de la meute ennemie en passant à côté de lui à contre-courant en explosant sa tête avec mon fléau.Les deux bandes s'entre-croisèrent, nous perdîmes trois hommes et eux, cinq. Nous fîmes volte face et apprôchames pour un combat rapproché. Deux ouargues se ruèrent vers moi, puis je fis de plus en plus grands mouvements de rotation de fléau pour en désarçonner d'un coup en pleine tronche.L'autre me sauta dessus, me désarçonnant. Mon armure tint bon mais je n'avais plus la portée pour frapper avec mon fléau. Ma main glissa vers ma hachette que j'extirpai pour l'éventrer, me libérant de sa prise et l'achevant à coup de bouclier sur la gueule. Je rangeai ma hachette, repris mon fléau et constatai que nous gagnions la bataille contre les cavaliers ennemis. Je rangeai mon fléau dans mon bouclier que je rangeai sur mon dos, puis retournai à mon cheval pour brandir ma bannière en signe de victoire.Nous étions devenus teize. Nous emmenâmes les chevaux des défunts avec nous puis nous arrivâmes aux catapultes. Je sonnai la charge et armé de mon fléau et de mon bouclier, nous chargâmes les artilleurs, ce fut un carnage...Nous disposâmes les tonnelets dans un ordre en série. Inutile de tous les allumer, un seul suffira si les explosions se rejoignent. Nous avions un seul tonnelet en surplus. J'indiquai aux cavaliers de me laisser les allumer seul et de s'éloigner. Une fois tout ceci fait, j'allumai la mêche, je bondi sur un tabouret et enfourchai mon destrier et nous quittâmes les lieux à toute vitesse. Puis au bout d'une dizaine de secondes de course effrennée...
KABOOOM!!!!
Ça a explosé! Nous avions fait sauté les catapultes, elles volèrent en éclats! Mais la dernière boule de feu atterrit à côté de la grange où Grimstone réparait les mystérieux monstres de ferraille, et les flammes se propagèrent sur le bois de la grange... pourtant tout le monde était aux fortifications, ou presque, ou à la forteresse! Mais les flammes étaient encore minuscules, il était encore temps de faire quelque chose, mais il fallait agir vite! C'est alors que juste avant de foncer vers la masse ennemie, j'apperçus un bélier qui s'approchait des portes. Mais plus loin, j'apperçus l'état major de l'armée ennemie qui regardait dans notre direction, les yeux ronds. Certains de nos cavaliers changèrent de cheval pour un cheval de défunt plus fort. Le bélier était encore à cent bonnées cordées de la porte. Le bélier ou les généraux? Pense vite... Je désignai les sept cavaliers les plus légers et rapides de notre bande. - Toi, tu es le plus léger et rapide d'entre nous. Tu vas prendre le dernier tonnelet et faire sauter le bélier avec, là-bas. Vous six, vous prendrez toutes les flèches, carreaux et javelots dont nous disposons pour couvrir votre ami ici. Il doit se rendre coûte que coûte au bélier. - Ah j'ai marre! Mon frère vient de mourrir ici, tu avais dit que tout se passerait bien!! - T'es bourré, j'ai jamais dis ça! Mais ce que je peux te dire c'est que si eux ils l'emportent, ils prennent Sardath et ils nous pendront tous pour avoir aidé les Sardatiens et avoir fait sauté les satanées catapultes, on doit tous les éliminer ici et maintenant! Tu n'iras nul part et ton frère sera mort en vain! - Et t'en sait quoi de tout ça?!? - J'ai perdu bien plus de frères que tu puisses te l'imaginer... si tu continues sur cette voie, tu en perdras d'autres. Nul n'engagera un mercenaire qui se défile de ses contrats. Ton nom est ta vie, ta crédibilité est ce qui nourrie ton ventre, ton gosier et ce dans quoi tu déverses ta semance. - Grrr... c'est bon, file-moi ce tonneau! Je donnai le tonneau au jeune cavalier en lui souhaitant bonne chance. Puis me tournai vers les six autres. - Nous, on fonce vers les généraux là-bas. On les capture grands chefs et on zigouille les autres. Yahh!!! Nous fonçâmes vers les généraux, en formation pointe de flèche, bannière déployée, fléau en tournoyant, bouclier en main, les autres avaient leurs haches, lances et leurs épées prêtes à en découdre, nous fonçions sur un ennemi dont nous ignorons tout...
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| | | Jeu 9 Aoû - 15:09 | | | | | Brimstone avait presque terminer de réparer le premier Golem quand une épaisse fumée se mis à envahir la salle. Brimstone en compris la raison quand il vis un début d'incendie contre un mur de la grange. Il fut obligé de s'interrompre afin de donner des ordres pour éteindre le feu. Hormis cet incident le bombardement semblait avoir cesser mais il entendit bien vite un grand bruit provenant du coté de la porte principal. Il en déduisit bien vite que ceux d'en face essayaient de défoncer la porte avec un bélier. Il vis des soldat et des habitant de Sardath se précipiter ver la grand porte afin d'essayer de la barricader avec de gros madrier tandis que les défenseurs sur les murs essayaient d'empêcher les attaquants d'entrer à coup de pierres et d'eau bouillante.
Le Golâm retourna à l'atelier afin de s'assurer que le premier Golem soit chargé en charbon et combustible. Il s'occupa quand à lui à calibrer le cerveau pour que le Golem puisse obéir à ses ordres via une de ses boule de cristal comme émetteur mekamagique. Une fois cela terminer Brimstone activa la créature qui se mis à grincer et dont la chaudière émis une fumée noire.
- Retiens cette porte et empêche quiconque d'entrer ! Ordonna t'il au monstre mécanique qui obéis et sortis de la grange dans un horrible bruit de métal hurlant. Le Golem se rendis à la porte et consolida sa résistance en ce collant dessus avec ses énormes mains augmentant la difficultés des attaquants d'essayer de défoncer la porte. Satisfait Brimstone s'attela la tache pour faire fonctionner l'autre Golem alors que le feu était presque éteint.
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De son coté Black bear se rendis compte que d'essayer d'attaquer les généraux ne risquait pas d'être facile. Ils étaient en effet protéger par une solide défense de soldats d'élites pourvus de lance, de lourd boucliers et d'une énormes armure et d'une dizaines de troll de guerre. Déjà quatre cavalier ont mordus la poussière et la charge avait littéralement été stopper par un mur de muscles et de métal.
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| | | Lun 13 Aoû - 21:23 | | | | | Purée! D'où sortait ce régiment de gardes du corps d'élite? Nous passâmes au-travers d'un mur de cavaliers lourds et déjà quatre de mes six cavaliers tombèrent. J'explosai le heaume des deux fantassins, bloquant la lance de l'un et esquivant celle de l'autre, qui me barrèrent la route, les projetant au sol, un autre en décapita un net avec sa hache, et le dernier impala deux fantassins d'un coup, le forçant à prendre sa masse d'armes. Les lanciers fondèrent sur nous et voilà que des trolls de guerre chargèrent dans notre direction.
Tenant les cavaliers en respect en faisant tournoyer mon fléau, je fis signe au cavalier à la masse de me passer un bout de sa corde que j'atelai à ma scelle, puis tous deux, nous fonçâmes vers l'un des trolls pour lui faucher les jambes en évitant ses défenses de justesse, et il tomba par en avant, fichant son gourdin géant dans un autre troll et les deux tombèrent sur la masse de cavaliers lourds.
Le cavalier à la hache fit des zig-zag entre les trolls qui se rentrèrent dedans, fessant les uns sur les autres, alors que moi et celui et à la masse en firent trébucher quelques autres avec la corde et écrasant d'autres soldats d'élites... nous retournions leur nombre et leur masse contre eux!
Assez vite, les trolls furent tous au sol ou hors de contrôle. Les officiers étaient finalement à portée. Tous les trois, nous chargeâmes dans leur direction. Un général et quelques subalternes. Ils chargèrent également dans notre direction.
Le choc fut terrible, mes deux compagnons furent tués sur le coups, empalés. J'explosai le torse d'un des subalternes et bloquai la masse du général. J'explosai la tête d'un autre subalterne qui avait sa lance fichée dans l'un de mes compagnons. Je m'éloignai et refis une autre charge, je me pris un coup d'épée sur la tête, fendant mon casque qui tomba au sol en deux morceaux... des vis à changer, rien de grave...
Avec mon fléau j'enchaînai la lame du fautif et le tirai d'un trait vers moi puis lui enfonçai mon poing dans la gueule, le défonçant le crâne sur le coup. Du revers du bouclier, je désarçonnai le général qui me martenait de sa masse.
Il ne restait que lui et moi. Je descendis de cheval pour éviter que mon destrier soit blessé, il avait encore son bouclier. Je frappai en sa direction et il bloquai et side-kicka sur ma main d'une geste parfait qui me me désarmai, fit trois quart de tour sur lui même et envoya son coude par-derrière dans ma tronche, me brisant le nez. Je tombai au sol. Il avança vers moi mais je roulai sur moi-même pour me relever, il en profita pour m,arracher mon bouclier, et je failli retomber au sol. Je pris ma claymore en reculant, et il pris la sienne...
Il ventait si fort... je piquai dans sa direction, mais c'était une feinte que... oui, Sir Miltiades m'avait enseigné... et je frappai en décrivant un arc de cercle sur ses jambes, le renversant et crevant ses grèves. Je piquai pour l'empaler par la suite au sol, mais il dévia ma lame pour m'évantrer sur les côtes. La cotte de mailles le fit dévier, mais ayant travarser les plaques d'acier et la cotte de mailles, j'eu tout de même une écorchure sur les côtes.
D'un geste fluide, les deux en position coincée, je pris ma hachette et l'abbatis subitement sur son crâne qui fendit en deux tel un melon...
Je restai à genoux au milieu du massacre pendant quelques temps. Les derniers gardes du corps désertèrent. Je pris mon casque et remis les vis en place, silencieusement. Une fois réparé, je me réarmai doucement et pensai ma blessure en posant des onguants curatifs.
Je remontai mon cheval après avoir décapitai le général mort. Armes rangées, cheval monté, je fis avec joie au loin le bélier ennemi exploser! Mes compagnons avaient réussis, mais impossible à dire s'ils étaient encore en vie. Je fis route vers le campement ennemi, pris une torche encore allumée quelque part et y mis le feu après avoir fait un petit pillage...
Je fis route vers la masse ennemie acculée au mur, à présent dépourvue de tout équipement de siège et d'officiers. J'exhibai la tête du général haut et clair. J'étais couvert de sang et de terre, puis la fit rouler jusqu'à eux et me sauvai de la masse ennemie afin d'aller rentrer par une porte plus loin...
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| | | Mar 14 Aoû - 11:41 | | | | | Entre temps Brimstone travaillait encore sur le deuxième Golem quand on l'appela vers le mur. Contrarier d'avoir été interrompus Brimstone allas voir. On lui tendis une longue vue et il vis un violent combat entre Black Bear et la troupe d'un officier. Le combat fut violent mais se termina rapidement par la mort de l'officier et sa décapitation. Cela démoralisa une partie des troupes ennemis qui battis retraite coté mur mais ne le fit pas fuir pour autant et le fit rester en place.
Black Bear réussit à profiter de la pagaille ambiante à retourner à Sardath. Sur sa troupe de cavalier il ne restait plus que lui et deux autres survivants blessés assez gravement mais ayant eu la force de revenir au village. L'initiative personnelle du mercenaire de s'en prendre à un officier ennemis avait été modérément apprécier. La mort de l'officier et la destruction des catapultes avait certes ébranler l'armer adverse mais au prix de la vie d'une troupe entière. D'un coté Black Bear se fit féliciter par les villageois mais engueuler aussi à cause de son initiative personnelle suicidaire.
Brimstone de son coté haussa les épaule et retourna à son travail. Black Bear avait au moins eu le mérite de lui faire gagner quelques heures le temps que les autres officier de ceux d'en face réorganise les troupes. Le prochain assaut du siège allait être surement plus féroce que le premier assaut.
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