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 Héritage d'un Peuple... Luce FireHope

 
Héritage d'un Peuple... Luce FireHope Sand-g10Sam 19 Mai - 1:21
Lucinda " Luce " Alba FireHope

Fière — Rebelle — Charmante — Étrange — Susceptible — Chaleureuse — Triste — Déterminée — Sûre d'elle — Courageuse — Insubordonnée — Attachée — Bornée — Logique — Réfléchie — Froide — Calme. 
Aime les pommes de terre, Silvette, le calme, et méditer. Hait les araignées, A.T., qu'on touche à ses amis, et les haricots verts. 


Informations

Surnom : Fille du Feu. Lulu. Eh ma puce ! Luce pour les autres.
Age : Dans son peuple, l'âge se mesure en pétales de fleur de feu. Elle en a 800, ce qui correspond à une vingtaine d'années.
Nationalité : Son peuple vit dans les plaines près de la Terre des Phoenix.
Profession : (ou poste libre) Orpheline du Couple Royal des Tylwyth.
Camp : Elle est contre Aile Ténébreuse, qui massacra ses parents et ses frères et sœurs, et réduisit à néant ce qui restait de son peuple et de sa terre, mais n'est membre de la Rébellion que par défaut, par intérêt personnel. Seule la vengeance compte, et aucune allégeance n'a été prêtée. 
Titre de noblesse : Princesse Déchue des Tylwyth. 
Mort : Oui.
Race
TYLWYTH
Un peuple méconnu que sont les Tylwyth. Ils avaient pourtant aidé à ramener paix et justice dans tous les conflits ou presque ayant eu lieu sur Terra Mystica. Mais ça, personne ne s'en rappelait. Comme s'ils possédaient la faculté de disparaître des mémoires. 
Tylwyth, signifie littéralement en leur langue "Enfants du Feu et de l'Air". Dans leurs légendes, au commencement, après que la Vie & la Mort se soient côtoyés pour créer le monde, dans la myriade de Dieux créés, se trouvaient Kayun Mir, le Feu et Wamyl l'Air, ainsi que leur frère Azin la Terre et leur sœur Minae l'Eau. Ils vivaient en paix mais s'ennuyaient. Chacun créa alors un peuple vivant. L'Eau créa les poissons, puis un siècle plus tard, les sirènes. La Terre créa les Golems, qui aujourd'hui sont rares. Et Tylla et Wamyl s'unirent pour créer les Tylwyth. 
Les Tylwyth ont un physique assez particulier, il faut dire. On pourrait s'attendre à une peau blanche pour l'air ou rouge ou dorée pour le feu. Que nenni. Leur peau est d'un mauve améthyste, veiné de violet à peine plus vif. Leurs dents peuvent être pointues ou bien rondes, cela dépend des individus. Leurs cheveux sont mauves aussi, avec des teintes différentes, tels les blonds, bruns ou roux, mais sur une palette de violet. Ceux qui ont les cheveux longs les ont forcément lisses, raides ou légèrement ondulés. Peu d'hommes les laissent pousser cependant, et les femmes les gardent généralement au dessous des épaules. 
Leurs yeux sont eux aussi étranges... Les pupilles fendues verticalement, comme celles des chats... Oui c'est cela, des yeux de félins, mais toujours l'iris d'un violet ou mauve variant selon l'individu.. Des yeux profonds dans tous les cas, dans lesquels il est facilement de plonger, et de s'y perdre, à jamais, ensorcelé...
À part cela, leur forme est humanoïde, bien qu'ils soient tous minces, d'une taille convenable et d'une souplesse défiant l'imagination. Pourtant malgré ceci, tous leurs guerriers ou guerrières sont d'une force sans faille.
Fils du Feu et de l'Air.. Si l'Air fait office de Divinité, de croyance, le Feu est leur mode de vie.  Ils sont capables tous, depuis leur plus jeune âge, depuis parfois même le berceau, de l'invoquer, leur pouvoir dépendant des individus. Certains même sont capables de se transformer en un feu dévorant, mais tous y on laissé la vie, les seuls pouvant revenir à leurs formes originelles étant les Reines de leur peuple..
Leur désavantage est qu'ils ne peuvent vivre sans feu. Il est leur nature, leur vie, leur cœur, leur origine et leur croyance. Sans lui, ils s'affaiblissent et meurent. Certains cependant se sont retournés contre leur nature, devenant des Shahir, des Traîtres, des êtres cruels avides de sang et de mort, des félons. Sans feu, ils sont devenus fous, et une menace, un danger pour Terra Mystica. Heureusement, cela n'arrive que très rarement. Pourtant, si Aile Ténébreuse faisait de la dernière représentante des Tylwyth une Shahir, le monde serait perdu, car rien ou presque ne peut arrêter un de ces traitres...
D'autres questions ?

Caractère


Ah, Luce... Autrefois, elle était l'image même de la vie et de la joie. Rien ne la rendait triste, elle était optimiste, voyant toujours le bon côté de chaque situation, aussi désespérée soit-elle ! Tout la faisait rire ; ses lèvres violettes laissaient toujours apparaître ses dents en un sourire magique. Aube pétillait de malice, elle était joueuse et passait le plus clair de son temps libre à répandre du bonheur autour d'elle. Elle savait faire de chaque discussion un fou rire, tout comme son absence rendait les silences tendus. 
Mais maintenant...
Oui, elle est toujours aussi sensible, douce, intelligente... Son esprit es toujours joueur au fond, toujours espiègle, mais attentionné.. Elle se bat toujours autant pour ce qu'elle croit être juste, c'est sûr. Ses pensées sont toujours profondes lorsqu'elle prend le temps de réfléchir à l'essence même de la vie, et elle ne laisse pas plus qu'avant la moindre difficulté la détourner de son but. Elle ne baisse jamais les bras, reste courageuse, et réfléchit toujours à des plans avant de foncer - sauf cas pas si rares d'implications personnelles. 
Elle reste gourmande, sensible, attachante, voire adorable même, drôle, logique et inébranlable. Son esprit taquin, cynique ne l'a pas abandonné. Sa rébellion et son allergie à l'autorité non plus.
Mais sa nature profonde a changé. 
Le bonheur perpétuel et le besoin de protection sentimentale qu'elle avait en elle est parti, évaporé. Une douleur et une tristesse sourde sont profondément ancrées en elle. 
En au plus profond de son âme, dans chaque fibre, chaque partie, chaque cellule de son corps, résonne le cri de la vengeance. 







Physique
Alors alors... Il nous faut décrire Luce, c'est bien ça ? Très bien...
Tout d'abord, il faut savoir que mademoiselle est violette. Comme tous les membres de sa race, cela va sans dire. Sa peau est mauve, ses cheveux sont mauves, ses yeux de chats sont mauves, ses lèvres sont mauves, et ses oreilles pointues sont mauves. Ah, oui. C'est étrange d'ailleurs. Lucinda est la seule Tylwyth ayant des oreilles pointues, comme les elfes ou les fées des bois. 
Son visage d'abord.
Son nez est droit, fin. Sa bouche parfaite et sensuelle, ses lèvres fines et autrefois souriantes, laissent apparaître des dents en pointes, mais son sourire n'en reste pas éblouissant, et n'effraie que lorsque la jeune femme le désire. Ses pommettes légèrement en avant lui donne un air déterminé, prêt à tout. Ses yeux félins aux iris d'un violet foncé sont pénétrants, scrutateurs, et s'ils brillaient d'une étincelle de malice perpétuelle autrefois, ce pétillement revient plus rarement, masqué par le voile de sa tristesse. Sa peau, d'une couleur améthyste donc, est parfaite, veloutée. 
Ses cheveux mi longs sont lisses et soyeux, et une frange coupée sauvagement cache son front. 
Sa voix est douce, flutée, chantante et persuasive, mais lorsque le besoin s'en ressent, la froideur qui en émane vous pétrifie presque et ses paroles acérées vous donnent des frissons. Son rire lui aussi effraie, il est si enchanteur qu'il parait étrange, même lorsqu'il est sincère et chaleureux. Son accent légèrement ensoleillé lui va par ailleurs à merveille. 
Enfin, son corps. 
Ses courbes sont généreuses, sa démarche, féline, féminine, séductrice et sûre d'elle. Athlétique, svelte, mais pas taillée toute en muscles ni anorexique, juste élancée, elle est aérienne. 
Ses gestes lorsqu'elle parle sont fins, gracieux, même lorsqu'elle s'enflamme. Séductrice, elle papillonne souvent pour arriver à ses fins. 
Un tic qu'elle possède ? Tourner et retourner le pendentif de sa mère entre ses mains. 
Ses vêtements ? Voyons voir...
La plupart du temps, elle porte sa tenue de chasseur, soit un corset en cuir brun lié par un simple et long lacet brun lui aussi, ainsi qu'un pantalon épousant ses jambes parfaites d'un  d'un marron quasiment noir. À ses avants-bras, deux bracelets protecteurs assortis à sa tenue et tenant par la même sorte de lacet. Ses bottes, quant à elles, sont rehaussées d'un léger talon, pur coquetterie, certes, mais Luce ne saurait plus marcher à plat, sauf pieds nus. Ces chaussures lui montent mi-mollets, épousant parfaitement leur forme galbée, et refermées, une fois encore, par un lacet de cuir. 
Et, à son cou, pend le collier, hérité de sa mère, qui la tenait elle-même de sa grand-mère et... Je ne vais pas vous faire un dessin, je suppose. Une simple chaîne en argent, au bout de laquelle pendant une étoile à douze branches, symbole des Reines de leur peuple. 
  En bref, notre Princesse est sublime, d'autant qu'elle tient de sa mère un charisme inégalable, de sorte qu'elle plaît à tout le monde, malgré sa différence. 
AH OUI ! Et précisons aussi qu'à chaque fois qu'elle est heureuse, mademoiselle ronronne. Si, si, elle ronronne. Comme un chat. Ça arrive aussi lorsque qu'on lui chatouille une de ses oreilles pointues. 
Splendide, encore une beauté irréelle!
Capacités

Arme : Une arme unique.. Apparaissant dans ses doigts en un claquement de langue. Une double lame, longue chacune comme sa jambe, d'une couleur mauve violette,et reliées entre elles par un pommeau si je puis dire, long d'un avant-bras, en ébène incrusté de métal précieux, or, bronze, et argent, arme nommée Améthyste en hommage à son peuple. Ainsi qu'un arc, d'un blanc aux reflets de toutes les couleurs, et aux flèches empennées d'une plume de phénix. 
Pouvoirs : Pouvoir de séduction, bien que ce soit plus du caractère de que la magie. Elle peut invoquer du feu, comme tous les Tylwyth, mais n'est pas très douée, ainsi que son arme. 
Familier : Une chatte blanche au bout de queue orangé le jour et tigresse protectrice au bout de queue blanc la nuit, nommée Kiara dans les deux cas.
Artefact magique : Le pendentif de ses ancêtres, dans lequel chacune des Reines a placé un peu de force chaque fois qu'elle y pensait. Qu'elle ne sait pas utiliser. Ironie du sort. 
Autre :


Histoire



L'hiver. Les arbres qui se dénudent des leurs feuilles, pour se recouvrir d'une écharpe de neige soyeuse, immaculée, scintillante sous le soleil timide de ces jours passés au chaud sous l'édredon, à somnoler, à se réchauffer, à partager ces moments d'intimité qui nous lient. 
Mellinià. À Caeline. La cité fait d'opale et d'iris. La cité des rêves, merveilleuse et digne, fière, presque hautaine, se dressant dans les plaines comme une fleur sublime au milieu du désert. Avec ces bâtiments d'un blanc nacré teinté de violet, ces pavés immaculés ou écru, ces arbres décolorés, fiers, aux feuilles habituellement d'un mauve couleur bleuet ou d'un violet aussi foncés que les pétales d'une iris poussant à leurs pieds mais maintenant seulement recouverts d'eau solide brillant sous l'astre lumineux. 
Un manoir, en plein centre de cette cité magnifique. Son toit d'un parme légèrement rouge, ses briques bleues pâles, et malgré ce mélange détonnant, harmonieusement coloré. Au dernier étage, le cri d'une Tylwyth se fit entendre, suivit par un autre, tout aussi assourdissant, mais plus aigu, plus jeune. Le premier cri d'un enfant qui vient de naître. 
Un jeune garçon sort par la porte d'entrée et court dans les rues annoncer la bonne nouvelle. Lucinda, sa sœur, vient de naître, en pleine santé. 

Lucinda Aube ... 
Voilà ce qu'elle était appelée à devenir. 
Une Reine puissante, qui gouvernerait avec justice et maintiendrait la paix et l'ordre. À peine née, la pression du monde retombait sur ses épaules..

Elle grandit dans la joie, entourée par ses deux sœurs, Mia et Autumn, et son frère, Nathys. Eux n'avaient pas sa malédiction, l'héritage de leur lignée, ils ne seraient pas appelés à diriger; elle, née avec le signe, le serais, mais pour le moment, encore jeune, ils s'amusaient ensemble. 
Très vite, sa désobéissance constante et rebelle devint légendaire. Elle ne pensait qu'à rire avec les autres enfants, et rien ne l'occupait assez pour lui apprendre patience et calme. À part la lecture, mais son avidité de culture vint vite à bout de la pourtant gigantesque bibliothèque. 
Jusqu'à son sixième été. 

Chez les Tylwyth, l'âge ne se compte pas comme pour les autres peuples. C'est plutôt comme un niveau, le nombre d'étapes que l'on a franchit dans sa vie. Par exemple, on prend son premier pétale de fleur de feu, lors de sa première respiration. Sa deuxième, quand on ouvre les yeux. Sa troisième lors de sa première nuit. Et à leur sixième année de vie, ils ont environs quatre cent pétales, aune prenant en compte les découvertes qu'ils font chaque jour, extraordinaires pour eux, seuls ou pas. 
Lucinda, elle, en avait déjà quatre cent soixante-quinze. Curieuse, elle apprenait des tas de choses en observant. 
Lorsqu'elle atteignit ses cinq cents pétales, elle eut le droit de choisir si elle préférait apprendre à chasser, à se battre, à guérir ou à devenir artisan. Ses choix se portèrent sur la chasse tout d'abord, puis sur le combat. 
Les autres avaient un an ou plus qu'elle, mais le même âge tylwyth. Sa taille était donc sa seule vraie différence. 

L'arc la passionna au plus haut point, et elle devint vite la meilleure chasseuse de son groupe. Au combat, elle se distingua par son adresse au poignard, qu'il soit utilisé en combat rapproché ou au lancer. Mais à côté, ayant trouvé une double lame qu'elle savait n'appartenir à personne, elle l'avait prise et cachée quelque part. Trop petite, elle ne pouvait l'utiliser, mais elle lui avait donné une idée. Luce pris deux dagues qu'elle attacha ensemble, se créant une double lame adaptée à sa taille, en attendant de grandir. Elle s'entrainait chaque jour, améliorant ses bottes et ses feintes, au creux secret des grottes des plaines. 

Puis un jour eut lieu la grande catastrophe ..
 Mélie, sa mère, chantonnant la berceuse qui endormait la princesse à ses premières nuits, constituait, fleur par fleur, un bouquet de bleuets, de coquelicots, et d'autres plantes sauvages. L'herbe drue s'étendait à perte de vue, et aussi loin que se portait le regard pourtant acéré de la jeune Tylwyth, on ne voyait que pommiers, poiriers, orangers, et plus bas au sol, une multitude de fleurs et de plantes, colorées pour les unes, chlorophylle pour les autres. Les micros-climats de cette plaine permettait une diversité naturelle gigantesque. Ainsi, les plantes nécessitant  un climat plus chaud et humide était au nord; celles qui avaient besoin de sec et de fraîcheur, au sud. Au sol s'étendait un tapis multicolore, où se côtoyaient quasiment toutes les espèces végétales; tulipe, rose, genêt, romarin, chèvre-feuille, et surtout, surtout, une variété de plante spéciale, qui ne poussait qu'au centre de cette plaine étrange. La Nayiwa, la fleur de feu. 
Le bouquet était achevé maintenant. Un dégradé azur virant au bordeaux, puis au pamplemousse, en une spirale colorée, se terminant en son centre en une fleur sublime, mordorée, orangée, aux pistils d'or, semblables à de la poussière de fée. Au loin, dans le dos de la Reine, apparaissaient à l'horizon une poussière brune, prélude d'une extermination. 

La jeune Tylwyth avait alors dix-huit années, soit sept cent cinquante pétales.  Elle se savait proche de son investiture au rang de Reine, ainsi que de son mariage donc, avec un Tylwyth qu'elle n'avait pas encore choisit, et cela créait quelques troubles et tensions entre elle et sa famille. Ce jour-là, Luce s'entraînait beaucoup, beaucoup plus au Nord, avec sa double-lame, lorsqu'un grondement retentit. Affolée, elle voulut se précipiter pour aider son peuple. Mais elle ne pût bouger, et assista de loin à la mort de sa patrie...

Après cela, elle ne fut plus Lucinda Aube, fille de Reine et Héritière. Elle devint Luce Alba FireHope, et garda en son cœur la rancœur la plus meurtrière à l'encontre d'Aile Ténébreuse...

Elle erra longtemps, vagabonde, s'installant parfois dans d'honnêtes familles de marchands pour les aider, repartant dès que le besoin de solitude se faisait ressentir. Puis, elle apprit que le mouvement de la Rébellion était non loin d'elle, et, sachant qu'ils se battaient contre son ennemi, elle les rejoint, par défaut. Elle y est encore, et tente de réprimer son instinct de.. Rébellion justement, contre les ordres, qui lui a déjà valut, quelques, hum, réprimandes. Elle est aujourd'hui comptée dans les archers, ainsi que dans les combattants redoutables grâce à Améthyste. Son pouvoir d'invocation du feu est par contre gardé secret pour l'instant. 

Alors, Luce finira-t-elle par trouver la paix ? Nous verrons bien, qui sait, peut être un jour...



Dans la vraie vie  


Âge : 18 ans et une semaine ♥
Comment avez-vous connu le forum ? Eragon.jeun
Avez-vous déjà fréquenté d'autre forum, si oui lesquels ? Eragon.jeun, PursuitOfHappiness, Rayen, blablabla..
Vos passions :    Lire, GIMPer, Lire, RP, dormir, MANGER. ♥
Que pensez-vous de Terra Mystica ? Avez-vous des suggestions pour l'améliorer ? Pour l'instant, je trouve ça assez sympathique, je n'y trouve rien à redire.
Avez-vous rencontré des problèmes pour remplir votre fiche? Non.
Phrase fétiche : Non, mais. Genre, quoi ! 
Mon Dieu. / Dieu Tout Puissant.
Il est TROP canon !
Code du règlement : ~Code ok by Horu ♥
Compliqué, Yoyotte, ton code. Pfiouh. J'ai dû le revérifier trois fois.  


Pardonnez les fautes s'il y en à, tout a été approximativement écrit la nuit. 

Epreuve:
Citation :
Raconte une des insubordinations graves de Luce au sein de la rebellion.
Héritage d'un Peuple... Luce FireHope Valida11

Invité

Anonymous




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